• il y a 6 mois
Transcription
00:00C'est là, nous en avons trois par mois en France.
00:07Notre politique est de leur éviter toute publicité.
00:09Bonjour messieurs, je veux bien Mazino.
00:20Qu'est-ce que vous faites là, monsieur George ?
00:25Bon, bon alors, dites-leur ce que vous m'avez dit tout à l'heure, allez, vas-y, dites-leur.
00:30C'est de la merde.
00:32Ne vous en faites pas, monsieur George, le rire à bien guérir a le dernier.
00:36Nous n'allons tout de même pas nous laisser imprisonner par un petit policier de province.
00:39J'ai donné ma parole d'aller jusqu'au bout de cette enquête.
00:42Et j'irai jusqu'au bout.
00:45Qu'est-ce que vous l'a ?
00:59Non mais comment ? Mais vous ne me reconnaissez pas ?
01:02Non, je regrette, je n'ai pas la mémoire des visages, sauf pour les assassins.
01:05On dira ce qu'on voudra, mais la police française est tout de même l'une des meilleures du monde.
01:11Un message peut être très drôle, moi.
01:13Ah oui, j'aime bien rigoler.
01:15Tu sais, quand je me mets, je suis très marrant.
01:17Ah oui ?
01:27Nous sommes tous ici sous le choc de l'émotion.
01:32Sur les circonstances de ce drame atroce.
01:48Allons, messieurs, il faut le faire parler, pas le tuer.
01:54Après ça, croyez-moi, on se sent mieux.
01:59C'est pas tout ça, mais c'est demain les vacances, on pourrait peut-être commencer à ranger.
02:04Si vous le trouvez, vous allez me le donner, vous allez me le laisser.
02:07Alors, qu'est-ce que j'en ai à foutre, si vous l'attrapez ou non ?
02:10Des histoires comme celles-là, nous en avons trois par mois en France.
02:13Notre politique est de leur éviter toute publicité.