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L’ancien magistrat Georges Fenech était l’invité de L’Heure des Pros, ce mercredi 12 juin, sur CNEWS. Il s’est exprimé sur la volonté d’alliance des Républicains avec le Rassemblement national : «Quand je vois qu’ils sont en perdition, en fracture, qu’ils vont quémander au RN une investiture pour sauver leur siège, c’est triste pour la France».

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Transcription
00:00Je vous attends, surtout après votre réquisitoire, si vous avez fait un réquisitoire épouvantable.
00:06Mais pas épouvantable ?
00:07Ah si, si, pardon.
00:08C'est pas un réquisitoire ?
00:09Si.
00:10Non.
00:11J'allais dire que voilà, les militants ont décidé.
00:12Oui, c'est tout.
00:13Et l'ère s'est terminée.
00:14Non, j'ai pas dit ça.
00:15Il faut qu'il y ait un règne.
00:16C'est ce que vous avez dit.
00:17Non.
00:18J'ai dit que les militants sont alignés derrière l'élection, c'est tout ce que j'ai dit.
00:22Mais vous en savez rien.
00:23Si.
00:24S'il y a eu un sondage.
00:25S'il y a eu un sondage.
00:2650%.
00:2750%.
00:29En tout cas, je sais que ceux qui se sont exprimés, écoutez, Mme Pécresse, elle a
00:33fait moins de 5%.
00:34Et alors ?
00:35Et alors ?
00:36Copé, il a fait 0,3%.
00:37Quand tu fais 0,3%, peut-être que tu...
00:38On ne peut pas demander à quelqu'un de changer ses convictions.
00:39Mais vous avez les mêmes.
00:40Mais vous avez les mêmes.
00:41Elle avait même quitté le parti, donc elle n'a pas de fonds à donner.
00:42Mais vous avez les mêmes.
00:43Je ne crois pas.
00:44Mais alors, sur quoi vous n'êtes pas d'accord ? Et puis, il peut y avoir, c'est ce qu'on
00:45appelle un programme commun de la droite.
00:46Moi, j'ai entendu, vous avez dit, Laurent Wauquiez, le cœur qui s'aime.
00:47Moi aussi, j'ai entendu.
00:48Oui.
00:49Mais oui.
00:50Et oui.
00:51Et oui.
00:52Parce que je vois, bon, le parti auquel j'ai appartenu, auquel j'ai participé aussi.
00:53Mais je sais bien que vous pensez qu'on n'a rien fait, que tout ça...
00:54Mais je ne dis pas ça du tout.
00:55Mais voyez-vous, on a quand même fait quelque chose.
00:56Et quand je vois aujourd'hui qu'ils sont en perdition, en fracture, qu'ils ne vont
00:57qu'émander au RN une investiture pour pouvoir sauver l'État, c'est-à-dire qu'ils n'ont
00:58rien fait.
00:59C'est-à-dire qu'ils n'ont rien fait.
01:00C'est-à-dire qu'ils n'ont rien fait.
01:01C'est-à-dire qu'ils n'ont rien fait.
01:02C'est-à-dire qu'ils n'ont rien fait.

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