• il y a 5 mois

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Musique
Transcription
00:00C'est ce qu'il y a de rock-rock qui m'éblouit.
00:30C'est ce qu'il y a de mieux.
00:31Nous, nous n'avons rien compris.
00:33Tout le monde va chanter une chanson.
00:38Ce qui est important, c'est que tu acceptes de la chanter.
00:40Pour nous, c'est l'enfer.
00:46Ne t'en fais pas.
00:47Si quelque chose t'arrive,
00:49ou un de tes amis,
00:50nous n'avons pas peur de toi.
00:51Tout le monde t'entend.
00:53Je t'aime.
00:56C'est ce qu'il y a de mieux.
01:00C'est ce qu'il y a de mieux.
01:01C'est ce qu'il y a de mieux.
01:30Je suis né en France en 1985.
01:33Au festival de la France.
01:35Le premier festival de rail.
01:37Comme je suis né en France,
01:39je suis né en 1985 avec Abdallah Turkmani.
01:41Donc nous sommes allés avec Tharik Sheikhi,
01:43avec Qadour, avec Miguel.
01:45Nous avons continué à raler.
01:47Et avec notre père,
01:49nous avons continué à raler.
01:51Avec les mecs de la rue,
01:53avec les gens de la rue.
01:56Et nous avons continué.
01:59On l'a fait, on a agi là-dedans, c'est marrant.
02:23De toute façon, à Marna, c'est clair, bon,
02:26on a décidé d'arrêter Raynaraille, enfin, au moins qu'on continue Raynaraille en France,
02:32mais on a décidé de faire un ennemi.
02:34J'ai ramené des musiciens là-dedans, enfin, les musiciens,
02:37comme Mareda, comme Macello, il était avec nous à l'époque aussi, il y avait...
02:42Enfin, il y avait pas mal, pas mal de...
02:45On a formé à Marna, bon, ça n'a pas... ça a duré quelques temps,
02:50mais les gens n'y croyaient pas, c'est tout, hein.
02:57Yeah, je veux tout le monde bouger,
03:01Je veux tout le monde bouger,
03:08Je veux tout le monde bouger,
03:11Je veux tout le monde bouger,
03:14Je veux tout le monde bouger,
03:17Là, on n'a pas de personnel majeur, on voulait faire carrière,
03:20on voulait faire Haïda signé avec une grande maison,
03:22et la preuve, on est né en 93, c'est toujours notre espoir,
03:25c'est toujours notre but, c'est pour ça qu'on continue, on y croit.
03:28Ils disent qu'ils croient, ils continuent.
03:31Donc on continue, on y croit.
03:33On est passé à côté, les deux en accueil,
03:36on a fait des choses super bien,
03:38mais on n'a pas de Nazar, tu vois, on n'a pas de Nazar.
03:42Mais il faut le chercher, il faut Malich avec le temps,
03:46il n'y a qu'à l'espoir, Malich.
03:49Quand je suis petit, entre nous, c'était froid,
03:52il y avait des problèmes,
03:55c'était pas vraiment entre nous,
03:58il y avait les musiciens et tout ça,
04:01moi personnellement, je refusais,
04:04j'étais méchant, perfectionniste, méchant avec moi-même.
04:07C'est-à-dire, on ne pardonne pas.
04:19Sous-titrage MFP.
04:49...
05:16Les Américains pensaient que la musique était un travail de travail.
05:19Aujourd'hui, c'est le contraire, les Américains n'y sont plus.
05:45Les Américains, vous faites, vous avez du chemin.
05:48Au moins, ce qu'ils aiment, au moins, ils n'aiment pas le copiage.
05:51Il faut le dire, les Anglais ou les Américains,
05:54ils n'aiment pas que tu joues comme eux,
05:57ça ne les intéresse pas.
06:00Au moins, ce qui les intéresse, c'est que tu joues ta propre musique,
06:03que tu lui donnes quelque chose...
06:06...
06:09...
06:12Surtout au Canada aussi, par exemple à Montréal,
06:15il y avait des musiciens
06:18...
06:21...
06:24...
06:27Pour écouter bien en face.
06:30Ils ne comprenaient rien du tout, tu vois.
06:33On savait que ça, ça plaisait.
06:36C'est comme ça, que...
06:39avec eux, ils disent vous êtes bizarres. Je n'ai jamais vu ça. C'est vrai que je n'ai jamais vu.
06:44Si tu veux, je pense qu'on devrait les rejoindre. Même les Algériens,
06:50ils ont une occasion pour qu'ils sachent des belles lignes. Si on sait, si les gens
06:58comprennent des belles lignes, c'est quelque chose, cette musique-là, c'est quelque chose de formidable.
07:03Quand ils comprennent des belles lignes, ils doivent travailler au gars, ça peut être vraiment international.
07:09C'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
07:39ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça
08:09C'est ce qui est dit. Le rail c'est une opinion d'un peuple. Le vulgaire et le cru ça n'a rien à voir. Le vulgaire c'est nouveau. Le vulgaire il est nouveau dans le rail, ça fait pas longtemps, ça fait quelques années qu'il y a eu le vulgaire. Mais le cru il existe depuis qu'existe le rail.
08:28Donc le cru c'est un peu comme Brère, c'est comme Edith Piaf, c'est comme, tu vois, et on trouve chez M. Ibrahim Ben Harrat et tous ces gens là, Khaldi, Brouarayou, on trouve du cru.
08:59On est comme ça, on parle comme ça. Et ça c'est le cru, je pense, c'est pas le vulgaire, ça.
09:18Et c'est ça aussi, moi je pense que...
09:58Et c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça,
10:28c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c
10:58ai, c'est là, c'est à voir, les hommes chinois, de mes savoirs?
11:07Regardez à l'avenir.
11:10Rien n'a raconté, maman. Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
11:40Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:10Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:13Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:16Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:19Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:22Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:25Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:28Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:31Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:34Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:37Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:40Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:43Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:46Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:49Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:52Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:55Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
12:58Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:01Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:04Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:07Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:10Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:13Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:16Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:19Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:22Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:25Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:28Rien n'a raconté, comme on n'y croit pas.
13:31Sous-titrage Société Radio-Canada
14:01Sous-titrage Société Radio-Canada

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