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00:00 Comme je disais hier, si vous gagnez ce soir, vous avez fait 50% de travail.
00:05 Alors, quels sont vos commentaires sur cette bonne voie pour le classement dans les finales ?
00:12 C'est une victoire importante. Je ne sais pas si c'est 50%.
00:16 Mais bon, le fait d'avoir joué trois matchs et d'avoir sept points,
00:19 et de parler résultats des autres équipes aussi, on est bien placé.
00:24 Bon, la parenthèse va être refermée.
00:27 Au mois de septembre, quand on va reprendre les qualifications,
00:30 on aura un mois de septembre compliqué, puisqu'on reçoit les trois adversaires les plus importants.
00:37 On joue contre les trois adversaires.
00:39 Trois matchs en six jours, donc le calendrier est chargé.
00:43 Mais d'être aujourd'hui avec les matchs qu'on avait...
00:53 Je disais que c'était une victoire importante pour nous.
00:57 Je ne sais pas si c'est 50% de travail, mais on sera bien placé.
01:02 Je dois rappeler qu'on aura un très compliqué calendrier en septembre.
01:07 Trois matchs en six jours, donc c'est très important de faire le maximum et de gagner les points nécessaires.
01:16 Bonjour Didier, Antoine Mégnan pour l'AFP.
01:20 Est-ce que vous arrivez à tirer de la confiance de ce match en vue de l'Euro,
01:26 alors que ça a été un match difficile avec beaucoup d'opposition aussi ?
01:29 Est-ce que vous en retirez de la confiance en vue de la prochaine complète ?
01:41 L'essentiel le plus important c'est le résultat.
01:44 Dans le contenu, on est capable de mieux faire.
01:47 On a eu une entame de mi-temps un peu laborieuse.
01:52 C'était mieux la fin de première mi-temps et la deuxième mi-temps.
01:57 Mais ce sont des matchs difficiles pour tout le monde.
01:59 Je vois cette équipe bosnienne jouer contre la Finlande.
02:05 Ils n'ont pas fait ce qu'ils ont fait là, mais ils jouent contre nous.
02:09 Regardez, pour vous en général, le Kazakhstan c'est une toute petite équipe.
02:14 Mais ils vont faire match une en Ukraine.
02:17 Pour tout le monde c'est compliqué.
02:19 Le calendrier est difficile, l'enchaînement est difficile.
02:23 Je ne cherche pas d'excuses, mais c'est factuel.
02:25 Pour vous aussi, ça vous amène à des complications.
02:29 Entre les longs déplacements, décalage horaire, conditions de jeu particulières,
02:39 c'est difficile pour les joueurs.
02:43 L'essentiel est là, mais je vous concède que c'est des phases de qualification.
02:52 L'Euro sera une grande compétition.
02:58 En sachant ce qui attend les joueurs derrière, c'est enchaîné, enchaîné, enchaîné.
03:04 On a un calendrier qui était très compliqué.
03:08 À ce sujet, je voudrais rajouter, puisqu'on m'a posé la question en veille de match,
03:23 je pense que si l'UEFA se pense à l'idée de pouvoir élargir la liste,
03:31 je pense que ce serait une bonne chose.
03:33 À condition qu'il y ait deux ou trois joueurs en plus,
03:37 mais que tous puissent être sur la feuille de match.
03:40 Condition sanitaire comme on est aujourd'hui,
03:43 nous ne pouvons pas se prendre pour des êtres supérieurs.
03:48 On a fait tout ce qu'il fallait.
03:50 Malgré les cinq tests, on n'a pas eu de cas positifs.
03:55 Mais je pense qu'avec la fatigue qu'il y aura,
03:59 ce serait plutôt une bonne chose.
04:04 Je pense que le résultat est le plus important.
04:07 Je sais que la fin du premier et du deuxième demi-temps
04:11 étaient meilleurs que les autres matches.
04:13 L'équipe bosnie-française n'a pas joué comme elle a joué avec la France.
04:18 Quand ils jouent contre la France, ils jouent comme ils jouent ce soir.
04:22 Mais je dirais que c'est un moment compliqué pour tous les équipes.
04:27 Je ne suis pas là pour faire des excuses pour la France,
04:32 mais il faut prendre en compte notre voyage,
04:37 notre heure de travail, les conditions pour jouer.
04:42 C'est une situation difficile.
04:45 Mais je pense que la qualification pour l'Euro sera complètement différente.
04:49 On va jouer le mieux possible.
04:52 On ne doit pas oublier la situation épidémiologique.
04:56 On est sur le voyage depuis quelques jours.
04:58 Les gens sont fatigués.
05:00 On n'est pas plus fort que les autres.
05:04 On a eu beaucoup de tests pour faire la fois.
05:07 Personne n'a été positif.
05:09 Mais il y a beaucoup de choses à faire.
05:11 C'est vraiment un moment très difficile.
05:15 On va prendre deux questions.
05:17 On a un créneau de vol.
05:19 Dominique Sévrac, le Parisien, et François Verdonnet de l'équipe.
05:24 Je suis désolé, on ne traduira pas les questions.
05:27 Bonsoir Didier.
05:28 Qu'est-ce qui a motivé votre choix de titulariser Thomas Leymar ?
05:32 Est-ce que vous êtes satisfait de son match ?
05:36 Oui, il était très en jambe, très mobile.
05:40 C'est un très bon joueur.
05:42 Il avait une très bonne condition.
05:45 Même s'il avait joué le dernier match, il avait sa touche technique, le volume.
05:53 Que ce soit à gauche ou à droite, il a été un performant.
05:59 Dernière question de François Verdonnet de l'équipe.
06:03 Vas-y, ça va, c'est pas grave.
06:06 Qu'est-ce qui vit pour vous cette huitième victoire de suite à l'extérieur ?
06:12 C'est quand même quelque chose d'assez inédit.
06:14 C'est une série que l'on a poursuivie ce soir.
06:18 Malgré tout, ce n'est pas simple pour nous.
06:22 On n'a pas que des matchs qu'on maîtrise de A à Z.
06:25 Mais ça prouve la compétitivité de l'équipe de France.
06:29 Je n'enlève pas ça, le mérite aux joueurs.
06:32 Ce soir, c'était important de la poursuivre, cette série.
06:37 Je suis vraiment désolé, on me doit écourté.
06:39 On vous souhaite un bon retour et à très bientôt.
06:43 Je suis désolée, mais il faut en couper une pour l'avion.
06:46 Si vous voulez, j'ai deux questions et deux réponses.