Retrouvez le replay de la quatrième étape du Tour d'Allemagne du 25/08/2024.
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00:00:00Elle est juste avant la finale UTS de Gaëlle Monfils, ça se passe à New York et la coupe
00:00:15d'Europe de basket 3-3 également ça se passe à Vienne avec l'équipe de France
00:00:19féminine qui est en demi-finale, on va suivre ensemble le tour d'Allemagne, la toute dernière
00:00:23étape désormais.
00:00:24Max Federsen qui est donc en tête du classement général, on va retrouver Patrick Chassé,
00:00:28on va retrouver aussi Christophe Riblon qui va enfin pouvoir parler mais avant j'ai une
00:00:32question à vous poser parce que si on fait taire Christophe Riblon pour le moment c'est
00:00:35parce qu'on l'a trop entendu hier et on l'a trop entendu pourquoi ? Parce que vous n'étiez
00:00:38pas là toi Roland, vous étiez où hier ?
00:00:42J'étais du côté des 24 heures du Mans vélo, c'était quand même quelque chose, 650 équipages
00:00:50qui se sont élancés, 3000 participants sur ce circuit qu'on connaît bien, que les coureurs
00:00:56du Région Pays de la Loire-Tour ont escaladé le fameux Dunlop sur ce circuit, c'était extraordinaire !
00:01:02Et alors ça fait quoi de donner le départ, le coup d'envoi ?
00:01:04Honnêtement je m'attendais à quelque chose de grand mais c'était vraiment énorme,
00:01:09beaucoup d'attentes, c'était vraiment sympa et ça donne envie de le faire !
00:01:14Et bien voilà, le rendez-vous est peut-être...
00:01:16Avec Patrick, on va faire une équipe !
00:01:17Bien sûr, c'est des équipes de combien ?
00:01:19On va le faire à deux !
00:01:20On va le faire à 2, à 3, à 6 ?
00:01:23Oui, jusqu'à 8 !
00:01:24Ah bon, Claire peut venir aussi, parfait !
00:01:26Allez, on y va, on est parti !
00:01:27Salut Clésta Frivelon !
00:01:28Bonjour Claire, enfin bonjour à tous !
00:01:31Allez, je vous abandonne, bon com' !
00:01:33Effectivement, on va vivre cette dernière étape.
00:01:36Alors est-ce que cette étape va tout retourner ?
00:01:37Est-ce que les Little Trek, qui ont dominé la compétition depuis le début,
00:01:41puis alors là de quelle façon ? Ils n'ont pas laissé une étape à leurs adversaires ?
00:01:45Même pas une miette !
00:01:46Même pas une miette ! Est-ce qu'ils vont réussir à le faire ?
00:01:48Eh bien, on sera fixé dans deux heures à peu près,
00:01:51une fois que les coureurs en auront terminé de cette étape.
00:01:54Est-ce que cette étape offre des conditions propices à avoir une belle course ?
00:01:59Écoutez, temps idéal, il ne fait même pas 20 degrés là pour l'instant,
00:02:02un vent quand même de 16 km heure.
00:02:04On va voir comment il souffle avec, bien sûr, Pierre Roland.
00:02:08Mais en tout cas, on va voir surtout si on a écouté Christophe Frivelon hier.
00:02:13Parce que là, on a l'échappée du jour qui est dans une belle bosse.
00:02:17Et on a pu trouver parfois sur ces parcours de très belles bosses.
00:02:22Encore faut-il en profiter.
00:02:24Et Christophe Frivelon hier, je le dis pour nos téléspectateurs
00:02:27et accessoirement pour Pierre Roland,
00:02:30n'a pas été tendre avec les adversaires de l'équipe Little Trek
00:02:35en disant que ce n'est pas comme ça qu'on allait gagner.
00:02:38Voilà, en parlant surtout d'ailleurs de l'équipe Borensgrohe.
00:02:44Parce que Red Bull Borensgrohe a longtemps roulé,
00:02:48un petit peu comme la veille déjà, à la poursuite des échappées,
00:02:51ne laissant finalement pas le poids de la course sur les épaules
00:02:54de cette équipe qui rafle tout.
00:02:56Qu'est-ce que vous en pensez, Pierre ?
00:02:58Est-ce qu'on va déjà, selon vous, assister ?
00:03:00Est-ce qu'on a une chance d'assister à un retournement ?
00:03:02Alors déjà, quelque chose qui n'est pas extraordinaire pour la course,
00:03:06c'est que les coureurs ont le vent de face.
00:03:08Donc ça, ça ne favorise pas une course de mouvement,
00:03:12on va dire, en plein milieu d'étapes,
00:03:15comme là, actuellement, dans cette belle bosse.
00:03:18Il va y avoir une autre bosse dans quelques kilomètres.
00:03:21On aurait pu se servir de ces difficultés
00:03:24en plein milieu du parcours pour tenter quelque chose.
00:03:26Mais on va tomber sur des routes avec du vent de face.
00:03:29Donc c'est compliqué de voir une tentative de loin.
00:03:32Donc après, il nous reste quoi ?
00:03:34Il nous reste ce circuit final, urbain,
00:03:36avec cette bosse d'un kilomètre à 6%.
00:03:39Il n'y a que là qu'on peut tenter quelque chose.
00:03:41Mais il faudra tenter quelque chose de manière collective.
00:03:44Une attaque comme Buitrago, seule à 50 km de l'arrivée,
00:03:48c'était hier, c'est impossible.
00:03:50Ça ne peut pas aboutir.
00:03:52Donc il va falloir tenter un coup de force,
00:03:54mais un coup de force collectif.
00:03:56Et peut-être même se mettre à une ou deux équipes
00:03:59pour tenter de déstabiliser la Little Track.
00:04:01Vous y croyez, Christophe Ribland, à la possibilité
00:04:04de tenir compte des échecs des jours précédents
00:04:07pour imaginer, inventer, raconter autre chose aujourd'hui ?
00:04:10J'espère, j'espère en tout cas,
00:04:12parce qu'on a bien vu que ça ne fonctionnait pas la stratégie.
00:04:15Mais bon, regardez, on reprend la même chose
00:04:17et puis on recommence.
00:04:18Regardez la tête de peloton là.
00:04:20Ah, ça y est.
00:04:21Donc, je vais me taire en fait.
00:04:23Je pense que c'est moi qui ai tort, je pense.
00:04:26On va les laisser faire.
00:04:28Voilà ma réponse, Patrick.
00:04:30On va les laisser faire, on va voir ce qu'ils nous proposent.
00:04:32Effectivement, pendant 75 kilomètres...
00:04:35Pardon ?
00:04:36Non, mais il va falloir.
00:04:38Non, mais oui, pourquoi il roule ?
00:04:40Parce que...
00:04:41Pourquoi roule l'équipe Red Bull Bora Antigua ?
00:04:44C'est ce que vous dites, le deuxième et troisième du général.
00:04:47Non, mais il y en a un qui est classé devant au général à 29 secondes.
00:04:50Mais une fois de plus...
00:04:53Ouais, une fois de plus, moi j'aurais laissé travailler la Little Track.
00:04:56Maintenant, voilà, il y a certainement d'autres stratégies
00:04:59en place dans les voitures.
00:05:01Moi, je n'ai pas la réponse à pourquoi on continue
00:05:03sur la même stratégie que les autres jours
00:05:04alors que tous les autres jours, on s'est fait battre.
00:05:06On joue placé.
00:05:07Je ne sais pas, si on joue placé ou...
00:05:09En tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'à faire comme ça,
00:05:10on va encore arriver sur le cercle final groupé
00:05:12en ayant aidé la Little Track.
00:05:14Et là, je pense que ce sera compliqué d'aller distancer
00:05:17Mats Pedersen et peut-être même Jonathan Wilhelm.
00:05:21On revient sur cette échappée devant.
00:05:23Bon, une échappée comme on en a vu beaucoup
00:05:26au cours de ces derniers jours,
00:05:28avec quand même la présence de World Team aux avant-postes.
00:05:30On a vu un coureur de Movistar qui était en première position
00:05:35et un coureur de Bahrein dans son sillage.
00:05:38Donc, deux coureurs qui sont là.
00:05:40Pourquoi d'ailleurs ?
00:05:41Pour sauver là aussi ?
00:05:42Pour sauver ce qui peut...
00:05:43Alors, attendez.
00:05:44Il y a des coureurs en difficulté là.
00:05:45Le Neumann, là, qui est en difficulté.
00:05:47On voit, il est tombé.
00:05:48On voit ses pansements là.
00:05:49En plus, il a dû tomber pendant l'étape
00:05:50parce que, vu les pansements qu'il a,
00:05:52ce ne sont pas des pansements qui ont été faits au départ.
00:05:55On voit que ça a été...
00:05:56C'est des pansements un peu bricoles.
00:05:57C'est des pansements faits comme on peut.
00:05:59Allez, va vite.
00:06:01Et on voit ici le peloton
00:06:04avec Ethan Haïter,
00:06:07maillot de champion de Grande-Bretagne sur les épaules.
00:06:11Alors, cette équipe Ineos,
00:06:12écoutez, tout repose sur lui en quelque sorte.
00:06:14En tout cas, en ce qui concerne le classement général,
00:06:16mais aussi en ce qui concerne l'étape.
00:06:17Et puis, on a vu hier,
00:06:18cette équipe perd quand même nombre de ses éléments avant la fin,
00:06:21à commencer par le sprinter Elia Viviani.
00:06:23C'est la raison pour laquelle je dis
00:06:24que tout repose sur Haïter.
00:06:26En tout cas, c'est l'impression
00:06:27qu'on a eue au cours de cette étape.
00:06:30De cette semaine.
00:06:32Mais au moins, eux sont tous là.
00:06:34Alors qu'il y a eu des abandons dans d'autres formations.
00:06:37Soudal Quick-Step a perdu Jordi Warlop.
00:06:41Même l'équipe Little Track a perdu un coureur.
00:06:44A perdu Alex Kirsch.
00:06:46On a eu comme abandon,
00:06:49qu'est-ce qu'on peut signaler chez Movistar, justement,
00:06:51puisqu'ils sont représentés à l'avant.
00:06:52On a perdu Antonio Pedrero.
00:06:54Ça, c'était lors de la deuxième étape.
00:06:57Chez Visma, on a perdu...
00:07:00Enfin, il n'a pas pris le départ.
00:07:01C'était Johannes Stoen-Mittet.
00:07:03Donc, vous voyez qu'il y a beaucoup d'équipes.
00:07:04Astana a perdu deux coureurs, Fedorov et Gidic.
00:07:06Il y a beaucoup d'équipes qui ont perdu des éléments.
00:07:09Tudor a perdu Zeilhardt,
00:07:10qui avait pourtant bien brillé lors du prologue le premier jour.
00:07:16Cette course n'aura pas été de tout repos.
00:07:18Ça, on en est certain.
00:07:19Hier, il y avait un abandon aussi
00:07:20d'Anthony Turgis pendant l'étape.
00:07:22Et puis, on peut citer aussi Fonsegou de Q36.5
00:07:26et Letao de Karawal.
00:07:28Donc, l'établissage a fait quand même du dégât.
00:07:31Et puis là, on voit que celle-là aussi,
00:07:33elle est en train de faire du dégât.
00:07:35Parce que 73 kilomètres de l'arrivée,
00:07:37on a pas mal de coureurs en difficulté sur la vue que nous avions.
00:07:45On le voit affiché, c'est Bobby Ingles.
00:07:47Comme hier, qui roule pour la Red Bull Borens.
00:07:56On se ravitaille, on se ravitaille.
00:07:59On voit beaucoup d'équipes qui ont posté des assistants
00:08:03pour rester hydratés, bien s'alimenter.
00:08:11Et à l'arrière du peloton,
00:08:12c'est pas la même course.
00:08:13Il y a des coureurs.
00:08:14C'est Jonathan Milan qui est à l'arrière là
00:08:17et qui ne sent pas au mieux.
00:08:19C'est un peu la même course.
00:08:21C'est un peu la même course.
00:08:22C'est un peu la même course.
00:08:23C'est un peu la même course.
00:08:24C'est un peu la même course.
00:08:25Il sent pas au mieux.
00:08:26C'est pas volontaire le fait qu'il soit là.
00:08:30Apparemment, on lui dit dans le casque
00:08:32qu'il aurait déjà été distancé en début d'étape
00:08:35dans une ascension.
00:08:37Au départ, on avait des ascensions longues.
00:08:39La première ascension faisait 5,2 km à plus de 7%.
00:08:44Le sommet était au kilomètre 31.
00:08:46Donc c'est clair que ça, ça lui va pas bien à Jonathan Milan.
00:08:49Et là, on voit que le tempo imposé par Bobby Ingles
00:08:52est à nouveau en train de lui faire mal.
00:08:55On joue la course.
00:08:56On joue la course.
00:09:10Allez, le porteur du maillot vert, Jonathan Milan,
00:09:12qui a été l'homme de ce tour d'Allemagne,
00:09:14même s'il n'est pas le leader de la course,
00:09:16il a quand même remporté trois étapes.
00:09:19Là, il est à l'arrière de ce peloton.
00:09:22Est-ce qu'il se désintéresse de la course ?
00:09:24son directeur sportif
00:09:26on ne se méfie pas trop pour l'instant à 70 km de l'arrivée
00:09:29apparemment
00:09:32mais il va sûrement remonter
00:09:35dans des...
00:09:38à des hauteurs du peloton moins dangereuses quand même
00:09:41il va remonter là, il n'y a aucun doute
00:09:44surtout que là on a passé pas mal de difficultés
00:09:47ça va être de nouveau complètement plat
00:09:50mais il recule, il recule dans les bosses, donc ça on a l'information
00:09:54et il y a une belle bosse qui va arriver d'ici
00:09:57une vingtaine de kilomètres
00:09:58donc est-ce qu'on va se servir de cette difficulté pour essayer de l'écarter complètement
00:10:02on va peut-être écarter Milan, mais Pedersen c'est pas le même
00:10:06c'est pas tout à fait le même style de coureur, il grimpe beaucoup mieux
00:10:09il passe ses ascensions assez facilement, Max Pedersen
00:10:14et devant Welscheid
00:10:16il profite de ce faux plat descendant pour prendre un maximum de vitesse
00:10:21coureur, équipe, équipe d'Allemagne
00:10:29je pense qu'on a compris dans l'échappée que
00:10:31clairement dans le peloton on avait accéléré, on était en train de leur reprendre du temps
00:10:34donc tout simplement on entame le bras de fer
00:10:38entre l'échappée et le peloton
00:10:39et là on va avoir une grosse transition quand même pendant quelques 20 kilomètres
00:10:44aucune difficulté sur le parcours contrairement à ce que vous avez vu au début
00:10:49sur ces premières images, on revoit le parcours
00:10:52et pour l'instant on est justement entre le deuxième et le troisième
00:10:57grimpeur de cette dernière étape
00:11:01avec je vous le rappelle
00:11:04les deux représentants des World Team dans l'échappée
00:11:07Javier Romo et Alberto Brutomesso
00:11:11un espagnol et un italien
00:11:12Max Walscheid, c'est l'allemand de la sélection germanique
00:11:18et puis également Oliver Matthys de la formation Bikehead
00:11:25et enfin un troisième allemand dans cette échappée
00:11:32il s'agit de Hubertz
00:11:34je ne sais pas si on peut remettre le graphique
00:11:38mais si on veut vraiment mettre en difficulté cette équipe Littletrack
00:11:43c'est ici, au niveau du dernier classement de la montagne
00:11:46ces trois bosses, vous voyez il y a le dernier classement de la montagne
00:11:49après il y a un sprint qui distribue juste des points mais pas de bonus
00:11:53ces trois bosses là, il faut s'en servir comme d'un vrai tremplin
00:11:56pour les coureurs comme Buitrago, comme Ryan Hirschi de l'AIF
00:12:01Bisséguerre de l'AIF
00:12:04c'est vraiment un endroit hyper stratégique
00:12:07si on veut, si on espère, si on imagine
00:12:10tenter de déstabiliser la Littletrack, c'est à ce moment là qu'il faudra le faire
00:12:13et ne pas se servir, ce sera trop tard si on attend les deux bosses sur le circuit
00:12:17la bosse du circuit plus exactement
00:12:20si vraiment on s'y prend du pied jusqu'en haut et à deux reprises
00:12:24on va lâcher peut-être un coureur comme Milan
00:12:26s'il est encore présent, mais on ne lâchera jamais Pedersen
00:12:29il est capable de suivre
00:12:30il y en a un qui nous a fait forte impression toute la semaine
00:12:33et puis la semaine dernière aussi autour de Pologne
00:12:36c'est Archi Ryan de l'AIF
00:12:39il a un punch, il est redoutable, du haut de ses 52 kg
00:12:44c'est peut-être le client
00:12:46Pologne, Pologne
00:13:04ah voilà, le classement des coureurs de l'AIF qui s'incrustent
00:13:07avec Archi Ryan qui a 21s6
00:13:11Stéphane Bisseguer 6e
00:13:14Et Rutsch, l'Allemand, à 33 secondes, lui aussi très remuant, un coureur qui n'hésite pas à passer à l'attaque.
00:13:22Donc certainement lui qui va peut-être déclencher le premier, emboîté par Visseger et Archi.
00:13:31En tout cas, ce qui est intéressant sur la stratégie de course que tu évoquais Pierre,
00:13:34c'est que contrairement à hier, si Buitrago a les mêmes jambes qu'hier,
00:13:39s'il arrive à s'isoler à l'avant, là la différence c'est qu'il a un équipier devant.
00:13:44Et ça, c'est quand même pas anodin.
00:13:47Donc à voir pourquoi on a mis un homme à l'avant du côté de l'équipe Bahrein,
00:13:51mais c'est peut-être pour tenter la même chose qu'hier, mais pouvoir aider Buitrago dans son aventure.
00:13:57Parce qu'on rappelle quand même qu'hier, Buitrago, ça a été l'homme du jour.
00:14:00Il s'est échappé à 67 kilomètres de l'arrivée.
00:14:04Il a mis 26, 27 kilomètres à retrouver l'échappée devant.
00:14:10Il a comblé à peu près 1 minute 45 de retard sur cette échappée,
00:14:14au moment où c'était le retard du peloton, au moment où il en est sorti.
00:14:18Ça a provoqué un beau mouvement d'ailleurs dans ce peloton.
00:14:21D'autres ont essayé de venir le rejoindre.
00:14:24Faust Thomas Nada notamment, en vain, qui est venu un petit peu s'échouer dans cette poursuite à quelques secondes.
00:14:32Et finalement, à l'arrivée, Buitrago, il a été repris comme les autres échappés.
00:14:37Il n'a rien gagné du tout dans cette aventure, si ce n'était probablement des jambes bien lourdes le soir.
00:14:42Il est très heureux, Buitrago.
00:14:43C'est clairement, avec Ryan Archie, pour moi, les deux meilleurs punchers, grimpeurs du Tour d'Allemagne.
00:14:52Après, ils n'ont pas forcément un profil adéquat.
00:14:56C'est quand même assez compliqué de s'exprimer.
00:14:59Mais hier, Buitrago, il s'est clairement épuisé tout seul.
00:15:03C'est un sport individuel, mais qui se court en équipe.
00:15:06Et là, on a l'impression, du côté de cette équipe à Rennes, c'est qu'on manquait de stratégie.
00:15:12On a envoyé Buitrago, parce que c'est tout simplement le plus fort.
00:15:15Il a réussi à s'isoler et à faire un numéro pour rentrer sur l'échappé.
00:15:18Mais là, comme l'a relevé Christophe, aujourd'hui, la donne est différente.
00:15:22Avec un équipier à l'avant, s'il arrive à s'isoler, il va avoir du monde pour l'aider.
00:15:29Et après, sur le circuit final, ça va aller très vite.
00:15:31Circuit final, dix virages, ça monte, ça descend en ville.
00:15:34Très, très technique.
00:15:36Et si on est tout seul, on ne va pas perdre énormément de temps sur un peloton, même s'il est bien organisé.
00:15:39Pour l'instant, le peloton, justement, il est organisé.
00:15:44Est-ce que c'est efficace ?
00:15:45De toute façon, à 66 kilomètres, l'urgence, ce n'est pas de reprendre les six hommes qui sont actuellement aux avant-postes.
00:15:52Les six, ça y est. Pourquoi je veux qu'ils soient six ?
00:15:55Moi, à chaque fois, ils ne sont que cinq.
00:15:57Ils sont cinq.
00:15:58N'oublions pas quand même que le plus dangereux, c'est l'Espagnol Javier Romo, qui est à 29 secondes.
00:16:03Oliver Matheis de Bikehead est à 34 secondes.
00:16:05Ce sont les deux coureurs qui, on va dire, présentent une menace.
00:16:09En tout cas, le coureur de Movistar est actuellement virtuel, leader de la course.
00:16:13Mais c'est encore à 65 kilomètres de l'arrivée.
00:16:15On fait un point juste après une page de publicité.
00:16:21Alors, qui possède trois minutes d'avance à 60 kilomètres de l'arrivée.
00:16:25Nous sommes en compagnie de Pierre Roland et de Christophe Riblon.
00:16:29Et on va vivre, effectivement, le dénouement de ce Tour d'Allemagne.
00:16:33Pour l'instant, c'est un dénouement qui semble écrit d'avance.
00:16:36On vous le dit tout de suite, puisque l'équipe Little Trek a la maîtrise de l'échappée.
00:16:41L'échappée, quand on dit qu'elle a la maîtrise, c'est-à-dire qu'elle contrôle cette échappée.
00:16:44Cette échappée, oui, possède deux coureurs qui sont à moins d'une minute et même à moins de 40 secondes du leader de la course.
00:16:52Mais on voit bien quand même qu'on est bien organisé en tête de ce peloton.
00:16:55Et surtout, Mads Pedersen peut compter sur la présence d'équipiers pour rouler.
00:17:02Mais surtout, il peut compter aussi sur la présence d'autres formations qui roulent à leur côté.
00:17:06C'est ce qui énerve, depuis au moins 48 heures, notre consultant Christophe Riblon.
00:17:12Ça énerve aussi Pierre Roland. Il est même parti hier prendre le verre, un peu, parce que ça l'a gassé.
00:17:17Mais il est revenu aujourd'hui pour voir si ça avait changé.
00:17:19Vous le vivez bien. Vous n'êtes pas d'accord, alors, en quelque sorte.
00:17:23Non, sérieusement, Christophe Riblon, il faut expliquer peut-être ce qui s'est passé ces deux derniers jours.
00:17:27Pour qu'on comprenne bien, effectivement, cette échappée devant.
00:17:31On aurait pu, d'ailleurs, choisir de placer un équipier aux avant-postes dans cette échappée.
00:17:37Là, on pense bien sûr aux équipes qui peuvent encore jouer un rôle au classement général.
00:17:43Et on pense surtout à la formation Red Bull Borehandsgrohe, qui est ici chez elle,
00:17:48qui a absolument envie de regagner ce Tour d'Allemagne,
00:17:51comme elle l'avait fait il y a quelques années avec Nils Polit.
00:17:55Mais là, on n'en prend pas le chemin.
00:17:56On a choisi de se détourner déjà de cette échappée.
00:18:00Alors que d'autres, on a un petit problème de HF, un petit problème de liaison.
00:18:04Mais on va retrouver les coureurs dans quelques instants.
00:18:07Je l'espère, une fois que ce problème sera réglé.
00:18:09Vous voulez détailler quand même un petit peu ?
00:18:11Vous auriez mis un coureur dans l'échappée aujourd'hui ?
00:18:12Non, non, non. En fait, après, la stratégie, mettre un coureur dans l'échappée, pourquoi pas ?
00:18:17Oui, je l'ai dit tout à l'heure, ça peut servir comme un coureur comme Butrago.
00:18:21Et je pense que Bahrain a bien joué.
00:18:22Non, non, moi, ce qui m'agace grandement, et je l'ai dit hier en conclusion,
00:18:26c'est que j'ai le sentiment qu'on roule avec l'équipe Littletrack plutôt que de courir contre elle.
00:18:32En fait, on a bien vu que depuis le début, ils sont ultra dominateurs.
00:18:35Ils ont gagné toutes les étapes, que ce soit sur le prologue.
00:18:37En plus, avec deux coureurs différents, Milan et Pedersen, ils ont une équipe assez forte.
00:18:42Et en fait, ce que je trouve dommage, c'est qu'à chaque fois, on vient les aider à rouler,
00:18:47alors qu'on pourrait les laisser rouler et s'épuiser.
00:18:51Et ça permettrait peut-être que sur le final, on retrouve Pedersen et Milan un petit peu isolés.
00:18:56Là, aujourd'hui, on a la chance, enfin entre guillemets, si on est adversaire de l'équipe Littletrack,
00:19:01on a la chance d'avoir un coureur devant qui est à 29 secondes.
00:19:04Si je ne me trompe pas, le coureur de l'équipe Movistar, Ravier Romo, c'est ça, il est à 29 secondes.
00:19:10Donc, en fait, ça veut dire que l'équipe Littletrack est obligée de rouler.
00:19:12Elle est obligée de rouler et de rouler fort, c'est-à-dire de maintenir un écart assez proche.
00:19:16Elle ne peut pas laisser s'échapper.
00:19:18Donc, c'est-à-dire qu'ils sont dans l'obligation de travailler et dans ce travail-là, on vient les aider.
00:19:24Je trouve que c'est dommage.
00:19:26On a vu qu'hier, cette stratégie-là ne fonctionnait pas.
00:19:28Je ne vois pas pourquoi l'équipe Red Bull-Borensbreu roule encore aujourd'hui.
00:19:32Alors, hier, en plus, il y avait plus d'équipes.
00:19:34Hier, on avait l'équipe Uno-X aussi, on avait même l'équipe Ineos qui est venue rouler.
00:19:38Je crois même que la Visma a mis un coureur à un moment donné.
00:19:41Donc, hier, il y avait encore plus d'équipes qui sont venues aider l'équipe Littletrack.
00:19:45Donc, je pense que tout le monde avait hier une stratégie bien définie.
00:19:47On a vu que ça n'a pas fonctionné hier.
00:19:49Donc, il y a des équipes aujourd'hui qui sont plus en retrait.
00:19:51Effectivement, l'équipe Ineos ne roule pas, l'équipe Uno-X ne roule pas,
00:19:55l'équipe Visma non plus ne roule pas.
00:19:57Donc, eux, je pense qu'ils ont compris que s'ils adoptaient la même stratégie qu'hier,
00:20:01ils allaient perdre.
00:20:02Par contre, l'équipe Red Bull-Borensbreu continue, elle, sur la même démarche que les autres jours.
00:20:08Et je trouve que ce n'est pas judicieux.
00:20:11Je trouve clairement qu'on n'a pas appris des jours précédents
00:20:14et que là, si on continue comme ça, on va se diriger vers le même scénario qu'hier,
00:20:18qu'avant-hier, qu'avant-avant-hier.
00:20:21On va voir, je peux me tromper, mais en tout cas,
00:20:24là, clairement, je ne vois pas quel est l'intérêt de faire rouler Bob Jungels
00:20:28aux côtés de l'équipe Littletrack.
00:20:29D'autant plus que la Littletrack, ils ont perdu un coureur.
00:20:31Ils ne sont plus que cinq.
00:20:33Alex Kirsch n'est plus là.
00:20:34Donc, ça veut dire qu'ils se sont diminués.
00:20:36Et on a vu que Jonathan Milan, dès que la route s'élève, il n'est pas au mieux.
00:20:39Donc, en plus, on pourrait rapidement retrouver une Littletrack affaiblie et en difficulté.
00:20:43C'est peut-être ça, finalement, qui est le plus notable.
00:20:46C'est qu'on pourrait être impressionné par l'hégémonie de cette équipe.
00:20:51Avec le numéro qu'ont réalisé Jonathan Milan et Matt Spedersen,
00:20:56bien sûr, avec leurs équipiers, le concours de leurs équipiers,
00:20:58on pourrait tout simplement se dire, bon, ben, voilà, ils sont imbattables
00:21:01et on va jouer placé, on va aller chercher les miettes.
00:21:04Mais on a vu, notamment lors de la première étape en ligne,
00:21:07sur une phase de course intéressante dans le final,
00:21:10que pendant un bon moment, eh bien, il n'y avait pas de Littletrack aux avant-postes,
00:21:14parce que Jonathan Milan était, on l'a vu encore, en difficulté
00:21:18quand c'était avant-hier, je ne me souviens plus.
00:21:22Il faudrait se faire distancer et rétablir ensuite, certes, une situation compromise,
00:21:27mais retourner une situation compromise, peut-être aussi,
00:21:31parce que, tout simplement, devant, les échappés ne s'entendaient pas bien,
00:21:35que derrière, on avait encore des soutiens pour revenir.
00:21:37Bref, on n'a peut-être pas exploité ces faiblesses intrinsèques de Jonathan Milan,
00:21:43qui est un homme massif sur son vélo et qui passe moins bien les bosses,
00:21:48évidemment, que d'autres coureurs, comme, je ne sais pas moi,
00:21:52comme Bouy Trago l'a montré, par exemple, hier, pour Barrail,
00:21:56ou même comme Van Poppel a pu le montrer, ou bien Marco Allaire.
00:22:01Je ne sais pas si vous vous souvenez, et je pense que ça va...
00:22:04Christophe, ça va lui revenir rapidement,
00:22:07mais l'année dernière, l'équipe Boras, entre le Tour d'Allemagne
00:22:11et le Tour de Grande-Bretagne qu'on a commenté,
00:22:14ils nous avaient régalé de stratégies entre Van Poppel et Bennett, à l'époque.
00:22:20Van Poppel, il disait toujours, je vais rouler pour Bennett,
00:22:22alors que Bennett, l'année dernière, il n'était pas dans une bonne spirale.
00:22:26Depuis qu'il a rejoint Descathlon à Jeux des Arts, ça va beaucoup mieux,
00:22:28mais il ne faisait plus un sprint.
00:22:30Ah oui, d'accord, en gros, vous dites que c'était du second degré.
00:22:32Il faisait n'importe quoi.
00:22:33Oui, oui, il faisait n'importe quoi.
00:22:35Vous dites qu'ils nous avaient régalé avec leur stratégie.
00:22:37J'étais en train de me demander ce que vous vous aviez dit.
00:22:40Et dans les interviews, c'était pareil.
00:22:42On ne savait pas s'ils voulaient nous embrouiller après sur le vélo.
00:22:45C'était complètement différent.
00:22:48Et là, c'est la même chose.
00:22:49Van Poppel, il va essayer d'aller faire la bonif à 4 km de l'arrivée
00:22:53et ça va être Meus qui va aller faire le sprint.
00:22:56Je pense qu'on joue sur deux tableaux et voilà, on joue peut-être perdant,
00:23:01on joue peut-être l'étape.
00:23:02On a compris que le général, c'était compliqué,
00:23:05que deuxième ou troisième, c'était déjà très bien avec Van Poppel.
00:23:09Je pense qu'on va faire ça.
00:23:10On va peut-être essayer dans ces trois bosses que j'ai montrées tout à l'heure
00:23:16de tenter quelque chose.
00:23:17Ça va venir vite. Dans 10 km, on va être fixé.
00:23:20Mais je ne vois pas Bora tenter ça bizarrement.
00:23:22Je vois plus l'AIF ou Udoix ou Buitrago en solo avec un équipier devant.
00:23:29Mais je pense que du côté de la Bora, tout simplement,
00:23:32on est content d'un podium et d'essayer d'aller jouer l'étape avec Jordi Meus.
00:23:36En tout cas, du côté de l'équipe Red Bull,
00:23:39on roule pour essayer de créer une arrivale sprintée.
00:23:44On pense qu'on va pouvoir battre et Pedersen et Jonathan Miland.
00:23:47Clairement, je le signe là.
00:23:49Maintenant, tout de suite, on n'arrivera pas à les battre.
00:23:51C'est sûr, certains à la pédale, on l'a bien vu,
00:23:53qu'ils étaient clairement au-dessus.
00:23:56Je vous rappelle qu'on prend la direction de Saarbrück aujourd'hui,
00:23:59non loin de la frontière française pour vivre l'épilogue de ce Tour d'Allemagne.
00:24:06C'est une épreuve qui existe depuis très longtemps,
00:24:09qui existe depuis les années 10 du siècle dernier.
00:24:11C'est vous dire s'il y a une longue tradition.
00:24:13Mais il y a eu aussi de nombreuses interruptions la dernière en date.
00:24:17Eh bien, c'était il n'y a pas si longtemps.
00:24:20C'était au cœur des années de plomb du vélo, comme on les appelle,
00:24:23les années d'opage qui avaient entaché la réputation des équipes allemandes
00:24:28et qui avaient découragé les sponsors,
00:24:29mais aussi la télévision nationale allemande de diffuser cette épreuve.
00:24:35Et puis finalement, en 2018, avec le concours d'Amorisport Organisation,
00:24:39cette course est réapparue à nouveau et propose un format différent,
00:24:45un format de cinq jours de course, un prologue plus quatre étapes en ligne,
00:24:49un format un peu moins montagneux et puis un peu moins,
00:24:51je dirais sur le plan géographique, moins varié,
00:24:54puisque chaque année, on reste finalement dans un seul et même secteur,
00:24:57parfois dans un seul land ou deux,
00:25:02et on se contente d'explorer un petit peu cette région.
00:25:05On change de région chaque année,
00:25:07ce qui est une façon de voir les choses pour ce tour d'Allemagne tout à fait originale
00:25:10et parfois assez...
00:25:12En tout cas, on ne peut pas se familiariser effectivement avec des endroits emblématiques.
00:25:17Alors, ce 7 échappé pour l'instant, eh bien, gère cet écart,
00:25:21un écart qui était supérieur à trois minutes
00:25:24et qui est passé en dessous des trois minutes désormais,
00:25:26avec Javier Romo le coureur que vous voyez fouiller dans sa poche ici au premier plan,
00:25:31qui est le mieux placé de cet échappé, Javier Romo,
00:25:34qui est à 29 secondes au classement général.
00:25:37C'est un coureur qui est toujours en quête d'un premier succès chez les pros,
00:25:40alors qu'il était passé, précisément, professionnel en 2021 chez Astana.
00:25:45Il n'a rejoint cette équipe Movistar que depuis le début de l'année.
00:25:48On était dans une zone de collecte, ne vous inquiétez pas.
00:25:51Vous avez vu les coureurs se débarrasser de tous leurs déchets.
00:25:55Il y a quelques zones comme ça par étape.
00:25:57Tout va être ramassé par l'organisateur.
00:25:59On voit Vax Valscheid qui est venu parler à ce coureur.
00:26:03Valscheid qui court habituellement chez Jaiko Ayloula.
00:26:07Il sera encore dans cette équipe d'ailleurs l'année prochaine.
00:26:09Nous, on le connaît bien parce qu'il a couru en France
00:26:11chez Cofidis pendant deux saisons.
00:26:15C'est un coureur qui avait remporté le Tour de Mainz d'Air en 2018
00:26:19et en France, qui s'était imposé dans le Grand Prix de Denain.
00:26:22C'était il y a deux ans.
00:26:26On a l'équipe Soudal Quick-Step qui vient rouler maintenant
00:26:30avec Peter Selye.
00:26:34Cette équipe qui a deux coureurs classés dans le top 10 du Général.
00:26:38Avec Luc Lamperty qui s'est replacé hier par le biais d'une bonification
00:26:45du sprint bonus en 7ème position.
00:26:49Et Gilles Gelders, le jeune Belge qui lui occupe la 9ème place.
00:26:567ème et 9ème chez Soudal Quick-Step.
00:27:00Cette équipe qui n'a plus tout à fait les mêmes victoires que par le passé
00:27:04mais qui reste quand même une équipe bien sûr très compétitive.
00:27:07On parlait de coureurs compétitifs.
00:27:11Je regardais le nombre de victoires de Lidl Trek depuis le début de la saison.
00:27:1537 victoires, ce qui fait de cette équipe la deuxième la plus prolifique.
00:27:19La première étant à des sommets inatteignables.
00:27:24Bien sûr la formation UAE, parce que je crois qu'ils doivent en être à 65 victoires.
00:27:28Bogacar en a peut-être 37 aussi non ?
00:27:31Bogacar en a 20 je crois.
00:27:33On va plutôt s'attarder sur les équipes qui sont présentes sur ce tour d'Allemagne.
00:27:40Lidl Trek, justement je regardais sur les 37 victoires,
00:27:46Mats Pedersen en a gagné 9.
00:27:49Jonathan Milad ? Il en a gagné 9 aussi.
00:27:52Celui qui gagne aujourd'hui des deux, parce qu'on n'ose pas imaginer.
00:27:55Pourquoi imaginerait-on que quelqu'un d'autre gagne une étape aujourd'hui ?
00:27:57Aujourd'hui on va faire pour Pedersen.
00:27:59Et vous avez commenté le tour de Pologne ?
00:28:02Non vous ne l'avez pas commenté le tour de Pologne.
00:28:04Vous avez juste regardé comme nous le tour de Pologne cette semaine.
00:28:07Il y avait Nays qui était présent sur ce tour d'Allemagne.
00:28:10Thibaut Nays, notre victoire lui aussi.
00:28:12Très efficient, il a repris comme Romandie.
00:28:14Il a repris en fin avril, c'est peut-être là la performance.
00:28:19Parce que Mats Pedersen fin février il avait déjà 5 victoires.
00:28:22Donc les séries on est habitué.
00:28:24Parce que Thibaut Nays il avait gagné 3 étapes sur le tour de Pologne.
00:28:27Un petit peu comme l'a fait Jonathan Milad sur ce tour d'Allemagne.
00:28:32Mats Pedersen il avait fait des séries.
00:28:37Alors Nays il avait fait une série également sur le tour de Hongrie.
00:28:40Et Mats Pedersen rappelez-vous il avait fait une série sur le tour de la Provence.
00:28:443 étapes et le général.
00:28:49Donc ça marche souvent comme ça.
00:28:51Cette équipe dont nos consultants pensent du bien.
00:28:54Puisque la semaine dernière lors du tour du Limousin.
00:28:57Je me souviens qu'au tour de Claire Brécogne.
00:28:58Claire avait posé la question à Cyril Guimard qu'on salue au passage.
00:29:02Et à Pierre Roland où devriez-vous, à ce moment-là on n'était pas encore fixé.
00:29:06Où verriez-vous Julien Laphilippe signer la saison prochaine dans le choix du coeur.
00:29:14Et pas dans le choix de la raison aussi.
00:29:15Mais en tout cas dans un choix qui n'était pas forcément le plus envisagé.
00:29:20Par les rumeurs.
00:29:21Et vous aviez il me semble cité tous les deux cette équipe Lidl Trek.
00:29:25J'étais étrangement d'accord oui.
00:29:27Sans vous être concerté.
00:29:31En plus nous on préfère quand nos consultants ne sont pas d'accord.
00:29:34Et c'est vrai qu'en arrivant sur place ici.
00:29:39Juste avant le com on nous a dit vous êtes d'accord donc il faudrait qu'on ait un nom.
00:29:44Ben non.
00:29:45Donc voilà Lidl Trek.
00:29:46Pourquoi Lidl Trek ?
00:29:47Parce que Lidl Trek en quelque sorte c'est Quickstep dit.
00:29:53C'est la nouvelle Quickstep.
00:29:56En adoptant à peu près les mêmes codes dans la façon de rouler, de courir, de disputer des courses.
00:30:03Et encore ils ont une palette peut-être encore plus complète que Quickstep à la grande époque.
00:30:09Qui eux visaient principalement des victoires d'étape.
00:30:13Les classiques aussi bien Ardennes, Flandriennes.
00:30:15Dès qu'il y avait une course ils en gagnaient avec une pléthore.
00:30:20Il y a une année il me semble qu'il n'y avait qu'un coureur ou deux de l'équipe qui n'avait pas remporté de victoire.
00:30:25Dans la saison exceptionnelle ça veut dire qu'on faisait tourner les victoires.
00:30:29Là ils ont dix vainqueurs différents cette saison chez Lidl Trek.
00:30:33Et chez Lidl Trek il y a aussi Skelmoze, il y a des coureurs.
00:30:37Il y a Tao Gegenhardt même s'il n'a pas encore trouvé Ciccone.
00:30:40Il y a des coureurs de courses à étapes.
00:30:42Mais ils ont cet ADN de la victoire.
00:30:45Et en fait la victoire appelle la victoire.
00:30:48Et on va en imaginer parfaitement aussi bien Cyril que moi-même.
00:30:53Julien au milieu de cette équipe a retrouvé l'instinct de gagner.
00:30:59Parce que le copain qui gagne ça donne envie de faire pareil.
00:31:01Il y a une dynamique.
00:31:03Et c'est complètement ça en voie.
00:31:054 sur 4 cette semaine.
00:31:07Oui mais contrairement à vous.
00:31:09Peut-être que Julien est visionnaire.
00:31:11Mais parce que Lidl Trek est au sommet en ce moment cette équipe.
00:31:16Julien a choisi peut-être Tudor.
00:31:18La formation suisse Tudor.
00:31:21Parce que Tudor sera peut-être l'année prochaine ou dans deux ans la nouvelle Lidl Trek de 2024.
00:31:29C'est fort probable.
00:31:31C'est possible.
00:31:33On sait que c'est assez cyclique.
00:31:35Il y a des équipes qui dominent pendant un an, deux ans ou quelques années même.
00:31:37Trois, quatre ans.
00:31:39Et après c'est une autre équipe qui arrive.
00:31:41Il y a eu Sky pendant une période qui avait la main mise sur les courses à étapes.
00:31:43Après il y a eu Astana qui est arrivé avec Nibali.
00:31:47Ainsi de suite.
00:31:49UAE, Jumbo.
00:31:51Peut-être qu'en un ou deux ans, autour de Renko et Venepool,
00:31:55il y aura Sudal Quickstep qui sera complètement devenu une équipe de courses à étapes.
00:32:01Qui aura complètement changé de registre.
00:32:03On ne sait pas.
00:32:05Et peut-être que la Tudor sera le nouvel épouvantail des classiques.
00:32:13Allez, on revient sur cette échappée.
00:32:15Échappée de cinq coureurs avec un écart qui se maintient.
00:32:18Et si on revient sur cette échappée, c'est parce qu'on va bientôt arriver au pied de...
00:32:20Vous vous rappelez tout à l'heure,
00:32:22Pierre Roland nous disait,
00:32:24ça doit se jouer dans un secteur
00:32:26où il y a un enchaînement de trois côtes.
00:32:28Trois côtes, trois descentes.
00:32:30Et bien on va arriver au pied de la première de ces trois côtes.
00:32:32Dont une seule est répertoriée.
00:32:34Pas celle que les coureurs vont aborder maintenant.
00:32:36Qui n'est à mon avis pas la plus difficile.
00:32:38En tout cas sur le graphique qui nous est donné,
00:32:40ça ne semble pas être le cas.
00:32:42Mais la suivante, qui d'ailleurs est répertoriée.
00:32:44La côte d'Homme Shine.
00:32:47Et puis encore une fois, il y en aura une troisième
00:32:49qui a l'air aussi assez intéressante.
00:32:51Et tout cela va se passer
00:32:53entre le...
00:32:55Entre le 45ème dernier kilomètre
00:32:57et le 30ème dernier kilomètre
00:32:59de course.
00:33:01Donc ça s'annonce assez intéressant.
00:33:03Il faut utiliser tous les profils.
00:33:05Même si la première bosse n'est pas si difficile.
00:33:07Il faut la monter pleine balle
00:33:09pour arriver dans la côte qui est répertoriée.
00:33:11Qui fait presque deux kilomètres à 7%.
00:33:13Voilà.
00:33:15Tout ce qu'on peut prendre comme difficulté,
00:33:17il faut saisir l'opportunité
00:33:19de faire reculer
00:33:21dans un premier temps
00:33:23Milan Menten.
00:33:25Non, Jonathan Milan.
00:33:27Jonathan Milan.
00:33:29Ça arrive, ne vous inquiétez pas.
00:33:31Oui, ça arrive.
00:33:33Jonathan Milan.
00:33:35C'est que le début.
00:33:37On n'a pas encore parlé
00:33:39de Tom Skunch.
00:33:42Mais c'est bien.
00:33:44Il est au point.
00:33:46Il a révisé, je pense, hier.
00:33:48Il a pris une journée off pour m'en remettre.
00:33:52Le peloton qui occupe toute la largeur
00:33:54de la chaussée.
00:33:56Qu'est-ce qui se passe dans l'échappée ?
00:33:58Il ne va pas servir à grand-chose.
00:34:00Soit ça, soit il est en train de se relever.
00:34:02Parce que 2 minutes 50,
00:34:04s'il attaque Butrago...
00:34:06Non, il est à fond, je crois.
00:34:08Ça n'a pas l'air d'être tellement volontaire.
00:34:11Même s'il y a un mouvement de course,
00:34:13même s'il Butrago tente quelque chose,
00:34:15il a quand même 2 minutes 50 d'avance.
00:34:17Il faut qu'il essaie de passer ces bosses-là
00:34:19pour l'aider dans la partie plate, après.
00:34:21Si on a un coureur lâché,
00:34:23ça veut dire que c'est une belle bosse.
00:34:25Ultromenzo, qui est un coureur néo-professionnel
00:34:27chez Bahrein,
00:34:29arrivé en début de saison.
00:34:31Il courait auparavant dans la continentale
00:34:33le team Friuli ASD,
00:34:35en Italie.
00:34:37Un coureur âgé de 20 ans seulement.
00:34:40On a donc désormais plus que 4 coureurs
00:34:42aux avant-postes
00:34:44dans l'ascension
00:34:46de cette première difficulté.
00:34:48Première Détroit, j'entends.
00:34:50De l'enchaînement Détroit.
00:34:52Et c'est sans surprise
00:34:54que l'on retrouve
00:34:56aux avant-postes
00:34:58le coureur de la formation
00:35:00Movistar
00:35:02Rabier Romo.
00:35:04Le public s'est déplacé
00:35:06en masse.
00:35:16Le cyclisme n'a jamais cessé
00:35:18d'être populaire en Allemagne.
00:35:20Il y a eu un moment
00:35:22une désaffection,
00:35:24on y faisait allusion tout à l'heure,
00:35:26des médias, des sponsors,
00:35:28suite aux crises qu'a traversées
00:35:30le cyclisme allemand.
00:35:33J'ai eu l'occasion
00:35:35d'en discuter avec le président
00:35:37de la fédération allemande
00:35:39de cyclisme.
00:35:41Il n'y a jamais eu
00:35:43d'effondrement
00:35:45parmi les fans
00:35:47de cyclisme,
00:35:49en tout cas parmi
00:35:51les pratiquants.
00:35:53On peut espérer, côté français,
00:35:55qu'après les Jeux olympiques
00:35:57organisés dans notre pays,
00:35:59il y ait un afflux de licenciés
00:36:02qui, depuis quelques années,
00:36:04me semblent perdre progressivement
00:36:06des licenciés, en tout cas sur la route,
00:36:08c'est de longue date.
00:36:10Le paradoxe, c'est que les licenciés
00:36:12ça ne veut pas forcément dire les pratiquants
00:36:14parce que tous les pratiquants ne sont pas licenciés
00:36:16contrairement à d'autres sports
00:36:18comme le ping-pong où on est obligé
00:36:20quasiment d'être licencié pour accéder
00:36:22à des infrastructures.
00:36:28Il y a un peu de changement en tête de peloton
00:36:31et l'équipe Tudor qui a pris la tête
00:36:33de ce peloton, qui accélère un petit peu
00:36:35je disais qu'on prenait du temps pour l'échapper
00:36:37et là, clairement, avec l'accélération
00:36:39de l'équipe Tudor, on en a reperdu.
00:36:43Quelle stratégie va avoir Tudor
00:36:45dans ces ascensions
00:36:47qui vont arriver, ces ascensions
00:36:49qui vont se succéder ?
00:36:55On va tout faire péter.
00:36:57Ça, c'est une stratégie.
00:36:59Je pense que c'est une stratégie que tout le monde peut comprendre.
00:37:01Une équipe tente quelque chose.
00:37:07On a terminé avec cette première bosse visiblement.
00:37:09Oui.
00:37:15La prochaine 2 kilomètres, 7,8%.
00:37:21La prochaine, elle est assez raide.
00:37:23Elle est répertoriée.
00:37:29Regardez les IF sur la gauche.
00:37:31Ils sont prêts.
00:37:33Dans les starting blocks.
00:37:37Il n'y a plus la même configuration.
00:37:39Le peloton, il faut se battre pour être à l'avant.
00:37:41Chez IF, je le dis pour nos téléspectateurs
00:37:43qui n'ont pas suivi les étapes précédentes,
00:37:45on s'est montré beaucoup plus opportunistes.
00:37:47C'est-à-dire qu'on n'a pas cherché
00:37:49à prendre la course en main
00:37:51ou à participer à la poursuite
00:37:53derrière les échappés.
00:37:56Mais chaque jour,
00:37:58on a tenté quelque chose.
00:38:00Ça n'a pas toujours marché.
00:38:02Mais on ne l'a pas fait seulement
00:38:04avec un seul coureur.
00:38:06Mais c'est vrai qu'Archie Ryan
00:38:08a été le plus efficient
00:38:10dans cette stratégie de guérilla.
00:38:12Guérilla, le mot est peut-être un peu fort.
00:38:14Parce qu'il fallait aussi avoir
00:38:16la possibilité, le terrain pour le faire.
00:38:18On a vu par exemple qu'hier,
00:38:20les finales d'étapes,
00:38:22le final de l'étape d'hier
00:38:25était quand même pas très favorable
00:38:27à tenter quoi que ce soit.
00:38:29Il fallait le faire soit loin de l'arrivée
00:38:31et à plusieurs.
00:38:33Mais c'est vrai qu'en agissant
00:38:35un petit peu en front tireur
00:38:37dans le final d'étape,
00:38:39malheureusement le profil ne s'y prêtait pas trop
00:38:41pour obtenir un résultat concluant.
00:38:47Mais quoi qu'il en soit,
00:38:49il serait bien sûr très étonnant
00:38:51de ne pas voir l'équipe IF
00:38:53Hier, on a vu à nouveau Archie Ryan
00:38:55mais on a vu aussi Jonas Rutsch
00:38:57de cette formation
00:38:59tenter quelque chose.
00:39:03Rutsch est à 33 secondes,
00:39:05Archie Ryan, on le sait, défend une place au classement général
00:39:07de cinquième. Il n'est qu'à 21 secondes.
00:39:11Allez, Valchaïd en première position.
00:39:13On vous présente nos excuses
00:39:15pour la qualité des images
00:39:17qui est très moyenne cet après-midi
00:39:19concernant
00:39:22la liaison.
00:39:24C'est sympa d'avoir un Max Valchaïd
00:39:26quand même en échappé
00:39:28d'être derrière.
00:39:301m99, il fait 2m,
00:39:32il fait 90kg, une fois qu'il est lancé
00:39:34on est bien à l'abri.
00:39:40On le voit prendre des gros relais
00:39:42enfin on le voyait, pour le coup ça va revenir.
00:39:44Alors j'en profite pour vous dire
00:39:46que derrière
00:39:48cette dernière étape il y aura du tennis
00:39:51que l'on pourra vivre avec la finale
00:39:53du tournoi UTS à New York. Vous avez peut-être
00:39:55pris comme le tour d'Allemagne l'habitude de regarder
00:39:57ce tournoi-exhibition
00:39:59avec ses règles un petit peu particulières
00:40:01un format de jeu qui a été
00:40:03un peu réinventé pour la circonstance
00:40:05avec un Gaël Monfils
00:40:07que l'on retrouvera. Et puis à 18h25
00:40:11ce sera la coupe d'Europe de basket
00:40:133-3 qui, on le sait,
00:40:15se déroule en Autriche actuellement, à Vienne
00:40:18Et on se souvient que l'équipe de France
00:40:20féminine était un peu passée à côté
00:40:22de son tournoi olympique, et bien on verra
00:40:24si ça se passe mieux face
00:40:26aux Pays-Bas pour une place en finale.
00:40:30A 20h40 on aura
00:40:32la grande soirée spéciale
00:40:34Marseille-Reims
00:40:36C'est du foot bien sûr
00:40:38et ce sera orchestré par Florian Gazan
00:40:40Et puis à 22h40
00:40:42nous aurons l'équipe du soir
00:40:44présentée par Karine Galli
00:40:46Et je vous rappelle que du vélo
00:40:48il y en aura encore dans ces prochains jours
00:40:50Rendez-vous
00:40:52du 11 au 15 septembre
00:40:54avec les championnats d'Europe
00:40:56sur route. Vous aviez suivi
00:40:58je l'espère l'an passé
00:41:00les succès français
00:41:02et notamment la victoire
00:41:04de Christophe Laporte
00:41:06incroyable effectivement
00:41:08Christophe Laporte qui s'était imposé
00:41:10et bien on verra si en Belgique
00:41:12les français sont capables de briller à nouveau
00:41:15La fin de l'occasion de ces championnats d'Europe
00:41:17ce sera dans le labour
00:41:19On n'a pas d'info
00:41:21sur les petites sélections
00:41:23On n'a rien
00:41:25Si vous, vous n'avez pas d'info
00:41:27de Thomas Wauclair
00:41:29ça veut dire qu'il n'est pas prêt
00:41:31pour l'instant à communiquer
00:41:33Il va nous préparer
00:41:35encore une petite stratégie
00:41:37comme il a l'habitude de faire
00:41:39ça va être sympa
00:41:41à suivre
00:41:45Prochaine ascension
00:41:472,5 km
00:41:49Impact
00:41:51Oui
00:41:53la première bosse a été
00:41:55avalée par l'échappé
00:41:57mais aussi par les suivants
00:41:59sans qu'il y ait vraiment d'attaque
00:42:01sans qu'il y ait d'attaque
00:42:03On a peut-être vu des coureurs qui commençaient
00:42:05à être en difficulté
00:42:07mais ça sera plus difficile
00:42:09sur la difficulté suivante
00:42:11Oberscheim
00:42:14Si on ne monte pas vite
00:42:16à la bosse
00:42:18les 4 coureurs de tête
00:42:20vont pouvoir commencer
00:42:22à y croire
00:42:24parce qu'ils roulent bien
00:42:26ils s'entendent bien
00:42:28il y a des intérêts divers
00:42:30il y a Romo
00:42:32qui peut éventuellement renverser
00:42:34le classement général
00:42:36avec 30 secondes de retard
00:42:38c'est peu
00:42:40et puis les autres
00:42:42C'est une bonne locomotive
00:42:44à l'avant de l'échappé
00:42:50Je suis d'accord avec toi
00:42:52maintenant tout va dépendre
00:42:54de comment vont se comporter les autres équipes
00:42:56derrière
00:42:58On a l'impression que l'équipe Tudor
00:43:00et l'équipe Soudal Quickstep
00:43:02ont l'intention de faire quelque chose
00:43:04à voir dans cette ascension
00:43:06ce qu'il va se passer
00:43:08en tout cas si on veut mettre
00:43:11il ne faut pas attendre le circuit final
00:43:17C'est encore Tudor
00:43:19et Soudal Quickstep
00:43:21qui sont en train de rouler
00:43:37On entre dans les 40 derniers kilomètres
00:43:40de course maintenant
00:43:42en ce qui concerne les échappés
00:43:44le peloton
00:43:46vous le voyez pour l'instant
00:43:48occupe quand même une bonne largeur
00:43:50de la chaussée
00:43:52et finalement
00:43:54l'écart diminue
00:43:56mais très progressivement
00:44:00puisqu'à 60 km
00:44:02on avait 3 minutes
00:44:04à 40 km
00:44:06on a 2 minutes 30
00:44:10il faudra évidemment reprendre du temps
00:44:12plus rapidement que cela
00:44:14sinon effectivement
00:44:16les échappés auront une chance
00:44:18d'aller au bout tout simplement
00:44:20L'équipe IF en la voie
00:44:22qui est en train de remonter sur la droite de la route
00:44:24et voilà la deuxième ascension
00:44:26de ce triptyque là
00:44:28celle qui est répertoriée
00:44:302 km à 6-7%
00:44:32c'est une vraie bosse
00:44:34C'est très large par contre
00:44:36C'est très large
00:44:39Il n'y a pas le fait que le peloton s'étire
00:44:41surtout qu'on arrive de la même route
00:44:43il n'y a pas un virage au pied pour étirer
00:44:45ça veut dire que
00:44:47déjà les 300-400 premiers mètres
00:44:49on a de l'élan
00:44:51on est petit plateau devant
00:44:59Romo et Walscheid ont décidé
00:45:01de croiser la chaîne
00:45:03et on reste quand même sur le grand plateau
00:45:05Est-ce que ce n'est pas plus fréquent
00:45:07de croiser la chaîne
00:45:09par rapport à il y a encore quelques années
00:45:1118 km heure, on a encore le grand plateau
00:45:13maintenant on a des roulibes
00:45:15à l'arrière qui sont énormes
00:45:17le standard
00:45:19chez Shimano
00:45:21c'est 11.34
00:45:23donc on a vraiment de la marge
00:45:25avec un plateau à l'avant de 54 et un petit plateau de 40
00:45:27Alors croiser la chaîne
00:45:29Pourquoi ? Parce que le grand plateau
00:45:31il est à l'extérieur
00:45:33et le grand pignon
00:45:36bien sûr de l'autre côté à l'arrière
00:45:38donc on croise la chaîne
00:45:40ça l'étire énormément
00:45:42avant on expliquait
00:45:44que ce n'était pas très bien
00:45:46de fonctionner de la sorte
00:45:48mais désormais on n'en fait plus trop attention
00:45:50les dérailleurs sont un peu adaptés
00:45:52on a des plus grandes chapes
00:45:54la chape c'est les deux petits galets
00:45:56où la chaîne passe dans un sens
00:45:58et dans l'autre
00:46:00c'est beaucoup plus long
00:46:02et ça permet de détirer
00:46:04la chaîne un petit peu plus
00:46:26à l'avant Robo il fait mal à tout le monde
00:46:28Valshade est un peu en difficulté
00:46:30on a aussi
00:46:32quand on fait 2 mètres
00:46:34c'est pas facile dans les bosses
00:46:36ce serait peut-être bien de le garder
00:46:38de rester à 4
00:46:40derrière
00:46:42qu'est-ce qui se passe ?
00:46:44accélère
00:46:46il fallait peut-être rester
00:46:48sur ce qui se passe actuellement
00:46:50dans le peloton
00:46:52et on voit que
00:46:54Valshade fait l'effort
00:46:56pour revenir et ne pas perdre
00:46:58on n'a pas envie de les lâcher non plus
00:47:00il s'est relevé
00:47:02il a attendu
00:47:04et voilà derrière Milan en difficulté
00:47:06Jonathan Milan
00:47:08si on pense à la victoire d'étape dans ce peloton
00:47:10il y a même encore un autre coureur
00:47:12qui est en train de se faire distancer
00:47:14attention on est en train de perdre du monde
00:47:16du côté de Matt Spedersen
00:47:18parce que là il y a Milan
00:47:20et un autre coureur juste devant
00:47:22alors c'est qui ?
00:47:24c'est Skuyns ou c'est Dan Houle ?
00:47:26on va voir
00:47:28Dan Houle
00:47:30il a roulé toute la journée
00:47:32encore 500 mètres d'ascension
00:47:34pour les hommes de tête
00:47:36ici le leader de la course
00:47:38Matt Spedersen en 4ème position
00:47:40vous le voyez avec son maillot de leader
00:47:42ce maillot bleu
00:47:44et ce sont les coureurs
00:47:46de Tudor
00:47:48l'équipe helvétique
00:47:50Bissegher s'est écarté
00:47:52alors qu'il laisse Archie Ryan
00:47:54en revanche
00:47:56Bissegher attention
00:47:58Matt Spedersen en 3ème position
00:48:04et le coureur qui roulait en tête
00:48:06c'était Florian Storck
00:48:08non pardon c'était Hannes Wolkisch
00:48:12ça c'est intelligent
00:48:14de s'être regroupé
00:48:16rester solidaire
00:48:18c'est comme ça qu'on ira le plus loin possible
00:48:20il reste encore 38 km
00:48:22on perd quand même pas mal de temps
00:48:24c'est pas grave
00:48:26le temps perdu là
00:48:28c'est vrai
00:48:30il vaut mieux en perdre un peu là
00:48:32et rester à 4
00:48:34ils vont aller plus vite
00:48:36après à 4 tout seul
00:48:38ils se seraient épuisés
00:48:40les relais vont revenir plus vite
00:48:42on va reprendre de la vitesse
00:48:44dans les faux plats descendants
00:48:46Christophe Riblot il est dedans
00:48:48mais lui il est dans l'échappée
00:48:50des équipes qui sont dans le peloton
00:48:52voilà Yves
00:48:54qui a mis en route
00:48:58c'est Klug
00:49:00qui est là aussi
00:49:02regardez là-bas
00:49:04le coureur de l'équipe Lidl
00:49:06qui est juste devant
00:49:08ça veut dire qu'il ne reste plus que
00:49:103 coureurs
00:49:12Spedersen, Ghebries, Gabier
00:49:14et Skuyns
00:49:16dans ce peloton
00:49:18ils l'ont mis à contribution quand même
00:49:20les 2 premiers jours
00:49:22Ghebries et Gabier
00:49:24qui a peut-être un petit peu mal aux jambes
00:49:26si Mads Spedersen n'a plus que Skuyns
00:49:28ça commence à devenir intéressant
00:49:38je vois un Lidl Trek
00:49:40complètement à gauche de l'écran
00:49:42qui vient de se faire dépasser par un coureur
00:49:44on en a 3
00:49:46mais il y en a un qui est...
00:49:48non non, c'est peut-être pas un Lidl Trek
00:49:50que l'on voit
00:49:52on n'en voit pas de 3ème
00:49:54pour l'instant
00:49:56dans la majeure partie du peloton
00:50:04allez, toujours un
00:50:06tempo assez violent
00:50:08imprimé
00:50:10par l'équipe IF
00:50:12ça va un peu mieux
00:50:14pour Philippe Ogana aujourd'hui
00:50:16il est là en 4ème ou 5ème position
00:50:18et on passe au sommet
00:50:20on vous rappelle que
00:50:24on vous mentionne que Romo
00:50:26est passé en tête de cette difficulté
00:50:28la 3ème répertoriée
00:50:30au classement de 2 meilleurs grimpeurs
00:50:38et voilà, il est là
00:50:40ce classement de meilleurs grimpeurs
00:50:46dominé par Jorgen Nordhagen
00:50:48de l'équipe Visma
00:50:50le jeune coureur de Visma
00:50:52mais qui n'est pas
00:50:54présent aujourd'hui
00:50:56dans l'échappée
00:50:58il avait quand même une belle marge d'avance
00:51:02et comme les coureurs que l'on retrouve
00:51:04dans l'échappée aujourd'hui
00:51:06n'avaient pas de points
00:51:08ils ne mettront pas en péril
00:51:10sa position de leader
00:51:12dans ce classement annexe
00:51:14classement de la montagne
00:51:16classement de meilleurs grimpeurs
00:51:20il y a eu du ménage de fait
00:51:22maintenant il faut se servir de la prochaine difficulté
00:51:24pour tenter quelque chose
00:51:30regardez le peloton très étiré
00:51:32et pas très nombreux
00:51:34on a perdu une quarantaine d'unités
00:51:36ils sont 80
00:51:3870 peut-être
00:51:40si on pouvait se rapprocher de ces coureurs
00:51:42pour pouvoir identifier
00:51:46on n'a pas vu un dossard depuis 4 jours
00:51:48je pense que c'est bien utile de zoomer
00:51:54on va essayer de voir si
00:51:56on a un deuxième équipier
00:51:58pour Mads Pedersen
00:52:00Mads Pedersen
00:52:04je ne l'ai pas vu sur ce plan-là
00:52:22c'est à l'idle track qu'il y a l'arrière
00:52:24on est bien d'accord ?
00:52:26à l'arrière de ce peloton
00:52:30il y a Skuys, ça c'est sûr
00:52:32juste à côté de Mads Pedersen
00:52:34là-haut en 8-10ème position
00:52:38parce que ça c'est quand même la clé pour la suite
00:52:40si on cherche des équipiers de Mads Pedersen
00:52:42c'est parce que c'est quand même hyper important
00:52:44il reste plus de 30 km, il y a encore des bosses
00:52:46on sait que le circuit final
00:52:48Pierre nous l'a bien expliqué, il est technique
00:52:50avec une ascension à chaque fois
00:52:52donc important de ne pas se retrouver isolé
00:52:54pour Mads Pedersen
00:52:56et après cette côte répertoriée
00:52:58il reste très vite à l'arrière
00:53:00c'est bien ça, à l'arrière du peloton
00:53:02on est dans un deuxième groupe
00:53:04donc il n'y a plus que deux coureurs
00:53:06de l'équipe l'idle track
00:53:08dans le groupe du second
00:53:10Skuys et le leader de la course
00:53:12Mads Pedersen
00:53:16s'ils se font attaquer
00:53:18ça va être compliqué
00:53:20Skuys ne va pas pouvoir suivre tout le monde
00:53:22les jours précédents
00:53:24il suivait, il ne roulait pas
00:53:26il ne collaborait pas
00:53:28donc je pense qu'on va prendre la même stratégie
00:53:30mais s'il se fait attaquer de toute part
00:53:32à un moment donné, il ne va pas pouvoir suivre tout le monde
00:53:34et là on va être très vite
00:53:36vous parlez d'un enchaînement de trois bosses
00:53:38on va être très vite dans la troisième bosse
00:53:40on n'est pas encore aux abords du circuit
00:53:42on est
00:53:44justement sur la route
00:53:46de Saarbrück
00:53:48et il y aura cette troisième bosse
00:53:50qui elle n'est pas répertoriée
00:53:52je ne sais pas ce que vous en pensez
00:53:54mais sur le graphique, elle a l'air
00:53:56peu pentue au début, mais assez raide sur la fin
00:53:58voire même, c'est peut-être un petit mur
00:54:00sur la fin, cette bosse
00:54:04il y a un tremplin de Skuys sur le graphique
00:54:08ils vont faire un looping pour terminer
00:54:12on va voir l'ascension
00:54:14et les coureurs, ce qu'ils vont faire
00:54:16allez, ça reste pour l'instant
00:54:18un tempo rapide
00:54:20dans ce peloton
00:54:24et l'écart qui continue
00:54:26de diminuer par rapport
00:54:28aux hommes de tête
00:54:36il y a des cassures
00:54:38on voit derrière le peloton principal
00:54:40il y a seulement la voiture neutre
00:54:42et la voiture du commissaire
00:54:44donc il ne faut pas avoir d'incident mécanique
00:54:46quand on est leader
00:54:48parce qu'il faut attendre un bon petit moment
00:54:50sur le bord de la route
00:54:52sachant qu'il n'a plus qu'un équipier
00:54:54Pedersen
00:54:56il ne faudrait pas avoir un incident mécanique
00:55:10dans cette ascension
00:55:12les coureurs de tête ont perdu
00:55:14un peu plus de 30 secondes
00:55:18vous parliez d'incident mécanique
00:55:20Skuys et Pedersen, c'est à peu près
00:55:22le même gabarit
00:55:24on ne doit pas être loin
00:55:26au niveau des tailles de vélo
00:55:28si l'un doit passer son vélo à l'autre
00:55:30mais c'est vrai que c'est toujours un peu
00:55:32la situation
00:55:34désespérée
00:55:36quand on n'a pas la voiture derrière
00:55:38quand on n'a pas la voiture derrière
00:55:42allez, on revient sur les 4 hommes de tête
00:55:46si vous nous rejoignez maintenant
00:55:48je vous rappelle qu'il s'agit de l'échappée du jour
00:55:50échappée partie très tôt
00:55:52et même si on a perdu un homme
00:55:54en cours de route
00:55:58on retrouve toujours dans ce groupe
00:56:00l'Espagnol Javier Romo
00:56:02qui est le plus dangereux
00:56:04puisqu'il n'avait que 29 secondes
00:56:06de retard au départ
00:56:08de cette étape
00:56:10il est dans le top 20
00:56:12Oliver Mathéis
00:56:14de l'équipe Bikehead
00:56:16un coureur de continental
00:56:18passé professionnel
00:56:20d'ailleurs sur le tard
00:56:22puisqu'il est âgé de 29 ans
00:56:24et ça ne fait pas si longtemps qu'on le voit dans les pelotons
00:56:26Mathéis avait 34 secondes
00:56:28de retard ce matin
00:56:32on a également Joshua Hupertz
00:56:34le coureur de l'incontournable équipe
00:56:36présente dans les échappées
00:56:38l'auto Kern Aos
00:56:42et qui est d'ailleurs de la même génération
00:56:44que son compatriote
00:56:46Mathéis
00:56:48et puis enfin Max Valscheid
00:56:50autre coureur allemand
00:56:52mais lui qui a quand même évolué
00:56:54depuis de nombreuses années dans les équipes
00:56:56du World Tour
00:57:00et c'est le plus expérimenté de ces coureurs
00:57:02vous le voyez avec le maillot blanc
00:57:04de la sélection germanique
00:57:06habituellement il court chez Jaiko Ayloula
00:57:08équipe qui l'a rejoint en début de saison
00:57:10après avoir quitté la formation Cofidis
00:57:12auparavant on l'avait vu
00:57:14chez Entity
00:57:16puis même encore plus avant
00:57:18chez Giant, Sunweb
00:57:22équipe qui lui avait donné sa chance
00:57:24chez les pros
00:57:26en 2016
00:57:32cette échappée
00:57:34qui est partie
00:57:36depuis quasiment le départ
00:57:40et à qui on a donné au maximum
00:57:42de son écart environ
00:57:44pratiquement 5 minutes
00:57:46d'avance
00:57:48et ensuite l'écart a fléchi petit à petit
00:57:50on arrive au pied de la 3ème bosse
00:57:52au pied au début c'est un faux plat
00:57:54et plus on va se rapprocher du sommet de cette bosse
00:57:56qui n'est pas répertoriée
00:57:58plus ça devrait devenir pentu
00:58:02et on a perdu
00:58:04en 10 kilomètres pratiquement 1 minute
00:58:08pour les hommes de tête
00:58:12donc on a perdu plus rapidement
00:58:14sur ces bosses évidemment
00:58:16là on va reperdre encore
00:58:18c'est logique qu'ils aient perdu du temps
00:58:20on a vu tout à l'heure Romo qui a attendu dans la bosse
00:58:22ses compagnons d'échappée
00:58:24pour essayer d'aller le plus loin possible
00:58:26et Yef
00:58:28il court pas comme d'habitude
00:58:30ils avaient couru de façon opportuniste
00:58:32là ils prennent vraiment la course en main
00:58:34en suivant un petit peu
00:58:36ce que nous prédisait
00:58:38Pierre Roland
00:58:40c'est à dire
00:58:42en durcissant la course
00:58:44en profitant justement de cet enchaînement de bosses
00:58:46pour essayer de
00:58:48mettre en difficulté et d'isoler
00:58:50le leader de la course
00:58:52Mats Pedersen, on le voit d'ailleurs un peu à l'arrière
00:58:54pas dans les toutes premières positions du peloton
00:58:56il a reculé un peu
00:58:58vous donnez le classement des coureurs
00:59:00de la formation Yef
00:59:02au général
00:59:04il faut qu'il se fasse oublier
00:59:06les Leader Track
00:59:08c'est derrière, Ruben Guerrero
00:59:10derrière le peloton
00:59:12victime d'une crevaison certainement
00:59:14et qui vient de repartir
00:59:16Mats Pedersen
00:59:18et la Leader Track, il faut qu'il se fasse oublier
00:59:20il faut qu'il se fasse le plus petit possible
00:59:22donc là il faut revenir un petit peu
00:59:24un petit peu plus dans le ventre mou
00:59:26de ce peloton de tête
00:59:28tant que les kilomètres avancent
00:59:30tant que les kilomètres défilent
00:59:32eux c'est du temps de gagner
00:59:34on a vu les coureurs de Total Energy
00:59:36on rappelle que c'est la seule équipe française engagée dans la compétition
00:59:38malheureusement elle a dû
00:59:40enregistrer hier l'abandon d'Anthony Turgis
00:59:42qui était le mieux placé
00:59:44au général
00:59:46désormais c'est Emilien Janière
00:59:48coureur rapide
00:59:50le sprinter de cette équipe
00:59:52qui pointe avec 30 secondes de retard
00:59:54au classement général
00:59:56mais c'est également l'occasion de retrouver
00:59:58Alexis Villermo
01:00:00sur cette épreuve
01:00:02son coéquipier
01:00:04puis hier on a vu
01:00:06Matteo Verschet qui était dans l'échappée
01:00:08au long cours
01:00:10il était d'ailleurs l'un des plus
01:00:12des plus pugnaces à rester
01:00:14à l'avant de la course
01:00:24ça attaque, ça attaque dans le peloton
01:00:26je crois que c'est Thudor qui est en train de lancer une offensive
01:00:32finalement elle n'est pas si dure que ça cette poste
01:00:34on est déjà au sommet quasiment
01:00:38avec Flo sur une très belle route
01:00:40vu comme ça ça a l'air plus dur quand même
01:00:42quand on se retourne
01:00:44gros four cime de l'équipe Thudor
01:00:48il est à la main
01:00:50il est à la main
01:00:52je crois que c'est Thudor qui a été le plus
01:00:54un peu en retard
01:00:56c'est un peu en retard
01:00:58parce que finalement
01:01:00c'est pas très bien
01:01:02le match de Thudor
01:01:04c'est un match de Thudor
01:01:06un match qui est un peu
01:01:08Avec Alexi, Willermoos, Ryan Archie, allez, ça démarre !
01:01:16C'est parti, Ryan Archie qui lance une offensive.
01:01:20Ah oui, c'est beaucoup plus incisif.
01:01:23Johansson aussi qui est là, le deuxième du classement général, Tobias.
01:01:26Le porteur du maillot blanc.
01:01:28Il a un punch terrible, l'Irlandais est vraiment très fort.
01:01:33Très fort, très en forme aussi dans cette deuxième partie de la saison.
01:01:38Puisque Archie Ryan, si vous avez regardé le Tour de Pologne sur notre antenne,
01:01:43vous l'avez vu également offensif, notamment lors de la dernière étape.
01:01:51Il avait fait une longue échappée.
01:01:57Matt Spederson, il est bien là.
01:01:59C'est Péda qui arrive pour la carourale de derrière.
01:02:02Est-ce qu'il se replace ou est-ce qu'il se lance ?
01:02:05Il se replace et dans la roue d'Aoulard.
01:02:11Allez, Tobias Johansson, vous le voyez en deuxième position actuellement avec son maillot blanc.
01:02:16En troisième position, vous aviez le leader de la course, Matt Spederson.
01:02:20On ne sera pas surpris en ce qui concerne les leaders de la compétition par ses accélérations.
01:02:28On est bien placé, en tout cas, aux premières loges de ce peloton.
01:02:32Là, c'est l'échappée que l'on retrouve avec Val Scheidt ici en gros plan.
01:02:37On a perdu 30 secondes avec l'attaque de l'AIF.
01:02:44Alors, on vient de reprendre Joshua Hupertz.
01:02:48Oui, pardon, on n'avait pas signalé effectivement que le coureur échappait de la formation.
01:02:55Le toquernao avait été distancé et il est repris par le peloton.
01:03:03Trois hommes en tête désormais alors que cette échappée, initialement, en comptait cinq.
01:03:19On a perdu de temps dans ce virage.
01:03:21Vous voyez qu'on a bien fait de l'échapper.
01:03:23C'est l'échapper, c'est l'échapper, c'est l'échapper, c'est l'échapper.
01:03:28On n'a pas perdu de temps dans ce virage.
01:03:31Vous voyez qu'on a bien fait d'attendre Val Scheidt parce que sur ces portions roulantes,
01:03:36il est précieux pour emmener des bouts droits.
01:03:45La tête du peloton dans la descente.
01:03:49Alors, qui peut rouler maintenant ?
01:03:51Parce que là, on a une petite partie de transition.
01:03:54Il y a une dizaine de kilomètres une fois qu'on en aura fini avec cette descente.
01:03:57Ça va être complètement plat.
01:04:00Et c'est là que c'est dangereux évidemment pour Mats Pedersen.
01:04:02Parce que l'attaque peut venir de n'importe où.
01:04:04On sait que les écarts ne sont pas très importants.
01:04:07Le meilleur des scénarios pour lui, ce serait qu'une équipe prenne en main et continue à rouler très vite.
01:04:11Mais clairement, si on ne roule plus dans ce peloton, on va s'exposer à des attaques.
01:04:15Donc là, ça va devenir très dangereux.
01:04:17Christophe, même en l'absence de Jonathan Milan, le meilleur sprinter, c'est Mats Pedersen.
01:04:24C'est le favori.
01:04:25Clairement, sans clôt avec le circuit final qu'on va avoir, avec la sélection qu'il y a déjà eue,
01:04:31c'est sûr et certain que c'est Mats Pedersen encore le plus rapide.
01:04:35Donc une équipe n'a pas intérêt à rouler en tête de peloton pour favoriser un sprint massif.
01:04:40Il faut s'y prendre autrement.
01:04:41On va trouver une équipe qui va les aider.
01:04:43On va trouver des alliés de circonstance.
01:04:45Les Ineos avec Eiter.
01:04:47S'il prend une bonne if, il va monter sur le podium du Eiter.
01:04:51Il est à 2 secondes du podium.
01:04:53Il est à 2 secondes devant de Poppel.
01:04:55Il est à 9 secondes de Yohann Essen.
01:04:59On a vu Gana à l'avant.
01:05:02Je le verrais bien rouler, moi, Ineos.
01:05:05Pierre-Roland, il veut énerver Christophe.
01:05:07C'est le cas qu'il fait là.
01:05:09On le connait un peu.
01:05:10Brad Bulbora aussi, je pense.
01:05:12J'irais à rouler.
01:05:21Maintenant, on va arriver sur ce circuit.
01:05:24C'est là que c'est dangereux.
01:05:26Cette partie de transition.
01:05:28S'il n'y a pas d'équipe qui contrôle.
01:05:29Si c'est un peu le bazar.
01:05:31Ce serait pas mal.
01:05:333 ou 4 coureurs qui partent d'un côté.
01:05:35Ça se regroupe.
01:05:37Des coureurs frais.
01:05:38Ça peut rouler vite.
01:05:41Il n'y a qu'un seul équipier.
01:05:42Il y a 100% de l'équipe Little Trek à l'image.
01:05:45Si on dézoome un petit peu sur Tom Skudgy.
01:05:48Qui est en train de rouler pour Max Pedersen ?
01:05:50On verra bien.
01:06:00C'est l'équipier qui continue.
01:06:05Ils espèrent que sur le circuit final, ça suffise.
01:06:10Il y a exactement l'entrée du circuit.
01:06:14C'est à 15 km de l'arrivée.
01:06:17On va essayer d'attendre ce circuit final.
01:06:21Et ces deux ascensions.
01:06:24Pour tenter d'isoler définitivement Pedersen.
01:06:35Ils font un petit numéro devant.
01:06:37Oui, parce que ça fait...
01:06:38Rappelez-vous, depuis la Bosse.
01:06:40On a cet écart.
01:06:42Environ d'une minute.
01:06:43Ils ont perdu.
01:06:47Depuis 4 ou 5 kilomètres.
01:06:50Ils maintiennent cet écart à 1 minute.
01:06:54Sur le plat, ils ne perdent rien.
01:06:56Avec Whiteshine et Romo.
01:06:57Effectivement.
01:06:59Dans les ascensions, on a perdu 2 fois 30 secondes.
01:07:01Mais là, il y a match.
01:07:18Dans le peloton, on voyait qu'on cherchait les directeurs sportifs
01:07:22pour aller au ravitaillement avant le circuit.
01:07:33On a trouvé du renfort pour l'équipe IF et l'équipe Soudal Quick-Step
01:07:36qui vient rouler aussi.
01:07:39Pour l'instant, on roule aussi vite à l'avant que dans le peloton.
01:07:42Pour l'instant, on roule aussi vite à l'avant que dans le peloton.
01:07:45Clairement, dans cette partie plane, on ne reprend rien pour le peloton.
01:07:51Il me semble que c'est Antoine Hubi, le français,
01:07:53qui roule en tête du peloton pour la Soudal Quick-Step.
01:08:02C'est bien ça, oui.
01:08:04Le 2-3 d'Antoine Hubi.
01:08:13Un petit gel pour le match Walsheid.
01:08:16Il ne s'oublie pas de se ravitailler.
01:08:21Antoine Hubi qui avait fait un passage au Vendée U
01:08:27mais qui était passé professionnel, non pas chez Total Energy
01:08:31mais chez Soudal Quick-Step en début de saison.
01:08:43Allez, un bon relais d'Oliver Mathéis dans l'échappée.
01:08:50Et regardez, on a pris de chaque côté de cet îlot.
01:08:55Et du coup, c'est l'équipe IF qui a repris le contrôle du peloton.
01:09:02L'allure la plus élevée.
01:09:07Et on voit bien que l'équipe IF,
01:09:10et on fait jeu égal pour l'instant entre les échappées et le peloton.
01:09:24Pour l'instant, ça fait plutôt le jeu de Mads Pedersen.
01:09:28100% !
01:09:30C'est un peu comme s'il avait ses équipiers qui roulaient en tête du peloton
01:09:33sur un tempo très élevé.
01:09:35Tout à l'heure, quand on disait que ça pouvait créer beaucoup d'insécurité pour le leader de la course
01:09:40c'était si personne ne prenait en charge la poursuite derrière les échappées
01:09:45ou le contrôle du peloton.
01:09:47Parce qu'en roulant à cette allure-là, évidemment, on ne va pas sortir.
01:09:50On ne va pas mettre le nez à la fenêtre.
01:09:53On subit ce rythme très élevé.
01:10:06On distingue aisément Ethan Haïter dans cette file des coureurs
01:10:09avec son maillot de champion de Grande-Bretagne
01:10:11et c'est précisément dans la roue du britannique d'Ineos
01:10:15que l'on retrouvait le leader de la course, Mads Pedersen.
01:10:22Moins d'une minute pour les échappées.
01:10:26La poursuite intense menée par IF
01:10:31porte ses fruits.
01:10:34On est dans le sens qu'en ce moment,
01:10:36c'est le leader de la course.
01:10:39On est au bon endroit, on ne peut pas échapper.
01:10:44Mais on ne peut pas bitser.
01:10:47On ne peut pas grimper.
01:10:50Et c'est comme ça que se reproduit la course.
01:10:53Déjà l'âme civile est avec lui.
01:10:58Alors, on voit bien que Mads Pedersen
01:11:00Allez, on entre dans Sarbouk, la périphérie de Sarbouk.
01:11:31On est en bordure de la frontière de la France depuis quelques kilomètres.
01:11:35Mais on n'entrera pas sur le territoire français à l'occasion de cette étape.
01:12:00On restera côté allemand.
01:12:02Alors on continue toujours de bien s'entendre pour les 3.
01:12:31hommes de tête.
01:12:32Ils résistent bien.
01:12:33A voir comment va être la bosse du circuit.
01:12:34Déjà on peut peut-être espérer.
01:12:35J'allais dire on peut peut-être espérer aller jusqu'au bonus.
01:12:36Mais le speed bonus est à 4,5 km de l'arrivée.
01:12:37Donc il reste encore un bout à faire.
01:12:38C'est un bon coup de pied pour l'équipe de Sarbouk.
01:13:08Et Ryan Archie, s'il fait le bonus et que ses adversaires Van Poppel et Eiter ne marquent
01:13:26pas de points sur la bonus et qu'après Eiter et Van Poppel ne terminent pas dans les 3
01:13:30premiers, il joue le podium.
01:13:31Donc voilà, il y a vraiment un double enjeu entre ce sprint bonus à 4 km de l'arrivée
01:13:37et l'arrivée finale et la victoire d'étape.
01:13:40Il va falloir sortir nos calculettes pour sortir le classement général.
01:13:47Et pourquoi pas les centièmes ou les dixièmes du prologue en cas d'égalité.
01:13:52Oui, on les a.
01:13:53Ils sont sortis.
01:13:54Et ça va, voilà, pour dépoter Pélersen, ça va être compliqué.
01:14:02Si on attend le dernier tour, il y a de l'enjeu un petit peu partout.
01:14:07Et on va rester maintenant sur un parcours assez urbain.
01:14:10Comme vous le voyez actuellement, on reste en ville dans l'agglomération de Sarbouk,
01:14:16autour d'un circuit qui développe 7,3 km avec cette bosse, avec ce sprint intermédiaire
01:14:25également.
01:14:26Et dix virages sur ce circuit, après avoir la largeur de la route, si c'est très large,
01:14:32les virages, ça va passer sans problème.
01:14:33Et si on passe d'une voie à l'autre, que ça se rétrécit, etc., ça peut devenir
01:14:39rapidement compliqué.
01:14:40Je pense qu'on va être sur ce type de route.
01:14:46Au vu de ce qu'on a vu depuis le début de ce temps d'Allemagne.
01:14:50Voilà, le sprint, c'est-à-dire la ligne est dans deux kilomètres.
01:14:54On ne doit pas encore tout à fait être sur les routes du circuit.
01:14:59Sarbouk qui avait accueilli il y a quelques années l'étape du Tour de France, c'était
01:15:26en 2002.
01:15:27C'est Oscar Fréret qui s'était imposé.
01:15:32Je ne résiste pas à vous raconter une petite anecdote.
01:15:35Il y avait 22 ans, je ne commentais pas avec Christophe Riblon et Pierre Roland, je commentais
01:15:43avec Éric Boyer.
01:15:44Mais Éric Boyer s'occupait de nos hébergements.
01:15:45On était censés dormir à Sarbouk, mais il s'était trompé, il avait réservé
01:15:57à Sarbourg.
01:15:58Pour ceux qui connaissent l'Est, le Grand Est, Sarbourg et Sarbouk, ce n'est pas à
01:16:05côté.
01:16:06Sarbourg, c'est la Lorraine, c'est loin, c'est entre Nancy et Strasbourg si vous préférez.
01:16:15Et Sarbouk, ce n'est pas très loin du Grand-Duché du Luxembourg, c'est juste à côté de
01:16:22Fort-Bac, à côté de Sargommine, pas très loin de Metz.
01:16:26Donc on avait fait un long transfert ce jour-là, aller-retour, puisque le lendemain, ça repartait
01:16:30de Sarbouk, sinon ce n'est pas drôle.
01:16:31On avait un bel hôtel, mais on n'en avait pas beaucoup profité.
01:16:35Tout ça pour saluer notre ancien consultant sur la chaîne L'Équipe, aussi, bien sûr,
01:16:41Éric Boyer.
01:16:42Quand tu arrives à 23h30 et qu'il faut repartir à 5h du matin, il y a 85km entre Sarbourg
01:16:53et Sarbouk.
01:16:54C'est vrai ? Oui.
01:16:55Officiellement, moi, ça m'avait paru très long.
01:16:57C'est l'année où il faisait ses transferts en vélo pliant.
01:17:00Il n'y avait peut-être pas d'autant de concordance.
01:17:03La grande solidarité des consultants.
01:17:05Je serais incapable de vous dire si on est sur la même arrivée que celle du Tour en
01:17:112002.
01:17:12Bien sûr de vous.
01:17:13Oui, on passe sur la ligne, là.
01:17:14On y va.
01:17:15On passe sur la ligne, en tout cas, de l'étape du Tour d'Allemagne.
01:17:19Deux tours de circuit et on va voir ces fameux virages, si ça passe bien ou pas.
01:17:24Il y a de l'ambiance, en tout cas, sur la ligne d'arrivée.
01:17:28Il y a du monde aussi.
01:17:35L'échappée, moins de 40 secondes.
01:17:38À la poigne du peloton, quand même.
01:17:4037 secondes.
01:17:42Le plus gros a été fait.
01:17:44Je vous rappelle que les rescapés de cette échappée matinale ont compté jusqu'à 5
01:17:47minutes d'avance environ sur le peloton.
01:17:49Lui, Trago, là.
01:17:51Trago qui va se remplacer.
01:17:53Trago, il est derrière le portable, là.
01:17:55Vous allez le voir.
01:17:59On va peut-être mieux le voir sur cette vue.
01:18:01Mais il est aux avant-postes.
01:18:03Avec le maillot de l'équipe pareil.
01:18:14Allez, 14 kilomètres.
01:18:15Deux tours de circuit.
01:18:16Je vous rappelle une bosse sur ce circuit.
01:18:19Et un hater.
01:18:20Dernier du peloton pour l'Ineos.
01:18:22Normal.
01:18:23C'est toujours ça.
01:18:24C'est toujours comme ça.
01:18:25Il faut rappeler quand même qu'il est placé au général.
01:18:27Il est quatrième.
01:18:30Il ferait bien de se forcer à gagner quelques places.
01:18:32C'est un petit peloton.
01:18:35Il pourra peut-être plus facilement remonter qu'il n'avait à le faire lors des jours précédents.
01:18:46Et donc, je vous le disais.
01:18:47On est juste de l'autre côté de la frontière française.
01:18:50De l'autre côté par rapport à Fort-Bac.
01:18:53Et on est dans le long de la Sarre.
01:18:57On est au pied de la bosse ?
01:18:59C'est un demi-tour.
01:19:00Est-ce que c'est le pied de la bosse ?
01:19:02J'ai l'impression.
01:19:05Logiquement.
01:19:06Ça, c'est bien.
01:19:07C'est ça.
01:19:08C'est ça.
01:19:09C'est ça.
01:19:10C'est ça.
01:19:11C'est ça.
01:19:12C'est ça.
01:19:13C'est ça.
01:19:14C'est ça.
01:19:15C'est donc le demi-tour qui ralentit un peu les courants au pied.
01:19:20Oh, bah, ça y est.
01:19:21On est dans la bosse.
01:19:22On y est.
01:19:27La Sarre, qui est le plus petit État allemand.
01:19:30Le plus petit Land, si vous préférez, le plus petit des 14 Land.
01:19:35Mais aussi l'un des plus densément peuplés.
01:19:39C'est pour ça qu'on va rester de toute façon sur un parcours assez urbain.
01:19:45Et Buitrago va pas tarder à déclencher la chance, on l'a vu à l'avant, il est en train
01:19:59de distancer Walscheid, mais il ne va pas lâcher, il ne craque pas, ce n'est pas un
01:20:06coureur qui explose, il va tenter de s'accrocher, de revenir dans la descente.
01:20:10Et Buitrago, il est en 6ème position, le coureur d'équipe Tudor, il a roulé, mais
01:20:19il n'a vu personne depuis tout à l'heure, dans les premières positions du peloton.
01:20:23Ça monte un petit moment quand même, c'est une belle bosse, puis Romo il va bien, il
01:20:32a repris quelques secondes au peloton, et Bahrein, Bahrein qui aujourd'hui court collectif.
01:20:39C'est-à-dire qu'on va lancer l'attaque de Buitrago, c'est lui en 2ème position,
01:20:44Mats Pedersen est dans la roue, il est vigilant, Yohannsen aussi avec son maillot blanc.
01:20:4830 km à rendre cette bosse, et là il faut tenir évidemment le choc pour Mats Pedersen
01:21:08et pour Tom Skuyns, les deux représentants de l'équipe Littletrack.
01:21:14Allez, cette fois-ci, le dernier représentant qui a accompagné Romo dans cette échappée
01:21:23est en train de céder à son tour, Oliver Matheys.
01:21:27C'est plus d'un kilomètre cette bosse-là.
01:21:31Ouais, c'est assez loin quand même.
01:21:32Allez, ça y est, Buitrago, c'est parti !
01:21:37Avec dans sa roue le leader de la course, Mats Pedersen, va-t-il pouvoir rester dans
01:21:42le sillage du coureur colombien ?
01:21:44Et là, on l'a rencontré, c'est Mats Pedersen en perso qui l'attaque.
01:21:47Incroyable ! Mats Pedersen, la meilleure défense, c'est parfois l'attaque, et bien c'est lui
01:21:50qui prend l'initiative.
01:21:51Mais immédiatement, Buitrago réagit en 3ème position, Tobias Yohannsen, c'est plus difficile
01:21:56pour Tom Skuyns, je ne pense pas qu'il fasse volontairement la cassure, il n'arrive pas
01:22:01à suivre.
01:22:02Et derrière, on va faire l'effort avec probablement Schoenflin de l'équipe DSM Firmenicht.
01:22:10Regardez, on a l'impression qu'il se balade.
01:22:13Ouais, mais c'est dangereux ce qu'il fait, encore, on serait au dernier tour, ce serait
01:22:17le dernier passage, je ne dis pas, mais là, clairement, voilà, bah oui, maintenant, il
01:22:21va se retrouver, il va y avoir pas mal de coureurs qui vont contrer, je ne sais pas
01:22:24s'il va pouvoir courir sans tout le monde.
01:22:26C'est ce qu'il va tenter de faire, cette fois-ci sur l'attaque de Tobias, attaque un
01:22:31peu téléphonée de Yohannsen.
01:22:32River Matisse qui n'est pas résigné, qui est en train de revenir à l'avant de la course
01:22:40sur Romo, qui l'avait distancé dans la bosse.
01:22:42Il lui prend un relais tout de suite.
01:22:47Allez, nouvelle attaque derrière, et maintenant, c'est Skuyns qui est en train de suivre là.
01:22:55Sean Flynn qui a porté une attaque.
01:23:00C'est pas… On est comptable quand même de ses efforts dans ses attaques, on ne veut
01:23:05pas tout donner, évidemment, parce que justement, on n'est pas dans le dernier tour et on
01:23:12ne veut pas surtout se faire contrer.
01:23:14C'est quand même aussi délicat parce que Romo, il est à 29 secondes au général,
01:23:21il y a 10 secondes de bonus, donc là, ils sont à 30 secondes, il n'y a pas énormément
01:23:28de marge à 10 kilomètres de l'arrivée, donc il faut se rapprocher.
01:23:33Il faut préparer des 10 secondes de bonus à l'arrivée, mais il y a aussi le sprint
01:23:37bonus qui arrive là.
01:23:38Le sprint bonus avec les 3 secondes qui sera jugé à 4,7 km de l'arrivée.
01:23:42On a vu, Romo, il n'a rien perdu dans la montée, donc sur le plat, là, il perd du
01:23:47temps face à un peloton, face à un Pedersen qui agit tout ça, mais dans la montée, il
01:23:53n'a perdu strictement rien par rapport au peloton.
01:23:57Il faut se rapprocher, il faut se rapprocher de l'échappée à une dizaine de secondes,
01:24:04on va essayer même de revenir.
01:24:07On ne peut pas jouer, on n'a pas les mêmes informations sur place, on n'a pas les informations
01:24:12en direct comme nous, il y a un petit décalage.
01:24:13On ne peut pas se permettre de les contrôler à 15 secondes en se disant 15 plus 10, ça
01:24:21fait 25, c'est bon, ça passe pour le général, non, c'est trop short.
01:24:24Skjerns qui essaye de contrôler ce peloton, qui essaye aussi de maintenir l'écart avec
01:24:37les deux hommes de tête.
01:24:38On rappelle à Skjerns, c'est le dernier équipier de Matt Spedersen, tous les autres
01:24:47ont été distancés, effectivement, après avoir travaillé dans cette étape ou les
01:24:52jours précédents, on pense à Dan Houle, on pense à Gebraeke Zabier, vous vous interrogez
01:24:57peut-être si vous nous rejenez maintenant sur Jonathan Milan, mais Milan a fait les
01:25:01frais de cet enchaînement de boss qu'il y avait entre le 45e et le 30e kilomètre
01:25:09de course, et lui ne reviendra pas, il est dans un deuxième peloton.
01:25:12Skjerns, il faut qu'il continue un petit peu à rouler, à maintenir un rythme, sinon
01:25:17on s'expose à des contres.
01:25:19Alors que l'on reprend Val Scheid, qui était dans l'échappée avec ses deux hommes, avec
01:25:24Romo et Matthys, et qui maintenant rentre dans le rang.
01:25:29Voilà, c'est pour ça, Skjerns, il faut absolument qu'il se remette à l'avant du peloton et
01:25:32qu'il continue à poser un rythme, sinon, c'est clair qu'il va y avoir des attaques
01:25:36de partout.
01:25:37Des attaques incessantes, et pas forcément uniquement de la part des coureurs qui visent
01:25:41le classement général, mais de la part des coureurs qui visent aussi la victoire d'étape
01:25:45et seulement la victoire d'étape.
01:25:46Simon Guesche qui attaque pour l'équipe d'Allemagne, un coureur d'Alpecin aussi qui
01:25:57vient, qui tente de sortir, coureur de la Soudal, quick-step.
01:26:01C'est un peu délicat d'attaquer dans cette partie, parce qu'on s'expose, forcément
01:26:25on crée du danger pour la Little Trek, mais on s'expose à complètement exploser, à
01:26:28fournir un effort max avant l'ascension, et au vu de l'ascension, au vu de la difficulté,
01:26:35ça va être compliqué de fournir un effort total pendant deux kilomètres sur le plat
01:26:39et après d'être en mesure de relancer et de maintenir dans l'ascension.
01:26:43C'est un petit peu tout l'un tout l'autre, si on arrive à sortir.
01:26:47Allez, la cloche, la cloche du dernier tour, évidemment avec encore 7 kilomètres à couvrir
01:26:52dans cette étape, et n'oubliez pas surtout, à 4,7 kilomètres, il y aura ce sprit de
01:26:58bonus qui peut avoir de l'importance, puisque devant on a toujours nos hommes, les rescapés
01:27:02de l'échappée matinale.
01:27:03Ethan Haïtar est toujours en dernière position du peloton, il ne faut pas que ça monte et
01:27:08qu'il y ait des cassures, sinon il va être piégé.
01:27:11On a l'impression que lui, il joue son billet de loterie à chaque étape, ça passe ou
01:27:15ça casse.
01:27:16Quand tu cours dans cette position, tu n'es pas vraiment maître de ton destin, s'il y
01:27:20a des cassures dans tous les sens, on peut être très fort et doubler tout le monde,
01:27:24mais quand même, c'est se mettre en difficulté.
01:27:27Oh là là, ils sont juste derrière Romo et Mathéis, les coureurs du peloton, vous
01:27:31les avez vus débouler.
01:27:32Ils n'ont plus que 10 secondes d'avance, autant vous dire que les bonifs, elles sont peut-être
01:27:37déjà à l'esprit des coureurs qui sont en tête du peloton.
01:27:41Est-ce que Pierre, est-ce que de la part des coureurs de Lidl, on va essayer d'assurer
01:27:49avec cette bonif justement le classement général pour Mats Pedersen ou est-ce qu'on
01:27:53vise vraiment la victoire d'étape ?
01:27:54Non, on va viser l'étape, on va… Pedersen, on a vu dans la bosse, il n'y a pas grand
01:28:00monde qui peut le mettre en difficulté, il n'y a pas grand monde qui est plus fort
01:28:05que lui dans ce type d'ascension, il s'est même payé le culot de relancer en haut,
01:28:09il a fait comprendre en quelque sorte à tout le monde, bon les garçons, ce n'est pas
01:28:12la peine d'essayer de me distancer, ça va aller pour aujourd'hui.
01:28:16Allez, le check entre les deux hommes de tête parce que ça y est, c'est terminé,
01:28:20ils vont être repris, regardez, Tobias Johannessen remonté par un équipier, il a fait une petite
01:28:26faute là Tobias Johannessen, il a un peu balancé le coureur qui était derrière lui
01:28:31involontairement évidemment.
01:28:33Et puis son équipier surtout, il a viré trop vite, il n'a pas vu qu'il n'était
01:28:37pas dans la roue.
01:28:38Il n'y a que Archie pour moi, Ryan Archie qui peut distancer.
01:28:43Il est là Ryan Archie, il est en deuxième position derrière le coureur de l'équipe
01:28:47Tudor.
01:28:48C'est le seul qui peut mettre en difficulté réellement Pétersen.
01:28:51Ce sont les Tudors qui vont attaquer le coureur le mieux placé chez Tudor, c'est Florian
01:28:57Storck, c'est parti pour l'irlandais.
01:28:59Et là ça part beaucoup plus tôt que tout à l'heure, on est quasiment au pied de la
01:29:02bosse donc ça va durer un petit moment.
01:29:03Tobias Johannessen qui reste dans la roue d'Archie, Ryan.
01:29:06Oh il est distancé Hitter derrière.
01:29:09Hitter en difficulté, regardez Archie, Ryan pardon.
01:29:13Archie, Ryan effectivement qui secoue le cocotier, attention parce que Mats Pétersen il est
01:29:21un petit peu plus loin là-bas mais pour l'instant il colle à la roue des coureurs, je dis attention
01:29:26en cas de cassure évidemment, il serait obligé de combler ses cassures.
01:29:29Il bouge un trou, il y a un coureur Carwal qui a pris un petit éclat.
01:29:33Non non non, il ne bouge pas un trou, je croyais qu'il était en train de se faire, Mats Pétersen
01:29:37pour moi il a un peu limite.
01:29:38Regarde il est limite, il est en train de remonter tout seul.
01:29:42Il y a le bonus là, il y a des bonifications.
01:29:47Avec Luc Lamperti qui lance justement le sprint pour le bonus, Luc Lamperti et Mats Pétersen
01:29:53qui va devoir laisser filer ses secondes et vous l'avez dit, ils visent peut-être plutôt
01:29:56la victoire d'étape.
01:29:57Van Poppel non ? Oui c'est ça.
01:29:59Je crois que c'est Van Poppel qui est passé deuxième.
01:30:00C'est un peu la même chose qu'hier rappelez-vous, Lamperti, Van Poppel, il y avait Flynn qui
01:30:05était là mais là on ne le voit pas.
01:30:06Attaque de Yohann Eyssen.
01:30:07Yohann Eyssen à droite qui part sur la droite, comme d'habitude on n'a pas trop vu le bonus,
01:30:13la ligne du sprint bonification mais on peut penser que c'est Lamperti qui est passé en
01:30:18tête devant Van Poppel et Tobias Yohann Eyssen c'était bien joué attendre ce passage sur
01:30:28le bonus pour contrer et tenter de sortir mais ça n'a pas vraiment fonctionné.
01:30:32Là-bas ça nous l'invite partout.
01:30:34Allez, Mats Pedersen en tête.
01:30:36Van Poppel quand même solide, je ne le voyais pas à ce niveau-là, pas dans une bosse.
01:30:46Trois coureurs, quatre derrière avec Aoulard, Buitrago.
01:30:51Et on a une cassure avec sept coureurs qui se sont détachés.
01:31:05Mats Pedersen en première position, Tobias Yohann Eyssen en deuxième position, juste
01:31:10derrière on a Danny Van Poppel, ensuite on doit retrouver le coureur de Carahual, c'est
01:31:16lequel ?
01:31:17C'est Aoulard.
01:31:18Aoulard qui est en quatrième position, ensuite Buitrago qui ferme la marche avec devant lui
01:31:27Lamperti.
01:31:28Yohann Eyssen il est sorti, il y a une cassure, il faut que Pedersen réagisse.
01:31:33Van Poppel et Aoulard n'ont pas fait l'effort et c'est Pedersen qui doit faire l'effort
01:31:37seul.
01:31:38Pedersen il a bien réagi, il ne s'est pas fait piéger.
01:31:42Regardez dans ce virage, il a repris 5 mètres, 10 mètres, encore un virage et il va retomber
01:31:48dans la roue.
01:31:51Attention au contrat maintenant, celui-là ça va se regarder c'est sûr.
01:31:58Elle est courante, Tudor, il va profiter du marquage.
01:32:01Sur Radio Tour on parle de Cepeda et non pas d'Aoulard pour l'équipe Carahual.
01:32:18Avec Storch qui a pris quelques mètres d'avance, Storch à 2,8 km, poursuivi par le leader
01:32:26de la course Mats Pedersen, dans la roue de Mats Pedersen, Tobias Yohann Eyssen.
01:32:31Derrière Tobias Yohann Eyssen, Dani Van Poppel.
01:32:34Derrière Dani Van Poppel, le courant de la formation sud-alp-quick-step, c'est Luc Lamperti.
01:32:41Et ensuite nous avons Cepeda que vous voyez en bas de l'écran.
01:32:4528 secondes de retard pour Florian Storch au classement général.
01:32:50Oui, ce qu'il vise là, de toute façon on court autant pour la victoire d'étape que
01:32:55pour un éventuel rapproché au classement général.
01:32:59Mais avec de toute façon Mats Pedersen qui saute sur tout ce qui bouge et qui ne perd
01:33:02pas beaucoup de terrain, et qui n'en perd pas du tout d'ailleurs.
01:33:05Eh bien, on est plutôt, on songe plutôt à la victoire d'étape.
01:33:08Attention, il y a encore un gros peloton derrière, ça peut rentrer encore.
01:33:12Et pour gagner l'étape, il faudra surprendre Mats Pedersen.
01:33:15Pas arriver avec lui dans la dernière ligne droite.
01:33:18Regardez à l'extérieur, le courant de l'équipe Bahrein, je ne sais pas si c'est Butrago.
01:33:23Il me semble qu'il y a un deuxième Bahrein qui est revenu.
01:33:25Oui, je crois aussi.
01:33:26Il y a deux coureurs qui ont intégré ce peloton.
01:33:29Ah non, ce n'est pas du tout Cepeda, ce n'est pas du tout Bahrein.
01:33:34Cepeda qui roule actuellement en première position.
01:33:37On voit le peloton derrière.
01:33:40Dans le peloton, il me semble que c'est Total Direct Energy.
01:33:44Qui n'est pas loin.
01:33:45C'est un DSM qui est rentré.
01:33:47Ce n'est pas un Bahrein.
01:33:48Allez, attention.
01:33:49Ça attaque à gauche.
01:33:50Qui attaque ?
01:33:52Oh, mais c'est Nordhagen, c'est le maillot de le meilleur grappeur.
01:33:56Effectivement, le porteur du maillot à poids multicolore.
01:33:59Maillot noir à poids multicolore qui vient de porter une violente attaque.
01:34:03Courant de l'équipe Wismar qui passe en tête sous la flamme rouge.
01:34:07Derrière, Sean Flynn qui est en train de faire l'effort.
01:34:12Et Mads Pedersen qui en profite en troisième position.
01:34:17C'était bien joué de la part de Nordhagen là.
01:34:21Oui, mais on a réagi.
01:34:22Allez, c'est parti pour Johan Sen maintenant.
01:34:25Tobias Johan Sen.
01:34:26Attention, il ne peut pas se permettre de laisser partir Mads Pedersen.
01:34:29Il n'y a que 12 secondes.
01:34:30On rappelle qu'il y a des bonifs à l'arrivée.
01:34:3110 secondes à l'arrivée pour le vainqueur.
01:34:33Et Mads Pedersen, il va progressivement.
01:34:36Il ne met pas tout pour suivre Johan Sen d'un seul coup.
01:34:39Parce qu'il sait qu'il peut s'exposer à un contre.
01:34:41500 mètres de la ligne.
01:34:44Il va revenir comme s'il faisait un sprint long, j'ai l'impression, Mads Pedersen.
01:34:48C'est bien parti pour Van Poppel qui est dans une position idéale.
01:34:52Van Poppel actuellement, il est en cinquième position.
01:34:55Tobias Johan Sen est repris par Mads Pedersen.
01:34:58Allez, Mads Pedersen qui continue, qui lance.
01:35:00Allez, Mads Pedersen qui va lancer ce sprint.
01:35:02Storck derrière.
01:35:03Mads Pedersen toujours en tête.
01:35:05Mads Pedersen avec Van Poppel qui vient se replacer, mais un peu loin.
01:35:08Mads Pedersen pour revenir.
01:35:09Van Poppel pour revenir.
01:35:11Et c'est Mads Pedersen qui réalise un carton plein pour l'équipe Lidl Trek.
01:35:15Qui aura remporté sur ce tour d'Allemagne toutes les étapes.
01:35:19Trois victoires d'étapes remportées par l'équipe Lidl Trek par Jonathan Milan.
01:35:29Et deux par Mads Pedersen, mais qui remporte aussi le classement final 5 sur 5.
01:35:35On a bien reçu le message de l'équipe Lidl Trek.
01:35:39Et bien voilà, à la fois, bien sûr, une deuxième victoire d'étape à titre personnel.
01:35:43Une dixième d'ailleurs cette saison pour Mads Pedersen, l'ancien champion du monde.
01:35:47Qui inscrit pour la première fois de sa carrière le tour d'Allemagne à son palmarès.
01:35:51Au moins on ne s'embête pas avec les comptes.
01:35:53Faut savoir qui est en tête du classement général.
01:35:57Félicité par Tobias Johansen, le meilleur jeune de ce tour d'Allemagne.
01:36:05Patrick, Christophe, Pierre, on va prendre le temps bien sûr de débriefer tout ça en plateau ensemble.
01:36:09On le voit là avec le maillot de bleu de leader qui ressemble pas mal d'ailleurs au maillot de la Lidl Trek.
01:36:15Mads Pedersen qui vient de s'imposer et sur l'étape et sur le classement général.
01:36:18Christophe, est-ce qu'on est vraiment allé gêner Mads Pedersen à nouveau ?
01:36:23Ou est-ce que c'était, comme l'expression le dit, du tableau noir aujourd'hui ?
01:36:26Non, ce n'était pas du tableau noir.
01:36:28Clairement, il s'est retrouvé isolé.
01:36:29Sur le final, il n'avait que Skeins.
01:36:31Collectivement, ils étaient prenables.
01:36:34Non, je pense qu'aujourd'hui, contrairement aux autres étapes où j'ai été assez virulent,
01:36:37là, clairement, on a fait ce qu'il fallait.
01:36:39Peut-être pas pour toutes les équipes, mais en tout cas, on a vu qu'il y a une sélection.
01:36:42Le sprint final, il n'y avait vraiment rien à faire face à Mads Pedersen.
01:36:46Van Poppel était peut-être un tout petit peu plus rapide, mais il était placé trop loin.
01:36:50Il lance ce sprint en dernière position.
01:36:52Il lance le sprint, il était en 4ème ou 5ème position dans la roue de Lamperti
01:36:55qu'il n'a pas pu suivre.
01:36:56Du coup, il avait le trou déjà bouché une dizaine de mètres.
01:36:59Il a juste pu revenir dans la roue.
01:37:01Mais Mads Pedersen était quand même très fort parce que sur le final,
01:37:03il a quand même été chercher Nordhagen, il a été chercher Johansen.
01:37:08Ça fait au moins 700-800 mètres qu'il est dans le vent,
01:37:11en train de rouler et d'emmener.
01:37:13Et malgré tout ça, on n'a pas réussi à le battre.
01:37:19Et bien voilà, un nouveau succès pour l'équipe Lidl Trek.
01:37:22On vous disait que derrière la formation UAE,
01:37:24c'était l'équipe la plus prolifique de l'année, de l'année et de la saison.
01:37:28Et bien, on en a une fois de plus l'illustration.
01:37:30Mais alors, sur le Tour d'Allemagne, remporter toutes les étapes,
01:37:34plus le général, évidemment, c'est magnifique ce qu'a réalisé cette formation
01:37:39sur, on le rappelle, le Lidl Dutch Long Tour.
01:37:43Puisque c'est la raison pour laquelle c'était évidemment...
01:37:46Je pense qu'il est content le sponsor.
01:37:48Voilà, une course importante pour ce sponsor.
01:37:54L'équipe Lidl qui remporte cette dernière étape.
01:37:58Von Poppel pour la formation allemande.
01:38:02Red Bull Borehansgrohe doit se contenter de la deuxième place à l'arrivée de cette étape.
01:38:07A noter quand même la belle fin de course de Jürgen Nordhagen
01:38:11qui n'était pas vraiment cité parmi les hommes en vue dans cette dernière étape
01:38:15jusqu'à ce qu'il apparaisse vraiment dans le dernier tour et dans la fin du dernier tour
01:38:19pour aller ensuite disputer la victoire.
01:38:23Et je dois rectifier, c'est pas Flynn qui était là présent pour DSM
01:38:27mais c'était le coureur américain Kevin Wermerck
01:38:30dans le final que l'on retrouvait
01:38:32aux côtés des Florian Storck et des Jefferson Cepeda.
01:38:38On en reparlera peut-être, mais la prochaine course au programme de Max Pedersen
01:38:42c'est le championnat d'Europe qu'on suivra sur la chaîne L'Equipe.
01:38:45Est-ce que c'est une préparation idéale pour lui finalement ?
01:38:48Est-ce que c'est la relance idéale surtout parce qu'il est en train de scorer
01:38:51complètement dans cette deuxième partie de saison
01:38:53comme il l'avait fait jusqu'au mois de mars
01:38:56principalement en allant aussi gagner une étape du Dauphiné cette année
01:38:59c'était début juin, Max Pedersen ancien champion du monde
01:39:02déjà vainqueur d'étapes sur les trois grands tours
01:39:04on ne va pas le représenter à nouveau
01:39:06mais on voit en tout cas avec quel brio il s'est encore imposé aujourd'hui sur cette étape
01:39:11ça faisait longtemps qu'on n'avait pas vu toute une équipe comme ça
01:39:14remporter toute une course. Patrick, vous avez un souvenir comme ça vous ?
01:39:17Sur toutes les étapes ?
01:39:19Bah écoutez, on va chercher et puis on va vous répondre
01:39:22Sur le tour du Poitou-Charentes peut-être
01:39:25A cette époque de l'année en fait
01:39:27puisque le tour du Poitou-Charentes vient de se terminer
01:39:29C'est ça, c'est l'exemple que j'ai en tête moi
01:39:33Claire, la prochaine fois que vous me collez comme ça
01:39:35Non, non, non, alors je ne vous ai pas que je me suis
01:39:37franchement je suis choisie les mots
01:39:39je me suis dit est-ce que vous avez souvenir Patrick de quelque chose ?
01:39:41ça ne voulait pas dire Patrick donnez-moi la stat s'il vous plaît
01:39:44mais ce qu'on fait Patrick c'est qu'on se quitte quelques instants
01:39:46on se retrouve en plateau et vous me donnez la stat
01:39:50Beau challenge, merci. Oui, on va faire ça
01:39:53Allez, à tout de suite, on va débriefer de cette magnifique victoire
01:39:55de Matt Spederson, on va parler de la suite
01:39:57de la saison vélo également
01:39:59et puis n'oubliez pas, il y a l'UTS, il y a le tennis
01:40:01avec la finale de l'AMONT, Gaël Monfils