Lausanne accueille une exposition immersive dédiée au légendaire Titanic. Les visiteurs peuvent découvrir plus de 200 artefacts authentiques récupérés de l’épave ainsi que des répliques des cabines et espaces emblématiques du paquebot. Vincent Sager, directeur d’Opus One, est notre invité.
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00:00Philippe Morax !
00:01C'est bon, il paraît qu'il est marrant, alors fais nous marrer !
00:03Astre 6 est quand même pas toujours évident...
00:05Ça pique un peu cet ouvre, hein ?
00:06Comment ça va ?
00:08C'est pas facile comme question...
00:09Rassurez-vous, on va se marier un peu après...
00:11De si tôt le matin, c'est trop chouette !
00:13Bon alors tu as gagné 50 euros, Stéphane !
00:15On est là pour découvrir les choses...
00:17T'as tout dit...
00:18Content d'être en Suisse, c'est un pays que j'affectionne particulièrement...
00:21Vous êtes suisse ?
00:22Ouais...
00:23Et j'ai souvent des idées...
00:25Mauvaises !
00:26On ne t'aura pas ton scoop, ce matin...
00:27Ça s'appelle le coup de marteau !
00:29Incroyable !
00:30C'est moi qui pose les questions !
00:32L'invité du matin...
00:33Du 27 septembre prochain au 26 janvier 2025, Lausanne accueillera une exposition immersive,
00:39c'est le cas de le dire, dédiée au légendaire Titanic.
00:42Les visiteurs pourront découvrir plus de 200 artefacts authentiques récupérés de l'épave,
00:48ainsi que des répliques des cabines et espaces emblématiques du paquebot.
00:52Cette expérience plongera le public dans l'histoire de la tragédie maritime de 1912,
00:57avec des témoignages poignants, et des vidéos historiques retraçant le voyage funeste du navire.
01:05L'exposition promet un voyage éducatif combinant objectifs authentiques et reconstitutions méticuleuses,
01:12allant des luxueuses cabines de première classe aux machines oppressantes du Titanic.
01:18Cette immersion totale permet de revivre les moments clés du naufrage
01:22et de découvrir les récits des passagers, notamment suisses, qui étaient à bord de cette embarcation,
01:29si on peut utiliser ce terme.
01:30Cette exposition se déroule quelques mois après l'implosion du sous-marin Titan en 2023,
01:36où Paul-Henri Nardgelet, explorateur et figure centrale des missions de recherche sur l'épave, a perdu la vie.
01:42Son héritage est profondément ancré dans cette exposition,
01:45témoignant de ses décennies de travail sur la découverte et les préservations des objets du Titanic.
01:51Une exposition à ne manquer sous aucun prétexte, qui mêle histoire, émotion et hommage
01:57à ceux qui ont consacré leur vie à la redécouverte de cette tragédie maritime.
02:02Je reçois ce matin l'organisateur de l'événement, Vincent Sagueur, directeur de Puce One.
02:06Bonjour.
02:07Bonjour.
02:08Comment ça va ?
02:09Ça va bien, vous avez tout dit.
02:10Presque.
02:11Non, j'ai pas tout dit, j'ai pas tout dit, j'ai planté le décor.
02:13Mais comme on est tôt le matin, c'est facile pour moi.
02:15C'est vrai.
02:16Merci d'être là de si bon matin, Vincent Sagueur.
02:18Merci d'être là pour nous parler de cette exposition qui a déjà révélé beaucoup de secrets.
02:25En tout cas, l'histoire, on la connaît bien.
02:27Mais en fait, des secrets, il y en a encore.
02:29Et là, on va pouvoir les découvrir.
02:31Oui, parce que le Titanic, il fascine depuis plus de 100 ans.
02:35Ça fait 112 ans qu'il est parti au fond de la mer après 4 jours de navigation.
02:39Donc, ça a frappé les esprits durablement.
02:42Cette exposition, on l'a déjà présentée sous une forme un tout petit peu différente il y a 10 ans à Genève.
02:47Elle avait rencontré un succès immense.
02:49Et puis, on avait beaucoup de demandes de gens qui avaient la nostalgie de cette évocation du Titanic.
02:55Entre temps, il se passe des choses.
02:57Évidemment, il y a eu d'autres explorations qui ont été organisées sur l'épave.
03:00Il y a aussi des signaux d'alerte qui ont été donnés autour du fait que l'épave va disparaître.
03:05Inévitablement, dans les années à venir, parce qu'elle est complètement corrodée et rongée par l'eau.
03:12Ce qui veut dire que le Titanic deviendra un souvenir d'ici quelques années.
03:16Et puis, il y a eu, vous l'avez rappelé tout à l'heure, cette tragédie aussi l'an dernier,
03:21qui a remis aussi, on va dire, et l'histoire du Titanic, et la dangerosité de ces explorations sous-marines au premier plan.
03:29C'est la disparition de Paul-Henri Narjolet, qui était le directeur de la recherche du RMS Titanic.
03:33Donc, c'est lui qui a remonté la majorité des 5000 objets qui ont été remontés des fonds de l'océan.
03:38C'est lui qu'on avait accueilli il y a 10 ans à Genève lors de l'inauguration de l'exposition qui parlait de son travail.
03:44Il venait en voisin, il venait de Chamonix.
03:47Et puis, il a disparu là, sur le lieu même où il avait plongé, où il avait exploré cette épave pendant des années.
03:54Donc, c'est un destin assez incroyable.
03:56Donc, on lui rend évidemment hommage lors de cette étape lezanoise de l'exposition.
04:00Ça va être effectivement un bon moment.
04:03Qu'est-ce qui distingue finalement cette exposition Titanic au Palais Beaulieu par rapport à celle qu'on a pu voir,
04:08ces expositions qu'on appelle l'exposition immersive ?
04:11Alors, elle est pour le coup totalement immersive.
04:14C'est-à-dire qu'on prend le contre-pied complet de ce qu'on a fait avec Frida Kahlo ou Tintin.
04:18On revient sur l'idée d'une exposition plus muséale, de salles qui se suivent, de salles de vitrines, d'objets, de textes qu'on va lire.
04:28Donc, on est dans une exposition très documentaire, très visuelle, dans laquelle il y aura aussi, il est vrai,
04:35une salle immersive dans laquelle on va pouvoir se plonger, on va pouvoir aller au contact de l'épave du Titanic
04:42avec des images sous-marines qui ont été tournées et des reconstitutions 3D de différents éléments du bateau.
04:47Mais pour l'essentiel, c'est une exposition physique et muséale, un peu comme on a l'habitude de le voir,
04:52et dans laquelle on a la chance de voir un peu plus de 200 objets qui ont été remontés, conservés,
04:57parce que remonter un objet de 3 800 mètres de fond, c'est une chose.
05:02Mais le remettre à l'air libre, c'est une autre, et ça suppose une conservation très particulière pour éviter que les objets se corrodent et se détruisent.
05:13Donc, il y a des objets à voir, des objets originaux.
05:16Absolument. Et puis, on a remis au goût du jour aussi cette exposition qu'on avait souhaitée faire il y a une dizaine d'années autour des Suisses à bord.
05:24Oui, justement.
05:25C'est vraiment un focus sur les... À l'époque, il y avait 27 Suisses à bord. Et depuis cet été, on sait qu'il y en avait 28.
05:33Pourquoi ? Parce qu'il y avait une reloise qui était employée de la White Star Line,
05:41donc qui était une employée qui travaillait sur le Titanic, qui avait quitté la Suisse plusieurs années avant.
05:44Et dans les différents travaux des historiens, elle avait été attribuée un peu faussement à un autre pays.
05:49Et c'est les travaux récents qui ont pu démontrer que cette jeune femme qui n'a pas survécu venait de Rôles, était une Vaudoise,
05:56et que c'était la 28e Suisse, suissesse en l'occurrence, à bord du Titanic.
06:00Donc, il y a une sorte d'hommage aussi qui leur est rendu intéressant.
06:02Oui, bien sûr. On retrace aussi leurs destins. Certains ont survécu, d'autres pas.
06:07Certains étaient des personnalités de leur époque. Il y avait notamment le patron de la société de Banque Suisse.
06:10Il y avait aussi des gens qui immigraient aux États-Unis à la recherche d'une vie meilleure
06:15parce qu'ils étaient paysans à Fribourg, ou sur le plateau Argovien, ou des choses comme ça, et que la vie était dure à cette époque.
06:23Donc, on a vraiment des destins croisés très, très différents qu'on retrace,
06:27et qui permettent de se remettre au contact de cette époque qui n'a pas été facile pour tout le monde.
06:33Des vrais objets, des vraies histoires. C'est important. C'est un peu les highlights.
06:37C'est le sous-titre de l'exposition, et je pense qu'il résume bien le propos et l'intention qu'on souhaite mettre là-dedans.
06:42Il y avait aussi l'histoire du Titanic avec la fameuse chanson de Céline Dion. On l'évoque ou pas du tout ?
06:48Non, on ne l'évoque pas directement parce qu'en même temps, c'est une telle évidence que Céline Dion, Kate Winslet et Leonardo DiCaprio font partie du mythe du Titanic.
06:58Mais le propos de cette exposition, c'est vraiment de rester sur les aspects factuels et historiques.
07:05Elle ne se permet pas trop d'incursions du côté de la fiction ou de Hollywood, mais tout le monde l'a forcément à l'esprit parce que cette chanson a durablement marqué les esprits.
07:17Pour l'histoire, c'est important ce genre d'exposition. Ça s'adresse finalement à tout le monde aussi.
07:23Les jeunes peuvent comprendre, s'immerger, à partir de quel âge par exemple ?
07:29Je pense qu'à partir de 6-8 ans, on peut tout à fait visiter l'exposition. On met à disposition de tous les visiteurs un audio guide en français, anglais et allemand qui est compris dans le prix du billet.
07:40J'insiste, c'est important. Il donne beaucoup d'informations complémentaires à ce qu'on voit et au parcours.
07:45C'est une exposition qui prend plutôt le visiteur par la main, qui lui raconte beaucoup de choses, qui se veut didactique, documentaire.
07:54De ce point de vue-là, on repart avec le sentiment d'avoir un peu vécu de cette époque-là et de ce qui a suivi, parce qu'il s'est quand même passé quelques décennies jusqu'à ce qu'on redécouvre le Titanic dans les années 80.
08:05Alors qu'ils cherchaient des sous-marins nucléaires américains, il faut le savoir. C'est comme ça que le Titanic a été redécouvert.
08:11C'est une histoire incroyable qui continue à marquer les esprits, qui va continuer longtemps. C'est la plus grande catastrophe civile du XXe siècle aussi, avec un moyen de transport.
08:22De ce point de vue-là, tout ce qui avait précédé le voyage inaugural et cette promotion qui en faisait le bateau le plus sûr, le plus grand, le plus beau.
08:30Il y avait quelque chose d'un peu ironique dans cette disparition prématurée.
08:34Qui a marqué l'histoire et les esprits, évidemment.
08:36Absolument.
08:37Et c'est à partir du 27 septembre prochain, à Beaulieu, Lausanne.
08:40Philippe Morax !
08:41Comment ? Il paraît qu'il est marrant, alors fais-nous marrer.
08:43À cette heure-ci, c'est quand même pas toujours évident.
08:45Ça pique un peu, c'est ouf.
08:47On est là pour découvrir les choses.
08:49T'as tout dit.
08:50L'invité du matin.
08:51Vincent Sagar, mon invité ce matin.
08:53Directeur de Puce One, organisateur notamment de cette grande exposition immersive.
08:57Il va ne pas manquer, à partir du 27 septembre prochain, à Beaulieu, Lausanne.
09:01Mais pas que ! Il y a plein d'autres événements qui se déroulent.
09:03D'ailleurs, c'est en lien avec la chanson qu'on vient d'écouter.
09:05J'ai demandé à la lune d'Indochine.
09:07Parce qu'Indochine, à Lausanne, c'est aussi Vincent Sagar.
09:11Oui, on fait toute une équipe, Puce One 5.
09:13C'est beaucoup de gens, c'est 22 personnes dans le bureau.
09:15Donc c'est une affaire collective.
09:17C'est un beau bateau, en fait.
09:19Oui, dans son genre, absolument.
09:21C'est vrai.
09:22Mais en effet, Indochine, ça va être l'événement de l'année prochaine.
09:24Oui, énorme.
09:25Le retour, là, est tenitruant.
09:27Nous, on a rarement, voire jamais vu ça.
09:30Un groupe français qui annonce son retour.
09:32On a vendu, samedi dernier, les deux Vaudoise Arena qui étaient prévues en quelques heures.
09:37Ça fait plus de 16 000 personnes qui se sont précipitées sur des places.
09:40Donc demain, on en relance une troisième pour laisser une chance à ceux qui n'ont pas eu la possibilité d'avoir des places,
09:47de venir voir Indochine.
09:48Et ça va être un spectacle énorme, parce qu'ils ont l'habitude de gâter leurs fans,
09:52de faire des surprises.
09:54Là, ça va être une scène très particulière à propos de laquelle on n'a pas le droit trop de raconter de choses.
09:59Mais il prendra beaucoup de place.
10:01Il nous fallait ce parterre de la Vaudoise Arena pour pouvoir l'accueillir.
10:04Donc ça va être quelque chose d'assez spectaculaire.
10:07Mais il faut attendre jusqu'à mai, l'année prochaine.
10:09Et oui, il faut attendre un petit peu.
10:11Eternel à Indochine, c'est dingue.
10:13Regarde ces groupes qu'on cartonnait il y a 20-25 ans en arrière qui reviennent.
10:17On peut penser à Oasis, on peut penser à Indochine.
10:20Il y a plein de groupes qui reviennent en ce moment.
10:22Comment expliquer ça ? C'est assez étonnant.
10:24Il y a de deux façons.
10:25La première, c'est que je pense que la nostalgie, elle est très présente dans l'esprit des gens qui ont été jeunes comme nous, par exemple,
10:32et puis qui se souviennent avec une certaine émotion de grands moments musicaux.
10:38Et c'est vrai qu'on voit que les cadres agénaires, quinquagénaires et même sexagénaires ont beaucoup, beaucoup d'enthousiasme
10:45à retrouver des groupes avec lesquels ils ont grandi, vécu, aimé.
10:49Et ça, c'est une constante.
10:51Et puis de l'autre côté, l'actualité musicale est tellement énorme, foisonnante,
10:55que quand on ne la suit pas avec attention, on s'y perd un peu.
10:58Donc on a tendance peut-être à aller rechercher ce qu'on connaît bien, ce qu'on maîtrise.
11:02C'est peut-être une des explications.
11:05Pour ce qui est d'Indochine, c'est vrai que c'est un groupe qui a une longévité spectaculaire,
11:08mais qui a toujours extrêmement soigné ses fans, qui est très, très attentif à ça, et ça paye.
11:13Les gens sont fidèles et ils se rendent bien compte qu'il y a un lien particulier entre Nicolas Circus et eux, c'est sûr.
11:19On va ressortir les Dux Martins et se crêper les cheveux, c'est ça ?
11:21C'est ça, absolument.
11:22C'est l'idée.
11:23Il y a Cure qui sort aussi un nouvel album.
11:25Oui, effectivement.
11:26Donc tout le monde est là, filé au poste, au garde-à-vous, prêt à y retourner.
11:31Autre événement, c'est Moby aussi, tout bientôt.
11:34Oui, là aussi, pour le coup, c'est aussi un retour, puisque Moby, on ne l'avait pas vu sur scène depuis plus de dix ans.
11:41Il embarque pour une mini-tournée qui a commencé mercredi soir à Manchester,
11:47et qui ne fait que sept dates en Europe, et qui se termine à Lausanne la semaine prochaine, à la Vaudoise Arena.
11:52On est très fiers et contents d'avoir pu décrocher ça, et on va jouer dans une Vaudoise Arena presque complète.
11:58On est vraiment en train de vendre les derniers billets, donc ça sera très beau,
12:01parce que le but de Moby, c'est de célébrer les 25 ans de Play,
12:04qui est son album qui a fait un petit peu le pont entre la musique électronique et la pop,
12:09et qui est un album jalon, qui a vraiment marqué le coup du tournoi du millénaire.
12:13De nouveau, beaucoup de cadres à Genève et de cacas à Genève qui l'ont beaucoup écouté,
12:16et qui apparemment se prend l'âme.
12:17Ils sont dans la place.
12:18C'est pas mal, et ça s'écoute bien même plus jeune.
12:20Oui, effectivement.
12:21Et puis, un spectacle, je sais que ça, Vincent Sagar, il tient beaucoup, c'est Les Misérables.
12:27Vous savez, on a, depuis une bonne décennie, on travaille d'arrache-pied
12:31à proposer en Suisse romande des comédies musicales anglo-saxonnes,
12:35les musicals de Broadway ou du West End.
12:38On a fait ça avec Mamma Mia, avec Cats, avec West Side Story.
12:41Et puis là, on a la fierté et le plaisir d'accueillir Les Misérables.
12:45Paradoxalement, c'est une comédie musicale française qui est née à la toute fin des années 70,
12:49enfin 1980, à peu près en même temps que Starmania,
12:52qui a eu une belle carrière à Paris, mais très rapide,
12:54et c'est un producteur anglais qui s'appelle Cameron McIntosh,
12:57qui est une légende dans le milieu des comédies musicales,
12:59qui a eu le nez fin en se disant, ça, je vais l'adapter en anglais.
13:02Il en a fait un des plus grands succès, Les Misérables.
13:05Il y a plus de 60 millions de spectateurs depuis 39 ans.
13:07Incroyable.
13:08Ça a joué 100 dans ce qui est tenu à Londres et à New York.
13:10Et puis cette grande tournée, cette nouvelle version du spectacle,
13:13faite pour les grandes salles comme l'Aréna de Genève,
13:15avec plus de 110 personnes en tournée, plus de 80 personnes sur scène,
13:19et ça va être un show spectaculaire.
13:22Ça démarre, la première, c'est en Irlande, ce week-end.
13:25Je pars demain, d'ailleurs, le revoir.
13:27Et je suis très impatient, parce qu'on va pouvoir, pour la première fois,
13:30présenter Les Misérables en version anglaise, en Suisse romande.
13:33C'est pas la version d'origine, mais c'est la plus connue.
13:35Et il y aura un sous-titrage, donc, pour les gens qui sont moins familiers
13:38avec l'anglais, c'est l'occasion de le suivre.
13:40Tout le monde connaît l'histoire de Victor Hugo,
13:42mais c'est l'histoire éternelle du bien et du mal, et de la rédemption.
13:45Et ça s'annonce comme un très, très grand moment,
13:48le 20 octobre, début novembre, à l'Aréna de Genève, cette fois.
13:51– Bon, il y a pas mal de choses, ça n'arrête pas, en fait.
13:54– C'est un peu le problème, c'est qu'on a…
13:57Les artistes ont envie de tourner, les gens ont envie de voir des spectacles.
14:01Et c'est vrai qu'il y a un enthousiasme, une dynamique,
14:04aujourd'hui, autour de l'œuvre culturelle,
14:06qui est spectaculaire, pléthorique, c'est vrai.
14:09Nous, on essaie d'être attentifs à rester dans des proportions raisonnables,
14:13même si la notion de raisonnable, elle est un peu relative.
14:16Mais donc, on propose une cinquantaine d'événements cet automne,
14:19principalement en Suisse romande, mais aussi en Suisse alémanique, à Zurich, notamment.
14:23Et puis, on se fait plaisir.
14:25C'est difficile de… Il faut faire des choix, régulièrement,
14:28on en fait sans arrêt, mais on se fait très plaisir, vraiment,
14:31à proposer ce qui nous semble être le meilleur.
14:33– Un sens à guerre, un homme heureux.
14:35– Ouais, ou pas loin, en tout cas. Maintenant, ça se passe plutôt bien.
14:37– Ça fait plaisir, en tous les cas. Merci beaucoup.
14:39– Merci à vous.
14:40– On rappelle cette exposition titanique à Lausanne,
14:42à partir du 27 septembre jusqu'en janvier.
14:44– Jusqu'au 26 janvier.
14:45– Jusqu'au 26 janvier, c'est immanquable.
14:47– Le prochain, il reste quelques places, on l'a dit.
14:49Les Misérables, du côté de Genève, à l'Aréna.
14:51Et puis, Indochine, avec une troisième date, pour le mois de mai.
14:55– Avec une troisième date, le 14 mai, qu'on met en vente demain matin.
14:58Donc, on verra comment ça se passe.
15:00– Merci, Vincent Sager. – Merci à vous.
15:01– Qu'est-ce qu'on peut vous souhaiter, aujourd'hui ?
15:03– Un automne un peu plus ensoleillé que ce qu'on a eu ces derniers jours.
15:05– Alors, je vous le souhaite, et merci beaucoup. Vous avez passé un bon moment ?
15:07– Excellent.
15:08– Aime le Média ?
15:11Où tu veux.
15:14Quand tu veux.