• l’année dernière
Si pour la majorité, ces Jeux olympiques sont synonymes de fête, pour d'autres, c'est la sécurité des visiteurs qui prime. C'est le cas du GIGN qui se prépare à tout scénario pour assurer la protection de Paris. Parmi les éventualités, la prise d'otage inquiète particulièrement l'unité d'élite qui s'y prépare.

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Transcription
00:00Une cinquantaine d'agents du GIGN s'apprêtent à pénétrer dans cet immeuble de la banlieue
00:06parisienne à la recherche d'otages.
00:08Mais pas d'inquiétude, il s'agit bien d'un exercice, le dernier, avant les Jeux
00:13Olympiques de Paris.
00:14Au programme infiltration, déminage et extraction par hélicoptère, le but, se préparer à
00:19toutes les éventualités.
00:21Ce qu'on veut travailler, c'est des assauts dans des environnements qui sont vastes, avec
00:26un nombre d'impliqués, d'otages, voire de terroristes qui sont importants.
00:32Le GIGN fête cette année leur cinquante ans, fondé en 1972 après le massacre des
00:38Jeux Olympiques de Munich, au cours duquel onze Israéliens avaient trouvé la mort dans
00:42une prise d'otages.
00:43Cinquante ans plus tard, l'enjeu est toujours d'actualité, l'unité d'élite est prête
00:48pour éviter tout drame.
00:49Il y aura bien évidemment un dispositif particulier qui sera mis en place, en lien avec les responsables
00:55des délégations, soit la délégation israélienne et peut-être aussi d'autres délégations
01:00qui sont jugées comme sensibles.
01:01Durant les Jeux Olympiques, environ 50 000 policiers et soldats français assureront
01:06la protection des visiteurs, avec l'aide de milliers d'agents de sécurité étrangers.

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