El Triunfo que importa | 5 de agosto | Miguel Hidalgo se hizo brasileño

  • il y a 2 mois
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Sport
Transcription
00:00Sous-titrage Société Radio-Canada
00:30Oui, c'est ce que confirme le badmintoniste Ramon Garrido.
00:34Écoutez, c'est Sodoma et Gomorra, Paris, aujourd'hui.
00:38C'est vrai qu'il y a une orgie là-dedans.
00:42Je ne sais pas, j'ai ma copine.
00:46Je ne sais pas, mon amour.
00:48Je vais dormir tôt dans la chambre.
00:51Dans la chambre de carton.
00:53Non, la vérité c'est que oui, c'est une merde.
00:57C'est vrai que tu es là, tu es en train de dormir,
00:59et il y a des bruits.
01:00C'est vrai, c'est vrai.
01:02En fait, nous, là-bas, dans l'édifice,
01:04nous avons le service médical.
01:06Tu sors du service médical et à droite,
01:08je vais te envoyer une photo sur Instagram,
01:10il y a la boîte, c'est pas une merde,
01:12une boîte remplie de condoms.
01:14C'est vrai, c'est vrai.
01:16Imagine, tu as les meilleurs corps du monde,
01:18comme des hommes, comme des femmes,
01:20et je ne sais pas, c'est vrai.
01:24La copine, la copine, en voyant ça au Mexique...
01:28Mais vous savez quoi?
01:29Cherchons un angle positif,
01:31parce que le carton ne rachète pas.
01:33C'est vrai.
01:34Donc, vous pouvez bouger vos épaules,
01:36le petit pied, tout ça.
01:38Vous avez vu comment l'athlète sautait dans sa chambre?
01:40Oui.
01:41Je ne sais pas, j'imagine des choses bizarres.
01:44Tu es là aussi.
01:45Je t'attends, Joséfa, pour sortir de la chambre,
01:47de ce que je vois.
01:49Tu m'as perturbé.
01:50Ce que j'espère, c'est qu'ils utilisent de la protection.
01:52Ce n'est pas que la véritable médaille
01:54leur arrive 9 mois plus tard.
01:56Ah, une médaille de ceux qui pleurent et qui ont besoin de paillettes.
01:58Une petite médaille.
01:59Il y a des médailles qui arrivent à 3 jours aussi.
02:02Mais bon, je ne les blâme pas,
02:05ce sont les meilleurs athlètes du planète.
02:07Ils savent combien valent leurs gènes,
02:09et c'est pour ça qu'ils les échangent
02:11avec leurs équivalents.
02:13Comment, leurs gènes?
02:15Comme des coups.
02:17Si vous vouliez que les athlètes
02:20ne sentent pas la soudure et la gloire,
02:22alors non, ils sentent du latex et du chlore.
02:24Il n'y a qu'aux lavateurs.
02:26Ah oui, c'est vrai.
02:28De l'eau de coco.
02:30J'ai toujours su que dans les villes,
02:32il y avait beaucoup de langues,
02:34mais je n'imaginais pas
02:36qu'il y avait aussi tant de langues.
02:38Exact.
02:49C'est tellement beau que son carton est déjà déchiré.
02:51Ils lui ont donné trop d'utilisation.
02:53Tout s'est déchiré.
02:55Mais regardez, il y a l'image.
02:57Il y a Thomas Tchekon.
02:59Regardez-le.
03:01Allons-y.
03:03C'est trop beau.
03:05C'est trop beau.
03:07C'est trop beau.
03:09C'est trop beau.
03:11C'est trop beau.
03:13C'est trop beau.
03:15C'est trop beau.
03:18C'est trop beau, regarde-le.
03:20C'est le Thomas Blanc d'un parc.
03:22Il dormit bien.
03:24Si une petite fille l'emprisonne
03:26et le met dans un appartement
03:28pour dormir bien, je ne sais pas.
03:30Il est déchiré,
03:32mais si j'avais trouvé ce chien,
03:34je l'aurais adopté
03:36comme un chien de territoire.
03:38Je le prends chez moi.
03:40Avec ses croquettes.
03:42Pour voir si je l'éduque.
03:44C'est trop beau.
03:46J'ai pensé que c'était l'indigène Noronha.
03:49Non, non.
03:51C'est plus sexy que Noronha.
03:54Qui est plus sexy ?
03:55Noronha, bien sûr.
03:57C'est bien qu'il l'ait fait là-bas,
03:59parce que si il l'avait fait ici,
04:00il n'aurait plus de téléphone, de poche,
04:02ni de poche et peut-être pas de vêtements.
04:04Exact.
04:07Qu'est-ce qui s'est passé, champion ?
04:08On dirait que quelqu'un n'a plus pu
04:10s'occuper de la vigoureuse activité sexuelle dans la ville.
04:13C'est ça que j'aimais, Chécon.
04:15Avec toute la terre, le pastis,
04:17il n'arrête pas d'être un vrai papouche
04:20qui a gagné le coeur de tous.
04:23C'est un papouche. Comment le vois-tu ?
04:25Est-ce qu'il est très papouche ?
04:26Non, c'est très joli.
04:28Il est très joli ?
04:30Très joli, il dit.
04:32Et en parlant d'alberques,
04:34vous savez quoi ?
04:35Faire l'oeil à un compétiteur de nage synchronisé
04:37n'est pas facile.
04:39Pourquoi ?
04:40Parce que regardez cette nette transparente
04:42si étrange qu'ils utilisent pour se peindre.
04:44Je pense qu'il faut qu'ils l'enlèvent
04:46avec une spatule ou quelque chose comme ça.
04:50Qu'est-ce que c'est ?
04:52C'est comme un casque de vélo.
04:54Mais de quoi ?
04:55Qu'est-ce qu'ils portent là-bas ?
04:56Quelles substances ?
04:57Ils mettent de la grenadine.
04:58C'est fou de Mary ?
05:02Ça a l'air plus naturel que le peluquin d'Adal.
05:05C'est vrai.
05:06C'est le peluquin d'Adal qui parle.
05:08Je vais lui demander où,
05:10parce que je...
05:11Les gens du stade sont en train de partir.
05:13C'est bien.
05:14La femme qu'on a vu,
05:15elle a la tête plus dure
05:17qu'un adolescent pubère qui regarde du porno
05:19pour la première fois.
05:22Christian Martiloni est certainement fier
05:24qu'un athlète de haut rendement
05:26ait copié son peignoir.
05:28C'est vrai.
05:29En fait, c'est la chose la plus têtue que j'ai vue
05:32au moins depuis que j'ai passé les 40 ans.
05:38Tu sais quoi ?
05:39Maintenant que je l'ai vue,
05:40je me souviens de tant de fois
05:42où j'ai été dit qu'il n'y avait pas de peau.
05:44J'ai compris pourquoi.
05:46C'est clair.
05:48C'est le moment magnifique.
05:50C'est le moment que tout le Mexique attend.
05:52Allons maintenant à Paris
05:54avec Roberto López-Olvera,
05:56qui a trouvé une autre façon de boire au travail.
05:59Où es-tu ?
06:00Cette zone a l'air amusante.
06:02J'ai vu des éléments très intéressants aujourd'hui.
06:04Zone rouge.
06:05Que se passe-t-il, M. López-Olvera ?
06:08Comment allez-vous, mes amis ?
06:10J'ai l'honneur de pouvoir faire une connexion avec le Mexique
06:13dans un endroit où la police...
06:15Ici, nous voyons comment ça se passe et ça se passe vite.
06:18Ici, c'est dangereux.
06:20C'est proche de la Bastille.
06:22L'ambiance est très amusante.
06:24On voit tous ces courageux
06:26qui aiment s'amuser avec le physique,
06:28qui ont la peau assez grosse,
06:31qui ne s'intimident pas devant personne
06:33parce que la chose est piquante.
06:36Alors, prenez toutes les précautions.
06:40En parlant de prendre...
06:42Attendez, en parlant de prendre...
06:44Vous avez les yeux un peu inflatés, Roberto.
06:47Combien de temps as-tu passé dans la zone rouge ?
06:49Parce que tes yeux combinent.
06:51Oui, oui.
06:54Les petites heures de sommeil
06:56et le risque sont des combinaisons
06:59qui provoquent ce genre de provocations.
07:02Mais bon, la vérité est que je vous ai raconté
07:05une histoire incroyable.
07:07Le Mexique ne conquiert pas le monde
07:09parce qu'il n'en veut pas.
07:11Encore une fois, c'est une montre
07:13de comment le Mexique,
07:15les produits mexicains
07:17ont conquisté la France
07:19et Paris.
07:20Et c'est la note du jour.
07:21Mesdames et Messieurs, s'il vous plaît,
07:23si vous avez faim,
07:24profitez de ce moment.
07:26Au revoir, mon enfant.
07:28Démons.
07:29Il fait déjà plusieurs jours qu'on est au Paris
07:31et le mal de l'Hamaïkon arrive.
07:35J'espère qu'il n'y aura que ça, non ?
07:38Mais j'ai déjà envie d'aller au Mexique.
07:41Oh, mec !
07:45Une taquerie ?
07:46Allons voir.
07:55Hey, tu veux le plus fort que tu puisses faire ?
07:59Le plus fort ?
08:00Bien sûr !
08:02J'y vais.
08:03Viens.
08:04Où est mon voisin ?
08:06Il ne doit pas me tromper.
08:08Et puis, qu'est-ce que je fais ?
08:10C'est de plus en plus sombre.
08:12Et ces gens, d'où sont-ils venus ?
08:15Pourquoi est-ce qu'ils m'emmènent dans la cuisine ?
08:18Je ne suis pas venu demander un travail de cuisinier.
08:20Qu'est-ce que c'est ?
08:22Ah !
08:23C'est ce que j'avais besoin.
08:25Un papacho amigado mexicano.
08:30Caro, tu m'as amenée ici.
08:32Dis-moi, qu'est-ce que c'est que la Mescalerie à Paris ?
08:35La Mescalerie est un bar caché
08:38qui se trouve près d'un restaurant mexicain
08:41et qui est très célèbre pour les Français.
08:44Ils aiment beaucoup.
08:45Cet incroyable endroit inspire le Mexique.
08:48Vélodromes de Santos, piñatas, papier piqué,
08:51sarapes, journaux mexicains.
08:54Un putain de triomphe spécial.
08:56Tu vas m'offrir un des bières insignes
08:58de la Mescalerie à Paris ?
09:00C'est ça.
09:01C'est le plus célèbre qu'on a ici.
09:03Il s'appelle No Mames.
09:04Quoi ?
09:05No Mames.
09:06Donne-le-moi.
09:09Parfait.
09:10Regarde juste ça.
09:12Je peux en prendre un ?
09:14Qu'est-ce qu'il dit ici ?
09:15No Mames.
09:18Je vais goûter et tu me le dis après.
09:20Salut.
09:27C'est très bon.
09:29Qu'est-ce que c'est ?
09:30C'est un peu de mescal.
09:32On a un peu de limon pour qu'il soit vert.
09:34Et la décoration, c'est du lait.
09:43Ici, nous proposons le mescal pour la dégustation
09:49et aussi avec le cocktail pour montrer
09:51que le mescal est très versatil
09:54Pour le mal, c'est un mescal.
09:56Et pour le bien, c'est un mescal aussi.
09:59Mais cet élixir des dieux a pris des victimes.
10:03Et ici, nous vous montrons un fidèle témoignage.
10:19Mon cher López Olvera,
10:20j'ai l'honneur de voir que ton ami,
10:22qui était très émouvant,
10:23avait une mascarette.
10:24C'est la protection pour la lutte.
10:26Je suis super embêté.
10:28Roberto est envoyé à Paris
10:30et il est laissé goûter sur la télé.
10:32C'est vrai.
10:33Et nous, qu'est-ce qu'on fait ?
10:34Salut, salut.
10:35Quoi ?
10:36Quelle est la situation ?
10:37L'honneur est là.
10:38La vérité, c'est qu'il faut toujours
10:40se faire la fête physique.
10:42Qu'est-ce que tu fais ?
10:43Qu'est-ce que tu fais ?
10:44J'ai même perdu la communication.
10:46Ah, López Olvera.
10:49Je vous embrasse.
10:50C'est encore plus turbide.
10:52Paris, c'est vraiment fou.
10:54Messieurs, je vous aime.
10:56Nous aussi.
10:57Prenez soin de vous.
10:59La mascarette, Roberto.
11:01La mascarette pour la lutte.
11:02Au revoir.
11:03Mon Dieu, la vie est injuste.
11:05Tu as vu ?
11:06Mescaliers, amis d'occasion,
11:08c'est comme ça.
11:09C'est comme ça.
11:10C'est comme ça.
11:11C'est comme ça.
11:12C'est comme ça.
11:13C'est comme ça.
11:14C'est comme ça.
11:15C'est comme ça.
11:16C'est comme ça.
11:17C'est comme ça.
11:18C'est comme ça.
11:19C'est comme ça.
11:20C'est comme ça.
11:21C'est comme ça.
11:22C'est comme ça.
11:23C'est comme ça.
11:24C'est comme ça.
11:25C'est comme ça.
11:26C'est comme ça.
11:27C'est comme ça.
11:28C'est comme ça.
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11:30C'est comme ça.
11:31C'est comme ça.
11:32C'est comme ça.
11:33C'est comme ça.
11:34C'est comme ça.
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11:41C'est comme ça.
11:42C'est comme ça.
11:43C'est comme ça.
11:44C'est comme ça.
11:45C'est comme ça.
11:46C'est comme ça.
11:47C'est comme ça.
11:48C'est comme ça.
11:49C'est comme ça.
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11:51C'est comme ça.
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12:00C'est comme ça.
12:01C'est comme ça.
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12:31C'est comme ça.
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12:34C'est comme ça.
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12:50C'est comme ça.
12:51C'est comme ça.
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13:01C'est comme ça.
13:02C'est comme ça.
13:03C'est comme ça.
13:04C'est comme ça.
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13:10C'est comme ça.
13:11C'est comme ça.
13:12C'est comme ça.
13:13C'est comme ça.
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13:15C'est comme ça.
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13:21C'est comme ça.
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14:44C'est comme ça.
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14:53C'est comme ça.
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15:01C'est comme ça.
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