• il y a 5 mois
Carlos Alcaraz a remporté pour la 2ème année consécutive Wimbledon. L'espagnol a dominé en 3 sets Novak Djokovic. 4ème sacre en Grand Chelem pour Alcaraz.

Sur le Tour de France, Tadej Pogacar a surclassé son grand rival Vingegaard pour remporter la 15ème étape au plateau de Beille et accroitre son avance au classement général.

La flamme olympique est à Paris, reportage et réactions des porteurs.
Regardez On Refait le sport avec Isabelle Langé du 14 juillet 2024.

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Transcription
00:00RTL, on refait le sport, avec le Parisien aujourd'hui en France, Isabelle Langeais.
00:09Bonsoir à toutes et à tous, c'est parti effectivement pour une grande soirée de sport sur RTL,
00:14puisqu'à 20h je passerai le relais à Eric Silvestro pour la finale de l'Euro de football entre l'Espagne et l'Angleterre, le coup d'envoi 21h.
00:21D'ailleurs dans un instant nous irons prendre le pouls à Berlin avec notre envoyé spécial Baptiste Durieux.
00:27Au programme également le tennis, Carlos Alcaraz, roi de Wimbledon.
00:31L'Espagnol a surclassé Novak Djokovic en finale en 3-7 messieurs dames.
00:36Quatrième titre en grand chelem pour Alcaraz, le deuxième consécutif sur le gazon londonien.
00:41Nous en parlerons avec notre consultant Henri Lecomte.
00:44Et puis la flamme olympique est à Paris pendant 48h.
00:47C'est Thierry Henry qui a été le premier porteur ce matin après le défilé du 14 juillet.
00:51C'est un petit rite pour pouvoir profiter.
00:54Fête nationale, sur les champs, les JO à Paris.
00:57Juste extraordinaire.
00:58Nous allons longuement revenir sur ce parcours de la flamme
01:01qui est passé par des lieux chargés de symboles aujourd'hui à Paris.
01:04Notre-Dame, le musée de la Choix, le Bataclan.
01:06Et puis nous irons bien sûr sur la route du Tour de France où Tadej Pokacar a mis tout le monde K.O.
01:11Le Slovène a non seulement remporté la 15ème étape au plateau de Bey,
01:15mais il accroît son avance au classement général.
01:17Le maillot jaune compte désormais 3 minutes et 9 secondes d'avance sur son grand rival,
01:21le Danois Vingegaard.
01:22Pour m'accompagner ce soir, Benoît Lallement,
01:24le patron du service des sports du Paris et Aujourd'hui en France,
01:27et notre partenaire, Quentin Vasselin.
01:29Bonsoir messieurs.
01:30Bonsoir Isabelle, bonsoir à toutes et à tous.
01:32Bonsoir Isabelle, bonsoir à tous.
01:33C'est un joli dimanche de sport Benoît.
01:35C'est un très joli dimanche de sport et de fête.
01:37Et c'est pas terminé.
01:38Et c'est pas terminé.
01:39Parce que c'est très tard ce soir à l'hôtel de ville à Paris.
01:41On va s'étirer toute la nuit, j'ai l'impression.
01:43Allez, sans plus attendre, direction Berlin pour la finale de l'Euro.
01:51On est super émus.
01:52On va se retrouver tous ensemble pour profiter à fond.
01:54On est tous derrière la Roja.
01:56Tout le monde pense que l'Espagne va gagner
01:59parce que nous sommes l'équipe qui a joué le mieux dans tout le campionnat.
02:05Être en finale, c'est un bon feeling.
02:06C'est vraiment bien.
02:07J'aime beaucoup Gareth Southgate.
02:08Ce tournoi n'a pas été facile pour lui.
02:10Mais depuis qu'il est entraîneur, il a fait de la magie.
02:12On n'a jamais été dans autant de quarts et de demi finales.
02:14Je ne peux pas m'empêcher d'y croire.
02:18Peut-être qu'on peut gagner, dit Casey.
02:20Mais on va affronter une équipe très forte.
02:22Ce sera un challenge.
02:26Des supporters anglais, espagnols au micro de Diane Cambon
02:29et de Marie Billon, nos correspondantes en Espagne et en Angleterre.
02:33C'est le feu d'artifice finale à l'Euro de football à 21h.
02:37L'Espagne défie donc l'Angleterre à Berlin
02:40où nous retrouvons l'envoyé spécial de Hertel.
02:42Bonsoir Baptiste Durieux.
02:43Bonsoir Isabelle.
02:44Bonsoir à tous.
02:45On entend derrière vous.
02:46L'ambiance monte tout doucement.
02:48Depuis ce matin, c'est assez extraordinaire.
02:50Les rues de Berlin sont noires de monde.
02:52Et de supporters, on sent qu'évidemment c'est une finale
02:54avec tout l'engouement, l'enthousiasme que ça génère.
02:57Je croise depuis le début de journée
02:58des personnes qui sont déguisées en toreador,
03:00en habit traditionnel espagnol.
03:01De l'autre côté, des Anglais bière à la main
03:02qui chantent « Football is coming home ».
03:04Sans lasser.
03:05Deux salles, deux ambiances.
03:06Habit traditionnel aussi pour les Anglais, Baptiste.
03:08De bière à la main.
03:09Évidemment, fatalement.
03:10Tout cela est très respecté.
03:11Avec modération.
03:12Mais un stade Olympique de Berlin
03:13qui sera évidemment plein à craquer ce soir.
03:1570 000 spectateurs,
03:16des tribunes qui sont toujours un petit peu clairsemées
03:18à l'instant où je vous parle.
03:19Mais on sent cette pression
03:20et cette atmosphère des grands soirs évidemment.
03:22C'est le pre-match avant.
03:24Il faut bien se chauffer un petit peu autour des buvettes,
03:26je pense, avec modération.
03:28Comme le disait bien sûr Quentin.
03:29Baptiste, l'Espagne et l'Angleterre,
03:31c'est un duel entre deux équipes
03:32qui ont un parcours totalement différent sur cette Euro.
03:34Tout à fait.
03:35Tout à fait.
03:36D'abord l'Espagne.
03:376 matchs, 6 victoires, 13 buts inscrits,
03:393 buts encaissés.
03:40C'est déjà le coup de cœur,
03:41la révélation de cette Euro.
03:42Tombeur de l'Allemagne, de la France.
03:44Clairement, la plus belle équipe du tournoi,
03:46sans contestation possible,
03:47et favorite sur le papier en théorie,
03:49face à une Angleterre plus poussive.
03:51En finale, un peu au mental,
03:53un peu aux forceps,
03:54des buts tardifs,
03:55des prolongations,
03:56des tirs au but.
03:57Mais par contre,
03:58une vraie force de caractère
03:59démontrait tout au long de cette compétition.
04:01Et c'est peut-être l'essentiel.
04:02Benoit ?
04:03Bonsoir Baptiste.
04:04La plus belle équipe
04:05ou la moins moche ?
04:06C'est une vraie question.
04:08Sur l'Espagne ?
04:09C'est une belle équipe quand même.
04:10C'est une belle équipe
04:11parce que je vois ce que veut dire Bruno.
04:13Benoît, pardon.
04:14J'ai trop l'habitude de Bruno Constant
04:15que je croise depuis un mois ici en Allemagne.
04:17Non, je suis tout à fait d'accord.
04:18C'est vrai qu'aujourd'hui,
04:19l'Euro est particulièrement décevant.
04:21C'est-à-dire qu'effectivement,
04:22on s'enthousiasme beaucoup
04:23par rapport à cette Espagne,
04:24et à juste titre.
04:25Mais on s'enthousiasme beaucoup
04:26parce que le niveau des autres équipes,
04:28et notamment des gros cadors
04:30comme la France, l'Allemagne,
04:32et d'autres nations,
04:33l'Italie aussi par exemple,
04:34n'ont pas du tout répondu présent.
04:36Il y a aujourd'hui un vrai débat là-dessus.
04:39C'est Benoit.
04:40Est-ce qu'au-delà de ce match,
04:42et de ce trophée à gagner
04:43qui représenterait beaucoup
04:44à la fois pour l'Espagne
04:45qui n'a plus gagné depuis 2012 je crois,
04:47et l'Angleterre depuis 1976,
04:49il n'y a pas un autre match
04:50pour le Ballon d'or ?
04:53Oui, alors c'est clair qu'aujourd'hui,
04:55il y a un duel où on va être très attentif.
04:56C'est l'Amin Yamal
04:57qui a 17 ans,
04:58qui les a fêtés hier.
04:59La pépite, l'élier du FC Barcelone.
05:01C'est lui en demi-finale
05:02qui a égalisé face à la France
05:03une frappe sublime en Lucerne.
05:05Beaucoup d'insouciance,
05:06de fougue, de personnalité,
05:07et surtout, c'est du talent pur.
05:09Et puis face à lui,
05:10il y a Jude Bellingham,
05:11un peu plus d'épaisseur.
05:12Il est un peu plus âgé,
05:13mais quand même très jeune.
05:1421 ans, milieu offensif du Real Madrid,
05:15champion d'Espagne,
05:16champion d'Europe avec son club.
05:17Cette saison,
05:18il a eu un rôle prépondérant
05:19évidemment avec le Real.
05:20Un petit peu moins
05:21avec l'Angleterre sur 7 euros,
05:22mais par contre,
05:23on retiendra ce retourné acrobatique
05:24en 8e de finale
05:25à la 95e minute
05:26qui a permis à l'Angleterre
05:27d'arracher la prolongation,
05:28qui a sauvé tout un pays.
05:29Et ça, évidemment,
05:30dans la course au Ballon d'Or.
05:31Ce sont des images
05:32qui ont marqué tout le monde,
05:33qui ont choqué tout le monde
05:34et qui vont évidemment compter
05:35dans le classement final.
05:36La course au Ballon d'Or,
05:37Yamal, il a été très bon,
05:38mais il est tout jeune.
05:39Il a tout juste 17 ans.
05:40On va lui laisser encore
05:41un peu de temps pour le glisser.
05:42Il y a Rodri, peut-être,
05:43Baptiste aussi de Manchester City,
05:44qui a fait une énorme saison
05:45en Angleterre
05:47et qui, si la Rora
05:48gagne cette Euro,
05:49aura eu un rôle majeur.
05:50Bien sûr.
05:51Avec Manchester City,
05:52il s'est arrêté en quart de finale,
05:53mais évidemment,
05:54c'est le meilleur milieu
05:55de terrain du monde.
05:56En tout cas,
05:57il est considéré comme tel
05:58par beaucoup d'observateurs.
05:59C'est le maître à jouer
06:00de cette Rora.
06:01C'est le point d'équilibre.
06:02C'est vraiment
06:03le centre névralgique.
06:04C'est le cerveau de cette équipe.
06:05Évidemment,
06:06on aura un œil extrêmement attentif
06:07et c'est lui aussi
06:08qui initie,
06:09qui donne beaucoup de sérénité
06:10et qui donne cette force collective,
06:11cette insouciance
06:12de cette équipe espagnole
06:13qui est quand même
06:14assez formidable.
06:15Du côté de l'Angleterre,
06:16il y a beaucoup de leaders.
06:17On pense à Harkin
06:18qui est capitaine,
06:19qui n'a jamais gagné
06:20aucun titre de sa vie,
06:21que ce soit avec son club
06:22ou sa sélection.
06:23Mais c'est l'Angleterre,
06:24aujourd'hui,
06:25qui est mentalement assez prête.
06:26On ne se rappelle pas
06:27de cette finale perdue
06:28en 2021
06:29qui avait été
06:30un véritable traumatisme
06:31et quelque part,
06:32cette sélection
06:33s'est construite
06:34autour de cet échec-là
06:35pour essayer d'être prête
06:36mentalement
06:37pour ce genre de match,
06:38évidemment,
06:39qui se joue avant tout
06:40dans la tête.
06:41Un petit pronostic,
06:42c'est difficile,
06:43c'est une finale.
06:44Pour ne pas me mouiller,
06:45je vais dire un partout
06:46et puis il faut aller
06:47l'Angleterre au tir au but
06:48pour l'histoire.
06:49Benoît ?
06:502-1 pour l'Angleterre.
06:51Pareil, 2-1 pour l'Angleterre,
06:52je les vois bien
06:53renverser la table.
06:54Ils n'ont remporté
06:55qu'un seul titre,
06:56les Anglais,
06:57eux qui ont créé le football.
06:58C'était en 1966
06:59la Coupe du Monde,
07:00donc on peut leur accorder
07:01ce petit titre européen.
07:02Mais il y a une forme
07:03d'impatience absolue,
07:04c'est-à-dire que la pression
07:05est sur l'Angleterre aujourd'hui
07:07et il y a cette forme
07:08d'insouciance, de légèreté
07:09qui est initiée aussi
07:10par le sélectionneur
07:11Luis de la Fuente.
07:12Du côté de l'Angleterre,
07:13il y a une vraie pression,
07:14aucun titre depuis 1966,
07:15ça fait 58 ans
07:16pour une nation
07:17qui n'est en fait
07:18une petite nation du football.
07:19C'est un grand championnat,
07:20c'est un pays de football,
07:21mais c'est une petite sélection,
07:22une petite nation
07:23qui doit remettre l'église
07:24au milieu du village ce soir.
07:25Et justement,
07:26il y a trois ans,
07:27ce manque de titres
07:28avait fait du mal
07:29devant les portes de Wembley
07:30où les Anglais avaient voulu
07:31rentrer dans le stade
07:32sans billet.
07:33Est-ce que ce soir
07:34à Berlin,
07:35tout se passe bien
07:36autour du stade olympique ?
07:37Tout se passe très bien
07:38pour l'instant.
07:39Je ne peux pas vous dire
07:40que c'est la rigueur allemande
07:41depuis le début
07:42de cette compétition.
07:43D'autres matchs
07:44et d'autres compétitions
07:45qui sont bien mieux organisées
07:46que celle-ci,
07:47mais néanmoins,
07:48c'est très bon enfant.
07:49Les seules petites tensions
07:50qu'il y a eues,
07:51c'est avec les supporters
07:52des Pays-Bas.
07:53Il y avait certains ultras
07:54de l'Ajax et du Feyenoord,
07:55deux clubs de Hollande
07:56qui sont particulièrement chauds,
07:57mais sinon sur le reste
07:58et notamment sur cette Espagne-Angleterre,
07:59pour l'instant aucun problème.
08:00Merci beaucoup,
08:01Baptiste Durieux.
08:02Belle finale,
08:03un coup d'envoi,
08:0421h.
08:05Abîtré par un français.
08:06Un français, bien sûr.
08:07François de Texier,
08:08bien sûr,
08:09au sifflet ce soir.
08:10Vous avez raison
08:11de le rappeler Benoît.
08:12Une finale à suivre
08:13à partir de 20h
08:14dans RTL Foot
08:15avec Éric Sylvestreau.
08:16Avant de refermer
08:17cette page football,
08:18direction la Ligue
08:19de Football Professionnel.
08:20Oui, parce que vous n'êtes pas
08:21sans savoir
08:22qu'à un mois de la reprise
08:23du championnat de L1,
08:24il n'y a toujours pas
08:25de diffuseur de télé.
08:26Bonsoir Paul Tellillon.
08:27Bonsoir à vous,
08:28la planche est sortie ?
08:29Oui,
08:30on y est enfin
08:31après des semaines
08:32de discussions.
08:33La Ligue 1
08:34sera bien diffusée
08:35à partir du 16 août prochain
08:36avec le bouquet
08:37Dazone-Bin,
08:38un accord à 500 millions d'euros.
08:39Malgré le baouleux
08:40lors de la discussion aujourd'hui,
08:41les présidents de club
08:42pour la majorité
08:43ont voté
08:44pour l'attribution
08:45des droits TV
08:46à ce bouquet
08:47Dazone-Bin
08:48pour les 5 prochaines années.
08:49Il y a moins de 10 minutes,
08:50le conseil d'administration
08:51de la Ligue de Football Professionnel
08:52vient de confirmer
08:53cette décision.
08:54Donc oui,
08:55la Ligue 1
08:56sera enfin bien diffusée.
08:57Dazone,
08:58c'est combien l'abonnement
08:59et ils vont diffuser quoi eux ?
09:00Alors,
09:01Dazone,
09:02c'est normalement
09:038 matchs de Ligue 1
09:04qui va être diffusés sur 9
09:05et Bin qui prendra le dernier.
09:06On parlait d'environ
09:07d'un abonnement
09:08à 34 euros
09:09pour Dazone,
09:10Bin c'est 15 euros
09:11donc quasiment 50 euros
09:12pour garder la Ligue 1
09:13à partir de l'année prochaine.
09:14C'est très très cher.
09:15Oui,
09:16effectivement.
09:17Benoît Lallement ?
09:18Oui,
09:19c'est très cher.
09:20C'est beaucoup moins
09:21que ce que...
09:22Le milliard !
09:23Attendez,
09:24le milliard
09:25et même depuis
09:26il est perdu
09:27puisque je crois que Dazone
09:28avait fait une offre
09:29à 500 millions.
09:30Ils ont récupéré Bin.
09:31Pour moi,
09:32le grand vainqueur,
09:33c'est...
09:34Le PSG,
09:35Nacer El Ralaifi.
09:36Canal+.
09:37Et Canal+.
09:38Puisque pour voir
09:39et Dazone et Bin,
09:40il faut être abonné à Canal.
09:41Oui,
09:42enfin 38 balles,
09:43excusez-moi,
09:448 euros quand même pour le voir.
09:45Mais Canal va avoir le foot.
09:46Ah, vous croyez ?
09:47C'est le seul diffuseur
09:48en fait de Bainsport
09:49via son application
09:50et donc à travers Bainsport,
09:51Canal+.
09:52récupère indirectement
09:53les droits de la Ligue 1.
09:54D'ailleurs,
09:55Nacer El Ralaifi,
09:56Paul était contre
09:57l'arrivée d'une potentielle
09:58chaîne 100% Ligue
09:59de football professionnelle.
10:00C'est ça,
10:01il était contre.
10:02Aujourd'hui,
10:03il est en appel depuis Berlin
10:04parce qu'il va voir la finale
10:05ce soir entre l'Espagne
10:06et l'Angleterre.
10:07Mais il était totalement opposé
10:08à cette chaîne 100% Ligue 1
10:09qui était proposée
10:10par Warner Bros.
10:11Lui était favorable
10:12à cet accord Dazone-Bin
10:13aussi Bin
10:14parce qu'il dirige cette action.
10:15Enfin moi,
10:16j'attends de voir
10:17combien il y aura d'adhérents
10:18quand même.
10:19Je ne comprends pas
10:20tout dans les abonnés,
10:21etc.
10:22Et à noter aussi
10:24pour peut-être dans deux ans
10:25changer ce bouquet
10:26d'Dazone-Bin
10:27et avoir avec un autre diffuseur
10:28comme Dazone-Prime,
10:29comme Canal+,
10:30ou une autre chaîne.
10:31Merci beaucoup,
10:32Paul Télion.
10:33Sachant qu'il y a assez
10:34500 millions,
10:35il faut ajouter les droits
10:36à l'international.
10:37160 millions,
10:38je crois.
10:39Ils sont la seule réussite
10:40de Vincent Labrune
10:41dans ce dossier,
10:42l'augmentation significative
10:43du prix des droits
10:44à l'international.
10:45Merci beaucoup,
10:46messieurs des 19h25.
10:47Après la pub,
10:48on parle tennis
10:49et Wimbledon.
10:53On refait le sport
10:54jusqu'à 20h.
10:57Isabelle Langer sur RTL.
10:59On refait le sport
11:00jusqu'à 20h.
11:01Avec le Parisien
11:02aujourd'hui en France.
11:09C'est un rêve pour moi
11:10de tenir ce trophée.
11:18Je me souviens
11:19d'une interview à 12 ans
11:20où j'avais dit
11:21que mon rêve
11:23c'est le plus beau tournoi
11:24au monde pour moi.
11:26Et c'est le plus beau
11:27des trophées.
11:29Carlo Salcara
11:30se traduit par l'excellent
11:31Frédéric Viard
11:32de BeinSport
11:33lors de la remise du trophée
11:34sur le court à Wimbledon.
11:35L'espagnol a été impérial
11:36cet après-midi en finale.
11:37Il a surclassé Novak Djokovic
11:39en 3-7-6,
11:402-6, 2-7-6,
11:417-4 au tight break.
11:42Le tout en 2h27.
11:43Bonsoir Henri Lecomte.
11:46Bonsoir à tous.
11:47Consultant tennis
11:48et aussi pour les Jeux Olympiques,
11:50pour RTL.
11:51Bien sûr.
11:52Il vous a impressionné
11:53ce Carlo Salcara là ?
11:55Moi je peux vous dire
11:56que Carlo Salcara,
11:57lorsqu'il est arrivé,
11:58déjà c'est assez exceptionnel.
11:59Il fait 4 finales,
12:00il gagne 4 fois.
12:01C'est vrai.
12:02En grand chelem.
12:03En grand chelem.
12:04Et c'est le deuxième joueur
12:05après Roger Federer
12:06à pouvoir gagner aussi,
12:07faire Roland-Garros
12:08au Wimbledon.
12:094 titres du grand chelem aussi.
12:10Donc c'est quand même
12:11assez exceptionnel.
12:12Moi j'étais un petit peu
12:13un petit peu sceptique
12:14au départ
12:15parce que je me suis dit
12:16ça serait quand même un joueur
12:17il va quand même
12:18il frappe très fort
12:19dans la balle.
12:20Il va devoir travailler
12:21énormément physiquement
12:22pour pouvoir tenir
12:23pour ne pas avoir
12:24aussi de blessures.
12:25Et il m'a littéralement
12:26impressionné aujourd'hui.
12:27On a l'impression de voir
12:28un peu ce que faisait
12:29Novak Djokovic.
12:30On avait beaucoup
12:31l'habitude de le voir.
12:32C'est-à-dire de gagner
12:33ses matchs,
12:34d'être imposant,
12:35d'être vraiment
12:36le dominateur
12:37sur le tennis mondial.
12:38Et bien là aujourd'hui
12:39sur cette finale,
12:40on a vu Alcaraz
12:41il était pas loin
12:42de lui mettre
12:43une belle déculottée
12:44parce que c'était 6-2,
12:456-2, 5-4
12:46et il servait pour le match.
12:47Donc ça a été
12:48quelque chose
12:49d'incroyable.
12:50Il m'a impressionné
12:51franchement.
12:52Et puis surtout,
12:53je peux vous le dire,
12:54je suis tellement content
12:55parce qu'il est heureux.
12:56C'est un gamin.
12:57Il fait du bien au tennis.
12:58Il fait du bien,
12:59il donne de l'émotion,
13:00il est heureux sur le terrain
13:01même dans les moments
13:02difficiles,
13:03il regarde son clan
13:04et il se marre
13:05parce qu'il veut
13:06évacuer cette pression
13:07qui est quand même
13:08assez énorme.
13:09Et faire en plus
13:10Roland Garros
13:11et Wim Leden,
13:12c'est exceptionnel.
13:13Donc je crois qu'on a
13:14finalement trouvé
13:15un petit peu
13:16les prochains,
13:17parce qu'on avait marqué
13:18l'histoire entre
13:19Novak Djokovic,
13:20Rafael Nadal
13:21et Roger Federer.
13:22Et bien on a
13:23un Carlos Calcaraz,
13:24un Yannick Siner
13:25qui vont nous régaler.
13:26Novak n'a pas été vraiment
13:27à la hauteur aussi
13:28aujourd'hui quand même.
13:29Il revient quand même
13:30d'une blessure au genou.
13:31C'est fantastique déjà.
13:32Il a fallu beaucoup de temps
13:33pour se préparer.
13:34Oui.
13:35C'est aussi fantastique
13:36s'il a pu faire
13:37Novak Djokovic
13:38pour arriver en finale.
13:39Il a été surpassé,
13:40il a été vraiment
13:41en déplacement
13:42et on l'a senti
13:43un petit peu
13:44diminué peut-être.
13:45Mais Calcaraz,
13:46il a une puissance de frappe.
13:47On a vraiment
13:48l'impression que
13:49il y a un passage
13:50de témoin.
13:51On est sur
13:52les Jeux Olympiques
13:53mais la flamme
13:54il est en train
13:55de la donner
13:56à Carlos Calcaraz.
13:57En parlant de
13:58Jeux Olympiques,
13:59le double,
14:00il va peut-être
14:01réussir un doublé,
14:02non ?
14:03Oui.
14:04Et qui l'a fait
14:05en gagnant ?
14:06C'était Stéphie Graf
14:07qui avait gagné
14:08le Grand Chelem
14:09et les Jeux Olympiques.
14:10Oui.
14:11On a l'impression
14:12et le compte
14:13que finalement
14:14la terre battue
14:15est loin d'être
14:16sa meilleure surface
14:17et qu'il est plus à l'aise
14:18sur surface rapide
14:19avec son coup droit
14:20qu'il envoie des parpaings
14:21monumentaux.
14:22C'est quoi
14:23sa meilleure surface ?
14:24Je pense,
14:25vous l'avez dit,
14:26que sa meilleure surface
14:27c'est le dur
14:28et le gazon.
14:29C'est vrai que
14:30sur terre battue,
14:31il a encore
14:32par moments
14:33certaines a priori
14:34certaines frappes.
14:35Il n'est pas encore
14:36vraiment bien ancré au sol
14:37mais là,
14:38il a démontré
14:39encore aujourd'hui,
14:40même s'il a fait
14:41encore des glissades
14:42exceptionnelles
14:43et qu'il a une marge
14:44de progression énorme.
14:45Sa deuxième balle,
14:46par exemple,
14:47on l'a vu dans les moments importants,
14:48c'est facile à dire.
14:49Moi aussi,
14:50quand j'ai la pression,
14:51j'ai l'impression
14:52d'aller faire une double faute
14:53mais il peut vraiment
14:54encore progresser là-dessus
14:55mais surtout,
14:56je pense que sincèrement
14:57c'est vrai,
14:58la surface rapide
14:59et le gazon
15:00est une surface
15:01qu'il adore
15:02parce que le gazon
15:03est quand même plus lent
15:04que la terre battue,
15:05il faut le savoir.
15:06Henri,
15:07on rappelle,
15:08il a gagné l'US Open en 2022,
15:09Wimbledon l'année dernière
15:10cette année,
15:11Roland Garros là.
15:12Benoît disait,
15:13dans deux semaines,
15:14il y a Roland Garros
15:15Jeux Olympiques
15:16qui commence.
15:17Il va être favori.
15:18Il va être favori.
15:19C'est ultra favori.
15:20Maintenant,
15:21on va voir un petit peu
15:22ce que fait aussi
15:23Raphaël Nadal.
15:24Là,
15:25il joue à Beauchetade,
15:26il joue à Leoborg
15:27au premier tour
15:28mais on va voir
15:29un petit peu
15:30comment ça va se goupiller
15:31mais je peux vous dire
15:32une chose.
15:33Les deux en double,
15:34ils vont être monstrueux.
15:35Les deux en double
15:36mais il y en a un
15:37qui ne va pas lâcher.
15:38Il y en a un qui ne va pas lâcher,
15:39c'est Novak.
15:40Il ne va pas lâcher
15:41parce que là,
15:42il va être repris
15:43un petit peu,
15:44il a été un petit peu bousculé
15:45mais ça va être
15:46des Jeux Olympiques
15:47exceptionnels.
15:48On a déjà vu une paire de doubles
15:49de ce niveau-là
15:50sur un tournoi olympique
15:51parce que là,
15:52Alcaraz-Nadal,
15:53ça fait rêver quand même.
15:54Ah ben oui.
15:55Là,
15:56je peux vous dire
15:57que ça va frapper.
15:58Ça va tourner du fond.
15:59Ça va envoyer
16:00des sacoches.
16:01Ça va être extraordinaire
16:02parce qu'ils vont tous les deux
16:03être tellement motivés.
16:04Un,
16:05pour Raphaël Nadal
16:06parce que je pense
16:07qu'on le sait
16:08plus ou moins
16:09que ça m'étonnerait
16:10que ce soit l'année prochaine
16:11mais il va vouloir
16:12vraiment terminer
16:13avec un titre olympique
16:14que ce soit en simple
16:15ou en double.
16:16Simple,
16:17plus compliqué
16:18mais double,
16:19c'est pesable.
16:20Pourquoi pas,
16:21bien sûr.
16:22Deuxième titre,
16:23on l'a dit,
16:24consécutif à Wimbledon.
16:25C'est le plus jeune
16:26de l'ère Open,
16:27c'est-à-dire depuis 1968
16:28à réussir ce doublé
16:29Roland-Garros-Wimbledon.
16:30C'est le sixième joueur,
16:31Antoine,
16:32à l'avoir réussi ce doublé.
16:33Novak,
16:34lui,
16:35il coince là.
16:36Le 25ème titre
16:37en grand chelem,
16:38il n'est toujours pas là
16:39C'est quand même assez rare
16:40pour un joueur
16:41de cette trempe-là
16:42qui marque l'histoire
16:43du tennis mondial.
16:44Mais c'est un peu aussi
16:45ce qu'on vient de dire
16:46tout à l'heure.
16:47Il a 37 ans,
16:48ça a commencé
16:49à être un petit peu
16:50compliqué pour lui.
16:51Le tennis évolue
16:52aussi terriblement.
16:53On a pu voir Yannick Siné
16:54en finale de l'Open d'Australie
16:55comment il était capable
16:56de pouvoir réaccélérer
16:57derrière.
16:58On a encore eu
16:59ce tournoi
17:00et ce tennis
17:01incroyable de Alcaraz
17:02de pouvoir accélérer
17:03encore plus fort
17:04par la suite.
17:05C'est ce qui manque
17:06en fin de compte
17:07à Novak.
17:08C'est ce qui manque
17:09en fin de compte
17:10à Novak Djokovic
17:11puisqu'il utilise
17:12à chaque fois
17:13la puissance de son adversaire
17:14pour pouvoir poser
17:15ses estocades.
17:16Malheureusement,
17:17les estocades,
17:18ça a été Alcaraz
17:19qui l'a complètement
17:20détruit du fond de cours
17:21en accélérant
17:22avec son grand coup droit
17:23et en étant
17:24physiquement hors normes.
17:25Ça a été hors normes.
17:26J'ai vu tout le match
17:27et je me suis dit
17:28que ce n'était pas possible.
17:29Il ne va pas s'arrêter.
17:30C'était quelque chose
17:31d'incroyable à voir.
17:32On se posait la question
17:33au moment où
17:34Roger Federer
17:35a pris sa retraite
17:36au moment où Nadal
17:37et Dioko
17:38sont sur le point de le faire
17:39bientôt,
17:40comment le tennis
17:41allait se remettre
17:42et qui seraient
17:43les jeunes qui émergent
17:45et comment ce trio-là
17:47pourrait-il être remplacé.
17:48Et finalement,
17:49on a à peine le temps
17:50de reprendre notre souffle
17:51et de se dire
17:52qu'on a vécu
17:5320 ans extraordinaires.
17:54Peut-être qu'Alcaraz
17:55va faire encore mieux.
17:56Il peut faire encore mieux.
17:58En tout cas,
17:59au départ,
18:00je ne pensais pas
18:01qu'il était capable
18:02de pouvoir faire
18:03cette qualité-là
18:04parce que,
18:05comme je vous ai dit,
18:06il va encore marquer
18:07l'histoire
18:08bien sûr,
18:09à sa façon
18:10parce qu'il ne faut pas
18:11non plus enlever
18:12tous les trois fantastiques
18:13qu'ils nous ont fait.
18:14Parce que c'est grâce à eux
18:15si on a un niveau de tennis,
18:16de jeu aussi exceptionnel
18:17qu'on peut retrouver
18:18encore avec
18:19cette nouvelle génération
18:20qui va aussi nous produire
18:21d'autres choses.
18:22Tant mieux,
18:23parce qu'on se disait
18:24qu'est-ce qui va se passer
18:25après ces trois fantastiques.
18:26On va se dire
18:27ça va être un petit peu
18:28on va un peu s'embêter.
18:29Non,
18:30les gars,
18:31ils ont fait passer le message.
18:32Je suis là,
18:33ne vous inquiétez pas.
18:34L'Espagne est là.
18:35On ne peut oublier aussi
18:36les joueurs italiens
18:37ont fait un Wimbledon
18:38fantastique.
18:39Donc ça pousse
18:40la jeune génération
18:41qui arrive là,
18:42elle est prête à pouvoir
18:43marquer de cette génération-là
18:47pour faire quelque chose
18:48d'extraordinaire.
18:49Merci beaucoup Henri Lecomte.
18:50Vous révisez vos fiches
18:51pour les Jeux ?
18:52C'est bientôt.
18:53Je suis en plein dedans
18:54et en plus maintenant
18:55vous me demandez
18:56à faire encore quelque chose d'autre.
18:57Je suis en formation
18:58pendant quelques jours.
18:59Merci à vous.
19:00Il faut bien réviser
19:01le nom des doubles français.
19:02Non, mais Henri va faire aussi
19:03du golf,
19:04il va faire de l'équitation
19:05pendant les Jeux.
19:06Je vais aller partout.
19:07Il va aller partout.
19:08C'est notre Tintin reporter.
19:09Electron libre.
19:10Merci beaucoup Henri.
19:11A très vite.
19:12Merci à vous.
19:13Et bonne soirée.
19:14Merci.
19:15Et bonne finale de l'Euro.
19:16Les Jeux Olympiques justement.
19:17La flamme est sillonne Paris
19:18depuis ce matin.
19:19On en parle tout de suite.
19:20RTL, en route pour les Jeux.
19:24Ça y est, la flamme déboule
19:27dans les rues de Paris.
19:28C'est Thierry Henry,
19:29le champion du monde
19:30qui a lancé le relais
19:31dans la capitale.
19:32Il a parcouru ensuite
19:33200 mètres environ
19:34devant plusieurs centaines de personnes
19:36sur les Champs-Elysées
19:37où il a été chaleureusement applaudi.
19:38C'est historique.
19:39C'est pas souvent qu'on voit ça.
19:41Je pense que c'est une fois dans une vie.
19:43Et en plus,
19:44c'est dans notre ville, Paris.
19:45C'était 14 juillets en même temps,
19:47donc on a essayé de voir
19:48le 14 juillet de l'autre côté
19:49puis on a couru pour assister
19:50au départ de la flamme
19:51parce qu'on a vu pas trop loin.
19:53C'est incroyable.
19:55Il y a quand même un sentiment
19:58de fierté quelque part
20:00de voir l'aboutissement de Paris 2024.
20:04Je sais pas ce que ça vous fait,
20:05mais moi, d'entendre tous ces gens,
20:06ça me donne des frissons.
20:07Et je me dis, ça y est, on y est.
20:09Les Jeux, c'est maintenant, Benoît.
20:11Ça y est, on y est.
20:12On y est presque.
20:13En tous les cas,
20:14il y a autour de la flamme,
20:15du relais de la flamme,
20:16un engouement
20:17et un truc qui se passe
20:18qu'on n'attendait vraiment pas
20:19parce que depuis le début,
20:20depuis qu'elle est arrivée à Marseille,
20:22il se passe partout où elle est
20:24un truc incroyable
20:25qui montre que, oui,
20:26les Français ont envie de Jeux
20:27contrairement à ce qu'on pouvait croire,
20:29contrairement au bashing.
20:30En fait, il se trouve que
20:31la situation politique de la France
20:33a fait que, dans les médias,
20:34on a beaucoup parlé d'autres choses
20:36alors qu'on aurait pu faire
20:37un vrai feuilleteau quotidien
20:39dans tous les médias
20:40tellement ça a été un engouement
20:41en France, en province,
20:43dans les territoires ultramarins
20:44et on le voit là aujourd'hui à Paris.
20:46Oui, tout à fait.
20:47On aurait pu en parler davantage
20:48et en même temps,
20:49c'est quelque chose
20:50qui existe par soi-même.
20:51Les gens viennent voir la flamme
20:53comme ils vont voir le Tour.
20:54Et puis, effectivement,
20:55ils ont envie d'avoir autre chose,
20:57de voir autre chose,
20:58d'entendre autre chose
20:59que des inquiétudes,
21:00que la question de savoir
21:01qui sera Premier ministre.
21:02Voilà, on va en parler beaucoup moins
21:04et on va parler davantage des Jeux.
21:06C'est bientôt et on va y aller.
21:08Et cette flamme,
21:09elle a l'avantage,
21:10Benoît Lallement et Isabelle Angers,
21:11d'être gratuite.
21:12Ce n'est pas le cas
21:13de toutes les épreuves,
21:14loin de là.
21:15Et ça permet à tout,
21:16au grand public,
21:17de pouvoir participer
21:18à leur manière aux Jeux Olympiques.
21:19C'est vrai.
21:20Alors donc,
21:21c'est jour de fête nationale
21:22pour cette flamme olympique
21:23qui sillonne les rues de la capitale
21:24depuis ce matin
21:25et jusqu'à demain soir
21:26en fin de semaine,
21:27notamment dans les villes
21:30aux alentours de Paris.
21:32Un parcours que vous avez suivi,
21:33Célestin Bougère,
21:34vous étiez,
21:35au début,
21:36au niveau du défilé du 14 juillet.
21:37Il y a eu une petite jonction.
21:39Oui, c'est ça exactement.
21:40Pour le premier relais parisien
21:42sur le rond-point des Champs-Elysées,
21:44il fallait un grand nom.
21:45Qui de mieux que Thierry Henry,
21:47lui qui avait défilé au même endroit
21:48il y a 26 ans quasiment,
21:49jour pour jour,
21:50au moment de la victoire des Bleus
21:51en 1998.
21:52C'est Tony Estanguet,
21:53président du comité d'organisation des Jeux
21:55qui lui a tendu la torche.
21:57Tout un symbole pour celui
21:58qui a grandi en région parisienne.
22:00Je suis banlieusard, bien sûr.
22:01J'habite à Londres, d'accord.
22:02Mais je suis assez souvent sur Paris.
22:04Donc beaucoup d'émotions, vraiment.
22:06Vraiment beaucoup d'émotions.
22:07Et ça ne restera jamais gravé.
22:09C'est vraiment un moment extraordinaire.
22:10Je veux dire,
22:11je ne me suis pas qualifié avec ma génération
22:13pour les faire en 2000.
22:15C'est juste incroyable.
22:16Vraiment.
22:17Mais les Jeux Olympiques,
22:18on voit le drapeau français sur l'écran.
22:19Généralement, on s'arrête.
22:20Est-ce qu'on peut gagner une médaille ?
22:21Est-ce qu'on peut gagner une médaille ?
22:22Est-ce qu'on va gagner une médaille ?
22:23On s'informe, on s'intéresse.
22:24Donc voilà,
22:25les Jeux Olympiques,
22:26ça représente énormément.
22:27Thierry Henry,
22:28le gamin des Ulysses.
22:29On rappelle qu'il avait gagné
22:30la Coupe du Monde en 1998
22:31et qu'il entraîne
22:32l'équipe de France Espoir.
22:33Et qui est un vrai amoureux de foot,
22:35évidemment,
22:36mais peut-être encore plus
22:37des Jeux Olympiques de sport.
22:38Et des Jeux,
22:39il connaît tous,
22:40tous les records,
22:41tous les sports.
22:42C'est vraiment un dingue de jeu.
22:43Quel était le reste
22:44du parcours, Célestin ?
22:46Après les Champs-Elysées,
22:47on est d'abord allé
22:48à l'Assemblée Nationale,
22:49puis au Panthéon
22:50et au Sénat.
22:51Là-bas, c'est Mathieu
22:52qui a pris le relais,
22:53un jeune homme malvoyant
22:54de 17 ans,
22:55fan d'athlétisme,
22:56coureur à pied.
22:57Il a été accueilli
22:58par le président du Sénat,
22:59Gérard Larcher.
23:00C'est pour moi un honneur
23:01et je pense que
23:02je n'oublierai jamais
23:03ce souvenir-là.
23:04Peu importe notre différence,
23:05peu importe nos particularités,
23:06on est tous ensemble
23:07et on parle tous ensemble.
23:08Et ça, c'est vraiment
23:09une valeur aussi dans le sport
23:10qui est formidable.
23:11La flamme a ensuite
23:12parcouru les rives de la Seine,
23:13devant la cathédrale Notre-Dame,
23:14à l'honneur des pompiers
23:15qui ont combattu les flammes
23:16pendant les incendies en 2019.
23:17Et puis, vers 17h40,
23:18une séquence très touchante
23:19devant le Bataclan.
23:20La flamme a arrêté
23:21sa course effrénée
23:22pour un moment musical
23:23et une minute de silence
23:24en hommage aux victimes
23:25des attentats de 2015.
23:26Ceux qui les ont vécues
23:27de l'intérieur
23:28et les familles des victimes
23:29étaient présentes.
23:30Nadine a perdu son fils
23:31dans l'attaque terroriste
23:32et son fils est mort.
23:33C'est un hommage
23:34à la victime.
23:35C'est un hommage
23:36C'est un symbole extrêmement fort
23:37pour toutes les victimes.
23:38On pense à ceux
23:39qui ne seront plus là.
23:40C'est un moment
23:41formidable pour nous.
23:42C'est la petite flamme
23:43qu'on a dans nos cœurs
23:44depuis 8 ans et demi maintenant.
23:45On est très émus.
23:46La flamme continue
23:47en ce moment même
23:48son parcours.
23:49Dans une heure,
23:50elle sera au Louvre
23:51et ce soir,
23:52le chaudron olympique
23:53de la Seine-Saint-Denis
23:54va se débrouiller
23:55devant la cathédrale Notre-Dame.
23:56La flamme continue
23:57en ce moment même
23:58son parcours.
23:59Dans une heure,
24:00elle sera au Louvre
24:01et ce soir,
24:02le chaudron olympique
24:03va se débrouiller
24:04devant la cathédrale Notre-Dame.
24:05La flamme continue
24:06en ce moment même
24:07son parcours.
24:08Dans une heure,
24:09elle sera au Louvre
24:10et ce soir,
24:11le chaudron olympique
24:12va se débrouiller
24:13devant la cathédrale Notre-Dame.
24:14Merci beaucoup,
24:15Célestin Bougère.
24:16Nicolas Burnan,
24:17vous êtes vous
24:18à la Tour d'Auvergne
24:19en ce moment ?
24:20Oui, bonsoir.
24:21Bonsoir, Nicolas.
24:22Vous êtes avec
24:23quelques invités,
24:24des porteurs de la flamme.
24:25Dites-nous
24:26avec qui vous êtes
24:27tout d'abord ?
24:28Alors, je suis avec
24:29Laura Georges
24:30que vous connaissez bien,
24:31Isabelle Langer.
24:32Ancienne internationale
24:34On a surtout envie
24:35de vous demander
24:36quelle émotion c'était
24:37de porter cette flamme, Laura ?
24:38Vous l'avez portée
24:39à quel niveau ?
24:40Je faisais partie
24:41d'un collectif
24:42qui a été établi
24:43par le Paris Saint-Germain
24:44pour accompagner
24:45Blaise Matuidi
24:46qui a été l'emblème
24:47du Paris Saint-Germain
24:48notamment.
24:49Et puis,
24:50autour de gens
24:51qui travaillent
24:52pour la fondation du club,
24:53mais également des fans,
24:54des supporters
24:55qui ont souhaité
24:56accompagner
24:57ce relais
24:58avec une connotation
24:59Paris Saint-Germain.
25:00C'est important pour vous
25:01ces Jeux Olympiques
25:02en France ?
25:03Ils sont importants
25:04forcément pour nous
25:05et là je représente
25:06forcément le football
25:07mais pour dire qu'effectivement
25:08on fait partie
25:09d'une grande famille.
25:10On a toujours pour image
25:11que le football
25:12c'est une partie
25:13très business
25:14alors qu'on fait du football
25:15pour nos 2,5 millions
25:16de licenciés,
25:17pour le foot amateur,
25:18pour le papa,
25:19la maman,
25:20pour les enfants
25:21en situation de handicap,
25:22pour tous,
25:23pour réunir
25:24le plus grand nombre
25:25de personnes
25:26autour de ces valeurs
25:27olympiques
25:28que l'on partage
25:29la solidarité
25:30et la fraternité.
25:31On a enfin envie
25:32de voir les filles
25:33soulever un trophée
25:34Laura Georges,
25:35les filles d'Hervé Renard.
25:36Vous n'avez pas réussi
25:37à gagner la Coupe du Monde
25:38en France
25:39il y a quelques années.
25:40On veut que ce soit
25:41pour cette fois-ci.
25:42C'est ce qu'on souhaite.
25:43C'est ce qu'on souhaite
25:44au-delà d'accompagner
25:45nos joueuses
25:46vers leur premier titre.
25:47C'est ce qu'on souhaite
25:48et puis aussi
25:49on va espérer
25:50que l'équipe masculine
25:51qui est portée
25:52par Thierry
25:53puisse ramener
25:54aussi des médailles
25:55pour le sport français
25:56en général.
25:57Le sport français
25:58c'est un sport
25:59qui est un sport
26:01Laura Georges,
26:02un souvenir
26:03des Jeux Olympiques ?
26:04Je dirais
26:05un de mes buts
26:06marqués.
26:07C'est vrai qu'on avait eu
26:08la première qualification
26:09de l'année
26:10c'était en 2012
26:11et on termine
26:12au pied du podium
26:13mais je me souviens
26:14que cette compétition
26:15pour moi
26:16elle a été spéciale
26:17parce que je marque
26:18un but
26:19qui aura relancé
26:20entre guillemets
26:21ma carrière.
26:22Merci beaucoup
26:23Laura Georges.
26:24Profitez bien de cette soirée.
26:25Gardez la tenue.
26:26Je sais que c'est un moment
26:27quand même
26:28qui reste gravé
26:29donc je vais bien la garder
26:30et puis j'offrirai
26:31sûrement à un membre
26:32de ma famille
26:33des parties de cette tenue
26:34et puis on a reçu aussi
26:35un petit cadeau
26:36un petit bout
26:37de cette flamme.
26:38On dirait que vous posez
26:39beaucoup de questions
26:40Isabelle sur comment
26:41ça se passe.
26:42Moi c'est la semaine prochaine
26:4318h52.
26:44Nicolas Burnon
26:45vous êtes toujours
26:46avec nous ?
26:47Oui.
26:48Vous êtes avec
26:49un autre invité
26:50un autre porteur
26:51de flamme.
26:52Oui vous l'avez dit
26:53aujourd'hui
26:54la Torche Olympique
26:55est passée à Paris
26:56dans des lieux
26:57symboliques de mémoire
26:58de résilience.
26:59Il y a eu la cathédrale
27:00Notre-Dame
27:01en reconstruction
27:02le mémorial de la Shoah
27:03mais aussi
27:04le Bataclan
27:05cible des attaques
27:06terroristes du 13 novembre
27:07un moment de recueillement
27:08une séquence
27:09très touchante
27:10avec une minute
27:11de silence
27:12et c'est là que la flamme
27:13a été portée
27:14par un rescapé
27:15le père d'une victime
27:16vous Philippe Dupéron
27:17bonsoir.
27:18Bonsoir.
27:19Vous avez perdu
27:20votre fils Thomas
27:21en 2015
27:22alors d'abord
27:23qu'est-ce que vous avez ressenti
27:24au moment de porter
27:25cette flamme ?
27:26Pour nous
27:27c'est un moment
27:28d'honneur
27:29c'est un moment
27:30d'une émotion
27:31très intense
27:32et c'est donc d'abord
27:33encore une fois
27:34l'honneur
27:35de représenter
27:36nos adhérents
27:37et de représenter
27:38toutes les victimes
27:39les victimes des attentats
27:40terroristes
27:41particulièrement
27:42évidemment
27:43les attentats
27:44que Paris-Saint-Denis
27:45a vécu
27:46aux terrasses
27:47au Bataclan
27:48mais en ce 14 juillet
27:49nous avions aussi
27:50une pensée
27:51bien sûr
27:52pour les victimes
27:53de l'attentat
27:54de Nice bien sûr
27:55et donc oui
27:56les associations bien sûr
27:57ne sont pas des associations
27:58gays par définition
27:59nous sommes souvent
28:00dans le souvenir
28:01et ici
28:02ce que nous voulions marquer
28:03c'est aussi la vie
28:04le partage
28:05le sport
28:06c'est un moment de vie
28:07et c'est ce qui importe aussi
28:08puisque la vie continue
28:10et c'était pour nous
28:12une manière
28:13de participer
28:14à ce moment
28:15d'intense vie
28:17et liesse populaire
28:18A quoi vous avez pensé ?
28:20Qu'est-ce qui vous a traversé l'esprit
28:21au moment où vous avez
28:22porté cette flamme ?
28:23Porter la flamme ?
28:24La flamme
28:25le feu c'est la vie aussi
28:26et donc
28:27c'était
28:28encore une fois
28:29très intense
28:30bien sûr
28:31moi
28:32à qui je pense
28:33ou à quoi je pense
28:34vous l'imaginez
28:35je pense à mon fils
28:36je pense à mon fils
28:37qui devrait être
28:38aujourd'hui
28:39à ma place
28:40mais encore une fois
28:41bien sûr
28:42il y avait
28:43beaucoup d'émotions
28:44mais ce que nous
28:45voulions marquer
28:46Arthur Desnouveaux
28:47et moi-même
28:48c'était d'abord
28:49la vie
28:50la vie
28:51la vie
28:52c'était d'abord
28:53la vie
28:54le partage
28:55le sport
28:56et c'est ce
28:57à quoi nous devions
28:58nous consacrer
28:59en ce moment
29:00aujourd'hui
29:01Merci beaucoup
29:02monsieur d'avoir été
29:03avec nous ce soir
29:04Merci à vous
29:05de nous avoir donné
29:06la parole
29:07Merci
29:08Merci à Nicolas Burnan
29:09Célestin
29:10un dernier mot
29:11demain
29:12donnez-vous nous
29:13rapidement un petit peu
29:14le programme
29:15ça part à 8h15
29:16de l'Aréna de la Porte
29:17de la Chapelle
29:18C'est ça exactement
29:19et on va parcourir
29:20principalement
29:21le Montmartre
29:22et le Sacré-Coeur
29:23et puis on fera encore
29:24un grand tour
29:25dans tout Paris
29:26Roland-Garros
29:27et Aline Sepp
29:28notamment
29:29où il y aura
29:30beaucoup de porteurs
29:31de drapeaux
29:32anciens porteurs
29:33de drapeaux
29:34de l'équipe de France
29:35ça va être très très sympa
29:36Merci beaucoup Célestin
29:37Allez les 19h45
29:38on fait une dernière pause
29:39et puis on prend la direction
29:40des Pyrénées
29:41pour retrouver
29:42nos envoyés spéciaux
29:43sur le Tour de France
29:44RTL
29:45on refait le sport
29:46avec le Parisien
29:47aujourd'hui en France
29:48on refait le sport
29:49on refait le sport
29:52Avec Tadej Pogacar
29:53qui a répondu
29:54à l'attaque
29:55de Jonas Vingegaard
29:56il passe la ligne
29:57il lève les bras
29:5814ème victoire d'étape
30:00pour Tadej Pogacar
30:01sur le Tour de France
30:02Jonas Vingegaard
30:03qui passe la ligne
30:041 minute 8
30:05avec les bonifications
30:064 secondes
30:07au classement général
30:08Vingegaard ce soir
30:09qui est à plus de 3 minutes
30:11de Tadej Pogacar
30:13Tadej Pogacar
30:15qui a effectivement
30:16assommé ce Tour de France
30:17en remportant en solitaire
30:18la 15ème étape
30:19au plateau de Beyes
30:20Bonsoir Nicolas Georgerot
30:21Bonsoir
30:22Il a réussi un coup de maître
30:23le Slovène encore aujourd'hui
30:25Oui, oui
30:26et presque
30:27sans forcer
30:28j'ai envie de dire
30:29en tout cas d'un point de vue tactique
30:30rien à voir avec
30:31ce que l'on a vu hier
30:32au plat d'AD
30:33par exemple
30:34lorsque l'équipe Emirates
30:35voulait faire un coup
30:36elle l'avait préparé
30:37elle l'a fait
30:38elle l'a accompli
30:39et aujourd'hui
30:40on avait Jonas Vingegaard
30:41qui ne voulait pas tendre
30:42l'autre joue
30:43donc il a bombé le torse
30:44il a gonflé ses petits biceps
30:45et puis la tactique d'équipe
30:48c'était de rouler
30:49d'essayer
30:50de fatiguer Pogacar
30:51mais cette équipe
30:52vis-à-vis elle a été
30:53un peu présomptueuse
30:54et Vingegaard a présumé
30:55de ses forces
30:56il y avait quasiment
30:57200 kilomètres aujourd'hui
30:585 ascensions
30:59le porté d'aspect
31:00le col d'Aignes par exemple
31:01c'est très très dur
31:02c'est très raide
31:03et quand tout le monde
31:04est arrivé dans la montée
31:05du plateau de Beyes
31:06et bien Jørgensen
31:07le dernier lieutenant
31:08de Vingegaard
31:09s'est écarté à 9,6 km
31:10et donc Vingegaard
31:11il s'est retrouvé avec Pogacar
31:12à plus de 9 km de l'arrivée
31:13et quand Vingegaard
31:15s'est essoufflé
31:16Pogacar n'a eu qu'à accélérer
31:17et donc ce soir
31:18il a une avance
31:19de 3 minutes 0,9
31:20au général
31:21Si on me l'avait demandé
31:22en début de Tour
31:23je n'aurais jamais imaginé
31:24un tel résultat
31:25à l'issue de la 2ème semaine
31:26je suis vraiment très content
31:27de mon état de forme
31:28en plus aujourd'hui
31:29il faisait super chaud
31:30c'était une journée très dure
31:31donc oui
31:32c'était une journée incroyable
31:3480ème victoire en Pro
31:35pour Pogacar
31:36la 14ème étape
31:37sur le Tour
31:38pour lui dans sa carrière
31:39la 7ème
31:40dans les Pyrénées d'ailleurs
31:41il aime ce massif
31:42et Jonas Vingegaard
31:43ça n'a pu que mesurer
31:44l'écart aujourd'hui
31:47Je suis en réalité
31:48très fier de ce qu'on a fait
31:49l'équipe a été très forte
31:51elle a rendu la course
31:52très difficile
31:54sur la dernière montée
31:55j'étais très très costaud
31:56j'ai sans doute
31:57fait la meilleure performance
31:58de ma vie
31:59mais Tadej était juste au-dessus
32:00c'était juste le plus fort
32:01donc je ne peux pas
32:02être déçu en fait
32:03je crois qu'il me reste
32:04une chance
32:05le Tour de France
32:06n'est pas fini
32:07on a vu les deux dernières années
32:08que Tadej pouvait parfois
32:09avoir des défaillances
32:10il faut qu'on espère
32:11qu'il ait des mauvais jours
32:12à ce niveau-là
32:13ce sera difficile
32:14mais je crois que c'est encore possible
32:17C'est sa tactique
32:18se mettre à l'abri
32:19avoir un petit matelas
32:20en attendant la dernière semaine
32:21qui va venir
32:22Le Tour quand même
32:24Nicolas Jorgerot
32:25il est joué là ?
32:26on a l'impression que
32:27voilà ?
32:28Non non
32:29en tout cas
32:30ce n'est pas le sentiment
32:31global dans le peloton
32:32c'est que
32:33avec ce qui va se passer
32:34lors de la troisième semaine
32:37il faut se souvenir
32:38que par exemple
32:39en 2021
32:40Tadej Pogacar avait
32:415 minutes 30 d'avance
32:42sur son poursuivant
32:43au même moment
32:44et là oui
32:45si vous avez une défaillance
32:46que vous perdez par exemple
32:472 minutes
32:48ou 2 minutes 30
32:49voire 3 minutes
32:50il vous en reste un petit peu
32:51là si
32:52Pogacar
32:53a un vrai problème
32:54dans ce qu'il va se passer
32:55notamment sur
32:56les 5 dernières étapes
32:57et notamment
32:58les 4 étapes alpestres
32:59ça peut être compliqué
33:00donc il a pour moi
33:01gagné
33:02à 60-70%
33:03le Tour de France
33:04mais il n'y a pas
33:05une résignation totale encore
33:06parce que c'est vrai
33:07dans le col de la Nouvelle-Écosse
33:08c'est vrai
33:09dans le col de la Nouvelle-Écosse
33:10c'est vrai
33:11dans le col de la Lose
33:12l'année dernière
33:13il a pris un éclat
33:14de plus de 7 minutes
33:15il reste
33:16beaucoup
33:17dans le granon
33:18il avait été aussi
33:19maillot ouvert
33:20collé à la route
33:21avec beaucoup
33:22de difficultés
33:23et il n'aime pas les Alpes
33:24en tout cas
33:25il est moins à l'aise
33:26que Vingegaard dans les Alpes
33:27et on va encore passer
33:28à 3 sommets
33:29à plus de 2000 mètres
33:30avec peut-être aussi
33:31en plus la chaleur
33:32Il y a quand même une image
33:33Nicolas
33:34à 10 km de l'arrivée
33:35Vingegaard
33:36il est à bloc
33:37Pogacar
33:38il se permet d'enlever
33:39les bras de son guidon
33:40de prendre son bidon
33:41de prendre son petit bidon
33:42de s'arroser genre
33:43vas-y tu peux rouler
33:44mon ami danois
33:45dans tous les cas
33:46je vais te plonger
33:47ça faisait vraiment peur
33:48cette image
33:49Mais le geste
33:50il n'est pas anodin
33:51en raison notamment
33:52parce que
33:53Pogacar a du mal
33:54à supporter la chaleur
33:55et donc il s'est beaucoup
33:56aspergé
33:57tout au long
33:58de la journée
33:59et là c'était
34:00une des dernières fois
34:01qu'il le faisait
34:02avant d'arriver
34:03dans les kilomètres décisifs
34:04Il avait l'air si facile
34:05Et c'est vrai
34:06qu'il avait l'air facile
34:07dans la route de Vingegaard
34:08Il pouvait se retrouver
34:09avec Pogacar
34:10à plus de 9 kilomètres
34:11de l'arrivée
34:12alors que Vingegaard
34:13était moins à l'aise
34:14ces derniers jours
34:15C'était beaucoup trop loin
34:16S'ils avaient employé
34:17cette même tactique
34:18en étant peut-être
34:19à 2 kilomètres
34:20ou 3 kilomètres du sommet
34:21peut-être qu'il aurait
34:22pu lui prendre 30 secondes
34:23Mais à 9 kilomètres
34:24il n'y avait plus
34:25aucune chance
34:26Benoît ?
34:27Il reste quand même
34:28un contre-la-montre
34:29et on peut se dire aussi
34:30que ça peut se jouer
34:31le dernier jour à Nice
34:32Oui c'est ce que
34:33les organisateurs
34:34espèrent en tout cas
34:35pour une fois
34:36qu'il y a un contre-la-montre
34:37lors du dernier jour
34:38qui ne sera pas évident
34:39entre Monaco et Nice
34:40sur un petit peu
34:41plus de 30 kilomètres
34:42où il y aura notamment
34:43une partie de la descente
34:44du Col d'Est
34:45qui sera assez technique
34:46entre le kilomètre 21
34:47et le kilomètre 25
34:48ce ne sera pas aisé
34:49Ils auront des vélos de chrono
34:50il faudra être à droit
34:51il faudra garder des forces
34:52et c'est sûr que
34:53par rapport à ce qui se passera
34:54dans les jours précédents
34:55ce contre-la-montre
34:56ça peut avoir
34:57un caractère décisif
34:58Oui parce qu'on le rappelle
34:59Nicolas
35:00demain c'est journée de repos
35:01et puis après
35:02il y a 4 jours
35:03dans les Alpes
35:04qui vont être très très chauds
35:05avant ce contre-la-montre
35:06entre Monaco et Nice
35:07dimanche prochain
35:08pour l'arrivée
35:09Oui parce que mardi
35:10c'est une étape en pleine
35:11c'est la dernière étape
35:12qui sera au sprint
35:13avec une arrivée à Nîmes
35:14mais il va faire
35:15sans doute 37-38 degrés
35:16ce sera au lendemain
35:17d'une journée de repos
35:18certains des fois
35:19ont un peu de mal
35:20à reprendre
35:21et derrière c'est
35:22Superbévoluie
35:23Barcelonette
35:24Isola 2000
35:25le Col de la Couillole
35:26et le contre-la-montre
35:27Isola 2000
35:28c'est passage
35:29par le Col de Vars
35:30par la Bonnette
35:31et la montée
35:32vers Isola 2000
35:33tranquille quoi
35:34à plus de 2000
35:35et notamment la Bonnette
35:36à plus de 2800 mètres
35:37d'altitude
35:38donc franchement
35:39moi je dis pas
35:40que tout est joué
35:41au moment où l'on parle
35:42Et Pogacar
35:43pourrait donc
35:44quand même faire le doublé
35:45Giro Tour de France
35:46qui est quand même
35:47en quoi ?
35:48en deux mois à peine
35:49un doublé
35:50qui est extrêmement rare
35:51Oui
35:52on l'a suffisamment dit
35:53au début du tour
35:54le dernier c'était
35:55Pantani
35:56et en fait
35:57s'il arrive à faire ce doublé
35:58s'il arrive à le réaliser
35:59il aura
36:00réussi à le faire
36:01au mois de mai
36:02au mois de juin
36:03c'est à dire
36:04sur le Giro
36:05parce que
36:06il s'est rendu le Giro
36:07extrêmement facile
36:08en assommant la concurrence
36:09dès le début
36:10en finissant avec plus de 10 minutes d'avance
36:11il a passé quasiment 15 jours
36:12sur le Tour d'Italie
36:13à gérer une avance
36:14donc en fait
36:15il n'a pas
36:16puisé dans les réserves
36:17sur le Tour d'Italie
36:18et là en fait
36:19il a fait le plus dur
36:20au mois de mai et au mois de juin
36:21par rapport à ce qu'il a
36:22au Tour de France
36:23et c'est vrai que
36:24tous ceux qui ont tenté
36:25ce doublé
36:26entre le Tour d'Italie
36:27et le Tour de France
36:28en troisième semaine
36:29ils ont toujours eu
36:30un moment de faiblesse
36:31une défaillance
36:32ils ont toujours eu
36:33un moment où
36:34ils étaient moins bien
36:35et même Froome
36:36quand il dominait
36:37avec l'équipe Sky
36:38ces dernières années
36:39il concédait après le Tour
36:40il y avait toujours une journée
36:41où il était moins bien
36:42donc est-ce que
36:43Vingegaard arrivera à le déceler
36:44est-ce que son équipe
36:45sera en mesure
36:46de porter un peu Vingegaard
36:47ça c'est pas sûr
36:48mais il peut
36:49il peut se passer
36:50quand même des choses
36:51Merci beaucoup Nicolas
36:52avant de refermer la page
36:53Tour de France
36:54il y a un petit invité
36:55surprise encore une fois
36:56sur ce
36:57sur ce Tour de France
36:58c'est le Covid
36:59bonsoir Valentin Boisset
37:00bonsoir
37:01le Tour de France
37:02a décidé de renforcer
37:03les mesures de protection
37:04Oui on a tous
37:05reçu un petit message
37:06cet après-midi
37:07sur nos téléphones
37:08une obligation
37:09pour nous les journalistes
37:10et pour tous ceux
37:11en lien avec les coureurs
37:12à l'arrivée et au départ
37:13de porter des masques
37:14jusqu'à la fin
37:15jusqu'à Nice
37:16alors pour tout vous dire
37:17ça fait déjà
37:18quelques jours
37:19que les masques
37:20revenaient progressivement
37:21on les voyait
37:22sur les coureurs
37:23au village départ
37:24puis à l'arrivée
37:25parce que plusieurs équipes
37:26sont touchées par le Covid
37:27on a même eu
37:28une hécatombe
37:29dans une équipe française
37:30chez Cofidis
37:31avec trois coureurs
37:32qui ont abandonné la course
37:33alors le matin
37:34il n'y a plus vraiment
37:35de selfie avec le public
37:36le coureur français
37:37Nicolas Prodhomme
37:38a reçu des consignes
37:39de son médecin d'équipe
37:40c'est sûr que nous
37:41on commence à faire attention
37:43c'est par les masques
37:44quand on peut
37:45surtout à l'hôtel
37:46puis au départ
37:47éviter s'il y a des signatures
37:48à faire
37:49prendre tout le temps
37:50notre stylo
37:51et puis gel hydroalcoolique
37:52à volonté
37:53et puis voilà
37:54c'est sûr que c'est ça
37:55qui n'est pas facile avec le Tour
37:56c'est parce qu'il y a vraiment
37:57beaucoup de monde
37:58ils se méfiaient du public
37:59à leur propre feutre
38:00pour signer les autographes
38:01et chez les favoris aussi
38:02on est très prévoyant
38:03on a ressorti par exemple
38:04pour Jonas Wingard
38:05ces énormes masques FFP2
38:06qu'on fait beaucoup rigoler
38:07sur les réseaux sociaux
38:08et on a même vu
38:09chez certaines équipes
38:10des images assez marquantes
38:11des équipiers
38:12qui arrivaient
38:13dans des voitures
38:14séparées des bus
38:15preuve qu'on isole
38:16un peu avec les moyens
38:17du bord
38:18les équipiers
38:19pour éviter
38:20les risques de contagion
38:21C'est un sujet numéro 1
38:22de conversation
38:23dans le peloton là ?
38:24Ah oui oui
38:25on en parle beaucoup
38:26déjà parce qu'il y a
38:27ce retour des gestes barrières
38:28qui peut paraître
38:29un peu anachronique
38:30visuellement
38:31mais aussi parce que
38:32certains coureurs
38:33font le choix
38:34de courir avec le Covid
38:35c'est autorisé
38:36si les symptômes
38:37sont assez légers
38:38mais ça ne plaît pas
38:39à tout le monde
38:40ça fait courir
38:41un risque de contagion
38:42Marc Cavendish
38:43par exemple
38:44il s'en est plein
38:45dans la presse
38:46on sent vraiment
38:47quand on parle
38:48au directeur sportif
38:49que la menace pèse
38:50Vincent Lavenu
38:51dirige l'équipe
38:52Décathlon AG2R
38:53la mondiale
38:54C'est pas une bonne nouvelle
38:55parce que ça peut
38:56on a l'impression
38:57que ça va toucher
38:58à n'importe qui
38:59à n'importe quel moment
39:00donc voilà
39:01on voit qu'il y a
39:02des athlètes
39:03qui sont touchés
39:04on prie pour que
39:05ce soit pas chez nous
39:06mais effectivement
39:07le médecin
39:08a préconisé
39:09des mesures barrières
39:10que l'on connaît
39:11depuis longtemps
39:12et qu'il faut
39:13remettre au bout du jour
39:14Voilà pour l'instant
39:15le bilan est donc
39:16de 5 abandons
39:17à cause du Covid
39:18mais ça pourrait
39:19continuer d'augmenter
39:20dans les jours à venir
39:21Merci beaucoup
39:22Valentin Boisset
39:23Benoît Lallement
39:24le Covid
39:25c'est une préoccupation
39:26pour les Jeux Olympiques
39:27pour preuve
39:28mercredi
39:29il y a une journée presse
39:30à Vichy
39:31avec l'équipe de France de natation
39:32il nous a été demandé
39:33de faire un test antigénique
39:3424h avant
39:35et de venir avec un masque
39:36pour faire les interviews
39:37fort probable
39:38que sur les Jeux
39:39on nous demande
39:40d'avoir le masque
39:41dans les zones mixtes
39:42C'est fort probable
39:43et c'est effectivement
39:44le retour des gestes barrières
39:45le retour du spectre du Covid
39:46ce qui n'est pas une bonne nouvelle
39:47Voilà
39:48On espère que ça va pas
39:49gâcher la fête
39:50Exactement
39:51Et que les sportifs
39:52seront quand même
39:53à leur meilleur
39:54temps de nous quitter
39:55dans l'équipage de sport
39:56Du Tour de France
39:57évidemment
39:58avec cette question
39:59ou cette affirmation
40:00non le Tour
40:01n'est pas tout à fait terminé
40:02On s'est intéressé aussi
40:03au groupe Eto'o
40:04puisqu'on a vu
40:05qu'Arnaud Desmas
40:06est arrivé 40 secondes
40:07je crois
40:0830 secondes
40:0930 secondes
40:10avant les délais
40:11Les droits télé
40:12pour cet accord
40:13pas forcément
40:14à l'avantage
40:15en tous les cas
40:16des abonnés
40:17La finale de l'Euro
40:18ce soir
40:19évidemment
40:20du Wimbledon
40:21et puis de la flamme
40:22Bien sûr
40:23C'est complet
40:24Au cours de la flamme
40:25Le Parisien
40:26que les abonnés numériques
40:27peuvent lire dès 22h30
40:28sur leur tablette
40:29Merci Benoît
40:30Merci Quentin
40:31Merci à Boris et Joffrey
40:32pour la réalisation
40:33Dans un instant
40:34place au football
40:35J'ai déjà fait mon travail
40:36donc on va voir le football
40:37C'est un match très difficile
40:39je pense
40:40Je vais le regarder
40:41et on verra
40:42si je vais gagner
40:43le match de l'Euro
40:44Il a fait son job
40:45Carlos Alcaraz
40:46il le dit au micro
40:47à la fin de son match
40:48de Wimbledon
40:49Il a fait son job
40:50maintenant place
40:51à l'équipe d'Espagne
40:52face à l'équipe d'Espagne
40:53il dit-il
40:54Ben Eric Silvestro
40:55Eh les Espagnols
40:56qui n'ont plus gagné
40:57depuis 2012
40:58Benoît le disait
40:59mais 1966
41:00pour les Anglais
41:01On va avoir une grande finale
41:02on l'espère
41:03et puis je vous ai écouté
41:04sur le Covid
41:05les masques et tout
41:06pour les JO
41:07le masque
41:08on est encore le traumatisme
41:09de Ken Mbappé
41:10c'est vrai qu'on n'en veut pas
41:11des masques
41:12ça marche pas
41:13il faut qu'on puisse vivre
41:14des super JO
41:15avec la fête
41:16mais on fera attention quand même
41:17Allez à tout de suite

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