"Organiser une cérémonie sur la Seine, ce n'est pas plus simple que de la faire dans un stade (...) mais ça a plus de gueule", déclare Tony Estanguet à l'AFP, à deux semaines des JO.
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00:00Organiser une cérémonie sur la Seine, ce n'est pas plus simple que de la faire dans un stade.
00:04Organiser des preuves de triathlons dans la Seine, ce n'est pas plus simple que dans un endroit fermé.
00:10Mais je pense que ça a plus de gueule.
00:22Oui, il y a une part d'audace.
00:25Il y a aussi une part de créativité qu'on veut mettre à l'honneur
00:27parce qu'on s'est autorisés à faire des choses qui n'ont jamais été faites.
00:31Je pense à la cérémonie d'ouverture, mais on pourrait dire le marathon pour tous.
00:36Il y a le Campton's Park, il y a plein de nouveaux programmes,
00:42le breaking et ainsi de suite, qui sont un mélange d'audace, de créativité.
00:47Mais c'est cette volonté de marquer les esprits et de mettre à l'honneur ce pays comme jamais
00:52parce que ça va être la plus grande audience de l'histoire pour notre pays.
00:57Quand la flamme va arriver à Paris, ça va être un moment important
00:59parce que c'est vraiment le début de la dernière ligne droite.
01:02La flamme olympique arrive en Ile-de-France.
01:04Elle commence son arrivée pas n'importe quand, pas n'importe où.
01:09C'est à Paris, sur les Champs-Elysées, le jour de la fête nationale.
01:16Tout ça, pour nous, c'était important de donner ce coup d'accélérateur dans la dernière ligne droite.
01:27Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org