• il y a 5 mois

Category

📺
TV
Transcription
00:00Sur cette prise de parole du Président Emmanuel Macron, la clarification c'est maintenant,
00:05c'est ce qu'il nous a dit, les masques tombent, la bataille des batteurs éclate au grand jour.
00:09Ces mots très forts autour de ce plateau, la bataille des valeurs éclate au grand jour, Nathalie Saint.
00:15Il a été assez spectaculaire, on l'attendait aussi là, Emmanuel Macron, pour convaincre.
00:20Est-ce qu'il va réussir à convaincre aujourd'hui avec les mots forts qu'il a utilisés, il a posé des bases ?
00:26D'autres pourraient dire, bon, est-ce que ça ne fait pas, allez, on ne va pas dire 7 ans,
00:30mais on va dire 5 ans que vous proposez la même chose et on en est là aujourd'hui ?
00:34Il a été exprimé il y a un instant.
00:36La question qui subsiste c'est, bon voilà, le chef de l'État ici a posé des bases,
00:40il appelle, dit-il, les républicains qui veulent bien se rallier à lui,
00:44ceux qui ne fricotent pas avec les extrêmes.
00:46Ça veut dire qui ? On prend qui ? Quoi ? On le fait comment ?
00:49En tout cas il a dit, nous ce qu'on veut c'est faire prospérer la France, pas faire prospérer les boutiques.
00:54Donc il y tape sévèrement.
00:56On va se connecter avec Adrien Clouet.
00:58Merci beaucoup monsieur d'être avec nous, vous êtes député éléfi sortant de Haute-Garonne.
01:01Bon, vous avez été rhabillé pour l'été, pour l'hiver, pour le printemps prochain avec le chef de l'État,
01:07c'est le moins qu'on puisse dire.
01:08Antisémitisme, programme écologique qui ne tient pas la route.
01:11Qu'est-ce que vous lui répondez ?
01:13Au-delà de cela, on a compris qu'il n'y avait pas de main tendue ici du chef de l'État.
01:17On sait aussi que la gauche unie remporterait moins de voix qu'une gauche plus disloquée.
01:25Où est-ce que vous en êtes du côté des négociations à gauche ?
01:28Comment est-ce que vous, vous vous positionnez ?
01:29Vous avez ici des idées très divergentes sur plusieurs sujets.
01:33Est-ce que vous allez tout de même réussir à vous entendre
01:35pour que les Français puissent se reconnaître dans vos idées ?
01:38En tout cas certains électeurs qui votaient jusqu'à présent à gauche.
01:42Léon Desfontaines, vous êtes avec nous, le porte-parole du parti communiste français.
01:46Il y a beaucoup de choses et beaucoup de questions
01:48qu'on a envie de vous poser, Léon Desfontaines, vous vous en doutez.
01:51Mais il y a un monsieur, un grand monsieur qui a porté votre prénom, Léon Blum.
01:56Pensez-vous qu'il est, comme le président l'a assuré,
01:59en train de se retourner dans sa tombe ?
02:02Le porte-parole du parti socialiste.
02:04Bon, on a vu des sièges qui sont déjà plus ou moins comptés, établis par région.
02:10Emmanuel Macron qui dit qu'à gauche et dans cette union de front populaire,
02:13vous n'êtes quasiment d'accord sur rien, en tout cas aucun point régalien.
02:17Qu'est-ce que vous répondez et comment vous vous organisez sur tout ?
02:19Parce que certes, il y a l'Alliance, mais avant tout, il y a ce programme qui vous attend.
02:24On va se connecter avec Richard Ramos.
02:26Vous êtes député modem, monsieur, du Loiret.
02:29Qu'est-ce que vous avez pensé de cette allocution, monsieur, du président de la République ?
02:33A-t-il répondu à vos questions ?
02:34Et surtout, vous a-t-il donné l'envie de continuer à vous rallier cette fois
02:40et d'avancer dans cette direction, dans ce programme de la majorité présidentielle ?
02:44Audrey Goutard, vous êtes avec nous, vous nous avez rejoint. Merci, Audrey.
02:47Spécialiste de nos questions sociales, sociétales.
02:49Il faut qu'on retienne aussi ce qui s'est passé,
02:51parce qu'il y a des attentes du côté des Français.
02:53Elles sont nombreuses, ces attentes.
02:54Oui, ces attentes, elles sont très nombreuses.
02:56Richard Ramos, Emmanuel Macron aujourd'hui a fait une sorte de mea culpa,
03:00pas à tous les niveaux, mais notamment sur la jeunesse.
03:03On va y revenir peut-être avec vous dans un instant.
03:05Il reconnaît cette responsabilité du vote RN aussi,
03:09puisque 93 % des communes en France ont placé le RN en première position
03:14lors de ses européennes.
03:15Bon, reconnaître ses responsabilités, c'est bien.
03:19Qu'est-ce qu'on fait pour avancer dans la bonne direction, pour que ce soit mieux ?
03:23Ce n'est pas 300 députés LFI, c'est le chiffre qu'a sorti Emmanuel Macron.
03:26On n'a plus d'informations depuis et on est plutôt sur 225-230.
03:30Bon, ben écoute, oui. Merci M. Ramos d'avoir été avec nous.
03:34Vous vouliez peut-être réagir une dernière fois avant de partir, non ?
03:37On vous entend. Bon, vous nous avez quitté.
03:39Je suis là, je suis là.
03:40Ah, vous êtes encore là. Bon, ben écoutez.
03:42Je suis encore là.
03:43Formidable. Ça vous rassure, 230 sièges environ, entre 220-230 déjà ?
03:48Mais non, ça ne me rassure pas. On voit bien, on voit bien.
03:50Audouy, merci infiniment de nous avoir suivis.
03:52Bien sûr, on continuera à suivre avec beaucoup d'attention toutes ces législatives
03:57qui nous attendent à suivre Outre-mer Express,
03:59qui revient sur le passage de la flamme à La Réunion.
04:02Ça va nous faire du bien. Belle journée à tous.
04:07Sous-titrage Société Radio-Canada

Recommandations