Pour l'ouverture du festival Marsatac hier soir au parc Borély, le rappeur marseillais Zamdane était particulièrement attendu. Près d'un an après un accident grave, l'artiste a confirmé son retour au premier plan.
En ouverture du festival Marsatac, le Marseillais Zamdane faisait un retour triomphal dans sa ville, à laquelle il clame son amour depuis ses débuts il y a sept ans dans le rap. Plus d'un an après un accident grave, le chanteur retrouvait son public, non sans émotion dissimulée sur son visage, mais exprimée dans ses mots répétés à plusieurs reprises : "Marseille, ça, me fait un bien fou de rejouer enfin à la maison."
Après une introduction de feu sur Infini, Zamdane cherchait avant tout, avec succès, la connexion avec ses fans, desquels il se rapprochait pendant son show, amenant une bulle d'intimité particulièrement touchante.
Des émotions que les festivaliers pouvaient laisser aller un peu plus tard pendant le set électrique de Daria Kolosova. Pendant une heure et demie, la DJ ukrainienne a littéralement retourné les centaines de personnes devant la scène Lac, avec un set aux sonorités industrielles. De quoi donner le ton avant les performances des stars Shay et Luidji, ce samedi soir.
Lors de cette soirée inaugurale, le rappeur Werenoi a aussi mis le feu à la scène. Avec son tube 16.02.2024, le rappeur plaçait le curseur très haut dès le début de son show d'une heure, devant près de 10 000 festivaliers déchaînés. C'est dire si l'artiste, auteur de l'album le plus vendu l'année dernière en France avec Carré, était attendu.
Tout comme sa devise "c'est carré", répétée à souhait tout au long d'un show où Werenoi a entretenu le mystère qui entoure sa personne. Casquette à l'envers et lunettes de soleil malgré les 22 h 30 pointant sur les montres, le rappeur a envoyé son flow avec passion mais sans trop aller dans l'intimité. Mais en assurant le show, comme sur le son 3x Filtré, affichant sa fierté quant à son parcours avec un "J'suis plus dans l'fond du bus comme Rosa Parks".
La suite confirmait le succès de Werenoi auprès du public, massé depuis plusieurs heures devant la grande scène du festival pour être placé idéalement. Entre pogos et flashs en l'air le temps d'une vidéo collective enregistrée sur Snapchat, les fans clamaient leur passion, avec une mention spéciale pour Pyramide, aux paroles retraçant une vie entre drames et crimes.
En ouverture du festival Marsatac, le Marseillais Zamdane faisait un retour triomphal dans sa ville, à laquelle il clame son amour depuis ses débuts il y a sept ans dans le rap. Plus d'un an après un accident grave, le chanteur retrouvait son public, non sans émotion dissimulée sur son visage, mais exprimée dans ses mots répétés à plusieurs reprises : "Marseille, ça, me fait un bien fou de rejouer enfin à la maison."
Après une introduction de feu sur Infini, Zamdane cherchait avant tout, avec succès, la connexion avec ses fans, desquels il se rapprochait pendant son show, amenant une bulle d'intimité particulièrement touchante.
Des émotions que les festivaliers pouvaient laisser aller un peu plus tard pendant le set électrique de Daria Kolosova. Pendant une heure et demie, la DJ ukrainienne a littéralement retourné les centaines de personnes devant la scène Lac, avec un set aux sonorités industrielles. De quoi donner le ton avant les performances des stars Shay et Luidji, ce samedi soir.
Lors de cette soirée inaugurale, le rappeur Werenoi a aussi mis le feu à la scène. Avec son tube 16.02.2024, le rappeur plaçait le curseur très haut dès le début de son show d'une heure, devant près de 10 000 festivaliers déchaînés. C'est dire si l'artiste, auteur de l'album le plus vendu l'année dernière en France avec Carré, était attendu.
Tout comme sa devise "c'est carré", répétée à souhait tout au long d'un show où Werenoi a entretenu le mystère qui entoure sa personne. Casquette à l'envers et lunettes de soleil malgré les 22 h 30 pointant sur les montres, le rappeur a envoyé son flow avec passion mais sans trop aller dans l'intimité. Mais en assurant le show, comme sur le son 3x Filtré, affichant sa fierté quant à son parcours avec un "J'suis plus dans l'fond du bus comme Rosa Parks".
La suite confirmait le succès de Werenoi auprès du public, massé depuis plusieurs heures devant la grande scène du festival pour être placé idéalement. Entre pogos et flashs en l'air le temps d'une vidéo collective enregistrée sur Snapchat, les fans clamaient leur passion, avec une mention spéciale pour Pyramide, aux paroles retraçant une vie entre drames et crimes.
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00:00Ok Marseille, on est là ! Cherche une étoile, ouais ! Plus jamais, ouais !
00:19Ça fait longtemps que j'attends de faire un vrai concert à Marseille, de préparer un vrai concert à Marseille.
00:24J'ai fait les Olympias à Paris et même si je suis super content, je suis super épanoui, il manque quand même de faire...
00:31Les salles à Marseille sont aussi emblématiques. Il y a deux ans on a fait l'espace Julien et mon objectif c'est de faire le Dôme.
00:39Donc je suis content de passer à l'étape d'après.
00:42Il y a une grosse ressemblance entre Marseille et le Maroc, c'est que le peuple marseillais comme le peuple marocain, c'est les maghrébins en règle générale.
00:57C'est deux peuples qui sont très fiers de la réussite des leurs et quand j'ai été au Maroc il n'y a pas longtemps, j'ai reçu énormément d'amour.
01:06Que ce soit de ma famille, que ce soit des étrangers, alors que moi je n'en parle pas spécialement.
01:10Et ça, ça fait vraiment chaud.
01:21Moi juste à mon échelle, mon Dieu m'a donné une chance de briller un peu plus que les gens au Lambda, on va dire entre parenthèses.
01:28Et j'essaie de redistribuer un peu cette lumière qu'il me donne en essayant quand je peux sincèrement de faire le bien comme énormément d'autres artistes.