• il y a 3 mois
Il a été l’une des personnalités les plus calomniées durant la crise sanitaire. Le professeur Christian Perronne, fort d’une longue expérience autant dans les institutions sanitaires que dans le milieu hospitalier, a osé affronter la doxa. Qu’il s’agisse des questions de traitements de la maladie à la vaccination expérimentale à partir de l'ARN messager, ce franc-tireur n’a jamais hésité à affronter la doctrine imposée par les pouvoirs publics. Ce nouveau livre, "Le Réveil 4 ans après", est le résultat des entretiens entre l’ancien patron du service de maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, et Stéphane Chatry à l’occasion d’un programme diffusé sur YouTube puis censuré… L’occasion pour les Editions Guy Trédaniel de publier un ouvrage qui revient aux sources et explique le parcours du professeur Perronne, de ses premiers pas à la folie sanitaire que nous avons connue.

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00:00Combien de temps va-t-on encore accepter ?
00:02Combien de temps encore va-t-on accepter
00:05que la caste médiatique au pouvoir façonne les élections, les opinions ?
00:09Laissons aux politiques la critique des désistements,
00:11des impréparations, de la démocratie confisquée
00:14ou le procès en non-représentativité de l'Assemblée.
00:18La première grande conclusion de l'épisode électoral passé
00:21est que la caste médiatique a œuvré pour instrumentaliser le vote des Français.
00:27De toutes ses forces et par tous les moyens,
00:30le parti des médias, quelques exceptions notables,
00:33a fait le boulot pour sauver le système en place.
00:36L'évidence est donc sous nos yeux.
00:37Le préalable à tout changement en profondeur de ces méthodes totalitaires
00:41est le renforcement de la presse libre et indépendante,
00:45la presse alternative dont TV Liberté, TVL et le vaisseau Amiral.
00:50TVL parle déjà à des millions de Français en France.
00:53Il faut dorénavant que TVL soit entendu par des dizaines de millions de Français.
00:58TVL n'aura jamais l'argent de l'État, des banques ou des puissants.
01:02Il faut donc que TVL puise sa force auprès des téléspectateurs
01:07devenus donateurs et membres d'une communauté solide,
01:10soudée, combative, les amis de TV Liberté.
01:14TVL doit donc franchir dans les mois et les années à venir
01:16des étapes nouvelles pour que tout change enfin.
01:20Faire le parti des médias n'est pas un vain mot ou un souhait illusoire.
01:23Nous avons la possibilité de réduire son action néfaste et nuisible
01:28à une seule condition, votre soutien.
01:30Ce soutien n'est pas pour les mois ou les années à venir, lui, il est pour maintenant.
01:34Car c'est maintenant que nous essayons, et non sans inquiétude,
01:37de boucler notre budget pour que dès septembre nous soyons au rendez-vous.
01:41Alors ensemble, poursuivons ce chemin pour se libérer des chaînes.
01:50Bonjour à tous, pour le Zoom aujourd'hui, je reçois quelqu'un que vous connaissez bien.
02:16Il s'agit du professeur Christian Perronne.
02:18Bonjour monsieur.
02:19Bonjour Émilie.
02:19Merci beaucoup d'être avec nous.
02:21Vous allez nous présenter ce nouvel ouvrage,
02:22Le Réveil, quatre ans après, quatre ans après le Covid,
02:26on l'a bien compris, c'est aux éditions Guy.
02:28Très Daniel, c'est un livre différent par rapport au précédent
02:31puisque c'est un livre entretien, des entretiens menés par Stéphane Châtry.
02:36Alors initialement, ce n'était pas un livre,
02:38c'était une interview diffusée sur Youtube
02:41et qui l'eut cru, que lui est-il arrivé ?
02:42Ah ben voilà, c'est vrai que j'ai écrit trois livres sur le Covid,
02:46d'ailleurs je me suis dit, bon je ne vais pas en écrire un tout de suite.
02:47Puis avec Stéphane Châtry, que je ne connaissais pas à l'époque,
02:50on fait une belle interview, j'étais allongé dans l'herbe,
02:52il faisait beau, il y avait les petits oiseaux,
02:55et ça a été viral, la vidéo a fait 700 000 vues très rapidement,
02:59et là elle a été censurée par Youtube,
03:01sous prétexte que je ne tenais pas le narratif officiel de l'OMS,
03:04alors que moi-même j'étais vice-président à l'OMS pendant plusieurs années
03:07du groupe d'experts pour les vaccins pour l'Europe.
03:12Alors c'est vrai qu'avec Stéphane,
03:14Stéphane qui a fait des arts martiaux a dit,
03:16on va utiliser la technique des arts martiaux,
03:18on va utiliser la force de l'adversaire pour répondre.
03:21– Pour la retourner contre eux.
03:22– Et on va l'écrire, parce que c'est plus difficile de censurer un livre,
03:26et on l'a un peu épaissi,
03:27parce que l'interview toute seule c'était un peu maigrichon,
03:30mais c'est toujours sous forme d'entretien,
03:32et c'est différent, comme c'est moins technique,
03:35c'est plus humain, parce que,
03:37bon moi a priori je n'aime pas trop me livrer sur qui je suis, tout ça,
03:41je pensais que ça n'intéressait personne,
03:42mais souvent les gens me demandaient,
03:43pourquoi on va comprendre qui vous êtes,
03:45pourquoi vous avez résisté,
03:47et Stéphane m'a embêté en me disant,
03:49il faut que tu parles de ton enfance,
03:51il faut que tu parles de ton parcours,
03:53tes motivations dans ta carrière,
03:56bon j'ai fini par me prêter au jeu,
03:57et là les quelques personnes que je connais de la Conduly
04:00vont dire, c'est super, on comprend mieux qui vous êtes, etc.
04:05Mais aussi c'est une vision plus large,
04:06il n'y a pas que la crise Covid,
04:07c'est une vision plus large de la médecine, de la société,
04:10je reviens aussi sur l'histoire de la maladie de Lyme,
04:12la duopique urdotique,
04:14donc voilà c'est plus large,
04:15puis ça se lit, en le relisant après a posteriori,
04:19je trouve que c'est plutôt sympa à lire,
04:21parce que c'est fluide.
04:22– C'est très agréable et très fluide à lire,
04:24et alors on a le sentiment finalement
04:25qu'on suit deux biographies en parallèle,
04:28la vôtre et celle du système de santé français,
04:32tout commence peut-être après vos études de médecine,
04:35quand vous réussissez brillamment l'internat,
04:37et que vous partez au Maroc en coopération,
04:39racontez-nous cette première expérience.
04:41– Je ne m'y attendais pas du tout,
04:42j'avais 23 ans quand même,
04:44j'avais terminé les études,
04:46je n'avais pas encore fait l'internat,
04:47j'avais remplacé d'ailleurs Jean-François Delphrécy,
04:50juste avant de partir, qui était internat à l'époque.
04:51– Le fameux président ensuite du conseil scientifique.
04:54– À l'époque j'étais un vieil étudiant
04:56qui venait de passer le concours de l'internat,
04:59et quand je suis arrivé au Maroc,
05:00j'étais dans l'Atlas, dans la montagne,
05:03j'étais tout seul pour 100 000 habitants à 23 ans,
05:05et j'avais pour moi tout seul un hôpital,
05:077 dispenseurs, un territoire qui faisait 300 km de large,
05:10100 km de haut, et il y avait 300 consultants par jour.
05:14Alors je ne pouvais pas aller voir les 300 moi-même,
05:15alors les infirmiers m'aidaient,
05:17j'en voyais au moins 80 tous les jours,
05:19et il n'y avait pas de radio,
05:21il n'y avait pas de tests biologiques,
05:23c'était que l'exercice clinique,
05:25et j'avais…
05:26Alors les gens qui avaient un peu d'argent,
05:27quelquefois je les dépannais pour un jour ou deux,
05:29mais ils devaient aller acheter les médicaments
05:31à une pharmacie qui était à 70 km.
05:34– C'est bien, ça vous a préparé justement
05:35la crise sanitaire du Covid.
05:37– Et je gérais les épidémies dans la montagne,
05:39on m'appelait en disant voilà,
05:41il y a 10 morts dans tel village, 5 morts dans un autre village,
05:44et c'était en général des épidémies de fieftifoïdes,
05:46à l'époque il y en avait encore beaucoup,
05:47il y en a moins maintenant.
05:50Alors c'était des diagnostics purement cliniques,
05:51mais comme j'avais fait des stages dans le temple
05:54des maladies infectieuses de l'époque à Paris,
05:56qui était le vieil hôpital Claude Bernard,
05:58pas l'hôpital Bichat actuel,
06:00le vieil hôpital pavillonneur à Porte d'Aubervilliers,
06:03j'avais vu toutes ces maladies infectieuses,
06:06j'ai compris Tropica, alors le Maroc c'est pas les tropiques,
06:09mais les maladies disons exotiques,
06:11et heureusement aussi j'avais fait des stages de gynéco à Bichat,
06:16donc j'avais fait des accouchements,
06:17parce que là-bas, en plus là-bas les femmes,
06:21quand elles avaient besoin d'un coucher,
06:22elles accouchaient toutes seules à la maison,
06:24voire avec une sage-femme improvisée locale,
06:28mais quand ils appelaient le médecin,
06:29c'était toujours des trucs hyper compliqués.
06:31– Bien sûr, évidemment.
06:34– Je dois dire que ça a été un choc,
06:36surtout les relations humaines que j'ai
06:38avec toutes ces populations berbères dans la montagne,
06:40c'était fantastique,
06:41et ça m'a vraiment fait mûrir d'un seul coup,
06:44parce qu'à 23 ans avoir de telles responsabilités,
06:48j'étais médecin-chef de la région,
06:50alors que j'étais mon propre chef à 23 ans,
06:53maintenant quand je vois quelquefois des jeunes médecins,
06:57des internes sont perdus parce qu'ils ont 5 malades,
07:01mais on avait une formation qui était beaucoup plus clinique,
07:04dans la formation des études,
07:06on apprenait les maladies par cœur,
07:07ce qui n'est plus le cas aujourd'hui,
07:09je trouve que les jeunes aujourd'hui sont aussi intelligents qu'avant,
07:12ce n'est pas ça,
07:13je trouve qu'on leur apprend une médecine très robotisée,
07:17des QCM, des questions à choix multiples,
07:22on leur apprend la médecine sur les publications,
07:24quand on sait que beaucoup des publications dans les grands journaux
07:27sont faux, sous-truquées par l'industrie pharmaceutique.
07:29– On va y revenir.
07:30– C'est-à-dire que ce n'est pas le même monde,
07:34et c'est vrai que ça m'a formé avant de revenir à Paris
07:36pour faire ma carrière en médecine.
07:40– Alors, vous l'avez évoqué, et je ne l'ai pas dit,
07:42j'aurais dû au début de cet entretien,
07:44Professeur Perron, vous êtes infectiologue,
07:45ancien chef de service des maladies infectieuses
07:48à l'hôpital de Garches, Raymond Poincaré,
07:51vous avez été membre du Haut conseil de la santé publique jusqu'en 2016,
07:55et puis vous étiez aussi ancien vice-président du groupe étage de l'OMS,
07:59vous avez finalement géré toute une partie sur la vaccination
08:03sur la zone Europe de l'OMS, ce qui est amusant
08:07puisqu'on sait que parmi les accusations qui ont été formulées contre vous
08:10pendant cette période inique du Covid-19
08:13et de cette crise politique liberticide,
08:16on vous a accusé d'être complotiste et d'être anti-vax.
08:18– En plus j'étais président du comité technique des vaccinations français
08:21pendant plusieurs années, président de la commission maladie transmissible
08:24du Haut conseil de la santé publique,
08:26c'est-à-dire avant la politique vaccinale dépendait du Haut conseil,
08:28après quand je suis parti,
08:29ils l'ont transféré à la haute autorité de santé,
08:31donc j'étais en plein dedans, j'ai aidé des gouvernements pendant 15 ans
08:34à gérer les épidémies, des gouvernements de droite, de gauche,
08:37alors c'est vrai qu'après ils m'ont traité d'anti-vax,
08:40ça m'a fait beaucoup rigoler parce que c'était…
08:43– En plus quand on vous lit et quand on vous écoute,
08:46j'allais dire presque puisque ce sont des entretiens,
08:48on comprend que vous êtes vraiment attaché
08:50au principe de la vaccination, à la vaccination,
08:52et vous rappelez d'ailleurs en guise d'autobiographie
08:56que votre tante décède de la coqueluche,
08:58que votre oncle est décédé de la rougeole,
09:00vous le savez ça dans votre enfance,
09:02et c'est sans doute quelque chose qui vous stimule.
09:03– Ma grand-mère est morte de diphtérie quelques semaines avant ma naissance,
09:06et un copain de classe avait eu de la polio,
09:08c'était l'école primaire, j'étais dans les années 60,
09:12beaucoup d'enfants n'étaient pas encore vaccinés,
09:15et il était en poumon d'acier,
09:17et puis après quand j'arrivais aussi à Claude Bernard,
09:20il y avait des salles entières de nourrissons
09:22qui avaient des coqueluches très graves,
09:23il fallait les surveiller comme le lait sur le feu,
09:25parce qu'ils pouvaient mourir, c'était encore une cause.
09:28Les gens ont oublié qu'il y a certaines maladies qui tuaient,
09:30alors ils disent les vaccins ça ne sert à rien,
09:32parce qu'on ne voit plus ces maladies, c'est un raccourci.
09:34Après, je suis d'accord avec les gens qui commencent à râler sur les vaccins,
09:38d'abord on nous a imposé un produit…
09:40– Mais peut-être que tout simplement les vaccins ça ne veut rien dire.
09:42– Un produit pour le Covid qui n'était pas un vaccin,
09:44mais qui a fait perdre confiance aux gens dans les vrais vaccins,
09:49et puis maintenant ce qui m'inquiète beaucoup,
09:50c'est qu'ils sont en train de vouloir modifier les vaccins,
09:54heureusement ils ne sont pas encore sur le marché,
09:55mais bientôt ils veulent transformer tous les vaccins
09:57en soi-disant vaccins RNA messagers, ce qui là serait criminel,
10:01parce qu'on sait déjà que le produit Covid
10:04est responsable d'un nombre phénoménal de morts dans le monde
10:07et d'effets secondaires graves.
10:09Une technologie nouvelle comme ça,
10:11il faudrait 15 ans de recherche pour la développer,
10:13et là ils vont nous sortir ça comme ils l'ont fait avec le Covid
10:16dans quelques mois ou quelques années.
10:18– Alors vous dites justement que ce produit dit vaccinal
10:22a engendré des effets secondaires lourds,
10:25nous sommes 4 ans après, comme le dit le titre de ce livre,
10:284 ans après, est-ce que si on est, comment dire,
10:33un esprit sain et plein de bon sens,
10:37on est aujourd'hui détenteur de la vérité
10:40sur la période du Covid-19 que l'on a connu ?
10:42– Alors il y a beaucoup de choses qui sont déjà sorties,
10:44mais après il faut être curieux, il faut aller chercher soi-même,
10:46parce que malheureusement la plupart des Français,
10:48je ne leur en veux pas,
10:50ils regardent le journal de 20h de grandes chaînes de télé
10:53qui racontent des sorties nettes tous les soirs,
10:55et on manipule leurs esprits,
10:57puis ils ne vont pas les voir eux-mêmes sur les réseaux sociaux,
11:02mais beaucoup de données sur la mortalité des sportifs,
11:05il y en a plus de 2400, les jeunes sportifs,
11:08la mortalité des pilotes de l'Inn,
11:09parce qu'il y a la baisse de la pression d'oxygène dans la cabine,
11:13les turbocancers, je me souviens encore il y a 2 ans,
11:16les détracteurs disaient non, non, mais c'est n'importe quoi,
11:19il n'y a pas d'augmentation des cancers,
11:20maintenant même toutes les sociétés de cancérologie dans le monde
11:22reconnaissent qu'il y a une explosion des cancers depuis 2 ans.
11:25Mais souvent elles l'attribuent à la mauvaise prise en charge
11:27de ces cancers pendant la période Covid précisément.
11:30Ça continue, ça s'aggrave,
11:31et le cancer du pancréas où malheureusement
11:34il n'y a pas beaucoup de traitements efficaces,
11:36le nombre de cas explose,
11:37c'est reconnu maintenant par des sociétés de cancérologie,
11:40alors que les mêmes disaient il y a 2 ans non, non, c'est des fake news,
11:43donc ils finissent par admettre.
11:46On voit bien qu'il y a d'abord une augmentation terrible de la mortalité,
11:50pas seulement en France, comme par hasard,
11:52c'est dans tous les pays qui ont inoculé le produit Covid,
11:55ce n'est pas dans les autres pays,
11:56et une chute de la natalité,
11:59même notre cher président Macron l'a reconnu il y a quelques mois,
12:02il a dit oh qu'est-ce qui se passe,
12:04il y a une chute de la natalité en France,
12:05les français seraient-ils déprimés ?
12:07Et ce n'est pas la dépression, on sait très bien d'où ça vient.
12:10– Ce n'est pas incompatible, on peut être aussi déprimé et infertil.
12:14Enfin ça ne fait pas baisser l'espermatozoïde comme ça,
12:16tandis que là il y a des études qui ont montré
12:17que le pseudo-vaccin Covid faisait chuter l'espermatozoïde,
12:21supprimer les règles chez les femmes, alors pas chez tout le monde heureusement,
12:24mais il y a une…
12:25moi je suis en contact aussi avec des amis au Québec,
12:30qui me disent c'est la catastrophe au Québec,
12:31il n'y a plus d'enfants, dans beaucoup de pays,
12:33et ça ce n'est pas le hasard,
12:36on dit oui mais ça a un peu baissé,
12:37avant c'était très léger puis ça a flambé,
12:40après les campagnes vaccinales comme par hasard,
12:42comme la mortalité, le Covid a…
12:44il y a un petit excès de mortalité léger,
12:47malheureusement il y a eu beaucoup de victimes dans le monde,
12:49il faut leur rendre hommage,
12:51en France ça a surtout été les personnes très âgées,
12:53avec des facteurs de risque majeurs,
12:55mais à l'échelle de la population générale,
12:57il n'y a presque pas eu d'excès de mortalité,
12:59alors qu'on nous disait que c'était la pandémie du siècle
13:01qui allait tuer tout le monde,
13:02et les décès ont commencé à flamber après les inoculations du pseudo-vaccin.
13:07Mais ça, je crois que personne ne peut le contredire,
13:10mais on le camoufle en disant que c'est des fausses nouvelles,
13:15et c'est pour ça que moi je suis assez optimiste,
13:16parce qu'on ne peut pas cacher la vérité tout le temps,
13:18et maintenant les gens…
13:19moi j'ai fait le tour de France,
13:22j'ai rencontré plein de gens avec des salles pleines,
13:25c'était très sympa, mais il y a deux ans,
13:27beaucoup de gens étaient critiques en disant
13:29non mais Macron s'il n'avait pas été là on serait tous morts,
13:32vous voyez il y avait encore ce que…
13:35– La preuve par 2022.
13:37– Et tandis que maintenant, les gens disent
13:39ben oui vous avez raison parce que je vois dans ma famille,
13:42mon frère est mort d'un cancer en quatre mois,
13:46j'ai ma soeur qui fait une flambée de maladies auto-immunes,
13:49des gamins qui meurent maintenant, qui ont des cancers graves,
13:53et puis les statistiques anglaises officielles
13:55montrent cet excès de mortalité chez les jeunes
13:57dû à l'inoculation du pseudo-vaccin.
13:59Il n'y a qu'en France qu'ils ne veulent pas donner les données,
14:01vous vous souvenez avec Pierre Chaillot, avec Laurent Toubien,
14:04on avait essayé d'avoir les données, ils ont dit on ne les a pas,
14:06et puis après on pourrait vous les donner
14:08mais c'est trop compliqué à analyser, ça coûterait trop cher au ministère,
14:11on a dit ben on veut bien vous aider,
14:13lever une cagnotte pour vous aider à analyser votre base de données,
14:16ben ils n'ont jamais voulu les donner, parce qu'ils savent très bien que…
14:19– Comment vous expliquer que d'autres pays
14:22aient fait plus facilement la lumière sur ces questions
14:26et que la France elle figure parmi les pays les plus fermés à la discussion finalement ?
14:32– Ça faudrait demander à nos autorités.
14:35– Je ne suis pas sûre qu'ils nous répondraient.
14:37– Non, ce qui est sûr quand on voit,
14:39parce que tout ça est un peu sous le contrôle de l'État profond,
14:41de quelques milliardaires,
14:43ils ont choisi la France pour vraiment casser la France
14:45qui était le symbole de pays des libertés,
14:47moi ça m'a été confirmé, même par des Américains,
14:49des gens de tous les pays,
14:50quand je suis allé au Sénat à Washington,
14:52j'étais invité là au Sénat pour témoigner,
14:54j'étais le seul Français, on était une vingtaine d'experts du monde entier,
14:58ils sont venus me voir appeler en disant
14:59la France il faut que vous teniez, vous êtes le symbole des lumières,
15:03si la France tombe, on est foutus.
15:05Ça m'a surpris d'ailleurs, ils étaient très…
15:11ils suivaient beaucoup ce qu'on faisait en France,
15:13moi je ne m'attendais pas à ce qu'ils suivent ça aux États-Unis,
15:15au Canada, partout,
15:17et ils admiraient les quelques résistants français,
15:20comme Didier Raoult ou d'autres, ou moi,
15:23parce qu'on a quand même résisté dès le départ,
15:27aux États-Unis aussi il y a eu des grands leaders qui ont résisté,
15:30mais ça m'a surpris de voir que ce qu'on faisait en France
15:34était très suivi, et là où ils le savent,
15:36et je pense que les médias français sont parmi les plus jugulés,
15:40pas vous bien sûr, je parle des médias aux ordres,
15:43parce que même Macron il l'avait dit lui-même,
15:45les deux premières années du Covid,
15:47il leur avait donné 3 milliards d'euros,
15:49alors qu'il n'a même pas un demi-milliard pour la santé,
15:52c'est affolant quand même.
15:54Après depuis que, parce que je l'avais dit plusieurs fois,
15:56depuis il ne dit plus combien il donne,
15:58je pense qu'il a dû continuer.
16:00Visiblement.
16:02En tous les cas, je vous parlais de vérité après ces 4 années,
16:07alors effectivement il y a la question du vaccin,
16:09mais il y a aussi la question de la maladie,
16:11il y a eu plein d'hypothèses qui ont été formulées,
16:15le fameux pangolin qui se reproduisait avec la chauve-souris,
16:19on a eu également l'échappement du virus d'un laboratoire P4 de Wuhan,
16:24des implications américaines,
16:26on sait qu'on a beaucoup parlé du fameux Anthony Fauci,
16:30aujourd'hui, est-ce que vous êtes convaincu par une explication,
16:35ou est-ce que c'est encore difficile de savoir ?
16:37On sait que ce virus a été modifié,
16:39quand Fortillon était en psychiatrie, en prison,
16:41parce qu'il avait eu le tort de montrer juste le brevet de l'Institut Pasteur
16:45qui avait modifié le virus du SRAS de la chauve-souris,
16:48il y a pas mal d'années, le premier coronavirus de la chauve-souris,
16:51la chauve-souris n'avait pas fricoté qu'un pangolin,
16:54c'était avec une civette à l'époque.
16:56Comme un petit furet.
16:58Voilà.
16:59C'est ça.
17:00Et donc, il y a des brevets déposés à Chapel Hill aux Etats-Unis par Ralph Baric,
17:05après Fauci, quand il n'a pas pu continuer à financer les labos américains
17:09pour modifier le virus, il a financé les labos chinois,
17:12donc tout ça, il y a une nébuleuse, on ne sait pas très bien,
17:15mais on sait qu'il y a des séquences qui ne sont pas naturelles,
17:17il y a des plus grands scientifiques du monde qui l'ont montré.
17:19On se rappelle du professeur Montagné, disparu aujourd'hui.
17:21D'ailleurs, comme Montagné disait, il y a des morceaux de virus VIH, du sida, de paludisme.
17:26Si vous vous souvenez, au tout début de la campagne vaccinale en Australie,
17:29c'était du vaccin AstraZeneca, parce que les Australiens avaient pris plutôt le vaccin anglais.
17:34C'est le gouvernement australien lui-même qui l'avait dit, c'est pas moi.
17:38Tiens, c'est bizarre, parce que depuis qu'on vaccine massivement en Australie,
17:41il y a beaucoup de gens qui viennent séropositifs pour le VIH, le virus du sida.
17:45Ils n'attrapaient pas le sida, ils avaient juste des anticorps, comme par hasard.
17:50C'était la démonstration que ce virus, il contenait bien des antigènes,
17:53c'est un des petits extraits du virus du sida.
17:56Je dis pas que ça donne le sida, le vaccin.
17:58Bien sûr, bien sûr.
17:59Et voilà, il y a quand même des preuves formelles que ce vaccin, il n'était pas naturel.
18:03Et surtout, la plus grosse preuve, c'est que tout ça a été planifié depuis longtemps.
18:08Et on en a les preuves maintenant, parce qu'ils avaient même breveté les vaccins avant,
18:12commandé les flacons en verre avant.
18:14Pardon, mais alors ça, ça fait partie des incohérences.
18:16Breveter un vaccin qui finalement, selon vous, ne fonctionne pas sur une maladie,
18:20qu'il ait été breveté à un moment ou à un autre, finalement, puisqu'il ne fonctionne pas, il n'y a pas de lien.
18:24Je ne suis pas sûr qu'ils aient fait ce produit pour protéger, malheureusement.
18:28Peut-être, mais peut-être que simplement, il était déjà prévu et ils l'ont sorti
18:32pour peut-être répondre à une crise de panique de la population.
18:35C'est la première fois que je vois un vaccin qui est mis au point avant même que le virus soit là.
18:39Parce que le virus, il existait, parce qu'on retrouve les brevets, mais il n'existait pas dans la nature.
18:43Il n'y avait pas eu de cas.
18:44Même si on sait maintenant, a posteriori, qu'il y avait du virus qui circulait aux Etats-Unis, en Europe,
18:50plusieurs mois avant Wuhan, donc tout ça est très bizarre.
18:54Mais là, il y avait l'épreuve à l'époque aussi.
18:56Non, mais on sait, par exemple, que ce n'était pas nouveau, par exemple,
19:00le fait de faire de la recherche sur les vaccins à ARN Messager.
19:03Oui, oui.
19:04On se rappelle le livre Les apprentissants sorciers d'Alexandra Arioncode.
19:07Elle reprend plein, plein de recherches.
19:09L'ARN Messager, ils ont dit, c'est une technique qu'on travaille dessus depuis longtemps.
19:13On n'avait jamais travaillé sur des vaccins à l'époque.
19:15C'était sur des thérapies géniques pour certains cancers ou des maladies génétiques rares.
19:19Ça a été très peu utilisé.
19:21C'est vrai qu'il y a eu quelques cas de protocole pendant une dizaine d'années.
19:24Mais quand on regarde, je crois qu'Alexandra le reprend dans son livre, c'était plutôt des flops.
19:28Voir des gros flops.
19:29Voir des gros flops, voir des trucs un peu dangereux quand même.
19:32Non, parce qu'après, vous vous souvenez quand c'est sorti.
19:35Ah ben oui, c'est génial, c'est une technologie qui est déjà éprouvée depuis des années.
19:39Mais non, ce n'était pas du tout éprouvé.
19:41C'était testé depuis des années et à l'échec depuis des années.
19:43Ça n'avait pas bien marché.
19:45Surtout, même moi qui travaille dans le vaccin au niveau français et mondial à l'OMS,
19:49un nouveau vaccin, déjà sur une technologie complètement classique, d'un vaccin totalement classique,
19:54c'est dix ans de développement avant qu'il soit sur le marché.
19:58Et même quand il est sur le marché, il faut attendre encore dix ans pour l'inoculer, une femme enceinte.
20:02Une femme enceinte, c'est vingt ans.
20:03Quand on a fait la nouvelle formulation du vaccin Coq-Luge, un peu mieux toléré,
20:07alors ça remonte à il y a vingt-cinq ans.
20:09Pendant vingt ans, on n'a pas eu le droit de l'utiliser chez la femme enceinte.
20:13Bon, maintenant on a le droit parce qu'il y a le recul, on voit que ça marche.
20:16Vous vous rendez compte ?
20:17Et que là, le vaccin sortait du chapeau en quelques mois,
20:20et puis d'un seul coup, ils le font aux femmes enceintes.
20:22C'était honteux.
20:23Puis on sait qu'il y a eu une augmentation des fausses couches, de bébés mal formés.
20:26Quand je fais le tour de France, sans arrêt, des grands-parents me disent
20:30« Oh là, c'est terrible, ma fille s'est fait inoculer pendant la grossesse.
20:33Le bébé né avec les yeux tout noirs et mal formés. »
20:37Et le coup des yeux noirs, je ne sais pas, moi je n'ai jamais vu l'étude publiée,
20:40ça fait deux fois dans des endroits différents de France
20:42que dans les familles, on me raconte ça.
20:43Qu'est-ce que vous appelez les yeux noirs ?
20:45Les bébés mal formés qui ont les yeux tout noirs à la naissance et qui meurent après.
20:48Personne n'est publié nulle part, je ne sais pas.
20:51Mais au début, je dis bon, c'est peut-être un cas complètement isolé,
20:54mais je ne peux plus vous dire dans quelle ville,
20:57parce que je vois des centaines de gens partout, des milliers à la longue.
21:01Ça fait deux fois qu'on me sort ce témoignage
21:04par des gens qui ne se connaissaient pas.
21:06Et voilà, on voit bien qu'il se passe quelque chose sur le terrain.
21:10Alors il y a les effets secondaires aigus,
21:13les gens qui sont morts tout de suite ou rapidement.
21:15Mais maintenant, on voit des maladies qui se développent à distance.
21:18Parce que vous savez, au début, ils nous ont dit, l'ARN messager,
21:20il reste maximum quelques heures ou trois jours dans l'épaule,
21:23après il disparaît, il ne diffuse pas.
21:25On le trouve partout dans le cerveau, dans les reins, le foie, les testicules, les ovaires.
21:31Et maintenant, il y a des études qui montrent qu'on peut le retrouver plus d'un an après.
21:35On n'a pas dix ans de recul encore,
21:38mais je pense qu'il y a des personnes qui vont finir par s'en débarrasser spontanément.
21:42On a une telle diversité génétique,
21:45heureusement dans l'espèce humaine, que personne ne réagit pareil.
21:48Mais je pense qu'il y a une minorité de gens qui vont rester ad vitam aeternam,
21:51des usines à produire la protéine du virus, la fameuse protéine Spike.
21:55Spike, bien sûr.
21:56Qui est très dangereuse parce qu'elle provoque de l'inflammation,
21:59elle provoque des caillots.
22:02Alors justement, Professeur Perroun, j'aimerais bien qu'on laisse de côté le vaccin
22:05dont on a beaucoup parlé et qu'on parle peut-être de cette maladie.
22:09Est-ce qu'aujourd'hui, on a mieux compris cette maladie ?
22:12Est-ce qu'aujourd'hui, on se rappelle au début, on a évoqué le Covid-19,
22:15c'était une maladie syndrome respiratoire aigu sévère, comme le SRAS.
22:20Est-ce que c'était une maladie respiratoire, une maladie vasculaire,
22:24une maladie systémique ?
22:26Le virus, comme je le disais tout à l'heure, n'était pas très dangereux,
22:30finalement, même s'il a tué.
22:32Mais la phase d'invasion du virus dans les organes, pardon,
22:36ne durait pas très longtemps, c'était plutôt les 2-3 premiers jours
22:38où on pouvait trouver beaucoup de virus.
22:40Après, le système immunitaire prenait le dessus,
22:42donc le virus baissait beaucoup.
22:44Mais le virus avait enclenché une réaction inflammatoire,
22:47cette fameuse cascade inflammatoire avec plein de mécanismes compliqués,
22:50biologiques que je ne vais pas détailler aujourd'hui.
22:54Et finalement, les gens qui ont fait des formes graves,
22:56qui sont morts, ils ne sont pas tellement morts du virus,
22:58ils sont morts des conséquences de l'inflammation,
23:01c'est-à-dire qu'il y avait un afflux de liquide dans les poumons,
23:04donc ils se noyaient.
23:07Les premières tentatives de ventilation classique ne marchaient pas bien
23:10sur des poumons qui étaient complètement noyés,
23:12donc il a fallu revoir un peu les techniques de réanimation.
23:15Heureusement, les réanimateurs ont un peu appris en marchant en ce moment-là.
23:18Et même dès le début, beaucoup de complications
23:21étaient dues à la formation de caillots,
23:24des embolies pulmonaires massives, des accidents vasculaires cérébraux,
23:27des infarctus du myocarde pendant le Covid.
23:30Et ça, ça n'avait rien à voir, le vaccin n'était pas encore là,
23:33ni l'hydroxychloroquine, même des gens qui n'avaient pas du tout pris
23:35de l'hydroxychloroquine.
23:36Moi, j'ai vu, quand j'étais à l'hôpital à ce moment-là,
23:38des complications cardiaques graves liées au Covid,
23:41chez des personnes à risque, bien sûr.
23:44Alors, dès qu'ils avaient pris un comprimé d'hydroxychloroquine,
23:47l'agence du médicament disait que c'était la faute de l'hydroxychloroquine,
23:50mais la plupart n'avaient pas du tout pris de traitement.
23:53Et tous ces accidents cardiaques étaient dus aux complications
23:56de la maladie Covid.
23:58Comment expliquez-vous et quel regard portez-vous sur la prise en charge,
24:02du moins au début de cette maladie ?
24:04Au début de la maladie, on la connaît mal, on comprend mal.
24:07Quel regard portez-vous sur les protocoles distillés ?
24:12Moi, je sais que je savais déjà, depuis le premier SRAS,
24:16depuis Anthony Fauci, qui l'avait dit lui-même,
24:18et écrit dans un grand journal médical, il y a plusieurs années,
24:21l'expérience des Chinois, que l'hydroxychloroquine marchait très bien.
24:25Donc moi, je l'ai utilisé tout de suite.
24:26Au début, toute mon équipe était enthousiaste.
24:28On avait le taux de mortalité le plus faible de France
24:30avec l'IHU de Marseille.
24:32Alors évidemment, ça n'a pas plu à mes collègues.
24:34Coïncidence, sans doute.
24:35Comment ?
24:36Sans doute une coïncidence.
24:37Voilà, c'est une coïncidence complète.
24:39Et on avait même commencé à publier nos résultats.
24:42Tous mes jeunes collègues se sont fait harceler,
24:45pour les coups de fil, de venir du ministère d'assistance publique
24:48de collègues infectiologues, qui ont dit,
24:51ils ont menacé mes jeunes par téléphone,
24:54en disant, si tu continues avec Perrone, ta carrière est foutue.
24:58Ça, vous avez des preuves de ça ?
25:00Oui, ils me l'ont dit.
25:01Je sais qu'ils ont reçu des coups de fil.
25:03Après, je ne vais pas dénoncer qui a appelé.
25:06Je sais, mais enfin, je ne le dirai pas là.
25:09C'est dommage.
25:10Non, mais après, bon, ce n'est pas la peine de...
25:14Et donc, ils ont rétracté l'article.
25:16Et après, on leur avait lavé le cerveau.
25:18Et quand la deuxième vague est arrivée,
25:20vous ne l'avez plus traité par l'hydroxychloroquine.
25:22Ça, pour moi, ça a été très violent,
25:24de voir comment on a pu violer,
25:26et puis avec des études complètement bidons,
25:28qui ont d'ailleurs fait flop et qui...
25:30Même Discovery montrait que l'hydroxychloroquine marchait.
25:33Du coup, ils l'ont arrêtée.
25:34Eric Covry, l'étude de l'OMS,
25:36utilisait des doses toxiques mortelles d'hydroxychloroquine.
25:38Ça ne gênait personne.
25:39Elle est toujours publiée.
25:40Elle n'a jamais été rétractée.
25:41Il y a plein d'exemples.
25:44Ce qui m'a le plus choqué dans cette crise,
25:46c'est la fraude scientifique partout.
25:48Tout le monde a eu accès à la fraude du Lancet,
25:51le LancetGate,
25:52avec 90 000 patients qui tombaient du ciel
25:55pour dire que la chloroquine ne marchait pas
25:57et était toxique.
25:58Ils ont reconnu qu'un jour après,
25:59que c'était totalement inventé,
26:00les malades inventaient sur ordinateur,
26:03que c'était des escrocs qui avaient fait l'étude.
26:07Heureusement, le Lancet l'a rétractée.
26:09Mais après, Véran n'a pas changé son fusil d'épaule.
26:12Il avait interdit la chloroquine aux médecins généralistes
26:14sur cette étude pourrie.
26:15Puis après, il n'en a pas tenu compte.
26:18Alors ça, c'est un exemple qui a été médiatisé.
26:21Mais des articles frauduleux,
26:25ou avec des données bidons,
26:27ou avec des études volontairement conçues
26:30pour que ça ne marche pas.
26:31Il y a des études.
26:32On a étudié, quand on donnait l'hydroxychloroquine
26:35à des gens qui étaient en phase de très avancer la maladie
26:38au bord de patients en réanimation.
26:40Mais c'est trop tard.
26:41C'est très intéressant aussi ce point,
26:43parce que finalement, c'est que la maladie,
26:45elle devait être traitée.
26:46Très vite.
26:47Regardez, tous les groupes de médecins généralistes
26:50qui n'ont pas suivi les recommandations,
26:52qui ont traité hydroxychloroquine, azithromycine,
26:55qui ont rechargé en vitamine D, tout ça.
26:57J'en vois plein en France et des collectifs.
27:00Ils ont quasiment eu zéro mort et très peu d'hospitalisation.
27:04Sauf s'ils voyaient le patient trop tard,
27:06ils étaient obligés de l'hospitaliser
27:07parce que là, c'était trop tard.
27:09Mais ça, c'est peut-être un point fondamental.
27:12C'est pour ça qu'il fallait mettre les généralistes
27:13en première ligne.
27:14C'était à eux d'aller donner le traitement.
27:16Au contraire, on leur a interdit.
27:18Bien sûr.
27:19Quand j'étais aux Antilles l'année dernière,
27:21en Martinique, ils m'ont confirmé,
27:22je l'avais déjà dit dans la télé,
27:24à la belle époque du Covid,
27:26mais je m'étais fait assassiner
27:27en disant que je les racontais des craques.
27:29La gendarmerie avait saisi les stocks
27:31d'hydroxychloroquine dans les pharmacies,
27:33avait bloqué les stocks de beurre liquide
27:35pour pas que les soignants aient des bouteilles d'oxygène.
27:38Et comme les Antillais voyaient
27:40que si les gens, surtout âgés, allaient à l'hôpital,
27:42ils ne revenaient pas vivants,
27:43ils avaient fait un réseau clandestin
27:45de médecins, de pharmaciens.
27:48Ils avaient fait des stocks de catimini,
27:51d'hydroxychloroquine, de bouteilles d'oxygène
27:53pour soigner à domicile.
27:55Et après, quand les soignants antillais
27:58ne voulaient pas faire les injections létales
28:00de rivotril aux personnes âgées à l'hôpital,
28:03ils ont fait venir des petits blancs-becs de métropole
28:06dans la fameuse brigade d'intervention rapide
28:08ou groupe d'intervention rapide
28:10pour faire les injections.
28:11Ça, je peux vous dire que les Antillais,
28:13ça les a profondément choqués.
28:15La mort de la métropole, oui,
28:16ça va être difficile à restituer.
28:18Ça a créé des tensions très vives.
28:21J'aimerais qu'on insiste sur ce point,
28:23Professeur Perron,
28:24parce qu'on a eu l'impression d'assister
28:26à une véritable déshumanisation
28:29de la médecine à cette époque,
28:31et cette répulsion qu'a provoquée
28:33et qu'a suscité le système et les autorités
28:36à l'égard de la médecine
28:38est quelque chose sans doute de fondamental.
28:41Et à ce point, on a le sentiment aujourd'hui
28:44que trop de Français, peut-être,
28:47ont pris complètement à rebrousse-poil
28:49le narratif, entre guillemets,
28:52c'est le mot aussi, on le dit maintenant pour l'Ukraine,
28:54le narratif officiel.
28:55Et c'est pour ça que je voulais vous faire témoigner
28:57sur la gravité de cette maladie
28:59et la nécessité de la prendre en charge au début,
29:01mais de la prendre en charge.
29:02De la prendre en charge au tout début.
29:04Alors, qu'est-ce qu'ils disaient à la télé ?
29:06N'appelez pas votre médecin.
29:08Sous-entendu, ils n'y connaissent rien,
29:09alors c'était une insulte terrible
29:10pour les médecins généralistes,
29:11qui auraient au contraire dû être motivés.
29:13Ils étaient très motivés au début.
29:14Moi, j'ai commencé à collaborer
29:15avec les généralistes autour de Gorges,
29:16ils étaient fantastiques,
29:17ils voulaient s'impliquer à fond.
29:19On leur dit non, on reste chez vous.
29:20Après, on a dit aux patients,
29:21n'appelez surtout pas votre médecin.
29:23Ils avaient presque interdit les visites à domicile.
29:25Heureusement, certains médecins
29:27sont passés outre.
29:29Attendez d'asphyxier chez vous,
29:30puis quand vraiment vous asphyxiez,
29:31vous appelez le centre 15
29:33pour aller aux urgences.
29:35Mais ça, c'est pas de la médecine.
29:37Ça a été terrible.
29:39On a ordonné aux gens de ne pas traiter.
29:41J'ai jamais vu ça dans l'histoire de la médecine.
29:44Comment jugez-vous,
29:46vous me parliez de vos internes tout à l'heure,
29:48de vos jeunes,
29:49on voit avec un peu de paternalisme
29:51presque dans votre voix.
29:53Comment jugez-vous toutefois ces médecins,
29:55ces praticiens,
29:56qui ont entre les mains des vies humaines
29:58et qui ont finalement accepté de plier
30:00face aux ordres de la hiérarchie,
30:02engageant parfois des décès de patients ?
30:05La communauté médicale en général
30:07est contrôlée par quelques leaders d'opinion majeurs,
30:10comme on les appelle dans l'industrie pharmaceutique.
30:12En cela, ils sont très corrompus,
30:14avec des sommes colossales sur des comptes offshore.
30:16C'est pas ce qu'ils déclarent sur Transparence Santé,
30:19ça c'est le pourboire.
30:21On le sait tous,
30:22j'ai plein de copains dans l'industrie pharmaceutique,
30:25qui étaient mes anciens internes autrefois,
30:27qui sont des dirigeants assez haut placés
30:29dans les multinationales de la pharma.
30:32Et ils me le disent tous,
30:34c'est un secret de polychinelle.
30:37Mais malheureusement,
30:38la médecine est tombée sous la coupe de Big Pharma,
30:40qui contrôle tout,
30:41qui contrôle aussi...
30:43Depuis Rockefeller dans les années 20,
30:45on ne peut enseigner en fac de médecine
30:46que la médecine chimique.
30:48Avant, il y avait la médecine traditionnelle,
30:50la cuponcture, l'hypno,
30:52ça se pratique encore dans certains centres,
30:54mais je ne dis pas que tout se fait
30:56avec la médecine traditionnelle,
30:58mais il y avait même des machines à micro-courants
31:00qui continuent d'utiliser,
31:01qui marchent bien dans certaines maladies,
31:03qu'il faut encore utiliser dans les centres antidouleurs,
31:05mais tout ça a été écarté,
31:06la médecine devait être chimique,
31:08parce que ça c'est le business,
31:10et que ça rapporte des milliards.
31:13Vous me parlez de Big Pharma,
31:15du conflit d'intérêt des grands praticiens
31:17qui sont directement en lien avec les laboratoires,
31:19on l'a vu,
31:20vous avez évoqué tout à l'heure leur MDCivir,
31:22pour ne citer que lui,
31:23on se rappelle de la représentante de Gilead
31:26sur les plateaux télé.
31:28Pour autant, je ne crois pas que cette personne
31:30soit directement allée dans les hôpitaux
31:32pour injecter du Rivotril,
31:33je ne crois pas que…
31:34– Non.
31:35– Il y a quand même des gens qui ont accepté
31:37de plier, et peut-être davantage,
31:40pardonnez-moi professeur Perron,
31:42chez les médecins que chez les infirmiers.
31:44– Ah oui, les infirmiers étaient beaucoup plus
31:46dans la résistance dès le début,
31:47après on les a cassés,
31:48moi j'ai vu au début ils étaient à fond.
31:50– C'est sûr, suspendu sans salaire, ça calme.
31:52– Ça a été épouvantable les pressions
31:54qu'ils ont subies ces pauvres infirmiers.
31:56Et les médecins, le gros de la troupe
31:58n'est pas du tout corrompu,
31:59bon ils peuvent être invités à un congrès
32:01ou faire une bonne bouffe un jour avec un labo,
32:04mais ce n'est pas ça qui va les motiver
32:07pour faire ceci ou cela.
32:09Mais ils suivent les leaders d'opinion,
32:11ils suivent les journaux médicaux,
32:13on leur a appris que les grands journaux médicaux
32:15internationaux c'était comme la Bible,
32:17si c'est publié on ne peut plus le remettre en question
32:20pour Ad vitam aeternam.
32:22On a supprimé tout débat scientifique contradictoire.
32:26– Il y a eu un consensus scientifique maintenant.
32:31– Comment ?
32:32– Il y a eu un consensus scientifique maintenant,
32:34c'était le mot à la mode pendant le Covid.
32:37– Je dirais que c'est une consensure scientifique.
32:41– Oui c'est ça.
32:42– Il ne faut pas se foutre du monde,
32:44c'est une censure terrible partout.
32:46Et puis les pauvres médecins généralistes,
32:49ils sont de moins en moins nombreux,
32:50c'est dégoûtant, ils sont submergés,
32:52je les admire, je ne sais pas comment ils font.
32:54Souvent dans des régions,
32:55ils n'ont plus que 10 minutes à consacrer à chaque patient
32:57parce que tellement la salle d'attente est pleine.
32:59Comment vous voulez qu'ils prennent le temps
33:01de réfléchir, de lire des choses indépendantes,
33:03d'aller voir sur internet, parce que les vraies données,
33:06vous les trouvez sur internet,
33:08pas dans les journaux médicaux classiques.
33:10Et puis tous les journaux de vulgarisation
33:13qu'ils reçoivent gratuitement dans leur cabinet,
33:15c'est entièrement financé par l'industrie pharmaceutique,
33:18donc ça relaie la parole des officiels.
33:22Donc s'ils lisent comme ça dans le journal
33:24qu'ils ont l'habitude de lire depuis 20 ans,
33:26qu'il faut faire ça, le soir avant de se coucher,
33:28ils sont crevés, ils voient Véran 5 minutes à la télé
33:31qui leur dit voilà la science.
33:33– Finalement, il n'y a pas besoin d'intelligence artificielle
33:36pour mécaniser la médecine, il y a déjà les médecins.
33:39– Non mais moi, la plupart de ces médecins,
33:43maintenant il y en a beaucoup,
33:44parce que là quand je suis autour de France,
33:46il y a plein de médecins qui viennent me voir.
33:48Bravo, vous avez été notre lumière.
33:50Mais ils disent, il y en a qui m'ont dit,
33:53je me suis fait complètement avoir au début,
33:55j'ai cru au narratif, et après j'ai réalisé
33:58qu'on nous avait manipulés,
33:59et je pense qu'on ne les aura pas deux fois,
34:01parce que si on recommence, parce que ça m'a fait rire,
34:03l'autre jour j'ai vu que l'Union Européenne
34:05avait précommandé 40 millions de doses d'un vaccin
34:09pour une nouvelle grippe aviaire H5N8,
34:12parce qu'il n'y a zéro cas humain pour l'instant.
34:15– Mais ça ne serait tardé.
34:16– Oui, parce que l'autre jour j'étais en voiture,
34:18quand j'étais dans mon tour de France,
34:19ce n'est pas moi qui conduisais,
34:20mais je regardais mon téléphone,
34:21puis j'écoutais la télé américaine,
34:24où il y avait un expert qui disait,
34:26oui alors ce vaccin aviaire,
34:27il y a 25 poulets qui sont morts aux Etats-Unis,
34:30il n'y a pas encore de cas humains,
34:31mais il est très dangereux,
34:32parce qu'il fera au moins 50% de mortalité.
34:34On commence à informer les gens,
34:36vous allez avoir un nouveau virus qui va tuer,
34:38et en plus, plus ça tue, moins ça se propage.
34:41Moi, si on me dit un nouveau virus qui tue à 50-80%,
34:45je dis bon, il fera flop.
34:48Le premier SARS d'ailleurs, il a fait flop,
34:50parce qu'il était trop virulent,
34:51il ne s'est pas propagé.
34:52Ça, les gens ne l'ont pas compris.
34:54– Oui, quand on tue l'autre trop rapidement,
34:56il n'y a pas de contamination et de propagation.
34:58– Un virus intelligent, il entretient son cheptel,
35:00il ne tue pas toutes ses victimes pour que ça se propage.
35:03– Ce qui justifie en partie le fait
35:05que les variants soient de moins en moins virulents.
35:07– Oui, tout à fait, ça a toujours été de moins en moins virulent,
35:10contrairement à ce qu'on disait dans certains médias.
35:13Alors là, j'ai rigolé l'autre jour, ça y est, le Covid revient.
35:17Alors maintenant, c'est des rhumides, des bronchistes,
35:19je ne dis pas qu'il n'y a pas comme la grippe,
35:20de temps en temps, il y a des cas sévères,
35:21j'ai des gens très fragiles,
35:22mais quand ils arrivent à l'hôpital, on ne les traite pas.
35:24Il y a consigne de ne pas les traiter,
35:26on leur donne des médicaments qui ne marchent pas,
35:29c'est honteux.
35:30– Mais qui coûtent cher.
35:31– Oui, parce que c'est ça qui est intéressant pour eux,
35:33c'est qu'ils coûtent cher.
35:35– Aujourd'hui, Professeur Perron,
35:37quel regard portez-vous sur la médecine ?
35:39Parce que j'allais dire, les décideurs publics,
35:41je pense que, bon, quelque part, ils ont fait long feu
35:45et on n'a plus grand-chose à en attendre.
35:47En revanche, la médecine, comment peut-elle évoluer aujourd'hui
35:51avec des charges de la part de beaucoup de médecins aussi
35:53sur ces médecines traditionnelles, naturelles ?
35:55– Déjà, il faut remonter les effectifs.
35:57Ce qu'on a fait croire, c'est le numerus clausus,
36:00c'est la limitation du nombre d'étudiants.
36:02Ça remonte à plusieurs décennies.
36:05Comme il n'y avait plus assez de médecins,
36:07ils ont dit, on va remonter.
36:08Mais ils ont remonté un tout petit peu.
36:10Mais c'est largement insuffisant pour compenser.
36:12En plus, la population a beaucoup augmenté entre-temps.
36:14– Bien sûr.
36:15– Maintenant, en France, même à Paris,
36:17ma soeur qui est âgée, son médecin a pris sa retraite.
36:20J'ai pris plus d'un an à lui trouver un généraliste.
36:22Encore, c'est une amie qui m'a dit,
36:24pour toi, je veux bien en apprendre plus.
36:27Même à Paris, dans les grandes villes,
36:29dans les petites vallées reculées en montagne,
36:31déjà, c'était depuis très longtemps.
36:33Là, même dans les grandes villes,
36:34il y a des spécialités qu'on ne trouve plus.
36:36Rendez-vous dans six mois, un an.
36:38Vous vous rendez compte ?
36:40C'est affolant, la démolition de cette médecine.
36:43Donc, augmenter les effectifs,
36:45faire la chasse partout au conflit d'intérêts.
36:47– Vous dites même nationaliser les laboratoires.
36:49– Moi, je pense qu'il faudrait nationaliser les labos pharmaceutiques
36:52qui doivent être au service de la santé
36:54et pas au service de Wall Street.
36:57J'ai connu quand même, quand j'étais jeune,
37:00on travaillait un peu avec des labos pharmaceutiques
37:02pour les antibiotiques.
37:04Il y avait beaucoup de petits labos en France,
37:06qui étaient des labos familiaux.
37:07Moi, j'avais rencontré 2-3 PDG qui étaient des braves gars,
37:09qui avaient un certain humanisme.
37:11D'ailleurs, ils étaient prêts à financer quelquefois
37:13de leur propre initiative,
37:15une recherche qui était un peu en dehors des clous.
37:17Maintenant, c'est impossible.
37:18Tous ces petits labos ont été rachetés.
37:20Il y en a 4-5 qui se partagent le monde.
37:23Alors là, maintenant, ils ne regardent même plus
37:27l'impact de santé de leurs produits.
37:29Tout ce qu'ils regardent, c'est où va être leur action
37:31à Wall Street.
37:33J'ai vu cette transformation petit à petit.
37:36Maintenant, je ne fais plus du tout confiance
37:38à l'OMS qui a travaillé.
37:40J'ai vu en quelques années comment l'OMS avait été colonisée
37:43par les labos pharmaceutiques,
37:45par la fondation Bill Gates,
37:47qui est maintenant majoritaire dans le financement.
37:50L'OMS est devenue une entreprise privée
37:53au service de Big Pharma.
37:55C'est pour ça que ce traité de l'OMS,
37:57qui n'a pas été voté,
37:59c'est de mettre l'OMS au-dessus des nations
38:01pour nous imposer les pires mesures liberticides.
38:03C'est très dangereux.
38:04Alors, ils ont quand même fait passer en Katimini,
38:06en pleine nuit, des amendements
38:08au règlement sanitaire international,
38:10ce qui n'était pas du tout prévu.
38:11Mais ils ont attendu le dernier jour que les gens,
38:13les délégués, puisqu'ils sont très nombreux
38:15à l'Assemblée mondiale de l'OMS,
38:17ils ne sont peut-être pas mille, mais enfin pas loin,
38:19des centaines en tout cas,
38:21ils ont attendu que le soir, ils reprennent leur avion
38:23pour rentrer chez eux.
38:24Puis ils ont gardé un petit noyau dur dans l'amphithéâtre.
38:26Il y a trois heures du matin.
38:27Ils n'ont même pas voté.
38:28C'est drôle, ça dit, est-ce qu'il y a quelqu'un qui est contre ?
38:30– Non, tout le monde est d'accord.
38:32– Ils ont passé des amendements qui reprennent une bonne partie
38:34de ce qui devait être dans le traité.
38:36Macron a fait la même chose pour l'article 4
38:38de la loi sur les dérives sectaires.
38:40L'Assemblée nationale avait voté pour,
38:42le Sénat contre,
38:44après l'Assemblée vote contre,
38:46dans la journée.
38:48Ils attendent que tous les députés partent le soir.
38:50Et en pleine nuit,
38:52ils revotent une version modifiée
38:54de la loi sur les dérives sectaires.
38:56Pourquoi une loi sur les dérives sectaires ?
38:58Parce que les médecines naturelles,
39:00la phytothérapie, les plantes,
39:02toute l'humanité s'est traitée avec ça
39:04depuis des millénaires.
39:06Ça ne rapporte pas, on ne peut pas breveter.
39:08Pour eux, il faut diaboliser
39:10tout ce qui ne rapporte pas
39:12à l'industrie pharmaceutique.
39:14Je ne dis pas qu'il n'y a pas des gourous,
39:16il faut se méfier, dans ces médecines naturelles,
39:18il y a des huluberlus qui abusent
39:20de la crédibilité des gens.
39:22C'est normal que ce soit un peu surveillé.
39:24Mais de là à diaboliser
39:26toute la naturopathie, la médecine intégrative,
39:28la prise en charge de l'individu,
39:30l'alimentation,
39:32la gestion du stress,
39:34tout ça, ça joue énormément
39:36sur les maladies chroniques.
39:38Il n'y a pas que la bactérie, le virus ou le médicament.
39:40Et c'est une médecine
39:42humaniste, holistique,
39:44telle que la pratiquait Hippocrate
39:46autrefois.
39:48Maintenant, on veut nous faire entrer
39:50dans une médecine dite science exacte
39:52qui est complètement à côté de la plaque,
39:54avec des maths à fond dans la caisse,
39:56mais des maths dans les trucs comme on veut.
39:58Il y a des anciens
40:00pharmaceutiques que j'ai soignés
40:02quand ils étaient à la retraite, ils me disaient
40:04Monsieur Perron, je vais passer ma carrière
40:06à truquer les études pour tel ou tel labo.
40:08Je ne vais pas les dénoncer maintenant.
40:10Même les études sur le vaccin
40:12avaient été truquées,
40:14une américaine l'avait publiée à l'époque.
40:16Professeur Perron, il reste encore
40:18plein de choses à découvrir pour les téléspectateurs
40:20dans votre livre, Le Réveil 4 ans après
40:22aux éditions Guitre et Daniel. Je ne l'ai pas dit tout à l'heure
40:24mais bien entendu vous pouvez le trouver sur le site
40:26de TVN sur TVL.fr.
40:28Merci beaucoup Professeur.
40:30Merci beaucoup.

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