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00:00Et on a vu aussi un élan de solidarité humaine, des voisins, des gens qui passaient dans la rue, qui s'arrêtaient.
00:06Est-ce qu'on peut vous donner un coup de main ?
00:16Je dois dire que ça s'est très bien passé. Il a fallu accuser le choc et puis très vite, j'ai senti que les compagnies d'assurance étaient à nos côtés.
00:23Bien sûr, je suis pour la nécessité d'être bien couvert, d'avoir également un courtier.
00:28Je pense qu'il faut replacer l'humain au centre du débat et que beaucoup de gens étaient mal assurés, mal informés.
00:35Et bien sûr, il y a eu des drames. Des gens qui se sont sentis abandonnés, mais ils n'étaient pas du tout informés.
00:41Donc il faut d'abord être bien assuré. Quand on l'est, il faut savoir remplir un dossier.
00:45Il faut savoir aller maintenant continuer son dossier et faire les rembourses.
00:48Et donc, il faut beaucoup de courage. Mais ce que je pense, c'est qu'il y a un manque d'informations au départ.
00:54La seconde chose que je veux dire aussi, c'est que finalement, il y a un besoin, peut-être des pouvoirs publics, voire des médias,
01:01d'informer les gens sur cette nécessité d'être bien assurés, d'avoir un vrai courtier, d'avoir quelqu'un à qui parler.
01:08La deuxième, c'est la solidarité après une ordonnation comme cela. Bien sûr, il y a eu à fond des calamités.
01:13Il y a des administrations qui étaient à vos côtés pour vous aider. Et on a vu aussi un élan de solidarité humaine.
01:19Des voisins, des gens qui passaient dans la rue, qui s'arrêtaient. Est-ce qu'on peut vous donner un coup de main ?
01:24J'ai connu des gens venir de Flandre, de l'Au-de-Javel, avec des brosses et des seaux, pour venir aider les habitants qu'ils ne connaissaient pas.
01:33Donc, ce qui veut dire que dans la société un peu déshumanisée, il y a encore beaucoup d'humanité.
01:39Dans des moments forts comme celui-là, Wallon-Flamand n'existe plus. La solidarité est internationale.
01:49Sous-titrage Société Radio-Canada