• il y a 5 mois

Category

🥇
Sport
Transcription
00:01:00Mais dans la réalité, vous vous moquez de ceux qui ont plusieurs métiers que vous associez
00:01:12des fois.
00:01:13Bon bref.
00:01:14Il n'y en a pas un qui est consultant, speaker et DJ des fois.
00:01:19Ah oui.
00:01:20Si vous les emmenez au mariage, vous vous adressez à la FFPJP, hashtag DJ Lolo.
00:01:26Voilà.
00:01:27Vous vous hériterez de l'horreur corse.
00:01:34Et voilà, le calme est revenu, le protocole prend fin et ça va être place au jeu, place
00:01:54à la finale 2024 du championnat de France triplette promotion que mon stagiaire préféré,
00:02:01Laurent Kos, dont le diplôme ne devrait pas tarder à être validé, le diplôme de
00:02:06consultant WebTV.
00:02:07Je suis d'accord si tu me le valides, ok, mais après il reste l'examen le plus terrible,
00:02:13c'est celui avec Michel Robert, ça c'est compliqué.
00:02:16En tous les cas, Laurent, pendant qu'on plaisante, l'échauffement des six acteurs de cette
00:02:22finale 2024 va prendre fin, deux belles équipes, c'est une évidence, deux régions bien différentes
00:02:29puisque les Bouches-du-Rhône affrontent le comité régional de Bretagne, c'est le département
00:02:3635.
00:02:37Lille et Villene a représenté ici le club de Sesson, alors Sesson c'est justement la
00:02:41ville qui avait accueilli cette finale de la Coupe de France il y a trois ans maintenant,
00:02:46exactement.
00:02:47Les deux équipes comptent des supporters et des supportrices bien évidemment, ça devrait
00:02:54être disputé.
00:02:55On vous rappelle que les Bretons ont expédié la demi-finale un cinglant 13-0 à l'équipe
00:03:00d'Aura de Laurent Petit, c'est dire s'ils étaient en forme en cette fin de matinée.
00:03:04Pour les Bouches-du-Rhône, ils sont des habitués des remontadas, ils ont souffert en quart
00:03:09mais c'est passé face à la Ligue 1, ils ont souffert en demi mais c'est passé face
00:03:14aux Ardennes et on remet de toute façon, tu l'as signalé toi ce matin, les compteurs
00:03:19à zéro pour une finale, pas de favoris particulièrement dans cette épreuve.
00:03:23Il n'y a rien qui est pareil, une finale, alors normalement comme on dit une finale
00:03:29ça ne se joue pas, ça se gagne mais là effectivement ce sont 6 novices sur une finale nationale
00:03:39et c'est vrai que l'impact psychologique, la façon d'aborder la finale va être primordiale
00:03:47je pense et les premières boules capitales.
00:03:50C'est certain, c'est vrai qu'on vous le répète à chaque fois mais c'est tellement vrai.
00:03:54Et en plus, il y a une chose qui est aussi importante, c'est qu'une finale ça se présente
00:04:02jamais comme une autre partie parce qu'il y a un protocole, il y a une entrée des joueurs
00:04:08au milieu du noeud et d'honneur, il y a une présentation individuelle, vous êtes présenté
00:04:12par l'élite, Jean-Luc Robert qui n'oublie jamais une charmante déléguée, il peut
00:04:18oublier un délégué mais jamais une charmante déléguée et donc c'est vrai qu'une finale
00:04:26en toute plaisanterie mise à part c'est une présentation différente et c'est une partie
00:04:31totalement différente.
00:04:32Il y a vraiment le temps pour la pression de monter, il y a les personnalités, vous
00:04:37voulez absolument faire plaisir à vos supporters présents, vous savez très bien que devant
00:04:42la WebTV tous ceux qui n'ont pas pu se déplacer, votre club, vos amis, etc. vont suivre la
00:04:48partie à la WebTV et il y a tout ça entre guillemets ignoré si c'est possible, ça
00:04:53ne l'est pas d'ailleurs, sauf pour 9m50 nous indique Dominic Lobot pour cette première
00:04:59on va vite avoir un aperçu des forces en présence et de l'état de forme, c'est parti
00:05:04avec Anthony Corre.
00:05:06Effectivement les premières boules vont être capitales dans cette finale, comme dans toute
00:05:13finale.
00:05:14Eh bien pour lui, il se rappellera au moins de cette première boule, quoi qu'il arrive
00:05:19et d'avoir fait tirer, alors qui va tirer ?
00:05:21Tous les trois ont occupé le poste de tireur, que ce soit Yonderider Sébastien Bottero
00:05:28ou Yannick Commel, alors on va commencer comme en demi-finale, comme en quart de finale,
00:05:33c'est Yannick Commel qui va commencer au tir, il n'avait pas commencé de la meilleure
00:05:38des façons en demi-finale puisqu'il avait manqué ses six premières, eh bien là je
00:05:42pense que la pilule est passée, premier palais pour débuter cette finale.
00:05:48Alors ça commence bien, un très bon point, un palais.
00:05:52Il a bien fait la place, bon, je pense que ça devrait être largement suffisant pour
00:06:01Anthony.
00:06:02Oui.
00:06:03Et le président, l'autre Anthony, oh oui, il faut qu'elle s'arrête, ça va, l'autre
00:06:09Anthony, c'est Anthony Pascual, le président du comité départemental, il est vilain, il
00:06:14est à fond derrière son équipe.
00:06:16Ah ben certainement, oui.
00:06:20Tout comme Michel Poggi pour les côtes du Rhône, pardon, pour les bouches du Rhône.
00:06:26Ça commence bien.
00:06:28Alors Jean-Luc et moi, on n'a rien contre l'idée mais c'est trop tôt encore.
00:06:33Excusez-moi, c'est un lapsus.
00:06:36Dernière finale des bouches du Rhône, non, pardon, dernier titre des bouches du Rhône
00:06:41en pétanque, senior masculin, c'est 1978, donc ils sont en train de, ils peuvent relever
00:06:50un challenge là.
00:06:51Rouvier, Lucchesi, Calenzo, Antriplata.
00:06:54Ah oui ?
00:06:55Oui.
00:06:56Trois grands noms de la pétanque et c'était le dernier titre effectivement, 78.
00:07:12Alors là, on vous le redit, vous ne devez pas être étonné, c'est le corps arbitral
00:07:17et le PNA, le pôle national des arbitres, qui a mis en place ce système où les arbitres
00:07:25mesurent eux-mêmes les parties télévisées afin de faire gagner un petit peu de temps
00:07:31parce que les joueurs parfois peuvent mettre plus de temps à mesurer et si en plus après
00:07:35derrière il faut refaire appel aux arbitres, voilà, c'est un gain de temps mais ce n'est
00:07:40pas les joueurs qui disent non, on ne se baisse pas, pas du tout.
00:07:43Alors le règlement, il faut bien préciser que le règlement c'est le joueur qui doit
00:07:47mesurer et notamment le dernier joueur qui a joué, qui doit mesurer s'il a gagné le
00:07:52point ou pas et en cas de doute faire intervenir l'arbitre.
00:07:56Alors effectivement, comme ça peut se faire, alors ça se fait beaucoup en partie télévisée
00:08:01mais à condition qu'il n'y ait qu'une partie télévisée comme une finale ou alors
00:08:05si c'est en demi-finale qu'on ait le même principe sur les deux demi-finales, effectivement
00:08:11les arbitres peuvent mesurer.
00:08:13Il est hors de question en fait de modifier un petit peu le règlement, de laisser une
00:08:19équipe mesurer d'un côté et dans l'autre partie de demi-finale ou quart de finale avoir
00:08:24les arbitres qui mesurent parce que ça peut avoir un impact en cas de déplacement d'un
00:08:30objet.
00:08:31Et voici, oh, belle frappe ! Elle est bien tirée.
00:08:36C'est à l'instant Elvis Gaillard que vous venez de voir faire ce beau tir.
00:08:42C'est bien, on a bien commencé cette finale.
00:08:45Et pour tout le monde j'ai l'impression.
00:08:47Oui, c'est bien.
00:08:48Moi j'ai vu les joueurs discuter entre eux juste avant le début du protocole, on plaisantait
00:08:52ensemble.
00:08:53J'ai entendu Sébastien et il me semble qu'il échangeait avec Cédric et il se disait que
00:09:00quoi qu'il arrive, évidemment il y aura un gagnant et un perdant mais que c'est un moment
00:09:04formidable à vivre et que la déception peut laisser à vie de place à la fierté du parcours
00:09:10quel que soit le résultat même si bien sûr certains vont enfiler des maillots bleu, blanc,
00:09:15rouge.
00:09:16Effectivement, il y a une sacrée différence entre être champion de France et vice-champion
00:09:21de France parce qu'on a le maillot quand on est champion de France c'est bien évident
00:09:25et on le gardera à vie ou dans ses tiroirs ou dans son musée ou contre le mur dans un
00:09:33tableau.
00:09:34Mais le fait d'être vice-champion de France c'est quand même un titre, c'est une ligne
00:09:40supplémentaire sur un palmarès, voire une première ligne sur un palmarès et quand
00:09:45vous allez dans un concours on vous présente comme champion de France ou vice-champion
00:09:49de France.
00:09:50C'est un titre également.
00:09:51Vous êtes médaillé ?
00:09:53Oui, parce que la liste des vice-champions de France contient quelques beaux noms dans
00:09:59l'histoire de la pétanque.
00:10:01Alors là c'est un petit peu dommage, il a trop rectifié Sébastien qui je pense a
00:10:10peut-être été le plus régulier sur la journée même si Yohann a été extraordinaire en
00:10:16demi-finale.
00:10:17Rendez-vous compte, il est passé de pointeur à tireur de tête en faisant un festival,
00:10:22il n'y a pas d'autre mot.
00:10:23En faisant des 80%.
00:10:24On a vécu de beaux moments, il reste une finale, profitons-en, savourons-la, que les
00:10:33joueurs la savourent surtout, le plus important c'est eux et que les supporters se régalent.
00:10:37Absolument.
00:10:38Ça c'est preuve de confiance.
00:10:42Très très bien envoyé.
00:10:44Et tu vois Laurent, au moment d'aller déjeuner, j'étais derrière les joueurs des Bouches
00:10:50du Rhône et Yannick qui n'a pas fait lui une bonne demi-finale, ses partenaires lui
00:10:55disaient oui mais tu as tapé la boule de la gagne pour nous qualifier, il faut retenir
00:10:59que ça.
00:11:00Mais bien sûr.
00:11:01Et ils avaient raison, ils lui enlevaient la déception de sa prestation et ils lui
00:11:06disaient les mots qu'il faut dire à un partenaire qui a fait une partie moyenne.
00:11:10C'est ce que disent tous les grands joueurs, c'est pas le tout de taper 20 sur 20 et de
00:11:16manquer toutes les bonnes.
00:11:17Alors c'est sûr que si vous faites 0 sur 20, vous n'aurez jamais les bonnes à tirer,
00:11:21c'est une évidence.
00:11:23Mais si vous faites même une partie moyenne, quand les bonnes boules arrivent, c'est là
00:11:30qu'on voit la différence entre les joueurs bons et les très bons joueurs.
00:11:36Ces boules là, ils les tapent 9 fois sur 10.
00:11:40Le voici justement Cédric qui échangeait juste avant la finale avec Sébastien, il
00:11:45les échangeait entre milieux.
00:11:52Ça c'est à mon avis trop bas.
00:11:54Un peu bas, oui.
00:12:03Nouvelle intervention de messieurs Koufignal et Lobotte à la demande de cette équipe
00:12:09bretonne.
00:12:15Patrick Koufignal et Michel Lobotte ont conjuré tous les points et coups qu'ils pouvaient
00:12:20y aller.
00:12:26Il l'a gagné.
00:12:27Il l'a donné.
00:12:28Il l'a gagné.
00:12:29Voilà Patrick Koufignal, ça c'est Dominique Lobotte qui marque la boule.
00:12:33Ça nous permet tout de suite de savoir.
00:12:40Tant mieux pour eux.
00:12:45Et là par contre, on n'aura pas besoin de mesurer celle-ci.
00:12:59Premier point donc pour la formation de Bretagne.
00:13:06Antoine Corre, Cédric Lhermitte et Elvis Gaillard.
00:13:142-0.
00:13:15Deux premiers points donc, 2-0.
00:13:26Alors déjà il n'y a que 2-0 mais surtout les Bouches du Rhône, c'est pratiquement
00:13:30leur sport favori d'être mené.
00:13:32Oui.
00:13:33On dirait qu'ils se réveillent quand ils sont aux portes de l'élimination.
00:13:40C'était le cas en quart de finale où là vraiment ils ont frisé la correctionnelle.
00:13:45Ils étaient menés 4 à 12.
00:13:46Ah oui.
00:13:47La belle équipe de Guyane.
00:13:48Et honnêtement, nous on ne voyait pas comment ils pouvaient retourner la situation.
00:13:52On ne voyait pas.
00:13:54Très loin là, ce bouchon il y avait 10m40 environ.
00:13:58Et puis pareil face à la formation des Ardennes en demi-finale où...
00:14:12C'est dommage que vous n'ayez pas en retour Jean-Luc Robert qui est en train de présenter
00:14:16bien sûr le corps arbitral et puis de les détailler au niveau vestimentaire.
00:14:21Donc Kazak Juventus de Turin.
00:14:24Toque rouge pour Dominique Leboix.
00:14:27Toque noire pour Patrick Koufignal.
00:14:29Et Laurent, on a vécu deux journées d'abord de vétéran puis maintenant on arrive au
00:14:50terme de la seconde journée du promotion.
00:14:53Et je pense que c'est la façon d'Antoniko de jouer qui est la meilleure adaptée à
00:14:57ses jeux.
00:14:58Même si, on le redit, quand les terrains finissent par être dammés puisqu'ils ont
00:15:01été ratissés avant la finale.
00:15:03Quand les terrains finissent par être dammés, on peut laisser venir de loin.
00:15:06Mais je pense que la façon la plus adaptée à ses jeux de jouer c'est la sienne.
00:15:10Et ce n'est pas un hasard.
00:15:12S'il y a lui seul en demi-finale, il a pratiquement fait tout le boulot face au comité régional
00:15:17Aura.
00:15:18Oui, c'est vrai qu'en fait, cette façon de jouer est certainement, comme tu le dis,
00:15:24la plus adaptée parce que le terrain s'est instabilisé.
00:15:28C'est instabilisé qui est assez dur à la frappe.
00:15:31Donc il y a eu des petits gravillons, du sable rapporté un petit peu dessus.
00:15:36Alors une fine épaisseur.
00:15:38Mais si vous jouez loin de la boule, vous pouvez tomber sur un petit tas de sable, sur
00:15:43une plaque dure, sur un dévers.
00:15:46Et à ce moment-là, vous avez beaucoup de chemin à parcourir jusqu'au bouchon.
00:15:50Et à ce moment-là, la déviation est importante au niveau du bouchon.
00:15:55Et vous faites une saucisson.
00:15:57Donc c'est vrai que plus on l'enverra près du but, alors pas non plus l'assécher au
00:16:04bouchon parce que sinon après c'est trop compliqué.
00:16:07Le terrain n'est pas un terrain pour les enfants.
00:16:10Mais trois quarts jeu effectivement, c'est cette manière-là où vous aurez le plus
00:16:17de réussite à la pointe.
00:16:19Parce qu'on a vu des boules mal piquées à mi-jeu.
00:16:22Et après quand elles piquent un peu de travers, à la fin on peut finir à 80° du bouchon
00:16:27de côté parce que le dévers fait que vous déviez, vous déviez, vous déviez.
00:16:33Tiens là, on lui a fait un compliment malheureusement.
00:16:37Celle-ci est perdue.
00:16:40C'est quand même dur d'être 100% à la pointe.
00:16:47Il faut être très vigilant.
00:16:49Même si les terrains paraissent faciles devant votre écran, croyez-moi, il faut être vigilant.
00:16:57Et puis là ils ont deux jeux de largeur, ils ont 8 mètres.
00:17:01On a coupé une ficelle qui séparait les deux jeux centraux.
00:17:04Ce qui fait qu'ils se retrouvent à jouer parfois sur l'endroit où il y avait avant
00:17:09la ficelle et où ils sont très peu venus durant le week-end.
00:17:12Où ça peut être un peu brosselé effectivement.
00:17:15Exactement.
00:17:18Cédric a réparé et repris le point.
00:17:23Cédric a réparé et repris le point.
00:17:42Et bien sûr Laurent... on laisse tirer Yannick.
00:17:46Et on précise...
00:17:49Il a un beau tir quand même. Il a un très beau tir.
00:17:53Comme le précise Laurent Vessières, le vice-président de la FFPJP, que je remercie,
00:17:57il y a évidemment un billet en jeu pour le Championnat de France, triplé de Seigneur l'an prochain.
00:18:02Oui, effectivement. Il est déjà averti Yannick ?
00:18:05Oui, il a mordu le rond.
00:18:08Il a mordu le rond et donc il avait été prévenu,
00:18:11il avait été prévenu, briefé par le corps arbitral dès le début de la partie.
00:18:15Il faut le dire, les arbitres réunissent les joueurs,
00:18:17ils leur disent on ne laissera rien passer.
00:18:19C'est une finale de Championnat de France et c'est pas parce que c'est une finale,
00:18:23c'est parce que tout simplement les deux arbitres pour la partie,
00:18:26donc ils vont tout voir, rien ne peut leur échapper.
00:18:31Évidemment, il y a sanction à chaque faute.
00:18:35Yannick Omelle qui a mordu le rond lors de son tir, donc carton jaune.
00:18:42Et ça, c'est la faute bête parce que lever le pied,
00:18:45on sait que c'est un réflexe et mordre le rond, c'est vraiment évitable.
00:18:49Manque d'attention, effectivement.
00:19:06Ça aussi Laurent, c'est un fait important dans cette finale,
00:19:10quand les joueurs se savent scrutés par un arbitre,
00:19:13ce qui n'est quand même pas le cas 98% du temps,
00:19:16puisqu'il est très rare d'avoir deux arbitres sur sa propre partie.
00:19:21En général, c'est bon signe quand ça vous arrive.
00:19:23En général, c'est que vous êtes un peu sur une bonne partie intéressante,
00:19:28c'est-à-dire une finale, une demi-finale.
00:19:32C'est vrai qu'il y a peut-être aussi cet aspect-là,
00:19:38le fait qu'on reste sur des standards habituels.
00:19:43Même si on mord le rond, ce n'est pas grave.
00:19:45Alors que là, vous avez deux arbitres internationaux,
00:19:48enfin européens ou internationaux,
00:19:50qui vous surveillent à chaque instant de la partie.
00:19:56Donc effectivement, il faut être vigilant.
00:20:08On joue la dernière boule pour les joueurs de Carnoux.
00:20:13Ça, c'est beau. Et belle reprise.
00:20:28Il y a l'avantage quand même sur cette mène encore à la formation de Bretagne.
00:20:34Il reste sur ses standards Elvis.
00:20:39C'est beau.
00:20:53Alors que nous soit encore donné une dernière occasion, Laurent,
00:20:56de saluer quelques... Vous avez en haut, au fond de l'écran,
00:21:00en haut des escaliers, des tribunes, des hommes habillés en jaune ou des femmes.
00:21:05Et que l'occasion nous soit donnée une dernière fois de les remercier.
00:21:08C'était vraiment, vraiment des beaux championnats de France.
00:21:11C'était vraiment une équipe sympathique.
00:21:13Alors, on remercie toujours les bénévoles, Laurent, pendant les championnats de France.
00:21:17Mais il se passe parfois des choses entre nous, la Fédération et eux.
00:21:23Il y a des endroits où on va régulièrement... Bravo.
00:21:25Il a tiré, ça.
00:21:27Il y a des endroits où on va régulièrement plusieurs fois,
00:21:30parce qu'il y a plusieurs championnats de France successifs qui s'y déroulent.
00:21:33Mais la rencontre avec les hommes de Saint-Flour a été...
00:21:37Les hommes et les femmes, formidables.
00:21:39Alors, l'Aude a reçu beaucoup de championnats de France dans l'histoire.
00:21:42Mais ici, à Castelnaudary, avec l'équipe menée par Cassoulet,
00:21:46il n'y a vraiment que des gens sympas.
00:21:49Et puis, il faut comprendre qu'ils ont une semaine dans les pattes, là.
00:21:53Ça ne peut plus.
00:21:55C'est quand même formidable d'avoir fait ce qu'ils ont fait.
00:21:57Ils sont crevés, mais ils sont toujours opérationnels, toujours au top, toujours dynamiques.
00:22:03Alors ?
00:22:04Il est tombé sur le bouchon.
00:22:06Comme c'était la dernière boule de la mène,
00:22:08personne ne marquera dans cette mène.
00:22:11Il y a déjà un jet de Sébastien pour éviter ce bouchon.
00:22:15Il en avait frappé quand même...
00:22:17Ça aurait pu lui faire chier.
00:22:20Je crois qu'il y en avait au moins trois par terre,
00:22:25pour la formation de Bretagne.
00:22:29Et à la sortie, personne ne marquera sur cette deuxième mène.
00:22:46Cassoulet, Daniel Rive.
00:22:49Ça me fait rire, alors qu'il n'y a pas lieu, mais c'est son surnom.
00:22:53Daniel Rive, arbitre européen.
00:22:59Qui fait partie et qui assiste...
00:23:02Même international, Daniel Rive.
00:23:08Ce sont vraiment des gens bien, qui nous ont reçus.
00:23:22Il a même eu le cran de faire gagner Jean-Luc Robert.
00:23:28Dans une partie face au corps arbitral.
00:23:31Parce qu'il y a des parties de défis.
00:23:34Il y a la journée et il y a les soirs.
00:23:37Ce n'est pas facile pour Jean-Luc, parce qu'il est défié en permanence.
00:23:42Des défis à assumer, encore et encore.
00:23:45Ce week-end, il est quand même resté vaincu.
00:23:48La classe finit toujours par triompher.
00:23:53Ça, c'est comme tu le disais tout à l'heure, c'est l'entretien.
00:23:57Aussi.
00:23:58Quatu sportif.
00:24:09Elle n'est pas bien tombée, celle-là.
00:24:12À la vue de la frappe, elle s'est accélérée.
00:24:15Et Laurent, voilà la pétanque.
00:24:17On passe d'une mène possible de 3 points.
00:24:21Et d'un éventuel 5 à 0.
00:24:24Alors, on ne sait pas qui va marquer.
00:24:27Mais là, la Bretagne n'est plus en bonne posture dans cette mène.
00:24:36C'est vrai que c'est l'incertitude du sport en général.
00:24:39Et de la pétanque en particulier.
00:24:41Parce que ça peut vite, vite, vite tourner.
00:24:44On a encore vu des parties à retournement.
00:24:47À bouleversement, comme vous voulez.
00:24:49Et particulièrement, d'ailleurs, pour les bougerons.
00:25:05Là, c'est bon, je crois.
00:25:07Oui.
00:25:17C'est bon.
00:25:43On repéte.
00:25:47Ce qui n'est pas forcément une mauvaise idée.
00:26:01Oh, et voilà !
00:26:03Mieux, ce n'est pas possible. Il y en a fait deux.
00:26:05Visiblement, c'est une très bonne idée pour Johan de Ridder.
00:26:09Parce qu'il l'a gagnée. Il a embouchonné.
00:26:11Il a poussé un petit peu le bouchon.
00:26:13Il en a peut-être fait deux.
00:26:14Mais quoi qu'il en soit, après le tir,
00:26:16Elvis Gaillard frappe.
00:26:19Le bouchon va bouger.
00:26:24C'est un peu une salmène, quand même, pour les Bretons.
00:26:30Elvis Gaillard qui avait attaqué par un 4 sur 4.
00:26:46Il a fait un tir.
00:27:08Il l'a sorti seul, sans le bouchon.
00:27:10Je pense qu'il aurait préféré que le bouchon s'en aille.
00:27:16Il en a fait deux, Johan de Ridder.
00:27:46Celle-ci, pour la fois.
00:27:55Il reste quatre boules en main aux joueurs des Bouches du Rhône.
00:27:59L'occasion de réaliser une belle mène.
00:28:17Est-ce qu'il en a assez fait ? Non.
00:28:19Visiblement, non.
00:28:46Allez, on va retirer.
00:29:01Mieux !
00:29:02Ah oui !
00:29:05La deuxième est la bonne.
00:29:09C'est la bonne.
00:29:10C'est la bonne.
00:29:11C'est la bonne.
00:29:12C'est la bonne.
00:29:13C'est la bonne.
00:29:14La deuxième est la bonne.
00:29:17Allez, papa !
00:29:42Ils vont tirer à celle de devant pour faire rentrer...
00:29:46...le point de droite.
00:29:54Ils essayent d'aller chercher la belle mène.
00:29:56Oui.
00:29:58Bien tiré.
00:30:00Il ne force pas lui non plus quand c'est loin.
00:30:02Il est grand, Sébastien.
00:30:04Il a fait un joli geste ample.
00:30:07Ample.
00:30:08Ample.
00:30:17Ils peuvent prendre l'avantage et je pense qu'ils vont prendre l'avantage.
00:30:20Ah oui, il y a de la place, oui.
00:30:23Voilà, celle-ci était une formalité.
00:30:26Bien joué.
00:30:28Belle mène des joueurs de Cardoux.
00:30:33Yoann Derridaire, Sébastien Bottero et Yannick Cotter.
00:30:38Bien joué.
00:30:39Bien joué.
00:30:40Bien joué.
00:30:41Bien joué.
00:30:42Bien joué.
00:30:43Sébastien Bottero et Yannick Commel.
00:30:473-2.
00:31:14On voit qu'ils se parlent même avant de lancer le bouchon
00:31:18pour savoir s'ils sont bien d'accord sur la tactique et la distance.
00:31:22Là, il y a 11 mètres.
00:31:24C'est un peu long.
00:31:25On ne peut pas enlever à cette équipe de Bouches du Rhône leur solidarité.
00:31:44On va jouer un petit peu en travers.
00:31:46Là, attention Laurent, ça descend.
00:31:48Oui.
00:31:51J'espère que chacun des joueurs va y prêter attention.
00:32:14On la voit à l'écran, peut-être mal, mais il y a une bande de gravier plus épaisse.
00:32:19À peu près les deux derniers mètres avant le bouchon.
00:32:23Ça correspond à la séparation entre deux Jeux en temps normal.
00:32:30C'est bien joué.
00:32:31Il ne s'est pas fait piéger, Yoann.
00:32:33L'Orient de l'A.
00:32:34Je crois qu'il y croyait.
00:32:36Il est tombé, je dirais, dur, mais il court.
00:32:43Et oui, ça mérite réflexion.
00:32:46Quand ce soit lancé un coup, c'était normal, Laurent.
00:32:49Oui, tout à fait.
00:32:50Celui-là, il est bon, il est perdable.
00:32:53On peut se dire que c'est une bonne équipe.
00:32:55On peut se dire que c'est une bonne équipe.
00:32:57On peut se dire que c'est une bonne équipe.
00:32:59On peut se dire que c'est une bonne équipe.
00:33:01Tout à fait. Celui-là, il est bon, il est perdable.
00:33:03On peut sans problème tirer.
00:33:05Après, en ayant manqué, c'est pas mal d'en approcher une
00:33:09parce que cette boule est quand même un petit peu derrière.
00:33:26Ça va.
00:33:28Ça fait partie du jeu, effectivement.
00:33:31Ça fait le job, mais...
00:33:33Ça fait partie du jeu.
00:33:35Il était long et il a rencontré la boule adverse.
00:33:38Une belle rencontre.
00:33:39Oui, une belle rencontre.
00:33:41Pas comme à ma sœur.
00:33:51Il y en a qui vont vouloir la connaître, ma sœur.
00:33:53À force, oui.
00:33:56Le tir parfait.
00:34:20Par contre, je lui dis bravo, il a bien rectifié.
00:34:25Il a vraiment fait attention sur sa seconde.
00:34:28La première était réussie.
00:34:31Là, il s'est replacé au même endroit, mais nature.
00:34:36Du coup, on va retirer.
00:34:39Toujours faire attention contre.
00:34:48Elle est passée.
00:34:49C'est ce qu'il veut, Yannick Comet.
00:34:56Il faut quand même le faire, de sortir d'une demi-finale
00:34:59où on n'a pas réussi à aucun moment à être à son niveau.
00:35:05Et de faire une telle finale, c'est vous dire à quel point cette équipe...
00:35:09Après, sur la demi-finale, il a quand même bien fini.
00:35:12Oui, ça allait mieux.
00:35:13Ça allait mieux à la fin, puis il y a eu la pause repas.
00:35:16Donc, ça a peut-être permis aussi de se décontracter un petit peu.
00:35:23Parce que jouer comme ça, une quart de finale ou une demi-finale de Championnat de France,
00:35:28devant les caméras de la WebTV, c'est une première.
00:35:31Ça peut être impressionnant, effectivement.
00:35:35Surtout quand on connaît le consultant, ce week-end.
00:35:37Oui.
00:35:38C'est impressionnant.
00:35:39C'est certain.
00:35:43Jugé par la Bible de la pétanque.
00:35:45Oui.
00:35:47Gros début de finale aussi pour Cédric.
00:35:49Oui, c'est vrai.
00:36:07C'est sauté.
00:36:08Oui.
00:36:11Il était droit.
00:36:13Il était droit.
00:36:16Mais un petit peu haut.
00:36:42C'était pas le moment de manquer double pour Sébastien Bottero.
00:36:54On espérait pas tant les joueurs bretons.
00:37:18Attention, parce que tant que cet homme a des boules dans les mains,
00:37:22il y a des dangers.
00:37:23La preuve.
00:37:29S'il bec un tout petit peu plus du bon côté, il pouvait même venir avec le bouchon.
00:37:35Oui.
00:37:36Il aurait pu rester en face aussi.
00:37:38Mais elle est bonne, celle-ci.
00:37:40Celle-là, elle va demander de l'application pour ajouter.
00:37:51C'est bien.
00:38:11Oui, il est long.
00:38:14Il est long.
00:38:21C'est bien.
00:38:37Celle-là, elle est nettement mieux.
00:38:40Élise Gaillard qui a rajouté un deuxième point pour la formation de Lille et Villene.
00:38:46Les Bretons qui reprennent la tête de cette finale.
00:38:514 à 3.
00:38:52Laurent, c'est la saison des chassés croisés.
00:38:54Exactement.
00:38:55D'habitude, c'est sur la 7.
00:38:57Oui.
00:38:58Oui, parce que pour aller jusqu'à Saison, il y a moins de bouchons.
00:39:03Oui.
00:39:06Surtout passé Lyon.
00:39:07Surtout passé Lyon.
00:39:09Entre Lyon et Saison.
00:39:10Pas de blague sur le climat breton.
00:39:13Je ne laisserai pas faire.
00:39:14Ah non.
00:39:19Ce n'est pas parce que tous les milliardaires du coin sont ceux qui vendent des bottes, des sirènes et des parapluies qu'il faut sous-entendre quoi que ce soit.
00:39:38C'est pas mal.
00:39:39Elle est devant.
00:39:40Il a manqué un petit peu, mais il est devant.
00:39:42Ses partenaires lui disent bien, bien.
00:40:08Ça doit suffire.
00:40:09Il semblerait.
00:40:14Alors là, pour le coup, Laurent.
00:40:16Que fait-on ?
00:40:17Il y a vraiment les deux jeux.
00:40:18Parce que la boule noire, elle donne l'impression d'être à droite du bouchon, mais en vérité, elle est vraiment dans le jeu par rapport à l'autre.
00:40:25C'est-à-dire qu'il n'y a pas de bouchons.
00:40:26C'est-à-dire qu'il n'y a pas de bouchons.
00:40:27C'est-à-dire qu'il n'y a pas de bouchons.
00:40:28C'est-à-dire qu'il n'y a pas de bouchons.
00:40:29C'est-à-dire qu'il n'y a pas de bouchons.
00:40:30C'est-à-dire qu'il n'y a pas de bouchons.
00:40:31Parce que la boule noire, elle donne l'impression d'être à droite du bouchon, mais en vérité, elle est vraiment dans le jeu par rapport à la légère pente.
00:40:38Pour un droitier, elle est belle à jouer.
00:40:40Oui, elle est plutôt dans le jeu.
00:40:41L'autre est plus en face du bouchon, mais le vrai jeu est un peu au-dessus du bouchon.
00:40:45Donc, on pourrait...
00:40:46Ben, regarde, on a fait le choix, d'ailleurs, de tenter.
00:40:49Il faut qu'il envoie un petit peu plus long, pour le coup, que sa première.
00:40:52Mais à peine il la touche, il peut béquer et rentrer dans le bouchon.
00:40:56Bien qu'Anthony, il envoie quand même assez près des boules.
00:40:58En général.
00:41:00Il ne faut surtout pas être trop bas, c'est dommage cette faute-là, là c'est dommage.
00:41:06Juste il était court.
00:41:13Comme on disait ce matin aussi, si on veut rentrer une boule, plus on y tombe près, moins on a de chemin à faire, ce qui est logique.
00:41:20Et donc on a plus de chances de la rencontrer que si on en voit à 5 mètres devant.
00:41:25Mais là le problème vient vraiment du fait que sa donne est trop basse, il a subi la pente.
00:41:30On va tirer, tirer au cul de la sienne.
00:41:58Il l'a fait avancer, il a fait casquette et il l'a fait avancer.
00:42:03Je ne sais pas au niveau de la Direction Technique Nationale comment on compte ça, si c'est un trou, si c'est une frappe, je ne sais pas.
00:42:16Moi je vais le compter comme coup réussi.
00:42:19Sur la manière c'est parfait, il y a la courbe qu'il faut, il tombe, parce qu'il veut bien tomber sur la sienne, c'est voulu.
00:42:36Par contre, eh oui, ça a donné un joli tir possible.
00:42:48C'est bon, c'est bon, c'est bon.
00:43:19Deuxième.
00:43:31Un petit tour de trop haut je pense, il est arrivé en deuxième position.
00:43:36Alors, qu'est-ce qu'on fait ?
00:43:52Un petit clip vas-y.
00:44:06Il est rentré dans la sienne, mais il n'en a pas assez fait, on hoche la tête, on dodeline de la tête.
00:44:36Celle-là elle est bien jouée, il a gagné, mais c'est certainement un peu tard pour l'inspirer marqué sur cette mène.
00:45:05On devrait avoir un nouveau changement de leader Lolo.
00:45:07Oui, le chassé croisé continue, c'est normal, on est le 14 juillet.
00:45:13Il devrait continuer, parce qu'il doit toujours atteindre la fin de la mène.
00:45:22On croit toujours qu'il va aller sauter avec sa courbe, mais il tombe très souvent dessus.
00:45:28Par contre là il est coiffé au fil.
00:45:36Ils ont encore trois boules les joueurs de Carnox.
00:45:43Sébastien Bottero qui va s'y coller.
00:45:46On est plus offensif du côté de la formation des bouches du rond,
00:46:07parce qu'il y a déjà 6-3-9 et 2-1-2.
00:46:1113 boules tirées contre 9 de l'autre côté.
00:46:18Sébastien Laurent a les plus beaux encouragements du monde,
00:46:21parce qu'il a ça ou ces deux petites filles en permanence en train de dire,
00:46:28allez papa elles sont deux je crois.
00:46:30Qu'est-ce qu'il y a de plus motivant au monde Laurent ?
00:46:33Rien, que d'avoir ses enfants ou petits-enfants auprès de soi et qu'ils vous encouragent.
00:46:44Il va pouvoir jouer en bas, lui je pense, dans la boule de son partenaire.
00:47:03Celle-là a planté.
00:47:17Elle est tombée dans un bac à sable.
00:47:24Comment on dit une boule qui se sable en gardois ?
00:47:30Ça tu ne m'en as pas encore parlé.
00:47:32Celle-ci elle s'est enfinguée.
00:47:41Elle s'est enfinguée.
00:47:44On vous rappelle que depuis 5 jours maintenant, c'est option gardois à troisième langue.
00:47:49Donc on bénéficie des cours en direct par Laurent Cosse.
00:47:57Elle s'est enfinguée, abandonnée.
00:48:28Et c'est parfait.
00:48:31Vous voyez, c'est deux façons de jouer différentes entre les deux pointeurs.
00:48:37Yoann accroupit, laisse venir, mais c'est parfaitement maîtrisé.
00:48:47La place est faite.
00:48:57C'est mal piqué, je l'ai trouvé bien tenue.
00:49:27Alors là c'est la surprise.
00:49:35Il est resté court.
00:49:39Il y a hésitation, qui a le point ?
00:49:42Il est resté court.
00:49:57Ouais, ça c'est bien.
00:50:19Les bretons ne s'attendaient sans doute pas à ce que ce point soit perdu.
00:50:29Ils ont gagné une boule.
00:50:40Chiquet, malheureusement.
00:50:42C'est chiquet seulement.
00:51:09Et allez, à nouveau la mène qui tourne.
00:51:35Un peu de sucre pour notre ami Laurent.
00:52:05Notre consultant WebTV qui prévoit une finale qui va durer et qui préfère avoir un peu de glucides pour tenir le coup.
00:52:13Ah oui, il en faut un peu pour se réveiller.
00:52:19Enfin, pour se tenir réveillé.
00:52:22C'est cinq jours qu'on est là quand même.
00:52:24Il ne faudrait pas s'escagasser.
00:52:25Ah non.
00:52:32Tu prends les bonnes habitudes.
00:52:35J'espère que ma femme va me comprendre quand je vais remonter quand même.
00:52:41Bravo Yannick.
00:53:09Allez, encore une possibilité pour Cédric de contrarier les plans des joueurs des Bouches du Rhône.
00:53:28C'est fort, c'est fort, c'est fort.
00:53:30C'est fort, c'est hors jeu.
00:53:37Ça peut faire trois.
00:53:39Est-ce qu'il est monté là-haut ?
00:53:42Est-ce que complètement à gauche du jeu, quand on est dans le cercle, à droite de votre écran, est-ce qu'il y a un tir, Laurent, qui arrangerait ?
00:53:52Non.
00:53:53Non, visiblement.
00:54:00Il a tiré deux fois, je pense.
00:54:04Donc ça ne vaut pas le coup, il y a quand même la place pour rentrer.
00:54:07Une glissée de deux de plus.
00:54:25Rentre dans la gagne.
00:54:35On fait déjà les comptes du côté des supporters des Bouches du Rhône, c'est peut-être un peu tôt.
00:54:47Même si, bien sûr, le fait d'atteindre les sept points, mathématiquement, on le sait.
00:54:57Oui, on n'est pas à l'abri d'une mauvaise main d'en prendre aux six.
00:55:00Effectivement, quand l'adversaire a sept, il faut faire vraiment attention, même si ce dernier point permet...
00:55:13C'est rare pour eux d'être en position de leader.
00:55:16Oui, c'est vrai.
00:55:17On va voir comment ils gèrent ça.
00:55:21Et on joue la septième main.
00:55:51Notre consultant Jean-Luc, aussi très galant homme, parce qu'on a offert des bouteilles d'eau suite au conseil du médecin de bien boire.
00:56:04Mais il a bien pensé aux délégués aussi.
00:56:07Tout à fait. Il ne risque pas de les oublier.
00:56:09Ah non.
00:56:10D'abord, on connaît son respect des délégués, pour commencer.
00:56:16Son respect des délégués, des arbitres, du règlement.
00:56:23Bien joué, Johan de Rieder.
00:56:37Oh, encore casquette.
00:56:38Attention, parce que c'est un petit côté partie qui tourne le long.
00:56:42Oui, ça fait quelques unes qu'il fait de casquettes.
00:56:46Sur ses quatre échecs, Elvis Gaillard, il a une paire de casquettes.
00:56:56À part ses tantes de canicules, c'est mieux d'en avoir une.
00:57:00Aïe.
00:57:14Cette main est en train d'illustrer nos propos d'il y a quelques minutes,
00:57:18en disant que quand on a 7, on est dans la gagne, on n'est pas à l'abri d'une mauvaise main.
00:57:22Et là, cette main attaque mal pour les joueurs de Bretagne.
00:57:29Alors, on continue à tirer.
00:57:33Il faudrait que je pointe là-dessus.
00:57:35C'est quasiment abandonné à la marque.
00:57:49Il y a un petit peu plus de place, mais enfin...
00:57:52Le supporter de Carnoux, qui a crié « Allez, si tu le mets, on rentre dans la gagne »,
00:57:57il pensait peut-être pas si bien dire.
00:58:02Oui, parce que là, s'il tire bien trois fois, les joueurs des Bouches du Rhône...
00:58:07L'affaire sera entendue.
00:58:12Voilà, il ne faut pas hésiter.
00:58:17Ils peuvent mettre fin à 46 ans de disette, les Bouches du Rhône.
00:58:2246 ans de disette.
00:58:24C'est le temps du régime qu'il me faudrait, moi.
00:58:2746 ans.
00:58:28Alors, disette, on le précise bien.
00:58:30Oui.
00:58:31En pétanque, senior masculin.
00:58:35Et la tension monte.
00:58:39La tension monte.
00:58:43Quatre boules pour deux.
00:58:45Deux points par terre et sept au compteur.
00:58:49Et pourtant, on joue vite.
00:58:53Et on joue simple.
00:58:59Mais là, sur celle-là, oui, c'était un peu logique d'essayer de se mélanger au bouchon.
00:59:05Alors après, il aurait pu jouer un petit peu derrière pour mettre la boule de derrière en contre.
00:59:11C'est un choix.
00:59:12On choisit d'essayer de mettre la boule de derrière en contre.
00:59:16On choisit d'essayer de masquer le bouchon.
00:59:21On rappelle qu'il faut tout cadrer.
00:59:28Donc sa boule à lui est sortie du cadre.
00:59:31Et sa boule à lui est sortie du cadre.
00:59:33Donc je ne sais pas s'il n'y en a pas trois par terre.
00:59:35Il y en a deux, sûr.
00:59:38Il y a une boule de gauche.
00:59:40C'est compliqué, là, de savoir.
00:59:43La Bretagne ne s'inclinera pas là.
00:59:45Ça, c'est certain.
00:59:46S'il y en a trois par terre, c'est possible.
00:59:48Non, c'est sa boule à lui qui est sortie du cadre.
00:59:50Ah, c'est sa boule à lui qui est sortie du cadre ?
00:59:52Sa boule de tir qui est sortie du cadre.
00:59:53D'accord, parce que j'avais l'écran juste en face.
01:00:10Après, ça peut demeurer cher, Lolo.
01:00:13Ah ben, s'ils en marquent quatre ou cinq.
01:00:19Voilà, il y a comme ça.
01:00:20Ah, ben tiens.
01:00:22On ne sait jamais.
01:00:24C'est bien joué.
01:00:29On ne va pas dire boule de match,
01:00:31mais boule d'énorme avantage pour Sébastien Bottero.
01:00:38S'il y tape, c'est quatre points assurés.
01:00:44Oui, mais en même temps,
01:00:46c'est plus loin.
01:00:47S'il manque de l'autre côté,
01:00:49s'il sortait le bouchon, ça faisait deux,
01:00:52donc ce n'est pas optimal par rapport à la mène.
01:00:55C'est loin d'être optimal.
01:01:00Là, il faut y taper quand même pour faire payer la mène.
01:01:05Incroyable.
01:01:12Le MVP de la demi-finale.
01:01:15Le under-reader.
01:01:25Et c'est encore l'autre côté.
01:01:27C'est l'autre côté.
01:01:29C'est l'autre côté.
01:01:32Et c'est encore lui qui se retrouve avec des boules ultra importantes.
01:01:38C'est court.
01:01:40Elle est sortie du cadre.
01:01:42Elle l'a bien ramassée, celle-là, quand même.
01:01:47Les Bretons sont presque contents d'en prendre deux.
01:01:50J'exagère, mais...
01:01:53Par contre, il faudrait quand même...
01:01:56Après les deux trous et la chic,
01:01:59si on leur avait dit qu'ils allaient en prendre deux,
01:02:02je pense qu'ils auraient signé.
01:02:04C'est certain.
01:02:06D'où la nécessité pour eux de réagir.
01:02:09Parce que 9-4, ça commence.
01:02:12Là, il faut qu'ils arrêtent l'hémorragie.
01:02:15Il faut qu'ils arrêtent l'hémorragie.
01:02:18Il faut qu'ils arrêtent l'hémorragie.
01:02:22Ils menaient 4-3.
01:02:25Ils sont 4-9.
01:02:52On maintient la pression.
01:02:54C'est la meilleure façon de faire.
01:03:02Ils jouent très vite.
01:03:09Ça fait trop d'approximations, Laurent.
01:03:12Je ne sais pas quel terme employer.
01:03:15Levis-Gaillard est tout juste en-dessus d'une sur deux.
01:03:187 sur 13.
01:03:21Et ça baisse.
01:03:24Il avait bien démarré.
01:03:27Il est pile à une sur deux.
01:03:307 sur 14.
01:03:33Et encore, pour lui,
01:03:36de toucher ce bouchon.
01:03:39Et de ne plus faire compter la boule de Johan de Rieder.
01:03:43Mais bon, il y a 9.
01:03:46Mais bon, il y a 9.
01:03:49Pour les BDR.
01:03:52Pour les BDR.
01:03:55Pour les BDR.
01:04:12Allez, Johan !
01:04:15Allez, Johan !
01:04:26Allez, pourquoi ?
01:04:31Sébastien dit à Johan,
01:04:34Fais ta main.
01:04:37Si il reprend le poing, ça mène.
01:04:43Elle a fait un demi-tour de trop.
01:04:46J'y ai cru tout le long.
01:04:49Oui, j'ai entendu.
01:04:52C'est foutu.
01:04:55Elle décide de tirer.
01:05:25Renversement de situation dans cette maine, ce petit coup de bouchon, Clément, il ne prend
01:05:47pas le bouchon, ils sont obligés de retirer.
01:05:48Ah oui, le point était ingagnable, il a fait un tir à la Suchot, ça s'équilibre,
01:06:07ça s'équilibre toujours, oui normalement à la fin de l'année ça s'équilibre, un
01:06:12coup pour soi, un coup contre soi, j'ai toujours vu que ça s'équilibrait, toujours.
01:06:18Je ne connais personne à qui ça n'arrive pas.
01:06:20Tu as Philippe Suchot qui est chanceux, Jean-Luc Robert qui est mal chanceux, entre les deux
01:06:24ça s'équilibre.
01:06:25Un tour de trop aussi pour Sébastien, on tire, on pointe, on tire, on pointe, c'est
01:06:47rarement payant comme stratégie.
01:06:48Oui, je ne sais pas, on va retirer la dernière, la vingt-dernière pardon.
01:07:34Impeccable.
01:07:35Et il en défend deux ma foi, enfin même Axel deux devant, mais bon, deux bons, voilà,
01:07:53deux corrects.
01:07:54Là par contre il a quand même le droit d'y croire Laurent, je ne sais pas ce que tu en
01:08:08penses.
01:08:09Oui, il peut l'attraper effectivement.
01:08:12C'est loin, il me semble qu'il est bien droit quand même.
01:08:15Oui, il peut l'attraper.
01:08:16Mais bon, comme le dit le proverbe gardois, mieux vaut l'attraper à refaire, je ne sais
01:08:28pas comment vous dites.
01:08:29Tirer au fer, tu n'as pas d'expression pour tirer au fer ?
01:08:35Plein fer, non.
01:08:37Bon, plein fer c'est classique, ce n'est pas gardois.
01:08:40Parce que dans l'allié ça se dit plentos.
01:08:49Ah oui, plentos.
01:08:51Tu vois ce que je veux dire ? Tu parlais d'un joueur chanceux à l'instant, lui il dit
01:08:57comme ça.
01:08:58Je peux y taper plentos.
01:09:01C'est pour ça que je te demandais si tu n'avais pas l'équivalent en gardois.
01:09:05Après si on commence dans le patois de l'allié, c'est autre chose.
01:09:35Formidable.
01:09:36Ça va leur faire du bien, parce qu'ils étaient mal engagés sur cette mène, finalement
01:09:57ils s'en sont bien sortis.
01:09:58Grâce au coup de bouchon Laurent, tu l'as dit et c'est exact.
01:10:02Parce que si ce bouchon ne bouge pas, il s'est obligé d'y retirer, alors il peut faire
01:10:10carreau aussi derrière, mais enfin, c'est un peu plus compliqué déjà de jouer la
01:10:16troisième.
01:10:17Une heure de jeu, pour ainsi dire 60 minutes.
01:10:32Ou deux demi-heures, je ne sais pas, comme vous voulez.
01:10:39Aussi, oui.
01:10:44Bien joué.
01:10:55Ayami Komel qui est 9 sur 13.
01:11:02Bonne petite moyenne.
01:11:08Elle est frappée.
01:11:12Même s'il ne fait pas le coup sien, il laisse de la place pour Johan de Rieder.
01:11:32Bien joué également.
01:11:51On va tirer, partir à l'attaque, ce n'est pas déjoué du tout.
01:12:02Ah oui.
01:12:03Et c'est du chocolat ça Lolo ?
01:12:05Ah oui.
01:12:08C'est Elvis.
01:12:09Et la voix d'Elvis.
01:12:11Ah oui.
01:12:16On n'a pas encore attaqué les quantiques gardoises, alors celle-ci n'est pas particulièrement
01:12:19gardoise.
01:12:20Pas trop non.
01:12:23Peut-être qu'Elvis est passé dans le gars lors d'un voyage.
01:12:27Il est passé dans le roi en Elvis.
01:12:29Il a laissé sa Santiago à Willy Chaplin.
01:12:37Bien tiré encore.
01:12:38Ah là.
01:12:39Oui.
01:12:43Les joueurs de Saison de Sévigné qui se rebellent.
01:12:48La mène précédente leur a fait du bien.
01:12:51Mais il va falloir aller jusqu'au bout.
01:12:53Ah oui parce que...
01:12:56Ah oui parce que...
01:13:23Il va falloir continuer de toute façon là.
01:13:26Ils en défendent trois.
01:13:32Trois boules pour deux.
01:13:36Alors Cédric Lhermitte il n'en a pas beaucoup tiré dans cette partie.
01:13:39C'est seulement son troisième tir.
01:13:42Mais il est à 100%.
01:13:46Ce serait le moment de maintenir la cadence.
01:13:48Ah dommage.
01:13:56Là il y a la possibilité d'une très très belle mène.
01:14:27Bien joué.
01:14:28Il serre le point à chaque fois.
01:14:32Motivé Anthony Cor.
01:14:35Ils sont tous motivés.
01:14:36Mais il y en a qui sont beaucoup plus expressifs que d'autres.
01:14:42Si on n'est pas motivé là, je ne sais pas quand est-ce qu'on peut l'être.
01:14:53Bien tiré.
01:14:56Passe.
01:15:27Bien joué.
01:15:28Bien joué.
01:15:29Bien joué.
01:15:30Bien joué.
01:15:31Bien joué.
01:15:32Bien joué.
01:15:33Bien joué.
01:15:34Bien joué.
01:15:35Bien joué.
01:15:41Très bien.
01:15:44C'est bien les bouges du round qui vont...
01:15:47Ah oui.
01:15:48Ils étaient sur une mène où...
01:15:50Si les joueurs de ville et vilaine tirent bien...
01:15:54On était sur une mène dangereuse, et à la sortie ils peuvent en faire deux.
01:15:59Ça ferait 11, ça commencerait à être dangereux.
01:16:03Oui.
01:16:04Ça fait 11.
01:16:07Il n'a pas laissé passer l'occasion.
01:16:20La dixième mène qui va débuter dans quelques petites secondes, Yohann Derridaire, Sébastien
01:16:40Bottero, Yannick Komel, les joueurs de Carnoux qui mènent 11 à 6 face à Anthony Corre,
01:16:47Cédric Lhermitte, Elvis Gaillard, les sociétaires de Cesson, Pétanque, début de la dixième
01:16:56mène.
01:17:18Il commence à se sentir bon pour les bouches du Rhône.
01:17:21Comme on dirait, à deux pointes du match, même à deux pointes du titre.
01:17:47Les bretons n'ont plus le droit à l'erreur quand même.
01:18:04Ce n'est pas 12, c'est 11, mais bon, il vaut mieux garder cette petite marge.
01:18:10Plus de possibilités de rater.
01:18:16Maintenant, la moindre mène, il faut les jouer toutes, commencer par essayer de recoller.
01:18:26Quand on est dans ces positions-là, il faut faire abstraction du score et jouer les mènes
01:18:34l'une après l'autre, en essayant chaque fois de marquer dans chaque mène, même un
01:18:40point, mais marqué.
01:19:11Intervention de nos deux arbitres.
01:19:18Est-ce qu'il en a assez fait, Yannick Commel ou pas ?
01:19:24Il est blanc, le point est blanc, donc il en a assez fait.
01:19:39Encore une fois, j'aurais été trompé de là où nous sommes, je n'aurais pas pensé.
01:19:50Ça paraît court, non ? Je ne sais pas, il y en a peut-être pour les deux.
01:20:13Allez, on est reparti.
01:20:19Le bot, c'est le couffre.
01:20:40Il est derrière, mais il est encore blanc, décidément.
01:20:43Donc, aux joueurs des bouches du run, alors là, 4 boules pour 4, il n'y a encore pas
01:21:03forcément le feu, la boule est derrière.
01:21:06Il faut arriver à faire tirer, si possible évidemment, de mettre la boule adverse en
01:21:11danger.
01:21:12Voilà, comme ça, on peut espérer quelque chose Laurent, même si un carreau aussi peut
01:21:37tomber.
01:21:38Oui, il peut tomber à tout moment le carreau, mais effectivement, on peut espérer un déplacement
01:21:44de bouchon hors des limites du terrain.
01:21:45Elle est passée seule, rien n'a bougé.
01:21:55Et voilà, il a fait sa mène, 2 sur 2.
01:22:01Bonne prestation dans la finale pour Yannick Commel, ces statistiques 13 sur 17, c'est
01:22:11une bonne moyenne.
01:22:12Pour l'instant, il fait vraiment ce qu'il faut pour ses partenaires.
01:22:31Bon, c'est l'essentiel, il ne fallait pas le perdre surtout.
01:23:01On peut prendre aussi l'option de pointer, même avec 3 boules pour 2, parce qu'elle
01:23:10est derrière celle-là.
01:23:11Et on a le gagné devant.
01:23:26Si lui, il en a un en stock, un carreau, Elvis, Gaillard, c'est maintenant qu'il faut le sortir.
01:23:50Je sais que je suis un peu exigeant.
01:23:52Allez, ça passe sans encombre.
01:23:54Et il y a 3 points par terre, parce qu'il a fait un petit contre sur la boule marseillaise
01:24:07derrière.
01:24:08Ça change tout, 2 boules pour une pour les joueurs des Bouches du Rhum.
01:24:13Il ne faut pas s'égarer.
01:24:14Il ne faut pas s'égayer.
01:24:16Il le sait, je pense, son partenaire qui lui dit ta première est importante, oui, je pense
01:24:31qu'il en a bien conscience.
01:24:32Il court, il court, il en laisse 3.
01:24:51Ça signifie qu'il n'y aura de toute façon pas de victoire, sauf si le bouchon démarrait
01:24:59à la fin.
01:25:00Non, même pas, il n'y a rien au fond, Laurent.
01:25:01Ça va être compliqué, oui, pour en faire 2 sur ce domaine.
01:25:04De toute façon, il n'y aura pas de victoire.
01:25:06Ça dépend de cette boule-là, s'il l'embouchonne.
01:25:08Mais bon, ça risque d'être quand même compliqué pour gagner.
01:25:18Il faudrait un coup de Trafalgar.
01:25:23Ah, il a attrapé la sienne.
01:25:27Est-ce qu'il est rentré ? Ce n'est pas sûr.
01:25:57Alors, il est à gauche.
01:26:11Il est rentré de celle-là.
01:26:18Je ne vois pas le geste de l'arbitre.
01:26:33Alors, il y en a deux.
01:26:50Ah, il y en a deux.
01:26:53Il y en a deux et il va tirer.
01:27:07C'est que je n'ai pas bien suivi, alors, parce que pourtant, il a montré les deux
01:27:11boules.
01:27:12Parce que s'il y en avait deux qui ne tiraient que pour un de plus, c'était vraiment dangereux
01:27:26quand même.
01:27:27Un point.
01:27:28Il tirait à trois.
01:27:29Un point.
01:27:30Là, on comprend mieux, évidemment, Laurent.
01:27:36Je n'avais pas bien vu le geste de monsieur l'arbitre.
01:27:46Bon, mais les fameux sept points.
01:27:50C'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:20c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:48c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:49c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon.
01:28:50C'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:51c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:52c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:53c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:54c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:55c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:56c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:57c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:58c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:28:59c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:00bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:01bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:03bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:04bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:05bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:07bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:08bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:09bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:11bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:12bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:13bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:15bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:16bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:17bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:19bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:20bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:21bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:23bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:24bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:25bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:27bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:28bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:29bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:31bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:32bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:33bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:35bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:36bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:37bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:39bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:40bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:41bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:43bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:44bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:45bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:47bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:48bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:49bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:51bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:52bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:53bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:55bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:56bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:57bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:29:59bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:00bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:01bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:03bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:04bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:05bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:07bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:08bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:09bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:11bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:12bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:13bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:15bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:16bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:17bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:19bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:20bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:21bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:23bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:24bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:25bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:27bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:28bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:29bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:31bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:32bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:33bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:35bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:36bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:37bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:39bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:40bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:41bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:43bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:44bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:45bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:47bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:48bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:49bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:51bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:52bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:53bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:55bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:56bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:57bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:30:59bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:00bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:01bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:03bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:04bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:05bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:07bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:08bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:09bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:11bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:12bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:13bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:15bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:16bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:17bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:19bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:20bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:21bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:31:23c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:24bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:25bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:27bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon,
01:31:28c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:29bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:31bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:32bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:33bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:35bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:48bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:53bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:31:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:32:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:33:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:34:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:35:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:36:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:37:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:38:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:39:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:40:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:41:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:42:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:43:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:44:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:45:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:02bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:06bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:10bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:14bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:18bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:22bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:26bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:30bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:34bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:38bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:42bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:46bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:50bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:54bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:46:58bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:47:02bon, c'est bon.
01:47:32Alors bien évidemment la cérémonie va être filmée, diffusée en direct comme vous en
01:47:40avez l'habitude, on vous filme la remise des récompenses et la cérémonie du sacre.
01:47:51On vous remercie d'avoir été devant la Web TV fédérale et comme c'est tous les week-ends
01:47:57du mois de juillet, rendez-vous la semaine prochaine, vous en avez l'habitude, rendez-vous
01:48:01la semaine prochaine et un immense merci à Laurent Causse qui a été bien plus qu'à
01:48:07la hauteur de la tâche, Lolo c'était un grand plaisir.
01:48:11Écoute j'ai passé 4 jours exceptionnels, même 5 parce que le jour off on l'a passé
01:48:17ensemble donc j'ai passé 5 jours exceptionnels avec toi mon Clem et avec la vie Jean-Luc
01:48:23Robert qu'on chambre régulièrement mais parce qu'on l'aime.
01:48:27La légende de la Fédération Française des Pétanques et des Jeux Provençals aussi,
01:48:31super championnat ici avec toute l'équipe du Président Chevasseux et de Cassoulet.
01:48:39Daniel Rive, merci à toutes et à tous de nous avoir suivis pendant ces journées, j'espère
01:48:45que vous avez pris du plaisir à nous écouter et Clément quand tu veux pour une nouvelle
01:48:52et puis je crois que quand même on se retrouve le week-end prochain à la Web TV.
01:48:56J'étais en train de dire on va vous faire vivre le championnat triplette mixte, la nouvelle
01:49:00épreuve depuis l'an passé de la FFPJP au niveau des championnats de France et donc
01:49:06on sera ravis que vous soyez toujours aussi nombreux pour vivre ces émotions que je maintiens
01:49:13seuls les championnats de France peuvent procurer.
01:49:17Bravo les Bouches du Rhône, bravo la Bretagne et vive la Pétanque.
01:49:21Et à très vite avec un énorme plaisir.
01:49:25A la semaine prochaine, bises à tous.
01:49:51Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
01:50:21La vidéo n'a pas été réalisée sans le soutien de Denix
01:50:27Merci à mes Tipeurs Florian, Derpyh, Chun et Tommy
01:50:51Merci à mes Tipeurs Florian, Derpyh, Chun et Tommy

Recommandations