La sœur de Marine Le Pen est candidate dans la 4e circonscription de la Sarthe.
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00:00— Parce que le nom Le Pen, c'est une marque et ça fait des voix ?
00:05— Au Rassemblement national en politique, s'appeler Le Pen, c'est bien, oui. Et puis moi, je suis très fière de mon nom et les militants aussi.
00:14Et je dois vous dire que j'ai été particulièrement bien accueillie non seulement par les gens du mouvement, mais par tous les marchés que je fais,
00:22dans les rues, on fait des boîtages, on va sur les marchés, on voit beaucoup de gens. Et je me rends compte, en fait, qu'ils sont étonnés
00:30de rencontrer quelqu'un qui leur parle, parce que la députée élue ne le fait pas. Et manifestement, les politiques dans ce département
00:39ne le font pas non plus. — Et alors est-ce que vous souhaitez que votre nièce Marion, qui a déjà fait un premier pas en se séparant
00:47d'Éric Zemmour de Reconquête, vous rejoigne complètement ? Et comme ça, toute la famille serait réunie.
00:55— Non mais ça, ça n'a absolument aucune importance. C'est pas une affaire de famille. Marion a fait son chemin politique.
01:01Elle a pris des décisions. C'est une fille très intelligente, très brillante. Et je pense que c'est parfaitement ce qu'elle a à faire.
01:10— Mais elle a eu raison de marquer ses truptures avec Éric Zemmour et de dire que finalement, aujourd'hui, il fallait une union
01:16de ces mouvements de droite nationale ? — Oui. Oui, et pas que de droite. Nous avons Jordan Bardella, Marine Le Pen, etc.
01:25sont en train de faire une union nationale, oui, avec des gens de droite, comme LR, avec Éric Ciotti, qui a eu beaucoup de courage,
01:32mais aussi avec DLF, avec des personnalités civiles. Cette union nationale, elle est ouverte, il faut bien le comprendre,
01:39à tout le monde, à tous les Français de quelques bords qu'ils soient.