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Éducation
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00:00Quand on a fait l'échauffement avec les micros, j'ai dit que j'étais très contente d'être
00:29en Belgique, parce que les Belges étaient beaucoup plus chaleureux que les Français.
00:32C'est fantastique de voir, vous avez rempli cette salle qui est quand même grande, vous
00:43êtes tous là, je vous dis bonsoir, bonsoir à Caro et à Nissa, qui est avec moi, Michel
00:49Colléa, allons animer au nom de BAM cette soirée, bon, la salle est pleine, on a refusé
00:55du monde et je pense qu'il y a une raison à ça, évidemment parce qu'Alexandra et
00:59Corinne sont là, mais je pense qu'on ressent tous qu'on est à un moment charnière.
01:03On est le 11 décembre 2023, dans quelques jours c'est 2025, ça fait trois ans, pratiquement
01:09exactement trois ans, qu'une crise, j'emploie un mot assez vague, mais peut-être plus qu'une
01:14crise a commencé.
01:15Ça fait trois ans qu'on se bat tous comme on peut pour essayer de faire sortir la vérité
01:21face à une espèce de marée de mensonges qui nous a envahis.
01:25Si on a réuni Alexandra, Corinne, nous médias indépendants et vous, c'est parce qu'on a
01:31tous besoin les uns des autres.
01:33Vous citoyens, nous médias indépendants, une grande scientifique, une très grande
01:38reportère, on a tous besoin des uns des autres.
01:42Présentez Alexandra quand même, je te présente en quelques mots, directrice de recherche
01:46à l'Infirm, docteur en génétique, mais aussi, mais aussi, parce qu'il y a beaucoup de scientifiques
01:54lanceurs d'alerte, peu ont aussi éminemment été politiques.
01:58Alexandra a pris le devant et monté sur les scènes, alerte au-delà de la science, alerte
02:04sur la profondeur de ce qui est en train de se passer et elle le fait avec cœur.
02:07Peu de gens le font avec cœur, peu de gens, je l'ai vu quand je l'ai filmé, prendre
02:11les gens dans les bras, être avec les gens de manière empathique, ça va au-delà de
02:14la science.
02:15C'est quelque chose de très complet.
02:16Corinne, Corinne qui est peut-être moins connue mais que vous allez découvrir, Corinne c'est
02:20une très grande reportère, 40 ans, oui je sais Corinne a 17 ans, mais pourtant ça
02:24fait 40 ans que dans les médias mainstream, elle alerte, ce n'est pas avec le Covid qu'elle
02:30a commencé.
02:31Le scandale du sang, vous vous souvenez du scandale du sang, mais qui est la première
02:34à avoir sorti l'histoire ? ATF1, c'est Corinne Lalaud, eh oui, j'entends des « A ».
02:41J'en aurais pour longtemps à énumérer.
02:461986, le nuage de Tchernobyl.
02:48Qui a montré que la frontière n'arrêtait pas le nuage ? La première, ATF1, qui a fait
02:53le premier reportage ? Corinne Lalaud.
02:55Et Corinne, avec sa jeunesse d'esprit, elle est maintenant à travailler avec nous, à
03:01alerter beaucoup.
03:02Et donc, vous voyez, on s'est rassemblés ici parce qu'ensemble, chacun de nous, on
03:07peut rien faire.
03:08Mais les compétences d'Alexandra, les compétences de Corinne, nous qui sommes des citoyens,
03:12qui avons constaté que les médias étaient en chute libre il y a quelques années, on
03:15s'est dit, on essaie de faire quelque chose avec nos pauvres moyens et on se bat et on
03:18tiendra bon.
03:19Comment on peut faire ? Comment on peut faire pour que tous les gens qui sont dans le déni,
03:22qui ne veulent pas débattre, comment on peut faire pour qu'à la place du silence, de
03:26la parole fasse avancer ce qui pourrait être une recherche de la vérité ? Tout ça, on
03:30doit aller plus loin en 2024, on va essayer, on va commencer à essayer de le faire ce
03:34soir.
03:35Avant de tenter ça, on va d'abord faire un état des lieux.
03:38Où en est-on ? Et là, je me tourne vers nos deux invités, Alexandra et Corinne, je
03:43ne sais pas dans quel ordre vous voulez commencer.
03:45Où en est-on maintenant le 11 décembre 2023 ?
03:49Nous sommes entrés dans une ère où nous ne pouvons plus nous contenter de nos vies
03:58dans ce qu'elles avaient de riches, dans ce qu'elles avaient d'activisme ou d'activité
04:05et on est obligé de prendre une certaine position qui va bien au-delà de nos propres
04:13vies.
04:14Cela nous a obligé à sortir de nous-mêmes, à aller vers les uns et les autres.
04:20Alors évidemment, il y a des faits scientifiques et cela nous cadre, nous campe sur des réalités
04:30et heureusement qu'il y a ces réalités parce que sinon, moi souvent, j'ai pensé
04:33que je deviendrais folle avec tout ce qu'on a pu vivre, tous les coups que j'ai pu prendre.
04:40Heureusement que j'avais la science, heureusement que j'avais la possibilité de toujours réfléchir
04:45et la science c'est quoi ? C'est inconfortable.
04:48La science c'est justement l'absence de certitude et j'aimerais bien passer la parole
04:54d'abord à Corinne, ma grande sœur dans toutes ces mensonges, cette guerre du mensonge,
05:03c'est clairement Corinne et on a eu très tôt des conversations avec Corinne, d'une
05:10granularité scientifique convaincante sur le fait que j'étais en train de parler à
05:16un vrai interlocuteur et donc c'est vrai que c'est une grande chance d'avoir cette pluridisciplinarité.
05:24Alors merci.
05:25Merci beaucoup Alexandra, c'est très gentil de dire tout cela et je voudrais d'abord
05:30rendre hommage à Michèle Rivasi qui est une députée française, européenne, qui
05:36s'est battue toute sa vie contre les lobbies, moi j'avais fait sa rencontre en 1986 lorsqu'elle
05:42avait créé la CRIRAD qui était une organisation, une association qui faisait des mesures de
05:49radioactivité de façon indépendante, elle est décédée malheureusement il y a un peu
05:53plus d'une semaine ici, à Bruxelles même, l'autopsie, les premiers résultats de l'autopsie,
06:00on dit que c'était une rupture de la horte, donc c'est ce qui a été dit lors de son
06:06enterrement auquel j'étais samedi et donc on attend maintenant des résultats plus précis
06:12et ça arrivera bien plus tard, donc je lui dédie cette soirée.
06:15Les vaccins ARL sont des OGM et la loi européenne a été modifiée en 2020 pour pouvoir permettre
06:35l'arrivée des vaccins OGM, qui sont les vaccins ARL, et qu'est-ce qu'il s'est passé
06:41récemment ? Kevin McTiernan a montré que dans les vaccins, il y avait non seulement
06:49de l'ARN mais il y avait aussi de l'ADN, donc normalement il ne doit pas y avoir d'ADN
06:53dans les vaccins, mais lui il a montré qu'il y avait de l'ADN jusqu'à 30%, ce qui est
06:58considéré comme une incertité, mais le problème surtout de l'ADN c'est qu'il va s'intégrer
07:03dans le noyau, donc ça veut dire que si on trouve de l'ADN dans les vaccins, ça va se
07:08retrouver dans les génomes, y compris pour les générations à venir, ça a été complètement
07:12confirmé par Hénan et Montiachat, ils ont tous trouvé l'ADN 40, donc pourquoi est-ce
07:17qu'il y a un promoteur du cancer dans un vaccin ARL ? Pourquoi ? Vous voyez en rouge,
07:27au début personne n'est vacciné, ça monte, ça monte, ça monte, à la fin, et là on
07:32est dans les 18-39 ans, chez les jeunes, donc on ne peut pas dire c'est parce qu'ils sont
07:37vieux, non, non, non, c'est 18-39 ans, donc ils sont 65% à être vaccinés, mais ils sont
07:4678,4% dans la population des morts cette année-là, à cette tranche d'âge-là, donc quand vous
07:57êtes vacciné, vous avez plus de risque de mourir que si vous n'êtes pas vacciné,
08:02ça veut dire surtout qu'il faut immédiatement retirer ce premier, il faut arrêter tout
08:07de suite.
08:08Ça fait un moment que j'essaye de dire quand il y a des folies qui sont en cours.
08:18En juillet 1997, je m'étais exprimée sur un plateau de télévisé, et juillet 1997,
08:25en fait il y avait Brigitte Boisselier qui avait fait un essai d'annonce de clonage,
08:32de premier clonage humain, et quelques années après, en 2001, Time Magazine ose effectivement
08:42faire cette couverture en nous expliquant que le clonage humain était plus près de
08:47nous que nous ne le pensions, et l'atrocité et l'abomination pour moi est dans ce clonage.
08:54Pourquoi ? Parce que le clonage anéantit toute forme d'altérité.
09:00Évidemment, vous imaginez un petit peu, si je me mets à me cloner, déjà, la cata pour
09:05les gouvernements, la cata pour les biopharmas, marquez peut-être qu'on va penser au clonage
09:14finalement.
09:15Et donc vous voyez là cet article du Figaro qui date de 2017, où avec des collègues,
09:25j'expliquais, j'alertais, qu'après les organismes génétiquement modifiés, nous
09:31étions en train de nous diriger lentement mais sûrement vers des humains génétiquement
09:37modifiés.
09:38Cette origine du virus, cela ouvre une notion, et pas des moindres, la notion de biocrime
09:44sur laquelle très tôt j'ai travaillé, notamment avec le professeur Trito, pour essayer
09:53de la faire admettre comme un motif de condamnation.
09:58Parce que pour le moment, le biocrime n'existe pas.
10:01Évidemment, si le biocrime n'existe pas, ça peut continuer longtemps dans les histoires.
10:06Et quand on dit biocrime, on dit effectivement bio-arme, mais on ne sait pas exactement
10:10où était la bio-arme.
10:11Probablement SARS-CoV-2 a été scoré par Military Medicine comme étant très vraisemblablement
10:20une bio-arme.
10:21Mais est-ce que c'était la pierre des bio-armes ? Est-ce que le vaccin n'était pas la pierre
10:25des bio-armes ?
10:26Donc, en tout cas, tout cela, je ne vais pas sur la notion de bio-arme, mais je vais sur
10:31la notion de biocrime, parce que c'est celle-là qui peut effectivement permettre d'arrêter
10:36des mauvais scénarios dans la suite, et cela montre que cela a été dissimulé à la population.
10:41Deuxièmement, cela change que ça veut dire qu'on propage actuellement dans la population
10:48mondiale des humains des séquences artificielles aux conséquences par définition inconnues.
10:54Parce qu'à partir du moment où ça a été fabriqué, ce virus, et qu'elle n'est pas
10:59naturelle, cela veut dire que tous les produits dérivés, genre vaccins, propagent des séquences
11:06artificielles.
11:07J'ai évité, et Corinne aussi, on a évité toute attaque à l'plasmoname.
11:13C'est-à-dire que vous ne m'avez jamais entendu ni dire, ni écrire quoi que ce soit
11:19contre quelqu'un.
11:20Et c'est très important, parce qu'en fait, c'est par l'union que je considère qu'on
11:24peut gagner.
11:25Ces deux-là, elles ont beaucoup à dire, je leur avais demandé un quart d'heure chacune,
11:30mais en fait, elles pourraient faire des heures, parce que c'est passionnant ce que je viens
11:33de dire.
11:34Et surtout, en écoutant, je me suis aperçu, je ne sais pas vous, mais je me suis aperçu
11:38de quelque chose d'étonnant.
11:39On a entendu une grande journaliste nous parler imminemment de science, et une grande
11:45scientifique nous parler imminemment de politique, au sens noble du terme, la vie de la cité.
11:50En fait, c'est à ça qu'on est tous invités.
11:52On a, depuis trois ans, on a tous potassé, essayé de comprendre ce qui se passe, on
11:58fait comme on peut pour essayer de comprendre ces données scientifiques qui sont liées
12:02à de la politique.
12:03On ne comprend pas tout ce qu'il y a derrière, mais on comprend que c'est gros et grave.
12:07En tout cas, qu'on doit se mobiliser.
12:09Et il y a une chose que vous m'avez appris, vous avez arrêté la vaccination obligatoire
12:14en Nouvelle-Calédonie.
12:15On peut dire qu'on a largement contribué, parce qu'on ne saura jamais, mais disons
12:26qu'on peut être, en tout cas, on est fiers de ce qu'on a fait.
12:30Bon alors, comment on fait pour faire comme en Guadeloupe et en Nouvelle-Calédonie ? Qu'est-ce
12:33qu'on doit faire maintenant ? Parce que si on n'arrive pas à informer au-delà de
12:36ceux qui sont déjà informés, on aura du mal à faire avancer les choses.
12:39C'est notre problème à nous tous, citoyens, médias, scientifiques, journalistes, on doit
12:44tous arriver à ça, à briser les lignes, à aller plus loin.
12:47Comment on fait maintenant ?
12:48Il faut que les gens continuent à s'informer.
12:51Moi, je ne vois pas d'autre solution que de s'informer, s'informer et s'informer.
12:57Parce que tout ce qui a été fait pour faire marcher cette propagande, ça n'aurait pas
13:03été possible si les médias avaient fait leur boulot.
13:05Les médias n'ont pas fait leur boulot, donc ils ont marché dans la propagande, et
13:10c'est ça qui a permis quand même que cette fausse pandémie soit quand même un succès
13:17du point de vue de Big Pharma.
13:20Malheureusement, c'est un succès.
13:23Quand il y a eu la pandémie, fausse pandémie aussi, de 2009-2010, H1N1, les Français,
13:31ils ne s'étaient pas vaccinés à plus de 6%.
13:34Et à la suite de H1N1, moi j'avais déjà dénoncé la fausse pandémie H1N1 en 2010,
13:42j'avais fait des reportages à TF1 qui étaient passés d'ailleurs, et il y avait eu une
13:47commission d'enquête, et il y avait la fameuse ministre qui avait vraiment présidé
13:56à tout ça, Madame Bachelot pour ne pas la nommer, elle avait été finalement témoignée
14:01devant les commissions d'enquête, et les députés lui avaient dit « mais qu'est-ce
14:06que vous regrettez en fait, vous ne regrettez rien, parce que quand même c'était un fiasco
14:09là ». Elle a dit « écoutez, j'ai beau réfléchir, mais quand même si, il y a deux
14:15choses qu'on regrette.
14:17La première, c'est que les Français n'ont pas eu assez peur.
14:20Premier regret, s'ils avaient eu un peu plus peur, ils seraient allés se faire vacciner,
14:28parce qu'évidemment c'était très bien de se faire vacciner, ça c'est la première
14:32chose qu'elle regrettait.
14:33Et la deuxième chose, elle a dit « écoutez, la deuxième chose que je regrette, et qu'on
14:37regrette tous nous, c'est-à-dire nous les dirigeants, c'est qu'on n'a pas assez
14:43verrouillé internet ». Et voilà, et donc ils ont tiré la leçon pour la fois suivante,
14:51et là, ça a été verrouillage de l'information à mort, et c'est pas fini, puisque au Sénat,
14:57en France, ils sont en train de lancer une loi pour qu'on soit condamné si on ose
15:03critiquer un médicament ou un vaccin.
15:04Si vous dites quelque chose, et bien vous aurez 30 000 euros d'amende, il faudra les
15:11sortir, et après, vous risquez la prison.
15:13Et c'est ça qu'ils veulent faire.
15:16Et donc, on n'est pas sortis de l'auberge, parce que tout part aussi, tout commence par
15:23le fait de verrouiller l'information, censurer, et la censure, c'est ce qu'il y a de pire.
15:30Lorsque la liberté de parole disparaît, c'est le totalitarisme.
15:35Alors, bien sûr que s'instruire est toujours formidable, mais le problème, c'est que
15:41ce genre de lois vont probablement passer, et de toute façon, il y a déjà une telle
15:46censure quand j'essaye de parler aux gens, que s'informer, ça devient vraiment de plus
15:51en plus difficile.
15:52Surtout qu'au quotidien, on a des mensonges, des mensonges tous azimuts, qui font qu'on
16:00est fragmentés, et en fait, c'est comme si, à chaque fois, il y avait des divisions
16:05supplémentaires.
16:06Alors, par exemple, je prends notre camp, il y a eu, dans notre camp, on était tous
16:11donc convaincus qu'il ne fallait pas faire cette vaccination, et puis il y a eu l'histoire
16:15de l'Ukraine et de la Russie, paf, première fragmentation.
16:18Deuxième fragmentation, il y a eu les histoires de Grafen, explosion en plein, en mille morceaux.
16:25Troisième fragmentation, et pas des moindres en ce moment, le conflit israélo-palestinien.
16:31Et là, vous vous rendez compte que, alors là, c'est déjà des miettes.
16:36Et vous savez très bien que plus ça va aller, plus c'est facile de fragmenter en petits
16:40morceaux.
16:41Et donc, en fait, cette fameuse union dont je vous parle, elle est relativement, on pourrait
16:46penser qu'elle est illusoire, mais sauf que les résistants, la résistance française
16:51nous a enseigné comment faire.
16:53La résistance française, mon grand-père n'était pas communiste, il travaillait avec
16:59des communistes, et il était très heureux de faire avancer les choses et de sauver ceux
17:06qui devaient être sauvés.
17:08Donc, effectivement, comment on fait ? Et bien, ce n'est pas le problème d'être d'accord
17:12sur tous les sujets.
17:13On ne te demande pas d'être d'accord sur tous les sujets, on te demande de rester surtout
17:16sur le sujet sur lequel tu es d'accord et sur lequel tu penses qu'il y a une attaque,
17:21et sur ce sujet-là, tu dois être une solidarité totale et inaltérable.
17:28Il y a un mot que tu as dit qui me frappe, c'est le mot « fragmentation ». Evidemment,
17:35ils ont essayé de frapper ceux qui ont utilisé ces mécanismes de peur, les différents pouvoirs
17:41qui ont utilisé ça.
17:42Pourquoi est-ce qu'on devrait être fragmenté ? Pourquoi n'essayerions-nous pas de les fragmenter ?
17:46Je vais vous donner un exemple qui va être sous forme de question.
17:49Je sais que le syndicat Liberté Santé, en ce moment en France, mène des actions, vous
17:53avez sans doute tous entendu parler, contre les médecins du plateau.
17:55Ça s'appelle les « neuf bonimenteurs ». Ces neuf bonimenteurs qui sont attaqués en justice,
18:02et bien les médecins généralistes, et si on nous met dans la peau d'un médecin généraliste
18:09qui a vacciné, qui a clé à ça, il voit que ce n'est pas possible, qu'il ne sache
18:12pas qu'il y a des effets secondaires qui arrivent, que quelque chose ne va pas, mais
18:15avouer ça, ça veut dire qu'ils se mettent dans la position d'avoir inoculé un poison.
18:19Ils ne peuvent pas le penser tout de suite.
18:22Est-ce que nous, des actions possibles, ne saurions-nous pas de leur tendre la main et
18:26de fragmenter eux, de ceux qui l'ont donné l'ordre de la vaccination ?
18:30Est-ce qu'il n'y a pas quelque chose à faire sur ça, Alexandra et Corine ?
18:33J'ose espérer qu'il y a quelque chose à faire, que je réclame depuis mars 2020.
18:38Si jamais les médecins ne sont pas capables de monter au créneau en disant « on nous
18:45a menti, on nous a fait injecter un produit qu'on nous a dit qu'on maîtrisait et
18:49qu'on connaissait depuis longtemps », c'est faux.
18:52« On nous a menti, on nous a dit que la RN-MSG se dégradait tout de suite », c'est
18:57faux.
18:58« On nous a menti, on nous a dit que la RN-MSG allait rester dans le muscle », c'est
19:03faux.
19:04« On nous a dit qu'on allait injecter que deux fois ces doses », c'est faux.
19:08« On nous a dit qu'ils étaient sûrs et efficaces », ils ne sont ni sûrs ni efficaces.
19:14« On nous a dit que la phase 3 était terminée », c'est faux.
19:19Et donc ces médecins ont le droit et l'obligation déontologique de dire « on nous a menti
19:25sur ces injections RN-MSG ».
19:28J'attends, j'espère, parce que là en 2003 ils prévoient effectivement une batterie
19:34de plein d'ARN-MSG et ils continuent.
19:37J'espère que si jamais vous arrivez dans cette salle, il suffit, moi j'ai pensé
19:44à un médecin auquel je n'avais pas pensé parce que j'ai demandé ça à plein de
19:48médecins, surtout de notre propre camp, en disant « est-ce que tu ne veux pas rédiger
19:52cette tribune ? » et puis du coup d'autres vont suivre.
19:55Mais il est évident que si jamais l'énergie vient du médecin, à ce moment-là les médecins
20:03se retourneront vers les ARS ou je ne sais pas ici en Belgique, en tout cas les organismes,
20:10les autorités de santé diverses et variées, et puis aux autorités de santé de se débrouiller
20:16et de se retourner vers les gouvernements.
20:18Mais si on ne fait pas cela, je ne vois pas ce qu'on aura véritablement appris de tout
20:26ce que nous avons vécu, parce que ce que nous avons vu c'est que les perpétuateurs
20:31et je dis les médecins mais je devrais dire aussi les infirmières et les pharmaciens
20:35qui ont vacciné en fait tous les vaccinateurs, quels qu'ils soient, et à ce moment-là
20:42effectivement ils ne se sentiront pas obligés d'obéir une prochaine fois.
20:47Est-ce que notre avant de dire « au plus vite la lumière sera faite », c'est-à-dire
20:57au plus vite vous dites ce que vous voyez, vous médecins qui ne voyez pas, vous ne voulez
20:59pas voir les effets secondaires, si vous dites ce que vous voyez, au plus vite la vérité
21:03sera faite et au plus vite on pourra tous ensemble sortir de ça.
21:07Un antidote ou un travail pour sortir de cette horreur scientifique ne pourrait pas être
21:12fait.
21:13Est-ce que ce n'est pas notre argument ?
21:14Les remontées c'est déjà des dizaines de millions.
21:17Donc en fait on a déjà largement les remontées des effets secondaires pour pouvoir arrêter.
21:24Cela fait d'ailleurs des mois qu'on l'a.
21:27En fait on a eu dès le début les alertes qui devaient nous faire arrêter.
21:32J'ai repris, d'habitude je vous montre cette diapositive où je reprends les différents
21:36vaccins qui ont été arrêtés dans le passé, ils l'ont été pour beaucoup moins que
21:40ça.
21:41Donc on a déjà passé les lignes rouges, je ne sais pas combien de fois.
21:47Il y a une volonté de faire l'omerta sur tous les effets secondaires, il y a une volonté
21:55de les cacher, il y a une absence totale de transparence des autorités sanitaires, gouvernement
22:03français, gouvernement belge, tous les gouvernements et la commission européenne, n'en parlons
22:10même pas, ils ont fait des contrats, ils n'ont toujours pas publié les contrats qui ont
22:17été faits au nom des Européens, avec l'argent des Européens et on ne les a toujours pas.
22:24Et on est supposé être en démocratie.
22:28Excusez-moi, ce n'est pas la démocratie.
22:30Tout ce que tu dis est vrai et fort, mais est-ce qu'on peut se contenter de constater
22:39après trois ans tout ça ? On ne peut pas se contenter de les constater, comment on
22:43fait ? Quelle brèche fait-on ?
22:45Je vais vous dire quelque chose quand même.
22:48En 1976, aux Etats-Unis, il y a eu une fausse pandémie, pareil, ils ont essayé de faire
22:56croire que c'était une pandémie, on l'a oublié, tout le monde l'a oublié, c'était
23:00Gérald Ford le président.
23:02Ils ont fait une campagne vaccinale, donc ils se sont dit, il y a une grippe, vite,
23:07on va vacciner.
23:08Ils ont quand même réussi à vacciner pas mal d'Américains, mais il y a eu pas mal
23:14de Gilain Barré, un effet secondaire qui est grave, et puis il y a eu 25 morts.
23:21Eh bien, la presse américaine à cette époque-là était libre, elle a dénoncé le fait qu'il
23:27y avait 25 morts, après 25 morts, ils ont arrêté en catastrophe la vaccination.
23:33Là, on est à des 40 000 morts, en France beaucoup plus de milliers de morts, en France
23:44officiellement on est à 1 200, mais c'est des chiffres qui sont complètement faux.
23:48Eh bien, même partout, en 1976, avec 25 morts, on arrêtait une vaccination, en 2023, on
23:58est à des milliers de morts, voire à 17 millions de morts dans le monde, avec les
24:03chiffres du Canadien Rencourt, Denis Rencourt, donc on est à 17 millions de morts post-vaccinaux
24:11et on n'a toujours pas retiré ces vaccins.
24:13Donc la question est pourquoi ? Pourquoi ? Il y a une opérata totale et il y a beaucoup
24:20de gens qui sont persuadés qu'il n'y a pas d'effet secondaire, puisqu'on n'en
24:23parle pas à la télé.
24:25Donc il faut que l'information finisse par crever l'écran, ça se fait petit à petit,
24:33petit à petit, il y a des philosophes qui commencent à dire « Ah oui, c'est vrai,
24:39nous nous sommes trompés, on s'est trompés, ah mais on s'est tous trompés, ah non,
24:44mon cher philosophe, tout le monde ne s'est pas trompé, vous avez accepté de vous tromper,
24:51vous avez accepté d'enfreindre les libertés alors que vous faites métier de défendre
24:56la liberté, vous avez été le premier à prôner la suppression de la liberté et la
25:02condamnation des gens qui étaient libres, ils étaient libres de refuser de s'injecter
25:06un produit expérimental et vous, vous les avez dénoncés alors que vous dites que vous
25:10êtes pour la liberté, mais ça c'est grave, et ce n'est pas juste, on nous a trompés,
25:15je veux bien qu'on nous ait menti, mais on avait tous les moyens, tous ceux qui savaient
25:20lire et écrire avaient les moyens de se renseigner et d'aller chercher l'information.
25:25Alors il y a eu beaucoup de paresse intellectuelle de la part de beaucoup de gens.
25:31Je me demandais, comment peut-on faire pour réparer ce qui a été commis déjà ? Pour
25:38tous ceux qui ont déjà trois doses, des personnes qui ont vécu des situations douloureuses
25:47aussi, comment peut-on faire pour créer des liens avec ces gens et réparer ce qui a déjà
25:52été commis ?
25:53D'une part j'ai envie de dire, en premier lieu, de libérer la parole, parce qu'effectivement
26:00qui dit soigner, réparer, dit admettre et poser un diagnostic, autrement dit revenir
26:07à ce que tu disais, d'accepter que finalement la myocardite dont je souffre peut être liée
26:13au vaccin.
26:14Et en libérant la parole, d'espérer pouvoir travailler ensemble, parce que, et c'est pour
26:22cela que c'est aussi important de ne pas complètement fustiger les médecins qui,
26:27effectivement, quand je dis on nous a menti, tu l'as dit justement, tu as eu raison Corinne,
26:32de dire mais ils avaient les moyens de savoir.
26:34Oui, bien sûr, ils avaient les moyens de savoir, cependant on a quand même besoin d'eux et on
26:40n'aimerait pas avoir une société où en fait on est viré, condamné, tous les médecins qui ont
26:45vacciné alors qu'ils savaient et qu'ils avaient les moyens de savoir, parce qu'on a besoin de
26:53toutes ces intelligences et de tout ce maillage, c'est pour ça que j'insiste tant sur le besoin
27:00que nous avons les uns des autres.
27:02A partir du moment où on réfléchit, par exemple avec d'anciens collègues, notamment sur les
27:06troubles menstruels ou autres, on peut commencer à faire autre chose que du charlatanisme,
27:12parce qu'en vrai on n'a pas fait d'essai, on n'a pas vérifié, on dit n'importe quoi,
27:16un peu comme avec l'anathokinase, avec la bromélaïne et l'anacétylcystéine dont je
27:22parlais pourtant dans ma présentation, qui se basent sur des articles scientifiques qui montrent
27:28que par exemple ça permet de détruire de la protéine Spike. Très bien, mais le problème c'est
27:34est-ce que ces vaccinés produisent seulement de la protéine Spike ? Certains en produisent,
27:38certains n'en produisent pas. Donc c'est là où on voit que nous sommes dans une insuffisance de
27:45connaissances, nous mélangeons tout, parce que dire un vacciné, ben oui mais il a peut-être pris
27:49un AstraZeneca, puis un Pfizer, enfin c'est trop facile de dire un vacciné, et donc en fait on est
27:57là dans une, c'est pour ça que je suis très malheureuse pour la science, c'est qu'on est là
28:00dans une grande difficulté structurelle de faire des belles études qui puissent permettre de combattre
28:11et de trouver des solutions. Des solutions il y en a plein et nous avons besoin de discuter
28:16entre nous, et pour discuter nous avons besoin d'admettre que ces effets indésirables existent
28:21bien, et à ce moment-là de trouver les façons. Et donc j'ai structuré quatre causes dans les
28:29vaccins qui pouvaient amener à ces différents troubles indésirables, et c'est pour cela,
28:35c'est à cette époque-là que j'ai proposé le mot de, que j'ai fait l'hypothèse d'une maladie par
28:41la protéine Spike, que j'ai appelée Spikopathie, dont j'ai fait l'hypothèse et qui est maintenant
28:46reprise très largement. Donc voilà, donc c'est vraiment finalement par la recherche, par la
28:54réunion de différentes intelligences. J'ai des collègues dans la salle, on a aussi réfléchi à
29:01une époque, on n'a pas travaillé récemment, il faudrait qu'on retravaille ensemble, et donc en
29:08fait vraiment converger toutes nos idées, toutes nos observations, parce qu'on a des bribes de
29:13puzzles les uns et les autres. Je voulais juste te remonter là-dessus. Je pense en effet que c'est
29:18assez capital de travailler là-dessus, parce qu'un des freins à une reconnaissance plus massive des
29:27effets secondaires, et aussi une ouverture des gens vaccinés aux possibilités que peut-être
29:32ils ont fait un choix, un mauvais choix on va dire, c'est justement le côté anxiogène.
29:39Alors tu as raison, c'est fondamental. Il y a une conférence il y a deux jours, la conclusion
29:48c'était il faut ne pas oublier l'effet placebo ni l'effet nocebo. L'effet placebo il fonctionne,
29:56c'est-à-dire qu'on sait qu'il fonctionne. D'ailleurs les médicaments sont souvent testés
30:01contre placebo parce qu'il y a un effet réel qui marche. Donc pourquoi s'en priver ? Donc déjà il
30:11y a cet effet, mais il y a une chose dramatique qui est l'effet nocebo. Et c'est pour cela que
30:15par exemple, moi dans ma communication, vous n'avez peut-être pas remarqué, mais j'ai
30:22probablement été la première à alerter sur les excès de mortalité que nous voyons chez les
30:28jeunes. Et puis lorsqu'il y a eu de fait et que ça s'est généralisé cet excès de mortalité des
30:35jeunes, je me suis tue. Je n'ai pas dit ah ben vous voyez il y avait l'excès de mortalité. Parce
30:39qu'en fait je trouve qu'il y a un moment où c'est anxiogène comme tu dis, c'est dramatique et en
30:45fait si c'est pour nous dire qu'on va tous mourir, la réponse est oui, nous allons tous mourir. Et
30:50c'est d'ailleurs la preuve que nous sommes en vie. Mais effectivement sans être anxiogène, il y a
30:57beaucoup de gens qui ont été forcés, on leur a forcé la main, on les a obligés, on leur a interdit
31:02de vivre s'ils ne se faisaient pas vacciner, ils ne pouvaient plus aller travailler. Donc ils ont
31:07été contraints, souvent c'était pas un choix, c'était une obligation. Et eux, ils peuvent en
31:13subir les conséquences maintenant et effectivement il faut les aider. Et il faut faire la
31:18liste de tout ce qu'on peut faire pour essayer d'atténuer les dégâts. Sachant que quand on parle
31:25de placebo, il faut savoir aussi qu'ils font des placebos truqués. Et par exemple pour le vaccin
31:33HPV, ils sont en train de vacciner tous les jeunes à Tire-Larigot, quand ils ont fait leurs essais,
31:39ils ont fait un placebo mais dans le placebo ils avaient mis un produit aussi, un autre vaccin
31:45toxique qui n'était pas le vaccin HPV. Ce qui fait qu'il y avait aussi de l'aluminium dans le
31:50placebo par exemple. Donc les effets de l'aluminium qu'il y avait dans le HPV, ils étaient annulés par
31:57les effets de l'aluminium du placebo. Donc ça les amuse beaucoup de faire des faux placebos.
32:03C'est qu'effectivement les vaccins, ça fait des années qu'ils sont testés non pas contre,
32:09alors on dit placebo mais c'est faux, ils sont toujours testés contre un autre vaccin.
32:14C'est un faux placebo.
32:15Donc en fait c'est pas de l'eau sucrée comme me donnait ma maman.
32:21Mais il faut savoir qu'il y a un poison, les gens ont été empoisonnés et comment on fait pour enlever
32:31le poison ? Là il va y avoir du tâtonnement. Plus vite on passera à l'action et plus vite,
32:38c'est ce qu'on disait tout à l'heure, plus vite...
32:39Il faut d'abord arrêter. Quand la baignoire est en train de déborder, il faut déjà arrêter le
32:44robinet. Déjà arrêter le robinet et après on essaie de voir comment on passe la serpillère
32:51pour éponger.
32:51Et là on va se tourner vers le public, vers vous tous qui êtes là parce que c'est pas deux ou
32:57trois qu'on va éponger, c'est nous tous qui allons le faire. Alors, vous allez nous poser des
33:02questions mais vous pouvez aussi, et c'est une question qu'on va vous poser, qu'on a préparée,
33:06la question est peut-être que vous avez fait des choses que vous voulez partager. Donc posez des
33:13questions ou partagez-nous des choses que vous avez faites. Madame ?
33:17Moi je me suis pointée dans les pharmacies où je savais très bien qu'ils vaccinaient,
33:23parce qu'ils ont commencé en Belgique à vacciner il y a quelques semaines et en fait je me suis
33:27pointée avec... D'abord j'ai demandé, tiens, est-ce que c'est bien juste que vous vaccinez ? Oui,
33:32on vaccine, mais c'est sur rendez-vous, donc c'est par là. Non, non, non, je ne veux pas me faire
33:38vacciner mais est-ce que vous connaissez ce document ? Et donc j'avais bien souligné en rouge les
33:44passages intéressants, importants, comme quoi pour les femmes enceintes on n'en sait rien,
33:50pour le lait maternel on n'en sait rien, on n'a pas fait d'études pour le cancer, etc. Et donc
33:56la dame répond, ah oui, mais ça, les trucs de complotistes, ça nous intéresse pas. Mais alors
34:03je lui dis, mais madame, est-ce que vous vous rendez compte que vous êtes en train de traiter
34:06Pfizer de complotistes ? Parce que c'était le document officiel de Pfizer. Alors là, elle n'a plus rien dit.
34:13J'ai fait ça dans plusieurs pharmacies pour semer le doute, comme fait d'ailleurs l'industrie
34:20pharmaceutique. Et je pense que ça peut être très utile de le faire à grande échelle.
34:26Merci de ce partage, parce que justement, à BAM, on voulait lancer une boîte à idées, parce qu'en
34:37fait, les meilleures idées, souvent, elles viennent de plein de gens dont on ne sait même
34:43pas qu'elles existent, ces idées. Donc en fait, on vous invite ce soir, évidemment, à poser vos
34:49questions, mais aussi à partager vos bonnes idées pour que tout le monde en profite et qu'on
34:53s'inspire les uns les autres. BAM, la boîte à idées. Voilà. Et j'ai pas de conflit d'intérêt.
34:59On va faire une rubrique, et l'idée est lancée ce soir, et on verra comment on peut la faire vivre
35:06où tout le monde, ici, dans d'autres pays ou ailleurs, on récoltera les idées pour comment
35:11on inverse la tendance. Je vois une main qui se lève au fond. J'ai moins de 30 ans, je suis hétéro,
35:18et je pensais à la progéniture. Quand vous avez parlé tout à l'heure d'intergénérationnelle et
35:24intragénérationnelle par rapport aux enfants, est-ce que vous n'avez pas peur que cela pose
35:29justement des questions par rapport au couple qui se crée dans les années à venir, entre,
35:38par exemple, des gens qui seraient uniquement vaccinés ? Qu'est-ce que vous pensez de ça,
35:45et qu'est-ce que vous auriez fait si vous aviez eu, par exemple, moins de 45 ans,
35:48et des envies de faire des enfants ? Voilà. Vous voyez, ça, ça fait partie des sujets,
35:56en fait, je l'ai dit dans ma lettre, c'est ce qui me met le plus mal à l'aise, car c'est
36:02tellement lourd de conséquences. On a eu des études qui montraient qu'il y avait une altération
36:11testiculaire des vaccinés et de la motilité des spermatozoïdes. Ça, c'était une étude israélienne
36:22qui a été publiée. On a eu des études qui montraient une altération, ça pour le coup,
36:28pas mal, soi-disant de troubles menstruels, en fait. Je n'aime pas trop le mot troubles menstruels,
36:35puisqu'en fait, on a vraiment l'impression que c'est juste un problème de cycle, mais c'est
36:39parfois, effectivement, bien plus lourd au niveau de l'ovaire. Et puis, on va aller plus loin,
36:44les mamans qui allaitent, maintenant on le sait, et ça s'est même sorti dans les mainstream médias,
36:51c'est vous dire, passent de l'ARN messager dans leur lait maternel. Et de ce que nous comprenons,
36:59de ce que nous avons vu, cela peut générer, effectivement, des petites victimes. Donc,
37:05en tout cas, une mortalité infantile, néonatale, comme jamais on a vu. Alors, à défaut de dire que
37:14cette mortalité néonatale est totalement due au vaccin, on va dire qu'en tout cas, elle entend,
37:20elle coïncide. C'est pour cela que je veux que nous trouvions des solutions au plus vite et que
37:26nous libérions la parole pour pouvoir bénéficier de l'intelligence du plus grand nombre et dans la
37:33plus grande variété disciplinaire. Et non, je ne souhaite pas m'apesantir sur le sujet parce que
37:43justement, il est vertigineux et que, de toute façon, ce qui est fait est fait. Et que je combat
37:50notamment le fait qu'il y a des couples qui volent en éclats sous prétexte qu'il y en a un vacciné,
37:58non vacciné. Et si vous aviez été jeune et qu'on vous avait raconté tout ça, comment seriez-vous ?
38:05Et c'est pour cela que je dirais qu'il y a tant de choses qu'on ne maîtrise pas. Il y a tant
38:12d'intelligence dans nos corps. Il y a tant de possibilités que nos propres cellules rejettent
38:17par des exosomes ou d'autres façons d'expulser des choses qui ne lui vont pas. Et il y a une
38:24telle obstination des laboratoires pharmaceutiques à nous injecter régulièrement, régulièrement,
38:31comme si, au bout d'un certain temps, ça s'était comme nettoyé pour certains. Donc, il faut
38:41être à la fois conscient et à la fois penser que le pire n'est jamais certain.
38:51J'ai des exemples autour de moi de jeunes couples vaccinés. Je me suis dit qu'ils essaient de faire des enfants et qu'ils ne vont jamais réussir avec trois doses.
39:06Et puis, vous voyez, quand même, ils ont eu des enfants. Ils ont eu un petit bébé qui est en pleine forme et tout. Pour l'instant, voilà, c'est tout ce que je peux dire.
39:14Et donc, là, moi, j'étais étonnée parce que je pensais qu'ils n'allaient même pas réussir à tomber enceinte ni rien.
39:19Donc, finalement, si la vie est plus forte, eh bien, tant mieux. Et le résultat de toute cette campagne, c'est aussi de faire peur aux gens pour pas qu'ils fassent de gosses.
39:31Donc, si les gens ne se laissent pas impressionner, c'est déjà ça. Et puis après, il faut espérer que ça passe entre les gouttes, quoi. Si je puis dire.
39:44— Oui, alors là, c'est limite. Excusez-la. Excusez-la. — Je voulais justement rebondir là-dessus. Je pense que le dessein de ces gouvernants et de ces élites,
40:01justement, en fin de compte, c'est de nous éliminer au fur et à mesure, donc de ne pas faire de gosses, d'avoir peur de l'autre, de diviser. Forcément, c'est plus facile pour...
40:15Mais donc moi, c'était pour en revenir un peu aussi à la voie à l'idée. C'était vraiment... Vous en avez parlé aussi. Je pense qu'il faut maintenant aller au-delà de « c'est dangereux parce que ça peut provoquer... ».
40:30Il faut arrêter de parler du médical. Il faut vraiment entrer dans le... On veut du mal. Et c'est un projet militaire qui va vous détruire.
40:40— Ce qu'on peut dire là-dessus, c'est qu'en restant factuel... Parce que moi, je pense que se mettre à la place de ceux qui prévoient un crime et dire « c'est ça qui l'a prévu, c'est le crime »,
40:54il faut regarder le résultat. Et remonter à partir du résultat sur quelle a été l'intention du criminel. Moi, ce que je peux observer, c'est que ce qui arrive quand on remonte
41:09et quand on enquête, on s'aperçoit que ça a été... Les étapes, les jalons ont été posées depuis très très longtemps. Et depuis la guerre. Depuis la guerre, ils travaillent sur des armes biologiques.
41:23Depuis la guerre, ils travaillent – et même avant – sur les armes chimiques. Même la première guerre. La première guerre, quand ils ont fait des gaz, ça a commencé dans les tranchées.
41:31La deuxième guerre mondiale, les armes chimiques et les armes biologiques, les Allemands, les SS, les nazis, mais aussi les Japonais. Ils avaient des camps exprès où ils faisaient des expériences.
41:44Ensuite, à la chute de l'Union soviétique, 91, là, les Américains ont récupéré tous les laboratoires. Et ils ont récupéré surtout pas mal de chercheurs.
41:56Ils les ont amenés chez eux. Et maintenant, ils les ont fait travailler pour eux. Donc tous ces jalons-là, maintenant, on les connaît. Et on sait comment ils ont commencé à manipuler les virus,
42:07comment le coronavirus, SARS-CoV, est classé dans les armes biologiques. Donc il ne faut pas non plus faire semblant de ne pas savoir. Il y a des plans.
42:15Les plans, ils ont été diffusés. On sait où ils sont. On connaît les plans proposés par la fondation Rockefeller. On connaît les plans, ensuite, qui ont suivi avec l'université Johns Hopkins,
42:29qui est aux mains de la CIA et financée par Rockefeller, et avec la collaboration de Klaus Schwab du Forum économique mondial et de Bill Gates, fondation Bill Gates.
42:43En plus, ils les ont publiés, donc on peut les retrouver. Et ces plans-là, quand on les regarde bien, on voit déjà comment ils avaient prévu toutes les contre-mesures qui étaient complètement aberrantes
42:57et qui ne reposaient sur rien au confondement scientifique, comme le confinement, tout ça. Quand on regarde leurs plans, on les retrouve tous, comme par hasard, y compris les intubateurs.
43:07Et maintenant, dans certains plans, comme le SPARS, ils s'appellent SPARS 17, eh bien là, ils ont prévu, et ils ont prévu la communication que devraient avoir les politiques
43:19quand les effets secondaires seraient trop difficiles à cacher, et que la société civile aura déjà fait le travail que là, nous, on se dit qu'est-ce qu'on pourrait faire pour...
43:29Eux, ils ont déjà prévu qu'on a fait ce travail, qu'on a fait des vidéos avec les victimes des vaccins, qu'il y a un moment donné où il y a trop de victimes visibles avec trop de vidéos, des familles et tout,
43:42donc que là, ils ne peuvent plus nier, qu'ils ont fait semblant de faire une commission d'enquête parlementaire, donc ils ont prévu la commission parlementaire bidon qui aura lieu,
43:52qui a déjà commencé, et ils ont aussi prévu que dans ce cas-là, le Président de la République, dans leur plan, devra venir devant les citoyens et montrer énormément de compassion.
44:04Et voilà ce qui est dit, donc Président de la République, vous devrez montrer beaucoup de compassion, dire que vous remerciez les gens qui ont accepté le vaccin et qui se sont ainsi sacrifiés pour leur communauté.
44:19Mais si vous leur dites que voilà, mais maintenant, bien sûr, il va y avoir la commission d'enquête et bien sûr, maintenant, il faut aller de l'avant, tout ça est prévu, c'est écrit noir sur blanc.
44:32Je vous donnerai le lien, sur le site de Hopkins, celui où il explique tout ça, ça s'appelle Spars17, vous allez sur le site Johns Hopkins University, c'est le même qui ont fait l'event 201 dont vous avez tous entendu parler.
44:59Ils en ont fait avant, l'event 201, c'était en 2019, en 2018, il y en a eu un autre qui s'appelle Clédix, Clédix, là, ils ont prévu toutes les mesures qu'ils nous ont appliquées.
45:09Parce que pendant longtemps, je me suis dit, mais d'où ils ont sorti ces mesures-là ? J'ai cherché, j'ai cherché, j'ai cherché, et c'est il n'y a pas si longtemps que j'ai trouvé que c'était Clédix, 2018.
45:19Mais 2017, c'est Spars17, et Spars17, eux, ils ont prévu comment répondre à l'inquiétude de la population après les dégâts, donc tout ça est prévu.
45:31Et ce qui est prévu en 2010 par la Fondation Rockefeller, les scénarios du futur, c'est justement tout ça, c'est-à-dire une pandémie, une fausse pandémie et une solution la plus efficace.
45:45La solution la plus efficace, c'est la solution autoritaire à la chinoise, point bas, pour lutter contre la pandémie, bien sûr, voilà.
45:54Donc les plans politiques, ils existent, et ils vont continuer, et ils ont prévu donc l'année prochaine de prendre la souveraineté des nations à l'OMS,
46:04et que l'OMS décide des mesures en cas de pandémie, et les applique directement, indépendamment de la volonté des États.
46:14Donc si les États signent le traité nouveau, pandémique, qui sera soumis aux États en 2024, s'ils le signent, ça veut dire qu'ils perdent la souveraineté,
46:25et ils signent l'obligation d'appliquer les décisions de l'OMS dès que l'OMS le décidera.
46:30Or, il faut savoir qu'une pandémie, il y a une personne qui décide, c'est le directeur de l'OMS, qui est un ancien terroriste, voilà,
46:38qui faisait partie d'un groupe maoïste terroriste dans son pays.
46:42Eh bien, il lui décide, il ne rend compte à personne, il n'est même pas obligé de demander la vie de qui que ce soit,
46:48il dit, ben voilà, c'est une pandémie, point bas. Et là, il y a toute la machine qui se met en route.
46:54Alors, je rajouterai deux choses à ce que tu dis. Sur l'OMS, là, moi, je m'appuie sur des articles scientifiques,
47:02et j'ai repris tout l'historique de l'OMS en matière de vaccins qui, globalement, concourent à stériliser les femmes,
47:14et c'est un article de Human Reproduction, donc c'est vraiment un bon journal pour nous dans le domaine,
47:21qui est publié le 1er janvier 1991 et qui vous explique que sur les 18 années passées, autrement dit, ça remonte à 1973,
47:31donc à peu près au moment de ma naissance, la task force de l'OMS, donc, sur les vaccins agissant sur la régulation de la fertilité
47:42a supporté des recherches fondamentales et cliniques sur le développement de vaccins qui contrôlent les naissances
47:53en dirigeant spécifiquement, en ciblant spécifiquement les gamètes, donc spermatozoïdes et ovocytes, ou l'embryon préimplantatoire.
48:02Et puis s'en suit tout un tas de publications régulièrement, alors j'ai pris une en 1995, une en 2012,
48:10jusqu'à ce cas particulier de ce scandale qui est sorti très tardivement dans les publications scientifiques, au moins en 2017,
48:22mais c'est un cas vécu en 1993 où l'OMS avait finalement utilisé une campagne de vaccination contre le tétanos au Kenya
48:35et où, pas de chance, entre guillemets, il y avait une contamination de certains lots avec cette protéine qui, du coup, stérilisait une partie de la population.
48:49Donc, on voit bien que, ne serait-ce que même pas en allant sur le site de Rockefeller, rien que par les études scientifiques,
48:57les publications scientifiques, la volonté d'utiliser ces vaccins pour empêcher les naissances est bien là et il est là depuis très longtemps.
49:13Madame ?
49:14C'est moi qui ai le micro. Je suis ici.
49:17On nous demande nos idées à nous, dans le public. Je dirais que les plus belles idées que j'ai trouvées, ou les plus nombreuses,
49:22sont dans un bouquin que beaucoup ne connaissent plus, ou ont oublié, de Popovic. Je ne sais pas si Serge Popovic vous dit quelque chose.
49:29Ça s'écrit P-O-P-O-V-I-C. Il a écrit un bouquin qui s'appelle « Comment faire tomber un dictateur quand on est tout seul, tout petit, sans armes et sans argent » et tout ça.
49:37C'est superbement intelligent, superbement drôle. Et voici quelques idées que j'ai trouvées.
49:43La première chose, je reprends l'idée qu'Alexandre nous a rappelée tout à l'heure. Il faut en tout cas qu'on s'unisse sur ce sur quoi on est d'accord.
49:50Il avait aussi donné l'idée qu'il ne fallait pas s'attaquer tout au-dessus, parce que c'est eux qui ont tous les bazookas qu'on leur a payés et qui nous ont piqués.
49:57Mais il faut s'attaquer aux piliers. Les piliers, c'est quoi ? C'est la justice, c'est la presse, c'est l'enseignement, c'est la santé qui est très concernée, évidemment.
50:06On a vu aujourd'hui qu'on a largement assez d'arguments qui sont bien établis. Mais malgré tout, on voit que le rapport de force n'est pas encore suffisant.
50:15Entre le désir d'être dans la masse, le désir de ne pas avoir d'ennuis pour son boulot, avec les flics d'une coine, etc., etc., c'est encore trop fort. Donc il faut qu'on gagne en force.
50:24Et pour gagner en force, les piliers, c'est vrai que ça fait une grosse différence. Quand nous avons été défendre parfois certains médecins dans les hôpitaux,
50:31je me souviens d'être rentré dans certaines réceptions d'hôpitaux, la réceptionniste m'aurait sauté dans les bras. Elle était syndicaliste.
50:38Elle voulait absolument prouver à toutes ses copines qu'ils n'étaient pas les seuls à penser comme nous, etc., etc.
50:43Si on arrive à percer par des mêles ou n'importe quoi le nombre du bas plutôt que simplement s'exciter sur le numéro 1 qui met ça à la poubelle, on peut faire une grosse différence.
50:53Parce qu'à ce moment-là, ça peut commencer à travailler par les machines à café et les corridors. Et ça, c'est très fort. Ça ne coûte pas grand-chose.
51:00Mais il faut vraiment arriver à améliorer le rapport de force. C'est facile à changer.
51:05Qu'en est-il du dosage de la protéine Spike qu'on peut faire en Allemagne ou en Hollande ?
51:10Est-ce qu'on ne pourrait pas généraliser ça pour savoir si les personnes après 3 ans émettent encore des protéines Spike ?
51:16Il y en a effectivement en Allemagne. Moi, je milite non-stop en disant nous devons faire en sorte que tous les laboratoires dosent la protéine Spike
51:25parce que je pense qu'il y a plusieurs avantages à cela. Le premier avantage, c'est que déjà, ceux qui produisent la protéine Spike auront une piste pour la combattre
51:37en disant peut-être qu'on peut essayer déjà d'en produire moins. Donc par exemple, Anacetylcystéine et Bromélaine, des publications disent qu'ils agissent de façon synergique pour la détruire.
51:52Très bien, donc ça, ça peut se tenter. L'autre aspect de doser cette protéine Spike, c'est que certains ne produisent pas cette protéine Spike
52:03et ça, on l'a vu sur l'étude qui montrait que des jeunes avec myocardite à l'hôpital avaient de la protéine Spike et pas les autres.
52:12Donc effectivement, on peut se dire comme ça, si jamais je ne produis pas de protéine Spike, peut-être que je ne suis pas à risque d'une myocardite
52:22et qu'à contrario, si j'en produis, peut-être qu'il faut que je me surveille un peu plus le cœur que n'importe qui.
52:29Donc ça, c'est quand même en termes de prévention, je crois qu'il y a vraiment une façon.
52:34Et puis le troisième aspect pour lequel je souhaite que les gens dosent leur protéine Spike, c'est que je crois que c'est comme cela qu'ils comprendront
52:43qu'ils n'ont pas été vaccinés par un vaccin lambda, mais que véritablement, ils sont modifiés génétiquement au point que leur corps
52:54produise une protéine artificielle qu'il n'était pas censé produire.
52:59On a un pouvoir en nous et on l'oublie. Et ce pouvoir, c'est qu'on a en fait la possibilité...
53:07En fait, je l'explique d'une façon très précise, c'est que nos cellules sont programmées pour la vie.
53:13Elles vont toujours tout faire pour tendre vers la vie et pour faire, pour assumer leur fonction.
53:19Et donc évidemment, c'est important aussi de pouvoir garder cette notion-là, c'est de prendre conscience qu'on a aussi notre pouvoir intérieur,
53:29de pouvoir changer les choses en soi et autour de soi et de pouvoir être aussi maître de sa santé.
53:34Et je pense que cette notion de... nos cellules, elles sont là. Elles sont là pour fonctionner.
53:41Elles vont tout le temps tendre vers cet équilibre. Et je pense qu'il ne faut jamais l'oublier.
53:46— Alors, on arrive au bout. On arrive au bout. Ce qui est fascinant, c'est que j'ai l'impression qu'on pourrait encore continuer des heures.
53:52Tout le monde a encore... Mais les caméras, pas ! La technique nous limite. Il y a déjà des caméras qui se sont arrêtées.
53:57Donc... Alors... Et c'est ce que j'allais dire. C'est ce que j'allais dire. Mais j'ai envie de vous entendre vos questions.
54:02Donc on aurait pu continuer des heures et des heures. Le sujet est tellement passionnant.
54:05Mais on va pas continuer des heures et des heures. On va continuer le temps qu'il faudra pour que ce cauchemar s'arrête et qu'on le fasse nous cesser.
54:12Parce que j'ai entendu une phrase qu'a dit Corinne tout à l'heure. Elle a dit « La vie est plus forte ».
54:16Oui, en effet. Si nous agissons, la vie sera plus forte. Faisons en sorte, à partir de maintenant, que la vie soit plus forte.
54:23Merci.
54:53Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org