• il y a 2 mois
Invité de la matinale de Public Sénat, le député du Nord et porte-parole du Rassemblement national Sébastien Chenu a réitéré ne pas vouloir censurer “a priori” le gouvernement Barnier et le placer “sous surveillance”. 

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Transcription
00:00On va parler de l'actualité politique, Michel Barnier qui poursuit ses consultations politiques,
00:04il a vu les chefs de file de la majorité, les leaders de la droite.
00:06Est-ce qu'un entretien avec Marine Le Pen est prévu ?
00:09– Non, je ne crois pas, sauf si le Premier ministre voulait rencontrer
00:13évidemment Marine Le Pen ou Jordane Bardella.
00:15Nous sommes des démocrates, des républicains, lorsqu'on nous demande notre avis, nous venons.
00:21– Et vous ne lui demandez pas un entretien avec Michel Barnier ?
00:23– Non, aujourd'hui nous n'avons pas, nous attendons son discours de politique générale.
00:26Nous l'avons, comme l'a dit Jordane Bardella, elle a répété Marine Le Pen,
00:29nous le plaçons sous surveillance.
00:31Alors c'est assez classique quelque part,
00:33puisque le Parlement surveille, contrôle l'action du gouvernement.
00:38Mais nous, nous allons être très exigeants à partir du moment
00:41où nous avons évité le chaos institutionnel,
00:44en acceptant de ne pas censurer a priori Michel Barnier.
00:48Quelque part, on lui laisse sa chance de changer de cap,
00:52de nous montrer qu'il est capable de changer de logiciel
00:54et de faire évoluer diamétralement la politique menée par Emmanuel Macron.
00:59Nous ne voulons pas sombrer, ou en tous les cas voir le pays sombrer,
01:02dans une crise institutionnelle et démocratique dont nous n'avons pas besoin.
01:06À partir du moment où nous avons accepté de ne pas le censurer immédiatement,
01:10nous allons être évidemment particulièrement exigeants sur la suite
01:13et nous gardons la possibilité de le censurer dans les semaines, les mois qui suivent,
01:18si ce qu'il propose pour notre pays ne nous semble pas aller dans le bon sens.
01:21– Justement.

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