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ÉducationTranscription
00:00Je suis très contente de faire ça parce qu'au Maroc le break c'est pas connu et avec les
00:21JO maintenant c'est connu parce que tous les parents et les gens, les jeunes, ont vu le
00:28break dans la télé, donc c'est très bien pour moi.
00:32La visibilité due aux jeux olympiques, maintenant finalement ceux qui ne travaillent pas savent
00:43aujourd'hui, mais pour nous c'est pas nouveau, on fait déjà pas mal d'années, on défend le break,
00:49mais qu'on gagne en visibilité, chaque année un petit peu plus, encore un peu plus, un petit
00:54pouce, un extra pouce cette année avec les JO, on se sent mieux, ça permet de se rendre compte,
00:58c'est un truc pas du tout has-been, qui gagne de plus en plus de jeunes, de filles également,
01:03et qui je pense qu'il va encore durer à des temps éternels.
01:08Je veux dire qu'aujourd'hui le break marche, finalement ils sont tellement bien,
01:11il y a tellement de monde qu'il y a beaucoup de battles, de compétitions partout, en Belgique
01:15comme ailleurs, et donc on voulait innover, on a déjà fait beaucoup de battles de break masculin,
01:20et on voulait mettre les dames à l'ennui parce que le niveau est vraiment ouf,
01:25et donc ça permet de jouer un peu différemment, et d'intéresser finalement les bigots de demain.
01:45J'ai commencé le break en 2015 au Maroc, mes collègues et moi, ils ont dit,
01:53viens pour faire le break avec nous, et j'ai dit c'est quoi ça, ils ont dit juste viens avec nous,
02:01et tu vas voir, et à ce moment là j'ai commencé le break.
02:05Il y a des bigots de high level ici, donc c'est le même pour moi,
02:10c'est juste que les JO c'est une chose grande, et c'est dans les télés et tout,
02:15mais pour moi c'est le même vibe.