• il y a 6 mois
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00:00:00 C'est un plaisir d'accueillir ce samedi matin, Martin Azizi, qu'on a beaucoup vu, qu'on a l'impression de connaître, mais on s'est vu qu'à travers des écrans, de manière virtuelle, biophysicien, épidémiologiste, moléculaire, qui va nous faire le plaisir de parler de l'urgence d'arrêter les maladies.
00:00:24 Arrêter les vaccins A, R, N, M. Mais Martin, tu es aussi autre chose que virtuels.
00:00:30 Je veux que tu rappelles que tu as travaillé pour le gouvernement, pour l'ONU et que parce que c'est intéressant de voir comment ils te traitaient avant et comment ils te traitent maintenant.
00:00:39 Donc, rappelle nous un peu ton CV.
00:00:41 D'abord, merci de m'avoir.
00:00:42 Ensuite, en fait, j'ai une carrière hybride.
00:00:43 J'ai été à la fois chercheur et officiel pour la défense et même gérer toute la recherche biomédicale à la défense.
00:00:49 Et donc, j'ai été amené à coeur d'oeuvre avec 2, 3, 4 ministères en fonction des crises et des choses à régler.
00:00:55 Par exemple, les gens ne le savent pas, mais j'ai été instrumental dans la création de l'Institut des vétérans pour donner des droits aux soins qui départaient en mission.
00:01:01 J'ai fait de l'épidémiologie opérationnelle, j'ai créé une immunité et tous ces gens étaient très, très contents de moi pendant 25, 30 ans jusqu'au jour fatidique où j'aurais dit qu'ils faisaient des bêtises dans la gestion COVID.
00:01:13 C'est à peu près entre mai, avril, mai, juin 2020.
00:01:19 Tu es devenu complotiste.
00:01:20 Et je suis devenu anti-vax, extrême droite, antisémite, sclampotiste.
00:01:24 Et il y a tout. Mais le mot que je préfère, c'est rassuriste.
00:01:28 Et je suis heureux d'être un rassuriste parce que il faut.
00:01:32 La médecine, c'est pas de la science.
00:01:33 La médecine, c'est de la communication.
00:01:35 La médecine, c'est un art.
00:01:36 Il y a un parti scientifique, mais il y a aussi apprendre sur soi et expliquer aux gens les choses correctement.
00:01:42 Et c'est ce que le gouvernement n'a jamais fait.
00:01:44 Donc, il y a une sorte de twist.
00:01:46 Et d'ailleurs, les gens qui veulent aller dans les archives, ils interviennent de moi dans des trucs très mainstream comme Euronews.
00:01:51 Il faut savoir qu'en juillet 2020, je passe à un programme majeur d'Euronews avec un message très simple.
00:01:58 Je dis écoutez, nous sommes ostinches, nous, Belges, de deux extrêmes.
00:02:02 Ceux qui disent que le virus, c'est tout et c'est la fin du monde.
00:02:05 Et ceux qui disent que le virus, c'est rien.
00:02:07 Ils ont autant tort les uns que les autres.
00:02:10 Et donc, voilà, je suis passé d'un statut mainstream à un statut out of the screen.
00:02:15 Mais de toute façon, parfois, je suis dans le mainstream parce qu'on a quelques papiers dans la livre, quelques papiers dans le vif.
00:02:20 Donc, ils ne savent pas trop où mettre.
00:02:22 Voilà.
00:02:23 Merci, Martin.
00:02:24 On est samedi matin, mais Jonas Parika est déjà prêt à en découdre avec Martin Zizy.
00:02:29 Jonas, microbiologiste environnemental.
00:02:32 On te connaît bien puisque tu es venu plusieurs fois à Kérosse.
00:02:34 Tu collabores avec nous.
00:02:36 Explique nous juste microbiologiste environnemental.
00:02:39 Je suis sûr que pour plein de gens qui nous suivent, ils ne comprennent pas trop ce que c'est.
00:02:43 Donc, c'est important de le rappeler.
00:02:45 Tu peux rajouter quelque chose aussi, Martin.
00:02:47 Oui, donc microbiologiste environnemental.
00:02:51 Déjà, la microbiologie, c'est l'étude des organismes microscopiques.
00:02:54 C'est tout ce qu'on ne voit pas à l'œil nu.
00:02:56 Donc, tout ce qui est.
00:02:58 On regarde à travers le microscope pour vulgariser un tout petit peu.
00:03:00 Et environnemental, c'est parce que l'extrême ou l'écrasante majorité des microbes vivent dans l'environnement et pas que dans l'humain ou dans les animaux.
00:03:08 Et donc, moi, j'ai étudié tout ce qui est les microbes, les virus, les bactéries qui vivent dans l'environnement.
00:03:15 Et heureusement, non? Heureusement qu'ils sont là.
00:03:17 Oui, déjà, l'écrasante.
00:03:19 Tu fais peur, il y en a partout.
00:03:21 Il y en a absolument partout.
00:03:23 Et justement, c'est ça qui est rassurant.
00:03:25 C'est que 99,999999999% de ces microbes ne sont pas pathogènes, donc ne sont pas dangereux pour l'homme.
00:03:34 Ils ne sont pas dangereux pour les animaux et sont déjà pour une grande partie d'entre eux nécessaires pour le fonctionnement de notre planète, le fonctionnement de notre corps.
00:03:44 À titre d'exemple, on a plus de cellules de bactéries dans notre corps qu'est ce qu'on a de cellules qui nous appartiennent à nous-mêmes?
00:03:51 Ils sont nécessaires pour notre immunité.
00:03:53 Ils sont nécessaires pour digérer la nourriture, etc.
00:03:56 Donc, il n'y a pas que dans notre corps où on a des microbes.
00:04:00 Il y en a partout dans l'environnement.
00:04:01 Et tant mieux, c'est dire que notre corps est colonisé par des éléments extérieurs qui sont plus présents que nous sommes.
00:04:08 Quand on parle d'identité génique de l'individu, chaque humain est l'association de 85 génomes.
00:04:14 Le sien, le nôtre et 84 symbiote.
00:04:18 Et alors la pathologie, c'est ce que Jonas disait de manière très, très évidente.
00:04:23 C'est que, par exemple, même les plus grands pathogènes humains comme le pseudomonas ou le staphylococque, c'est des gens qui vivent dans l'environnement au départ.
00:04:29 Et parfois, ils viennent chez nous et ils trouvent une niche parce qu'ils se sentent bien.
00:04:32 Et puis, on les repose en environnement et ils évoluent.
00:04:35 Et donc, un des plus grands manques de toute cette crise a été la scotomisation de la microbiologie environnementale.
00:04:41 Savoir que ces gens faisaient du ping-pong entre nous, nos chiens, nos chats, nos vaches, nos veaux, nos cochons.
00:04:46 C'était quand même important pour cette crise.
00:04:48 Donc, oui, la microbiologie environnementale, c'est la base de tout ce qu'on fait en médecine humaine.
00:04:54 Ça intéresse les gens en tout cas parce qu'il y a plus qu'une centaine de personnes qui nous suivent sur tous les réseaux.
00:05:01 Combien ?
00:05:02 150 environ.
00:05:03 150 environ.
00:05:04 Un samedi matin, vous n'avez pas d'autre chose à faire que de parler de microbiologie.
00:05:08 Ces gens n'ont pas de vie.
00:05:09 Ils viennent écouter un type avec un oeuf papillon ou un type avec un capulaire.
00:05:14 C'est quand même grave.
00:05:15 Mais on les remercie.
00:05:16 On les remercie évidemment, alors que vous pourriez écouter la première.
00:05:18 Non, trêve de plaisanterie.
00:05:20 Avant qu'on commence, il faudrait peut-être dire que nous, nous, nous connaissons.
00:05:23 On s'est rencontré dans le cadre d'un projet à la défense, moi en tant que civil, toi en tant que militaire, à l'époque du moins encore.
00:05:31 En fait, mon labo militaire s'est occupé très tôt, depuis le début des années 2000, d'étudier les phages comme remplacement des antibiotiques.
00:05:39 Et il se fait un congrès scientifique.
00:05:41 Je rencontre ce monsieur qui est en France et qui va plonger dans des océans pour récupérer des germes extrémophiles.
00:05:47 Et on dit, on pourrait travailler ensemble.
00:05:49 Donc, il fut un de mes post-docs.
00:05:50 Et on a un long parcours ensemble.
00:05:52 Donc, c'est pour, avant que les gens racontent n'importe quoi, nous nous connaissons bien.
00:05:56 Maintenant, depuis une dizaine d'années, on ne travaille plus ensemble, mais on a un parcours commun.
00:06:00 Mais on est différent, parce que même au labo, on n'était pas toujours d'accord.
00:06:04 Oui, on était souvent en désaccord, mais on a toujours eu un accord.
00:06:07 Comme ça, c'est une critique qu'on ne pourra pas vous faire si vous nous direz, oui, ils se connaissent.
00:06:11 Mais c'est la science.
00:06:12 La science, c'est l'esprit indépendant.
00:06:15 Donc, si le patron dit, moi, je veux que ce soit bleu.
00:06:17 Et que le post-doc dit, tu sais, Martin, non, c'est noir.
00:06:20 Il n'y a personne qui a raison jusqu'à ce qu'on fasse l'expérience qui démontre qu'un des deux est tort.
00:06:24 Oui, ou que tous les deux ont tort, ou que tous les deux ont raison.
00:06:27 Voilà, voilà.
00:06:28 Donc, en gros, la notion de consensus scientifique, ça, j'aime bien démolir, n'existe pas.
00:06:33 Même au sein d'un labo, on doit toujours discuter.
00:06:36 Ça ne veut pas dire qu'on est en désaccord sur les principes et sur les connaissances consolidées qu'on enseigne aux étudiants.
00:06:42 Et je crois qu'on va y revenir, parce qu'il y a beaucoup de choses devant cette crise
00:06:47 qui ont essayé d'effacer tout ce qu'on connaissait de ces 30 dernières années.
00:06:50 Oui, ce qui était assez étonnant, et d'ailleurs, la fois où on a commencé à retravailler ensemble,
00:06:55 c'était paradoxalement pendant la crise et à distance, puisque maintenant, tu es surtout aux États-Unis.
00:07:00 Enfin, c'est là-bas que tu travailles actuellement.
00:07:02 Et c'est le rapport qu'on a fait ensemble, c'était majoritairement toi et moi qui avons pondu ça,
00:07:09 mais avec des collaborations avec d'autres chercheurs et professeurs.
00:07:13 C'est ce rapport-là que tu as notamment présenté à Euronews, c'était ce rapport-là qu'ils ont mis en lien.
00:07:19 Ils ont mis en lien.
00:07:20 Et on expliquait déjà à l'époque les grandes lignes sur ce que sont les coronavirus,
00:07:26 comment ça se transmet, comment ça se comporte dans l'environnement.
00:07:28 Le 9 juin, quand tu n'étais pas encore personnel dans le Gratin.
00:07:30 Oui, et on expliquait également pourquoi des choses comme le masque sont des absurdités,
00:07:35 déjà avant que ça devienne généralisé.
00:07:39 Le 9 juin 2020, j'envoie un rapport à plusieurs partis politiques en Belgique.
00:07:44 En même temps, Euronews, dans les deux semaines qui suivent, le met en ligne.
00:07:48 Et je crois que le premier mois, il y a eu peut-être 20 000 téléchargements pour un truc comme ça,
00:07:52 qui est quand même 60 pages avec 300 références.
00:07:54 Donc, ce n'était pas maintenant une opinion, c'était un travail bien fait.
00:07:58 Et il est à 85 % encore correct de nos jours.
00:08:01 La seule chose qu'on n'avait pas touché à l'époque, c'était les PCR,
00:08:04 parce que moi, j'étais loin d'imaginer qu'on allait inventer des faux chiffres.
00:08:07 Et le vaccin, j'étais loin d'imaginer à l'époque qu'on allait tout bloquer en attendant le vaccin magique.
00:08:12 Mais tout le reste est correct.
00:08:13 Et on avait donné, cette partie-là te concernait plus que moi,
00:08:17 tu avais donné des feuilles de route de comment gérer cette crise.
00:08:21 Sur 10 pages, de solutions.
00:08:22 Comment éviter que tout le système se bloque.
00:08:26 Tu as une réponse ?
00:08:27 Non, c'est magnifique.
00:08:28 Ça veut dire qu'on avait prévu, il faudrait peut-être redire.
00:08:31 C'était quand ça ?
00:08:32 9 juin 2020, dans la fin de rapport, on a fait 10 à 12 pages.
00:08:37 Les pistes, les solutions et les solutions très opérationnelles.
00:08:40 Parce que moi, j'étais à la défense comme un planificateur scientifique.
00:08:43 Mais mes notes pouvaient influencer beaucoup de choses.
00:08:46 Pistes qui se révèlent à la posturerie.
00:08:48 Tout à fait correct.
00:08:49 Et qu'on n'a pas suivi.
00:08:50 Et donc, j'aime pas dire "I told you so".
00:08:53 Ça, c'est le type qui a raison tout seul.
00:08:56 On n'avait pas raison tout seul.
00:08:57 Il y a beaucoup de gens qui nous donnent raison, mais qu'on peut oser le dire.
00:09:00 C'est différent.
00:09:01 C'est pas le fou sur la colline qui a raison tout seul.
00:09:03 C'est un type qui ose dire ce que tout le monde pense.
00:09:06 C'est quand même grave.
00:09:07 Mais que tout le monde n'ose pas dire.
00:09:09 Que personne n'ose dire.
00:09:10 Et donc, ces trucs étaient des choses pratiques.
00:09:13 Et maintenant, ce que je vois parfois dans les news, avec le gouvernement qui veut faire des contrats spéciaux
00:09:17 avec des stocks rotatifs pour des antibiotiques ou des choses, c'est dans le rapport.
00:09:22 Oui, et puis des choses qui étaient, en fait, puisqu'il n'y avait pas beaucoup de bibliographies sur le nouveau coronavirus,
00:09:28 mais il y avait pas mal de connaissances scientifiques déjà sur les autres coronavirus
00:09:33 que l'on a ensuite utilisés pour dire que si ce nouveau coronavirus, c'est comme les autres,
00:09:38 ce qui n'a pas de raison de penser qu'il soit différent, ce sont les mêmes principes qui s'appliquent.
00:09:43 Et ces principes n'ont pas changé pendant les 3, 4 ans ou 5 ans que l'on vit maintenant.
00:09:46 La biologie, même si on ne l'a jamais revu.
00:09:48 Et donc, quand on avait dit que, par exemple, ça se transmet de manière aérosol, c'est-à-dire par l'air et pas par gouttelette,
00:09:54 et que de facto, les masques ne sont pas nécessaires.
00:09:58 Ça peut se transmettre par gouttelette Jonas. Si je te trache la figure, c'est sûr que ça va être infecté.
00:10:01 Bien sûr, mais je vais te dire, il y a une partie, on va dire, qui se transmet par aérosol.
00:10:04 Ça, ça avait été bloqué tout de suite en nous disant vous n'avez pas de preuves scientifiques, vous ne pouvez pas dire, etc.
00:10:10 Je dis, bah, sur base de quoi dites-vous ça ? On avait dit, les références sont là.
00:10:14 Tous les autres coronavirus se transmettent comme ça.
00:10:17 Et puis, quand il s'est avéré qu'on avait raison, ils ont dit, ah, mais c'est une raison encore plus de masquer encore plus fortement les gens,
00:10:23 ce qui est une absurdité totale.
00:10:25 Et puis, ils ne reconnaissent rien du tout. Aujourd'hui, ils sont incapables de dire on s'est trompé.
00:10:30 Ça, c'est le plus grave de cette crise. Moi, je crois que quand on veut recréer du social,
00:10:34 quand on veut recréer du lien après avoir tout démoli, il y a un moment où il faut dire, écoutez, on reset.
00:10:39 Sinon, il n'y a plus de société possible. Donc, moi, ce qui me fait peur dans cette crise,
00:10:43 ce n'est pas tellement qu'il y a un virus et qu'on est foiré. On ne peut pas venir en arrière.
00:10:46 Il faut faire mieux. Mais il y a un gros problème, c'est le fait que le déni.
00:10:51 Et alors le déni politique va dans un déni journalistique qui tombe dans un déni social ou une partie du corps médical.
00:10:58 Vous avez bien entendu, une partie du corps médical est encore en plein déni.
00:11:02 Or, s'il y a bien une corporation ou un groupe qui devrait sortir et se réveiller, ce sont les médecins.
00:11:08 Donc, mais je crois que ça avance. Je crois que pour le moment, la société est un peu gorgue.
00:11:12 Beaucoup de gens sont réveillés. Et comme j'avais dit avant de me faire bannir, de me faire encore attaquer plus,
00:11:17 la crise, ça, c'était fini. Tu te rappelles en janvier 22 avec Omicron.
00:11:22 Maintenant, c'est la crise vaccinale qui va commencer. Et le sujet est fou.
00:11:27 Mais en fait, on y est. On va essayer. On essaiera de répondre aux questions.
00:11:32 C'est compliqué, mais commençons par le sujet, le thème principal. Les vaccins ARNM.
00:11:39 Je pense que c'est important d'abord. Tu dis qu'il faut absolument faire un moratoire.
00:11:44 Ils sont pas du tout là-dedans puisqu'ils sont en train de développer énormément de produits sur cette base.
00:11:49 C'est quoi un vaccin ARNM ? Même si d'autres l'ont dit, je crois que c'est important de le répéter.
00:11:55 Oui, je pense qu'avant, tu avais proposé de parler essentiellement de 5 problèmes majeurs que tu as identifiés dans les vaccins ARNM.
00:12:05 Et j'aimerais bien que tu les présentes. Mais avant d'entamer vraiment de te donner la parole,
00:12:10 je voulais peut-être rappeler quelques notions de base qui permettront ensuite de mieux comprendre les mécanismes moléculaires
00:12:16 qui sont à la source des effets secondaires que l'on observe dans cette plateforme ARNM.
00:12:21 Je voulais déjà rappeler ce que c'était un virus, puisque pendant la crise, pendant 3 ans, il n'y a pas eu beaucoup de médias.
00:12:29 On n'a pas autant beaucoup parlé de ce que c'était. Donc je rappelle rapidement que ce sont des entités biologiques.
00:12:38 Alors on ne considère pas que ce soit des organismes vivants, ce qui est un peu des classifications académiques.
00:12:43 Mais enfin, c'est parce qu'en fait, une particule virale n'a pas de métabolisme, donc il ne respire pas, il ne mange pas,
00:12:48 il ne communique pas, il ne se déplace pas, à la différence des bactéries qui sont des cellules vivantes.
00:12:53 Et donc les virus, on leur a trouvé une définition qui était un peu bête, mais qui reste d'actualité.
00:12:59 Ce sont des organismes demi-vivants. Donc ils sont vivants quand ils parasitent nos cellules, mais ils ne sont pas vivants quand ils sont en dehors.
00:13:05 Bon, je passe les détails, mais en fait, c'est important parce que ce sont des parasites cellulaires.
00:13:12 Ça veut dire que ce sont des particules inertes composées de protéines.
00:13:16 Et à l'intérieur, il y a un génome qui est l'instruction de ce virus.
00:13:21 Et en fait, c'est des particules inertes. Mais quand ils reconnaissent la cellule, ils rentrent à l'intérieur.
00:13:26 C'est à ce moment là qu'ils se répliquent et qu'ils se reproduisent et puis sortent des cellules.
00:13:31 Ensuite, par dizaines, par centaines ou par milliers. Donc c'est uniquement quand ils, si je comprends bien,
00:13:36 qu'ils colonisent un corps étranger qui remplissent vraiment leur véritable fonction.
00:13:40 Exactement. Et donc ici, il est important en tant que je le rappelle en tant que microbiologiste environnemental,
00:13:46 qu'il y a des virus de plantes qui n'ont pas de danger vis-à-vis des humains ou des animaux.
00:13:51 Il y a des virus de champignons. Il y a même des virus de bactéries.
00:13:55 C'est ça qu'on avait étudié ensemble avec Martin. Donc qui tue des bactéries.
00:13:59 Ce qui veut dire que si on est malade d'une maladie à source bactérienne, on pourrait utiliser des virus qui sont spécifiques aux bactéries pour les tuer.
00:14:07 C'est pour dire que des virus, il y en a énormément et qu'une partie de ces virus peuvent nous infecter,
00:14:12 donc peuvent utiliser nos cellules à nous pour se répliquer. Et donc pour reconnaître ces cellules,
00:14:17 et c'est là où on va on va rappeler ce que c'est la protéine Spike. Donc c'est cette SARS-CoV-2,
00:14:23 ce virus, en fait, à sa surface de son coq protéique, il a des pics.
00:14:29 Et ce sont ces pics qui sont un peu comme des clés qui vont reconnaître la serrure de nos cellules,
00:14:35 qui sont un peu comme des maisons. Et donc c'est avec cette serrure là qu'ils vont pouvoir entrer à l'intérieur de la cellule pour pouvoir se répliquer.
00:14:41 Et donc la protéine Spike dont tout le monde parle, c'est cette protéine de surface de cette particule virale qui permet de reconnaître nos cellules à la différence des cellules de plantes
00:14:48 ou à la différence des cellules bactériennes ou autre chose. Donc ça, c'était pour vraiment rappeler ce que c'était les virus et de rappeler ce que c'était le protéine Spike.
00:14:58 Maintenant, je voudrais, juste avant de te céder la parole, encore rappeler ce que c'est l'ARN messager.
00:15:03 Et ça, c'est pas toujours évident, mais c'est évidemment l'élément clé quand on parle des vaccins, puisque l'ARN messager est une molécule qui,
00:15:11 à part pour ceux qui ont étudié la biologie, ça reste un peu flou. La manière dont moi, j'explique ou je visualise la chose, c'est que le génome,
00:15:20 que ce soit humain ou le génome bactérien ou autre chose, c'est comme une encyclopédie.
00:15:25 Toute l'information, tout le support informatique est dans le génome, ce qui pour tous les êtres vivants est composé d'ADN.
00:15:33 Et l'ADN, tout le monde en a entendu déjà parler. Et en fait, lorsque la cellule veut fabriquer quelque chose, il ne va pas lire toute l'ADN.
00:15:41 Donc toute l'encyclopédie va prendre uniquement les pages qui sont intéressantes.
00:15:44 Donc si on imagine, par exemple, qu'on ait un cuistot, donc quelqu'un qui veut préparer un plat.
00:15:50 Il a son manuel de cuisine et il va regarder des boulettes sauce tomate, page 63, et il va photocopier la page.
00:15:58 Et puis ensuite, il va utiliser ça pour faire sa recette. Dans cette métaphore que je donne, le cuistot...
00:16:05 L'ARN, c'est la photocopie.
00:16:07 L'ARN, c'est la photocopie. En fait, le manuel de cuisine, ça, c'est l'ADN, c'est l'informatique, c'est le support informatique.
00:16:16 La photocopie, c'est l'ARN. Et puis ensuite, à partir de cette instruction-là, il va fabriquer les plats.
00:16:22 Alors c'est pour ça qu'il ne va pas lire toutes les recettes d'un coup. Il va lire uniquement ce qu'il aime bien.
00:16:27 Donc l'ARN réplique.
00:16:29 Voilà, et l'ARN messager, c'est vraiment la photocopie, elle est éphémère.
00:16:33 C'est une molécule qui fait juste le lien entre la machinerie cellulaire qui fabrique les composantes
00:16:40 et puis le support informatique qui est l'encyclopédie du vivant.
00:16:43 Si je peux ajouter.
00:16:45 Donc les gentes sont soit de l'ADN, soit de l'ARN l'humain, mais les simples, les double-brins, on ne va pas rentrer dans ces détails-là.
00:16:52 L'ARN messager, c'est cette photocopie qui donne l'instruction à la machinerie cellulaire, la cellulale plein de protéines,
00:16:58 de fabriquer certains effecteurs, certaines protéines.
00:17:01 Concrètement, par exemple ?
00:17:02 Par exemple, l'insuline. Si je veux augmenter l'insuline dans mon corps, je dois la produire.
00:17:05 Donc j'ai un gène pour l'insuline, il y a l'ARN messager, ça va sur un petit organe appelé les ribosomes,
00:17:11 qui sont en traductrice. C'est comme une traductrice, elle lit l'ARN messager,
00:17:15 et elle fait une polymérisation des acides aminés qui font un polypeptide.
00:17:19 L'insuline, c'est une protéine, c'est une petite protéine.
00:17:22 Au résultat, il y a production d'insuline.
00:17:23 Voilà, il y a production d'insuline.
00:17:25 Et donc, les gènes sont un blueprint, c'est le plan de la maison.
00:17:29 Les protéines sont les effecteurs.
00:17:31 Et je vais dire une image pour les gens, parce que j'aime bien l'image, j'espère qu'elle va parler au cerveau des gens.
00:17:37 La chenille et le papillon, c'est la même chose, pour la même espèce.
00:17:42 C'est 100% du génome identique.
00:17:45 La différence, c'est les expressions d'ARN et c'est les protéines.
00:17:49 Vous imaginez, la chenille qui bouffe la feuille en montant dessus,
00:17:52 elle a 100% des bases identiques au futur papillon.
00:17:56 Et pourtant, voyez la différence ?
00:17:58 Donc toutes les instructions ne sont pas lues en même temps.
00:18:01 Dans l'Encyclopédie du vivant, ils commencent par le début et finissent par la fin.
00:18:04 En gros, le génome est identique à 100%, et malgré tout, la bête est différente.
00:18:08 Pourquoi ? Parce qu'il y a toute la régulation des protéines,
00:18:10 et les produits que la cellule doit fabriquer pour vivre, pour avoir une fonction.
00:18:14 Par exemple, j'ai pris l'exemple stupide de l'insuline, mais on peut imaginer tout.
00:18:17 Donc voilà, je crois qu'il ne faut pas rentrer dans le détail.
00:18:20 On ne va pas rentrer plus dans le détail que ça, mais ça permet déjà de comprendre.
00:18:24 Et donc la question, évidemment, qui va suivre, c'est pourquoi faire des vaccins ARN messager ?
00:18:28 Mais on y reviendra.
00:18:29 On y reviendra, mais si je comprends bien, est-ce que c'est bien l'ARN qui réplique la spike ?
00:18:33 Oui, l'ARN recode la spike.
00:18:36 En fait, le virus SARS-CoV-2 a un gène qui code pour le spike.
00:18:40 Avant de pouvoir produire le spike, il produit un ARN messager qui lui est lu et qui code pour ce protéine spike.
00:18:48 Il va falloir qu'on fasse une différence entre l'infection et le vaccin.
00:18:52 C'est vrai que le virus lui-même a des ARN messager.
00:18:55 Son ARN lui sert de messager pour se reproduire.
00:18:59 Donc un virus rentre dans une cellule, il se réplique, ça veut dire se copie,
00:19:04 et quand il y a 10 000, 100 000, 500 000 copies, en général c'est 10-12 000 par cellule,
00:19:09 la cellule explose, il passe à la cellule suivante ou bien il va chez la personne suivante.
00:19:13 Il faut aussi un concept que les gens n'ont pas compris dans une crise.
00:19:16 Pour les virus respiratoires, évolutivement parlant, soit on doit se disperser, soit on doit tuer.
00:19:21 Il faut bien imaginer qu'un virus qui tue en une journée, la chaîne de transmission s'arrête.
00:19:26 Et donc il y aura moins d'infections, il ira moins vite coloniser la planète,
00:19:30 que si c'est un virus qui vous donne une bonne grève, vous allez bien tousser pendant trois semaines,
00:19:34 là vous en infectez des gens.
00:19:36 Donc cette dichotomie est assez évidente et ça m'a vraiment choqué que beaucoup de ministres,
00:19:42 beaucoup d'autorités, beaucoup d'experts télé ont toujours dit
00:19:46 « Oh, il se répand tellement que ça va être encore plus dangereux ! »
00:19:49 Oui, c'est à l'encontre de toutes les connaissances.
00:19:51 Il y a des moments où je crois que j'avais envie de donner des coups de pied au QED Baff en public,
00:19:55 parce que je dis « Il faut arrêter, il faut arrêter ! »
00:19:58 C'est vrai que certains virus aérogènes peuvent être très dangereux et il est tôt,
00:20:01 mais prenons par exemple, comparons l'Ebola au SARS.
00:20:04 Pourquoi une pandémie Ebola est impossible ?
00:20:07 Parce qu'ils vous tuent sur place.
00:20:08 Alors qu'est-ce qu'on fait ? On a 10 personnes, 100 personnes, on corrale,
00:20:12 on amène des gens pour les soigner, on donne du plasma éventuellement,
00:20:15 et ça ne part pas de la région.
00:20:17 Et si un Ebola prend avion dans la période de l'incubation, on fait la même chose, il arrive.
00:20:20 Une pandémie avec un virus qui a par exemple 80% de létalité,
00:20:25 ou même 50% de létalité humaine, est impossible.
00:20:28 Dans des plaies à Billy Boat Gates, qui a une médecine,
00:20:31 enfin je vais me taire parce que sinon je suis impoli.
00:20:33 Donc voilà, en gros, je crois que c'est important de rappeler ça avant qu'on commence,
00:20:38 que se disperser ou tuer, c'est presque une contradiction d'un point de vue darwinien,
00:20:43 d'un point de vue évolutif, parce que ce que fait la machine virale, c'est se reproduire,
00:20:46 faire des copies, c'est ce que les gens font.
00:20:49 Tu veux leur en dire ?
00:20:50 Oui, mais en fait je propose de passer vraiment aux 5 problèmes.
00:20:57 Et lors de ces problèmes, s'il y a des choses que l'on évoque,
00:21:02 qui nécessitent de reprendre des métaphores,
00:21:04 on reprendra notamment dans le cas par exemple de la fidélité de la traduction.
00:21:08 À ce moment-là, quand on évoquera ce problème-là,
00:21:11 il y a peut-être une analogie à faire ou autre chose.
00:21:15 Les 5 problèmes principaux des vaccins à RGNM.
00:21:18 Et ce sont ces problèmes-là sur lesquels, Martin, tu te bases,
00:21:22 pour dire qu'avant que ces 5 problèmes soient résolus,
00:21:26 il faut qu'on arrête, il faut qu'on fasse un moratoire.
00:21:28 D'abord, je veux dire, et je veux le dire très clairement pour tout le monde qui nous écoute,
00:21:32 ça va au-delà des vaccins.
00:21:34 La plateforme ARN, c'est en fait très simple.
00:21:37 C'est une plateforme que, au lieu de produire un médicament dans une chaîne de production,
00:21:40 on fait que le corps devient la chaîne de production.
00:21:43 Si le corps devient une chaîne de production, ça décumule les coûts par un facteur 5 en toussant.
00:21:47 Donc c'est génial d'un point de vue commercial.
00:21:49 Je vous donne un message, c'est vous qui faites le produit, moi je n'ai pas besoin de le fabriquer.
00:21:53 C'est ça qui se passe maintenant.
00:21:55 On devient des usines de production, c'est ça que tu dis.
00:21:57 Des usines à Spike.
00:21:59 Non, ce que je veux dire, c'est le principe de l'ARN, qui n'a rien à voir avec les vaccins,
00:22:03 s'il vous plaît, allons de manière systématique,
00:22:06 c'est de remplacer une chaîne de production, par exemple, physiquement, à une certaine adresse,
00:22:11 par une production très fine, très petite, de messagers,
00:22:14 qu'on peut donner aux gens, en injectant, en avalant, n'importe quoi,
00:22:19 pour faire en sorte que le corps lui-même fabrique le médicament.
00:22:22 Donc on déplace la production d'un processus industriel vers un processus biologique.
00:22:27 C'est intéressant.
00:22:28 C'est intéressant comme concept parce que ça diminue les coûts d'un facteur 50 ou 100.
00:22:32 C'est autre chose. Mais en plus, ce n'est pas au point.
00:22:34 Et donc ça va au-delà des vaccins.
00:22:36 Et c'est ça que je voudrais faire comprendre.
00:22:38 La plateforme ARN messager a cinq problèmes de contrôle.
00:22:42 Et je vais commencer, avant d'entrer dans le détail, de dire,
00:22:44 est-ce qu'on mettrait une voiture sur le marché qui n'a pas les freins,
00:22:48 on ne sait pas ce que c'est le contour et on n'a pas les essuie-glaces.
00:22:54 Je crois que des gens n'achèteraient pas ce véhicule-là.
00:22:57 Il y avait la métaphore beaucoup de l'avion aussi.
00:22:59 Est-ce que tu prendrais un avion quand tu sais qu'il y a une chance sur deux qui s'écrase ?
00:23:02 Oui, oui, mais ça c'est sur la qualité de contrôle d'un produit.
00:23:06 Mais ici, ça va plus loin, Alexandre.
00:23:08 Il faut se rendre compte qu'on n'a pas les technologies pour contrôler la plateforme.
00:23:12 Donc on n'a pas inventé encore les outils de contrôle
00:23:15 qui nous permettent de faire ça de manière sûre, reproduisible dans le corps.
00:23:19 Donc ça veut dire qu'en gros, on pourrait par exemple, dans ce cas-là,
00:23:22 si on reprend l'exemple de la voiture, c'est comme si on n'avait pas de manière...
00:23:26 Le volant ?
00:23:27 Oui, ou de manière de tester la vitesse.
00:23:28 Donc on n'a pas l'outil de mesurer à quelle vitesse on conduit, par exemple.
00:23:32 Ça veut dire qu'avec la plateforme ARN, que ce soit un vaccin,
00:23:35 que ce soit un médicament X, Y ou Z, on n'a pas les outils.
00:23:38 La biologie moléculaire n'a pas encore inventé les outils de contrôle.
00:23:41 Alors Maria nous dit, alors on a menti à la population.
00:23:43 Je crois que la réponse est claire.
00:23:44 La réponse est assez claire, aucun commentaire.
00:23:47 Mais ce sont les meilleurs. Ils ont 99% d'efficacité.
00:23:51 Après, ils étaient à 80%.
00:23:52 Et puis c'est pour les formes graves.
00:23:54 Et puis, ils vous empêchent de mourir.
00:23:56 Et puis, si vous mourez, vous allez au paradis.
00:23:58 C'est la dernière itération de notre premier ministre.
00:24:01 C'est qu'il faut se vacciner parce que ça pourrait être pire si on meurt sans vaccin.
00:24:04 Bon, je blague presque pas.
00:24:06 Oui, on n'est pas très loin.
00:24:08 Mais donc les cinq problèmes que tu as identifiés, ce sont...
00:24:12 Donc moi, ce sont des termes officiels.
00:24:14 Oui, vas-y, vas-y.
00:24:15 Tu les expliqueras bien pour que ça soit...
00:24:17 Parce que là, jusqu'à présent, c'est très, très clair, je trouve.
00:24:19 Oui, mais attends.
00:24:20 Ça n'a jamais été aussi clair.
00:24:21 On essaye, on essaye.
00:24:22 Ben, c'est parce que c'est un matin.
00:24:24 C'est ça, c'est samedi matin, on est frais.
00:24:26 Et puis, je trouve que le mieux, les gens comprennent...
00:24:28 Avant dix soirs à 18 heures, c'est moins clair.
00:24:30 Oui, et puis, il est important que les gens comprennent parce que ce sont des principes
00:24:33 qui ne sont pas si compliqués que ça.
00:24:35 S'ils sont bien expliqués, ce sont des concepts même qui sont des problèmes.
00:24:38 Ce ne sont pas des détails que l'on peut révéler.
00:24:40 Ce ne sont pas des détails de papier scientifique.
00:24:42 C'est à la base qu'il faut aller.
00:24:43 Donc, les cinq problèmes.
00:24:44 D'abord, il y a un problème de dose.
00:24:46 En langage médical, la dose, c'est la posologie.
00:24:50 Je vais vous expliquer pourquoi.
00:24:52 Même pour la même dose d'arrêt de messager, on a n'importe quoi en termes de dose de produit.
00:24:57 Ça, c'est quand même un problème.
00:24:59 Après, il y a un deuxième problème, c'est où va le produit.
00:25:02 Ça s'appelle, en termes techniques, la biodistribution.
00:25:05 La distribution dans le corps et donc biodistribution.
00:25:08 Et donc, je vais expliquer pourquoi ça va partout.
00:25:12 Ça ne va pas parce qu'on ne l'a pas ciblé.
00:25:14 Puis, il y a un autre problème, c'est la pharmacocinétique.
00:25:17 Ça, c'est un très grand terme.
00:25:18 Ça veut dire quoi ?
00:25:19 Ça veut dire le décours dans le temps du médicament.
00:25:22 Quand je donne un produit X à quelqu'un, par exemple la pénicilline,
00:25:25 je prends un comprimé, la concentration de pénicilline monte dans mon sang,
00:25:28 puis diminue un peu jusqu'au deuxième comprimé.
00:25:30 Elle aussi, comme ça, j'arrête, ça diminue.
00:25:33 Mais il y a des constantes de temps.
00:25:34 Donc, pendant un certain temps, je vais avoir une certaine concentration à un certain endroit.
00:25:38 C'est ce qu'on appelle la pharmacocinétique.
00:25:40 On oublie le terme, mais les gens comprennent qu'il y a une dose efficace, en gros.
00:25:44 Et elle est limitée dans le temps.
00:25:47 Parfois, elle va monter, parfois, elle va descendre.
00:25:49 Il y a un autre problème, maintenant, c'est la fidélité et la qualité de la traduction.
00:25:55 Comme on ne produit pas le produit dans une chaîne de montage ou dans une chaîne de production,
00:26:00 mais c'est notre corps qui le fait.
00:26:01 On ne contrôle plus rien.
00:26:02 Oui, on contrôle plus rien, mais on pourrait contrôler ce qui est au moins la qualité du produit final.
00:26:06 Et je vais expliquer pourquoi il y a trois raisons pour lesquelles on ne sait pas ce qu'on a encodé.
00:26:12 Donc, même le message n'est pas bon.
00:26:14 Donc, dans le cas spécifique du vaccin contre le Covid,
00:26:18 c'est-à-dire que le produit qu'ils veulent que notre corps produise,
00:26:22 c'est la protéine Spike, contre laquelle on est censé s'immuniser.
00:26:25 Ce que tu dis dans la fidélité de traduction et donc dans cette produite de qualité,
00:26:29 c'est que ce qu'on nous injecte produit non seulement la protéine Spike,
00:26:33 mais également d'autres protéines qui sont semblables à la protéine Spike,
00:26:36 mais qui ne sont pas la protéine Spike.
00:26:38 Ou qui sont juste des protéines n'importe quoi.
00:26:40 Je vais expliquer.
00:26:41 Il y a du grand n'importe quoi parce que les ARN virus sont polycystroniques, ce que tu sais.
00:26:45 Et on va expliquer ça aux gens avant d'entrer dans les détails.
00:26:49 Et il y a aussi les contaminants.
00:26:50 Donc, il y a plein de raisons.
00:26:51 Donc, on ne produit pas uniquement de la protéine Spike, mais également d'autres produits.
00:26:54 On a d'autres produits qu'on ne sait même pas tracer parce qu'on ne sait pas où commencer.
00:26:58 Et puis, le dernier problème.
00:27:00 C'est que le prix Nobel est génial et ces gens ont fait du très beau boulot.
00:27:04 Ils ont eu un problème, c'est comment faire en sorte que l'ARN messager,
00:27:07 qui est exogène, qui est reconnu par notre corps comme n'étant pas synthétisé par notre machinerie.
00:27:14 Parce que même si l'ADN et l'ARN, c'est un langage universel, il y a des patois.
00:27:18 Et le patois viral n'est pas le patois bactérien, n'est pas le patois des singes, n'est pas le patois des hommes, n'est pas le patois des plantes.
00:27:24 Et la cellule, le système immunitériné reconnaît ça dès les premières minutes et commence déjà à s'activer.
00:27:29 Et donc, pour éviter que ces ARN exogènes, l'ARN synthétique, on va l'appeler comme ça, ne soit détruit,
00:27:34 ils ont dû inhiber, inhiber le système immunitériné.
00:27:38 Le problème d'immunité innée, c'est qu'elle n'est pas spécifique comme un anticorps qui connaît un truc et pas les autres.
00:27:43 L'immunité innée, c'est tout ou rien.
00:27:45 C'est une défense générale.
00:27:46 Voilà. Soit elle réagit contre tout, soit elle réagit contre rien.
00:27:50 Donc mettre des centaines de méthylpsythérydine dans un gène Spike, ça permet d'ouvrir la porte en grand à tout le reste qui vient à côté.
00:27:59 Quelqu'un demande encore qui fabrique l'ARN messager, mais je pense qu'on l'a dit.
00:28:03 L'ARN messager est fabriqué par les firmes pharmaceutiques et il est mis dans une capsule, dans ce qu'on appelle une capsule.
00:28:10 En fait, c'est un liposome un peu modifié pour être délivré dans le corps.
00:28:13 Il y a une autre compagnie qui a fait des ADN.
00:28:16 C'est d'ailleurs mérant parce que Johnson & Johnson se présente.
00:28:20 Nous ne faisons pas un produit ARN.
00:28:21 Non, c'est un produit ADN dans un adénovirus qui va dans notre toyau, qui doit être traduit en ARN.
00:28:26 Et puis, c'est ça.
00:28:27 Donc plutôt que de donner la photocopie de notre fameuse recette, ils donnent tout le manuel de cuisine et notre cellule va eux-mêmes chercher.
00:28:36 Mais enfin, ça revient.
00:28:37 Mais ce n'est pas de l'ARN.
00:28:38 Et ils se sont positionnés pendant des mois contre les autres, Moderna et Pfizer, en disant nous, nous sommes safe, nous ne sommes pas de l'ARN.
00:28:45 Je veux dire, how stupid can people be?
00:28:48 I'm sorry.
00:28:49 Et ils ont fait ça sur leur site web.
00:28:51 Et ce qui est marrant, c'est que GNG et l'autre, le film qui faisait ça, s'est retiré au Canada et aux Etats-Unis.
00:28:58 C'est une telle catastrophe pour eux qu'ils n'ont même pas eux-mêmes redemandé l'autorisation de mise sur le marché.
00:29:03 Donc il y a ceux qui avaient utilisé l'adénovirus qui ont compris qu'ils ont foiré et ils sont très, très, très calmement en train de sortir du marché.
00:29:09 Il y en a qui disent j'ai analysé mon sang, mon sang est complètement pourri.
00:29:14 C'est vrai, une ex dose aussi a fait des choses comme ça.
00:29:16 Mais on y viendra.
00:29:17 Mais donc le cinquième problème que tu cites, c'est vraiment la baisse d'immunité.
00:29:20 C'est une diminution globale temporaire de l'immunité qui est évidencée par les zoonas chez les gens.
00:29:25 En gros, si on n'a pas d'immunité, qu'on risque d'être infecté par tout.
00:29:28 On risque d'être un oiseau pour le chat, comme les petits gosses dans les bulles.
00:29:32 Temporaire, tu dis, mais on ne sait pas combien de temps elle va durer.
00:29:36 Non, temporaire, parce que normalement, avec le recul, ce qu'on voit, c'est que ces zoonas,
00:29:40 si on se fait aux zoonas, qui est la preuve tangible médicale de la baisse d'immunité, ça dure entre un mois et demi, deux, trois mois.
00:29:47 Mais même se balader un mois, deux, trois mois avec un système immunitaire qui est ouvert à tout vent, il faudrait mieux être prudent.
00:29:54 Et c'est pour ça qu'il faut des programmes de monitoring de santé chez des gens.
00:29:58 Et on va en parler peut être en fin d'interview.
00:30:00 Moi, je voudrais que les gens commencent et les médecins et les biologistes commencent à se lever en masse pour dire il nous faut des programmes de monitoring.
00:30:05 Mais précision, parce que tu dis un ou deux mois après vaccination, parce qu'il y a des gens qui sont vaccinés il y a un an, un an et demi, qui font des myocardites.
00:30:14 Mais ça, c'est autre chose. On ne va pas tout mélanger.
00:30:16 En commençant, alors, je propose qu'on commence par le premier problème, la posologie, c'est à dire le dosage.
00:30:22 Est ce que tu pourrais nous résumer ou expliquer de quoi il s'agit? Pourquoi c'est un problème?
00:30:26 Bon, si on regarde un vaccin normal, mais c'est vrai pour tous les médicaments.
00:30:31 Donc, je répète ce que je dis n'est pas propre au vaccin. Je ne suis pas anti-vax. Je suis farouchement pour un moratoire mondial et global contre la technologie.
00:30:39 Donc, en gros, un médicament, c'est une dose d'un produit qui a été testé en labo ou testé dans le corps ou chez les animaux qui a une certaine durée.
00:30:49 Et cette dose est donnée doit être productible. Bon, qu'est ce qu'on a avec un vaccin normal?
00:30:54 On a une dose d'un produit, c'est à dire qu'on a une partie de protéines ou un virus duré atténué ou créé par génie génétique.
00:31:01 Un épitope d'un virus, ça s'est fait aussi depuis, par exemple, le vaccin contre l'hépatite depuis maintenant les années 80.
00:31:06 Donc, la biologie moléculaire est investie là dedans sans spécialement faire de la thérapie génique.
00:31:11 On produit quelque chose par biologie moléculaire et on produit une quantité.
00:31:15 On la donne dans le corps et une quantité pour immuniser. Elle ne doit pas être trop grande.
00:31:20 Ça ne marche pas. Elle ne doit pas être trop petite. Les lymphocytes et les cédendritiques la ratent.
00:31:25 Donc, il faut une certaine quantité. C'est calibré. Il faut stimuler l'immunité. On a des adjuvants.
00:31:29 Parfois, ils ne sont pas bons eux-mêmes, mais c'est un autre problème. Donc, en gros, il y a aussi des bons adjuvants.
00:31:34 Parce qu'il ne faut pas non plus tout tout tout casser tout le temps. Donc, en gros, c'est une quantité X très définie qui rencontre une physiologie humaine avec un certain nombre de globules blancs.
00:31:43 Ici, on confie au corps une quantité X de message et on ne sait pas contrôler la quantité X prime, donc la quantité de protéines effectrices qu'il y a le vrai médicament.
00:31:55 Donc, ça veut dire qu'il y a des gens chez qui Spike va être produite en grande quantité ou en quantité suffisante.
00:32:03 Tu veux dire que l'être humain est devenu une usine un peu?
00:32:06 Oui, et qu'on ne contrôle pas la chaîne de production.
00:32:08 On ne contrôle plus. Donc, il y en a qui vont produire énormément. Il y en a qui vont quasiment rien produire.
00:32:11 Et il y en a qui vont produire trop et tellement trop qu'il y a de la toxicité parce que Spike est une toxine aussi.
00:32:16 Donc, en gros, par exemple, si on vient à ce que je disais, l'ARN messager, comment on produit une protéine dans les cellules?
00:32:25 Le métabolisme, ça coûte de l'énergie. La vie coûte de l'énergie.
00:32:29 Donc, on a calculé qu'il faut à peu près 1600 cycles de glycolis, ça veut dire une molécule de glucose qui est brûlée pour qu'on fabrique une protéine Spike.
00:32:37 Donc, ça, la recherche a fait, mais c'est vrai pour toutes les protéines.
00:32:40 Et donc, en fonction du métabolisme, on produit plus ou moins. En fonction de la masse musculaire, on produit plus ou moins.
00:32:46 En fonction de l'âge, on produit plus ou moins. En fonction du sexe, on produit plus ou moins.
00:32:49 En fonction de l'anatomie et de la captation du rapport surface volume de ces cellules musculaires,
00:32:54 si il y a plus de graisse, moins de graisse. Donc, vous voyez qu'il y a une quantité infinie de variables qui fait qu'il est très difficile de contrôler ça.
00:33:02 Tu dis quasiment que c'est incontrôlable.
00:33:04 C'est contrôlable, mais il faudra être très fin. Il y a 20 ans de recherche.
00:33:07 Moi, je suis sûr qu'on peut arriver à résoudre des choses, mais pas dans l'état actuel des technologies, parce que pour le moment,
00:33:12 et je n'ai pas parlé du cycle cellulaire, les synthèses de protéines ne se passent pas 24/7.
00:33:17 C'est pas open bar une cellule.
00:33:18 Ça veut dire qu'il y a des moments dans la division cellulaire ou dans le métabolisme d'une journée cellulaire où on fabrique la protéine.
00:33:24 Et puis, d'un moment à l'autre, la cellule fait autre chose, ou elle duplique son ADN, ou elle fait de l'host keeping.
00:33:28 Donc, en gros, on donne un message et on danse tout nu autour d'un totem par une nuit de pleine lune en espérant que ça marche.
00:33:35 Donc, en fait, ici, je ne suis pas sûr à propos du totem.
00:33:38 Je pensais que c'était des scientifiques sérieux qui savaient ce qu'ils faisaient.
00:33:41 Ils sont très sérieux. Ils sont très sérieux. La nuit de pleine lune, la danse, c'est pas n'importe quoi comme pas.
00:33:48 Et le totem, donc il y a des choses reproductives. Non, mais on rigole.
00:33:52 Mais Stéphane Bancel a dit devant le scène américain, si je ne me trompe pas, qu'il ne savait pas trop et le long et demi.
00:33:57 D'ailleurs, tu nous diras tout à l'heure, il y a des papiers où il savait déjà depuis longtemps qu'il faisait n'importe quoi.
00:34:02 Oui, mais on nous traite de complotistes. C'est ça qui est.
00:34:04 En fait, moi, ce que je voulais résumer ici déjà au niveau de la pausologie, c'était de dire que donc on a eu, par exemple,
00:34:11 parmi tous les vaccins contre le SARS-CoV-2, donc il y en a eu des dizaines dans différents pays.
00:34:18 Je sais qu'en Chine, ils ont fait quelques vaccins, on va dire selon la méthodologie classique.
00:34:23 La méthodologie classique, même chez nous, ça aussi, afin, vaccin classique, c'est un presque un secret polyfinal.
00:34:28 C'est à dire en gros, en laboratoire, on produit dans des boîtes de pétri, dans des tubes à essai, on produit des virus de SARS-CoV-2.
00:34:36 Ensuite, on les tue et puis on les injecte. On les tue pas, on peut casser une partie.
00:34:41 On les atténue, donc on les rend invalides, histoire que quand on les injecte aux patients,
00:34:47 les patients ne soient pas infectés, même si ça peut arriver, mais enfin, je vais passer les détails, mais pour ce qui nous intéresse aujourd'hui,
00:34:53 c'est dire que cette ancienne technologie, on produit les virus, on connaît la quantité qu'on a dans une fiole,
00:34:59 on l'injecte et puis ensuite, ça, ça mime en quelque sorte une infection virale réelle et donc on devient immunisé.
00:35:06 À la différence, les pays occidentaux ont décidé de partir sur une toute nouvelle technologie qui sont les ARN messagers,
00:35:13 où on injecte non pas le virus qui est atténué ou qui est tué, qui permet d'avoir une partie du virus,
00:35:19 en fait, on injecte le message et c'est à ce moment là qu'on ne maîtrise pas le dose.
00:35:23 On maîtrise le dose d'ARN messager que l'on injecte, mais pas en fait le produit de l'ARN.
00:35:29 Le produit final.
00:35:30 Oui, ça veut dire qu'en gros, si on te répond aujourd'hui, si on connaît, on sait qu'il y a 5,5 millions d'ARN messager.
00:35:38 En fait, c'est pas le produit final, c'est ça que tu dis. Le produit final, c'est bien la protéine Spike.
00:35:43 Et ça, on ne le connaît pas puisque nous, on le produit dans notre corps.
00:35:46 L'effecteur, les choses, les gènes ont des effets. Les gènes ne font rien sans avoir une protéine effectrice.
00:35:52 Le gène, c'est un message. Donc, l'effecteur est ce qui va nous immuniser et ça, personne ne le doute.
00:35:57 Et donc, un exemple pour illustrer cette bêtise et cette folie, parce que je n'ai pas d'autres mots,
00:36:03 si je veux rester dans le gentil, c'est les doses pour enfants. Dans un protocole normal, avec un produit normal,
00:36:09 on diminue la dose d'un médicament en fonction du poids de l'enfant.
00:36:12 On ne va pas donner une dose X d'un corticoïde ou d'un antibiotique ou d'un mucolite.
00:36:17 La dose d'un adulte à un enfant, on va diminuer par le poids. Alors, on a des normes et en général, on fait X mg par kilo.
00:36:23 Les médecins savent ça et c'est les conditionnements de l'industrie pharmaceutique, sont d'ailleurs faits.
00:36:27 Les formules pédiatriques sont, comme par magie, exactement dosées pour avoir le poids d'un enfant.
00:36:33 Et toutes les mamans, tous les papas savent que parfois, quand l'enfant est même petit, on a des mesurettes.
00:36:39 Parce qu'on a alors des sirops et on a des mesurettes et on doit donner 1, 2, 3 pour le bébé en fonction du poids.
00:36:45 Donc, ça, ce n'est pas un secret. Qu'ont fait ces firmes pour ça, pour les enfants ?
00:36:49 On va diminuer la dose par 3 en fonction du poids, sachant qu'il n'y a aucun ratio,
00:36:53 il n'y a aucun rapport entre le nombre de molécules d'ARN dans le produit et le nombre de molécules finales de Spike produit.
00:36:59 Ça dépend de milliers de facteurs qu'on ne contrôle pas. Vous voyez, jusqu'où on s'est foutu du monde.
00:37:05 Donc, il y a un problème de posologie. Alors, pourquoi c'est important ?
00:37:09 Les effets secondaires. Ça veut dire que si quelqu'un ne produit près, par exemple, une personne âgée, un peu asthétique,
00:37:17 très faible muscle, donc ces gens vont produire moins qu'un athlète de haut niveau qui mange 6000 calories par jour
00:37:25 parce qu'il s'entraîne pour un match de foot. Donc, en gros, il y a des différences énormes de physiologie.
00:37:30 Donc, le grand-papa qui est dans sa chaise roulante ne va pas produire beaucoup de Spike.
00:37:35 Donc, ça veut dire qu'il ne va pas avoir de grande réaction immune. A priori, on appelle ça l'immunoasthénie,
00:37:40 mais c'est lié au fait que non seulement le système immunitaire ne réagit pas beaucoup, mais il n'y a même pas beaucoup de stimulation.
00:37:45 Par contre, l'athlète qui est en pleine force de l'âge avec ses 6000 kilocalories, lui, il va en produire.
00:37:50 Ce qui explique qu'on voit beaucoup d'athlètes tomber.
00:37:53 Ça pourrait, c'est pour ça que j'en prends cet exemple-là. Ça n'explique pas, mais c'est une indication.
00:37:57 Donc, en gros, il y a des gens chez qui il ne va pas avoir d'effet. Donc, ça veut dire que ça, les gens s'en foutent.
00:38:02 Ils n'ont pas d'effet secondaire, c'est la bonne nouvelle, mais ils n'ont pas d'effet non plus. Donc, c'est pour ça qu'on n'est pas à 99 %.
00:38:08 En plus, il y a des gens chez qui il va avoir trop d'effet parce que si je produis du Spike, du Spike, du Spike,
00:38:13 Jonas a dit que ce n'était pas le meilleur choix d'antigène parce que c'est une toxine au départ.
00:38:17 Il y avait d'autres choix possibles.
00:38:19 Il se craint pourquoi la Spike est une toxine aussi.
00:38:21 C'est une toxine. Ce n'était pas malin.
00:38:23 Donc, des gens qui produisent plus de toxines dans leur corps, la toxine va se lier à ses récepteurs normaux,
00:38:28 mais quand il y en a trois, elle va se lier à d'autres récepteurs.
00:38:30 Et donc, ça va dans le rhum, ça va dans le froid, ça peut aller un peu partout.
00:38:33 Ça ne se passe pas chez tout le monde. C'est ça le problème de cette crise, c'est que tous ces effets dépendent de la physiologie personnelle.
00:38:39 Quand on fait un papier scientifique, on essaie d'expliquer aux gens, on dit, montrez-moi le papier qui prouve ça,
00:38:43 parce qu'il y a des gens chez qui ça ne se passe pas.
00:38:45 Oui, mais il y a des gens chez qui ça se passe.
00:38:47 Et donc, cet argument un peu à l'agressement leu de dire, oui, mais ça ne se passe pas partout, donc c'est faux.
00:38:51 Non, ça dépend de la physiologie personnelle.
00:38:54 Donc, cette histoire de dose peut donner des toxicités aigües, pas chroniques là, des toxicités aigües.
00:39:00 Et quand on sait qu'on a considéré comme vacciné que les gens, après deux semaines de vaccination,
00:39:05 donc n'étaient pas vaccinés, ou trois semaines même, et ça a été jusqu'à 28 jours dans certains pays,
00:39:09 ça a permis opportunément de cacher tous ces effets secondaires immédiats par hyperproduction de Spike,
00:39:14 parce que c'était des non-vaccinés, des gens qui sont morts post-vaccin, c'était des non-vaccinés.
00:39:18 Ils étaient considérés comme non-vaccinés, ce qui est incroyable.
00:39:20 Et par contre, ça, c'est au départ des directives OMS.
00:39:22 Il y a des notes de l'OMS que j'ai mis en ligne qui montrent qu'il faut considérer que, parce qu'il y a la montée d'anticorps.
00:39:27 Donc certains le savaient.
00:39:28 Mais évidemment, mais la montée d'anticorps, c'est quoi ?
00:39:31 Moi, je ne suis pas un immunologue, je ne suis pas immunologiste, mais j'ai travaillé dans les adjuvants,
00:39:36 j'ai fait beaucoup de biologie moléculaire, donc je sais comment le système fonctionne.
00:39:38 Donc en gros, le système immunitaire a trois parties.
00:39:41 Il y a la partie humorale, ça veut dire les anticorps, ça met trois semaines à venir en début.
00:39:44 OK, c'est normal.
00:39:45 Il y a la partie cellulaire qui commence au jour 1.
00:39:48 Après 25, 24, 25, 26 heures, les lymphocytes ont déjà été activés.
00:39:52 Et puis il y a la partie innée qui commence à la première heure.
00:39:54 Et donc, aller dire qu'on est immunisé qu'à partir de trois semaines, parce qu'on veut la montée d'anticorps,
00:40:00 c'est nier qu'il y a d'autres choses en dessous.
00:40:02 Et donc c'est carrément effacé, 100 ans d'immunologie,
00:40:05 et Jules Bordet, le prix Nobel belge, ne va pas se retourner dans sa tombe.
00:40:08 Donc il y a un problème là.
00:40:10 Et c'est pour ça que je dis qu'on a essayé d'effacer le passé.
00:40:12 Et les connaissances consolidées...
00:40:14 Tu veux dire que Bordet n'aurait pas...
00:40:16 Jules Bordet, le prix Nobel, qui a été...
00:40:18 Oui, oui, évidemment, le pitre qui porte son nom ici à Saint-Pierre.
00:40:23 Mais donc Bordet n'aurait pas...
00:40:25 Bordet aurait compris.
00:40:26 N'aurait pas marché là-dedans.
00:40:27 Toutes les immunologies, même avant la biologie moléculaire,
00:40:30 on savait qu'il y avait des anticorps, on savait qu'il y avait des cellules,
00:40:32 et ça a fait...
00:40:34 Je veux dire, un des plus grands en Belgique,
00:40:37 qui a été dans les vaccins anti-cancer, justement, c'est lié à ça,
00:40:39 c'est Thierry Baudne de Lucelle.
00:40:41 C'était un de mes anciens profs.
00:40:42 C'est la première personne qui a dit,
00:40:44 mais le système immunitaire contrôle le cancer aussi,
00:40:46 et il a trouvé des antigènes spécifiques des cancers,
00:40:48 que ce soit le LAG, ou le PAG, etc.
00:40:51 Donc il a trouvé des molécules que uniquement les cils canceros avaient,
00:40:55 et ils ont été immunisés contre le cancer.
00:40:57 Donc on savait qu'il y avait des anticorps,
00:41:00 on savait qu'il y avait des cellules,
00:41:01 et on a découvert, les 30, 35 dernières années,
00:41:04 ce qu'on appelle l'immunité innée,
00:41:05 parce qu'on a vu que quand on s'immunise contre un germe X,
00:41:08 par hasard, pendant 15 jours, on est protégé contre un germe Y.
00:41:11 Et on se dit, mais qu'est-ce qui se passe ici ?
00:41:13 Et vice-versa.
00:41:14 Quand un germe X parvient à baisser les défenses,
00:41:16 et inhiber ce truc immunitaire de base,
00:41:19 on peut être sensible à d'autres choses.
00:41:22 Et donc, depuis les années SIDA, les années 80,
00:41:24 on a vraiment commencé à comprendre la base moléculaire du système immunitaire.
00:41:28 C'est marrant, parce qu'au plus on étudie, au moins on comprend.
00:41:31 Vous savez, les vrais chercheurs, au plus ils savent,
00:41:34 au plus ils savent qu'ils ne savent pas.
00:41:36 Parce qu'on apprend toujours de nouvelles choses.
00:41:38 Donc on ne veut jamais dire que c'est sûr à 100%.
00:41:42 Ce qu'un scientifique vient vous dire, et je suis sûr à 100%,
00:41:45 c'est un religieux.
00:41:47 Il y en avait pas mal de religieux.
00:41:48 C'était pas le même genre.
00:41:49 Et pourtant, ils ont bien admis,
00:41:51 et ça fera le lien avec le prochain problème,
00:41:53 ils ont admis qu'ils n'avaient pas étudié en profondeur la biodistribution,
00:41:58 qui est donc le deuxième problème.
00:42:00 Ça, on a dans un papier, Jonas.
00:42:02 Et avant que tu parles de ça,
00:42:04 juste dire merci à ceux qui nous suivent,
00:42:06 qui sont quasiment 350 là maintenant.
00:42:09 Tu dis ?
00:42:11 Plus que 400.
00:42:13 Un sami matin, c'est bien.
00:42:14 Et qui disent merci.
00:42:15 Vous savez, ils n'ont pas été à la messe.
00:42:16 Merci pour les invités.
00:42:17 Ils n'ont pas été à la messe.
00:42:18 Ils n'ont pas été à la messe.
00:42:19 Les gens, les gens, les gens.
00:42:20 Vous savez, vous ratez une messe.
00:42:22 C'est quand même grave.
00:42:23 Vous allez tous finir en enfer.
00:42:25 Tu parles du JT.
00:42:26 Non, non, pas la messe du JT.
00:42:27 Mon ami, le pauvre Frank.
00:42:29 Ah ben oui.
00:42:30 Merci pour les invités de marque dans les commentaires.
00:42:32 C'est gentil.
00:42:33 Invités de marque.
00:42:34 Et surtout, n'oubliez pas de,
00:42:36 désolé de rappeler ça,
00:42:37 mais partagez, partagez.
00:42:38 Si les 400 qui sont là partagent à une personne.
00:42:40 On en fait 800.
00:42:41 C'est ça.
00:42:42 Et vous savez, la puissance de deux.
00:42:43 400 exposants, deux.
00:42:45 Ça va vite.
00:42:46 Ça va très vite.
00:42:47 Donc allez-y, partagez, partagez.
00:42:49 Mais je voudrais que tu montes ce papier.
00:42:51 C'est tout bon.
00:42:52 On va le mettre en ligne après.
00:42:54 Oui, on mettra en ligne.
00:42:55 Donc ça, c'est le rapport officiel de l'EMA.
00:42:58 Donc European Medicines Agency.
00:43:01 Voilà, c'est un rapport officiel.
00:43:03 Ce n'est pas un rapport complotiste.
00:43:05 C'est un rapport officiel de l'agence.
00:43:07 Arrête d'employer un mot complotiste.
00:43:09 C'est un mot qui n'existe pas.
00:43:10 Ça ne veut rien dire, mais je me suis fait coloniser.
00:43:12 Après trois ans.
00:43:14 Après trois ans de Brénois-Chine,
00:43:15 vous a perturbé les circonstances.
00:43:17 Alors comment dire, ce n'est pas un faux rapport, tout simplement.
00:43:19 C'est un vrai rapport.
00:43:20 Donc pour aujourd'hui, j'ai été chercher le rapport de l'agence médicale européenne,
00:43:27 donc l'EMA, qui traite sur le vaccin de Pfizer, le Cominarty,
00:43:33 le vaccin à ARN messager.
00:43:35 Et j'avais trouvé dans la page 45,
00:43:37 c'est un rapport qui date de février 2021,
00:43:41 donc juste au moment où les vaccins arrivent sur le marché.
00:43:46 Où est-ce que Jonas fait pour vous ?
00:43:47 Il va dans des rapports de 200 pages pour vous informer.
00:43:49 C'est un pervers, il n'a rien de mieux à faire.
00:43:54 Non, mais c'est parce que quand tu parlais de la tox...
00:43:56 Page 45.
00:43:57 Page 45, tu mentionnais, entre autres, la toxicité de la protéine Spike.
00:44:03 Et donc on s'est dit, OK, mais si c'est que au site de l'injection,
00:44:05 à la limite, les douleurs sont restées là.
00:44:08 Mais en fait, ils admettent ici qu'ils n'ont pas fait des études.
00:44:13 Tu peux nous lire la phrase.
00:44:15 OK, donc il y a trois phrases.
00:44:18 "No safety pharmacology studies were conducted on BNT-162b2."
00:44:23 Je traduis pour M. M. Jonas.
00:44:25 Le BNT, c'est le nom du vaccin, c'est le code du vaccin.
00:44:29 "No pharmacology studies were conducted with BNT, etc."
00:44:33 Ça, c'est avant qu'on les achète et elles ne sont toujours pas faites.
00:44:36 La bonne nouvelle, c'est qu'elles ne sont toujours pas faites.
00:44:38 Donc, il n'y a pas eu d'études de pharmacocinétique qui a été faite.
00:44:43 "No pharmacodynamics drug..."
00:44:44 Donc, il n'y a pas eu d'études sur l'effet à long terme.
00:44:48 Il n'y a pas eu d'études sur quelle dose est produite,
00:44:51 pour combien de temps, chez les gens.
00:44:53 OK, c'est ça.
00:44:54 Et donc, ils disent, ici, tu parlais de pharmacocinétique tout à l'heure.
00:44:57 Et ça, c'est la phrase texto en anglais.
00:44:59 "No traditional pharmacocinétique or biodistribution studies have been performed
00:45:03 with the vaccine candidate BNT."
00:45:05 En français, il n'y a pas d'études qui a été faite sur la pharmacocinétique
00:45:09 ou la biodistribution.
00:45:11 Et on va parler de ces deux points maintenant.
00:45:12 C'est le vaccin Pfizer qui était sorti.
00:45:14 C'est la même chose sur le vaccin Moderna.
00:45:17 Et il dit aussi, "No findings on vital organ functions have been recorded
00:45:23 in repeat dose toxicology studies."
00:45:25 Ce qui est une étude de Pfizer.
00:45:27 Pour résumer, ils disent que pour ce vaccin Pfizer,
00:45:30 donc dans le rapport au moment où ça arrive sur le marché,
00:45:32 il n'y avait pas d'études de pharmacocinétique et de biodistribution
00:45:35 qui avaient été faites, ni sur la toxicité dans les doses à répétition.
00:45:40 C'est ça.
00:45:42 Et donc, qu'est-ce que la biodistribution, vu qu'ils ne l'ont pas fait?
00:45:44 Est-ce que tu peux nous expliquer ce que c'est?
00:45:46 Et pourquoi c'est important de le savoir dans le cas de ces vaccins à ARN messager?
00:45:50 En termes simples, j'ai dit la biodistribution, c'est, on donne une dose d'un produit X,
00:45:54 ça va dans un corps qui a un certain volume, ça va dans une partie du corps
00:45:57 qui s'appelle le plasma ou dans des muscles, c'est des volumes différents.
00:46:00 Et il y a pour chaque compartiment de notre corps, une certaine dose standard
00:46:04 qui reste et qui fluctue.
00:46:06 Et elle est limitée dans l'espace, ça veut dire dans certains endroits.
00:46:09 Elle est limitée dans le temps, il y a un on, il y a un off,
00:46:11 et il y a aussi une quantité, donc il y a un certain niveau.
00:46:14 Ça, c'est la biodistribution, c'est où ça va.
00:46:17 Alors, il y a un problème de base avec les ARN.
00:46:20 Je mets une pause parce qu'il faut vraiment que les gens comprennent.
00:46:24 Il y a des vaccins anti-cancer qui ont réussi avec les ARN.
00:46:29 On a eu des bons résultats contre le mélanome, par exemple.
00:46:32 Mais comment on fait?
00:46:34 On prend les cellules dendritiques, on les extrait du corps, on les sépare.
00:46:38 Les cellules dendritiques, c'est la cellule de l'immunité.
00:46:41 C'est une des cellules qui peut présenter les anticorps.
00:46:44 C'est bien.
00:46:45 Et on les transforme, on les nettoie, et on les réinjecte.
00:46:49 Une autre manière, c'est d'aller dans un ganglion sous notre corps
00:46:52 avec une double électrode où on donne un fusoliposome qui va rentrer dans la cellule,
00:46:58 et on fait un électrosapping pour fusionner les membranes,
00:47:00 et on transforme les cellules dendritiques.
00:47:02 Pourquoi je parle des cellules dendritiques?
00:47:04 Parce que c'est des cellules immunocompétentes, comme les macrophages.
00:47:07 Toutes les cellules ne sont pas à même de stimuler le système immunitaire,
00:47:11 de dire "faites ça, faites ça, faites ça".
00:47:13 Il y a des ordres.
00:47:14 Il y a plein de cellules, il y a plein de facteurs,
00:47:16 et pour faire très simple, les gens n'aiment pas quand on fait simple,
00:47:19 et c'est la seule manière d'expliquer à des gens qui ne sont pas biologistes
00:47:22 comment le système fonctionne,
00:47:23 moi j'en ai rien à foutre du papier scientifique qui va au Nobel,
00:47:26 ce qui se passe c'est que la cellule dendritique a un double rôle.
00:47:29 Elle prend un antigène, le processe, c'est parfois compliqué.
00:47:34 Donc l'antigène, je rappelle aussi que ça c'est le corps étranger,
00:47:37 donc ça peut être la protéine Spike, c'est juste pour dire à notre corps
00:47:40 que ça n'a rien à faire dans notre corps, on veut s'immuniser contre ceci.
00:47:45 Alors elle le casse en morceaux, je ne parle pas du vaccin,
00:47:47 je parle là d'une infection normale,
00:47:49 et elle présente des morceaux du virus ou de la bactérie,
00:47:53 ou de quoi que ce soit d'étranger au système immunitaire,
00:47:55 pour dire "il faut attaquer cela, il faut attaquer cela".
00:47:57 Mais il faut aussi, le deuxième message c'est l'antétique,
00:48:00 il faut protéger moi, parce que moi mon corps,
00:48:02 je ne dois pas être attaqué par mes propres globules blancs.
00:48:04 Donc la cellule dendritique est à main de faire attaquer
00:48:07 ce qui est externe, exogène, que ce soit virus, bactéries, etc.,
00:48:11 et de protéger ce qui est interne de ma propre physiologie.
00:48:14 Le macrophage peut faire la même chose.
00:48:16 Un muscle ne peut pas faire ça.
00:48:19 Je répète, un muscle n'est pas une cellule immunitaire.
00:48:23 Donc, aller injecter quelque chose en espérant que le muscle le prenne,
00:48:27 l'expiration membrane, et fasse quelque chose de correct,
00:48:30 en termes de biodistribution, ce n'est pas le bon endroit.
00:48:33 Alors, les vaccins traditionnels qui ont marché, on les vectorisait,
00:48:37 on allait vers la cellule dendritique.
00:48:39 Mais ici, on n'a pas vectorisé.
00:48:41 Cet ARN messager, et c'est vrai pour d'autres produits qui vont sortir,
00:48:44 il va aller où ?
00:48:45 On n'a pas vectorisé, tu peux…
00:48:47 Vectoriser, le vecteur, ça veut dire cibler un type cellulaire.
00:48:50 Si par exemple, je veux aider une cellule hépatique dans le cholestérol,
00:48:54 j'ai intérêt peut-être à ce que mon ARN vaille dans la cellule hépatique,
00:48:57 et ne se retrouve pas dans mon cerveau numérin.
00:48:59 On n'a pas donné les coordonnées où ce produit doit se rendre dans notre corps.
00:49:03 Voilà, et les coordonnées moléculaires sont donnables.
00:49:05 Il n'a pas de GPS, quoi.
00:49:07 Il n'a pas de GPS quelque part, mais c'est pire que ça.
00:49:10 Le GPS n'a pas encore été inventé.
00:49:13 Oui, d'où le fait qu'on le retrouve dans les gonades, partout dans le cœur.
00:49:17 Et donc, en gros, ça c'est quand ça va, ça déborde.
00:49:20 Mais ici, on parle de la localisation, en effet,
00:49:23 et le muscle n'est pas une cellule immunitaire.
00:49:26 Donc, qu'est-ce que fait le macrophage qui vient, ou l'aphocyte,
00:49:29 quel qu'il soit, il y a des aphocytes B, des aphocytes T,
00:49:32 qui vient là, autour du muscle, il reconnaît un truc étranger,
00:49:35 il dit "ah oui, on doit attaquer", mais il voit le muscle aussi autour, il attaque le muscle.
00:49:38 Du coup, les phénomènes d'auto-immunité.
00:49:41 L'auto-immunité, elle est due à ça.
00:49:43 Et qu'est-ce que c'est le muscle ? Le muscle, c'est aussi le cœur.
00:49:46 Les parois des vaisseaux avec les maladies systèmes, les artérites, les...
00:49:50 Il y a des muscles dans l'intima des artères.
00:49:54 Quand on va plus loin, l'utérus,
00:49:57 on y reviendra, il y a d'autres problèmes que musculaires, mais l'utérus, c'est un muscle.
00:50:00 Donc, il peut y avoir des inflammations d'origine immunitaire aussi.
00:50:03 Et tous les muscles lisses dans notre corps partout sont aussi attaquables.
00:50:08 Donc, ce qui explique les problèmes de cycle chez les femmes...
00:50:10 Non, ça n'explique pas le problème de cycle.
00:50:12 Il y a autre chose sur l'utérus.
00:50:14 Mais toutes les inflammations de type auto-immunitaire, oui.
00:50:17 Ça veut dire que ça explique une dérive auto-immunitaire majeure.
00:50:20 Et pour ces gens-là, c'est des problèmes chroniques.
00:50:22 Le plus grand symptôme pour le moment, il y en a deux, en fait, c'est les myocardites.
00:50:26 Alors, elles sont soit subcliniques, ça veut dire qu'on a des altérations des enzymes cardiaques.
00:50:30 Et on voit chez 2 % des gens qui sont post-vaccinés,
00:50:33 ça disparaît, mais c'est dans la semaine post-vaccin,
00:50:35 on voit des anomalies de la fonction cardiaque qu'on peut tracer avec des biomarqueurs.
00:50:39 Mais il y a une proportion...
00:50:41 On ne sait pas quelle est la proportion de ces gens qui vont devenir cliniques.
00:50:45 Ça veut dire qu'on sait maintenant, et on sait depuis le début,
00:50:47 le mois de janvier, février en Israël, lors de la campagne de vaccination,
00:50:49 au moment même où elle commence,
00:50:51 on voit entre 1 pour 3 000 et 1 pour 5 000 myocardites chez les hommes,
00:50:55 1 pour 3 000, 1 pour 5 000 chez les femmes.
00:50:57 Donc, ça, on sait. Maintenant, on sait que c'est peut-être en Allemagne,
00:50:59 avec les données allemandes, 1 pour 1 000.
00:51:01 Mais on sait qu'on a 2 % de gens qui ont déjà une altération de la fibre.
00:51:04 La seule chose qu'on ne sait pas encore, c'est combien de ces 2 %
00:51:08 vont passer sous le radar et s'en sortir très bien, ou bien devenir cliniques.
00:51:12 Alors, une myocardite clinique, j'ai lu tout et son contraire, et je suis choqué.
00:51:17 On dit que c'est comme les myocardites virales.
00:51:19 Non, une myocardite auto-immune,
00:51:21 elle n'est pas comme une myocardite virale qui disparaît et qui est autorésolutive en 3 semaines.
00:51:25 C'est un problème chronique. On ne pourra jamais faire de sport.
00:51:27 On aura des traitements pli-ploc, sans doute, durant la vie.
00:51:30 Et à 10 ans, on a un tiers de décès, un tiers de greffes,
00:51:33 et un tiers qui s'en sortent.
00:51:35 Un tiers, un tiers, un tiers, c'est quand même gros.
00:51:37 Et on vient de dire que c'est comme une myocardite virale.
00:51:40 La RTBF a dit ça, nos amis de La Libre ont dit ça.
00:51:44 Enfin, tous les gens dont la qualité de biologisme moléculaire est reconnue mondialement
00:51:49 ont raconté n'importe quoi.
00:51:51 Donc, en gros, si on injecte le vaccin RN-MSG dans le bras,
00:51:56 comment se fait-il qu'on se retrouve avec des myocardites ou des périgardites ?
00:52:00 Ça sous-entend que ou bien l'RN-MSG s'est retrouvé dans le muscle du cœur,
00:52:04 ou alors que le protéine Spike s'est retrouvé là-bas ?
00:52:06 Non, non, non, non, c'est le muscle du bras qui produit.
00:52:10 Qui produit quoi ?
00:52:12 Spike, à sa surface.
00:52:14 Et qui se retrouve dans le cœur ?
00:52:15 Non, et Spike reconnaît tout dans le corps.
00:52:17 Une fois que Spike s'immunise contre la fibre qu'on a fait dans le type musculaire,
00:52:20 où que soit le muscle dans le corps, il n'a pas besoin d'y aller.
00:52:23 Les globules blancs vont attaquer.
00:52:25 Donc, en gros, je m'immunise ici, si j'ai le muscle musculaire,
00:52:29 et ça peut aller dans mon doigt gauche.
00:52:31 Concrètement, qu'est-ce qui se passe ?
00:52:33 Tu t'immunises au niveau du bras, t'es piqué dans le bras.
00:52:35 C'est parce que le muscle dans le bras…
00:52:37 Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qu'il fait ?
00:52:39 Une partie du vaccin est prise par la fibre musculaire qui est servie de présentoir
00:52:43 et qui n'a pas de rôle immunitaire, c'est pas une fibre dendritique.
00:52:46 Le système immunitaire s'immunise contre Spike et s'immunise contre le muscle,
00:52:50 le muscle dans votre bras.
00:52:51 Donc là, il y a l'ARN messager qui réplique ou déjà…
00:52:54 Non, qui a fait sa protéine et qui met la Spike dans la surface du muscle.
00:52:59 Et une fois que c'est dans la surface du muscle et que le globule blanc reconnaît Spike,
00:53:04 il doit attaquer et reconnaît le muscle, il doit attaquer.
00:53:06 Il attaque le muscle partout.
00:53:07 Donc, il peut attaquer le cœur, la horte.
00:53:09 Il peut attaquer le cœur, il peut attaquer la horte, il peut attaquer les fibres musculaires partout dans le corps,
00:53:13 que ce soit des lisses, des striés ou des cardiaques.
00:53:15 C'est ce qui se passe.
00:53:16 Donc, si on faisait des autopsies sur ceux qui font des cardétés qui s'y comblent, on trouverait…
00:53:21 On trouverait des infiltrats inflammatoires pour un certain pourcentage.
00:53:23 Et de la protéine Spike, certainement.
00:53:24 Oui, mais un infiltrat inflammatoire.
00:53:26 Donc, on ne trouvera pas que la protéine Spike, on trouvera les lymphocytes activés qui attaquent.
00:53:31 Le système immunitaire, quand il attaque, il attaque plus Spike qu'il attaque le muscle.
00:53:35 Donc, c'est des maladies auto-immunes.
00:53:37 C'est comme disait…
00:53:40 Par rapport au…
00:53:41 Disait qu'on avait tous…
00:53:42 Que les vaccinés pouvaient avoir une sorte de syndrome d'immunodéficience acquise.
00:53:45 Non, ça n'a rien à voir.
00:53:46 C'est le contraire, c'est une auto-immunité.
00:53:48 En gros, ce deuxième problème d'auto-immunité, on va dire qu'on peut le supporter,
00:53:53 on pourrait le monétiser chez les gens par des anticorps antinucléaires, des anticorps anti-mythocondriaux,
00:53:58 des coombs directs ou indirects.
00:53:59 Les médecins qui écoutent vont comprendre ce que je dis.
00:54:01 Il y a un tas de marqueurs d'auto-immunité qui sont mesurables à prise de sang.
00:54:06 Et ça, ça veut dire qu'on est en risque d'attaquer son propre corps.
00:54:11 Et ça n'explique pas tous les effets secondaires, mais ça explique une partie.
00:54:13 Oui, c'est ça.
00:54:14 Mais l'auto-immunité, on a des gens qui ont rapporté des lupus,
00:54:17 il y a des gens qui ont rapporté des polyarthrites chroniques.
00:54:20 Ils étaient, par exemple, ils avaient une maladie chronique, elle était stable,
00:54:24 elle a reflambé post-vaccin, ou des gens qui n'ont pas de maladie et qui attrapent post-vaccin une maladie de système.
00:54:30 Donc toutes les maladies des anticorps, et elles existent, en pathologie, elles ne sont pas fréquentes,
00:54:35 sont activables, dénovantes ou sont réactivables par la plateforme ARN.
00:54:39 À cause de cette confusion avec une cellule qui n'est pas faite pour stimuler le système immunitaire.
00:54:45 Il y a le professeur Michel Goldman qui a...
00:54:48 Il y avait un... Allez, en début d'année 2023, j'étais prévu de parler à l'Ordre des médecins pour expliquer tout ça à mes collègues.
00:54:55 Ils m'ont bibléné parce que ça a dérangé certaines personnes à l'ULB.
00:54:59 Il faut appeler un chat par un chat.
00:55:01 Et il y a donc le professeur Goldman, que je connais par ailleurs et qui est un grand scientifique belge,
00:55:04 je ne le connais pas personnellement, mais je l'ai beaucoup lu,
00:55:06 qui vient dire que quand des gens disent « mais ce n'est pas des cellules d'antibiotiques »,
00:55:09 « oui, mais on sait, mais ça marche de la même manière ».
00:55:11 Non.
00:55:12 Le professeur Goldman, ça ne peut pas marcher de la même manière, et vous le savez.
00:55:16 Il y a conflit d'intérêt.
00:55:18 Je ne veux même pas aller là-dedans.
00:55:20 Je crois que quand quelqu'un attrape un cancer en démontrant que c'est lié à l'injection,
00:55:28 mais reste dans sa dérive, ça devient psychiatrique.
00:55:33 Ici, en fait, dans la même étude, page 47, ils disent quand même qu'ils ont étudié la biodistribution,
00:55:38 donc les lipoparticules dans lesquelles se trouve la NMSAG,
00:55:43 et effectivement, ça se retrouve partout dans le corps.
00:55:45 Donc ça, ils ont fait.
00:55:46 Sur des rats.
00:55:47 C'est un papier sur des rats.
00:55:48 Oui, c'est ça, exactement.
00:55:49 Et ça se trouve notamment dans les ovaires, même si c'est en petite quantité, mais de toute façon, c'est le cas.
00:55:53 Moi, ce que je voulais savoir, c'est que quand tu parlais de tout ça,
00:55:56 est-ce que ce sont la RNMSAG qui se retrouve un peu partout dans le corps,
00:55:59 ou c'est la protéine SPAC, ou c'est les deux qui se retrouvent un peu partout dans le corps ?
00:56:02 Il faut bien être clair.
00:56:04 Quand j'injecte chez une personne, toi par exemple,
00:56:07 la plus grande partie de l'ARN encapsulée va être prise dans l'interstitium de l'organe où j'injecte.
00:56:14 Donc dans le bras, par exemple.
00:56:16 Voilà, j'injecte pas dans une vanne.
00:56:18 Donc 80% vont sans doute passer.
00:56:20 Mais il y a un truc qui passe.
00:56:21 Il y a une perfusion sanguine.
00:56:23 Et si on fait bien, théoriquement, une intra-musculaire n'est pas une IV.
00:56:27 Mais seulement, quand on injecte en intra-musculaire, on sait toujours qu'il y a un petit débordement IV.
00:56:31 Mais il y a des gens qui n'ont pas fait attention, c'est parti en IV.
00:56:33 Si on injecte en IV, en intraveineuse pour les gens qui ne sont pas dans le domaine biomédical,
00:56:38 alors ça peut aller partout, et c'est la capsule avec l'ARN, pas encore SPAC.
00:56:42 Ça veut dire que d'autres cellules que le muscle peut produire,
00:56:45 SPAC à leur surface et être aussi attaquées.
00:56:47 Donc le phénomène d'auto-immunité ne se limite pas au muscle.
00:56:50 Ce qui me rassure pour le moment, c'est qu'il se limite au muscle.
00:56:53 Ça veut dire que la plus grande partie de la synthèse SPAC dans le corps des humains
00:56:57 se passe dans le bras et dans la cellule musculaire.
00:56:59 Parce que si on a...
00:57:00 Mais il se pourrait qu'on ait des thyroïdites auto-immunes,
00:57:02 il se pourrait qu'on ait des néphrites auto-immunes,
00:57:05 il se pourrait qu'on ait des hépatites auto-immunes,
00:57:07 mais on ne les voit pas encore dans la pathologie qui est rapportée.
00:57:10 Donc pour répondre à ta question de manière claire, c'est tout qui est possible.
00:57:15 D'abord, ça peut être SPAC, parce qu'elle est produite en local.
00:57:18 Ça peut être la capside qui contient le véhicule, qui contient le messager,
00:57:22 mais c'est le débordement, c'est le bolus qui déborde
00:57:27 de ce qui devrait être injecté de l'intestine musculaire.
00:57:29 Et alors la prochaine question est évidemment logique,
00:57:31 mais pendant combien de temps ?
00:57:32 Et ça, c'est magnifique, c'est comme si j'avais préparé cette interview.
00:57:36 Combien de temps est-ce qu'il reste ?
00:57:37 Donc on passe au troisième problème qui est la pharmacocinétique.
00:57:40 Donc une fois qu'il est dans notre corps et qu'il est à peu près partout,
00:57:42 combien de temps il reste ?
00:57:43 On ne sait pas en fait.
00:57:44 Oh là là, si j'avais le temps.
00:57:46 Ça, c'est le troisième problème que tu évoques.
00:57:48 La pharmacocinétique, en fait, il y a eu la technologie pour mesurer.
00:57:55 On ne sait pas répondre, ça, la technologie n'est pas au point.
00:57:58 Aussi bien pour les doses que pour la pharmacocinétique.
00:58:00 Moi, j'ai mis deux ans à voir les premiers papiers
00:58:04 qui ont mesuré le spike vaccinal dans le corps des gens.
00:58:06 Il y a trois papiers.
00:58:08 Notre publication scientifique seulement.
00:58:10 Entre fin 2021 et surtout fin 2022.
00:58:14 Donc un an après le vaccin, il y a trois papiers qui ont mesuré
00:58:17 ce que le vaccin a produisé comme spike.
00:58:19 Spike vaccinal, pas spike viral.
00:58:21 Et on sait différencier les deux et pas uniquement sur la séquence.
00:58:24 Alors qu'ils auraient dû bosser sur ça à fond.
00:58:26 Oui, ils auraient dû bosser sur ça avant de le donner.
00:58:28 En amont, oui, c'est ça.
00:58:29 En amont, en amont d'injection.
00:58:30 Mais pourquoi il n'y a que trois papiers ?
00:58:32 Parce que ce n'est pas facile d'aller mesurer une protéine exogène
00:58:35 dans un corps.
00:58:36 Ils ont dû mettre au point des méthodes.
00:58:38 Ça touche à la spectrométrie de masse.
00:58:39 Ce sont des choses très raffinées.
00:58:41 Et donc, quand ils ont pu mettre au point...
00:58:43 Et on mesure des petites quantités.
00:58:44 On mesure de la nanomole.
00:58:46 Donc c'est vraiment...
00:58:47 Je ne le reproche pas.
00:58:48 Je ne reproche pas le fait que ça n'ait pas été mesuré.
00:58:50 Je reproche le fait qu'ils savent que ce n'est pas mesurable
00:58:52 et qu'ils ont quand même injecté.
00:58:53 Et qu'ils l'ont quand même dit dans le rapport en disant
00:58:55 on n'a pas fait les études classiques.
00:58:56 C'est grave ça.
00:58:57 Parce qu'ils ont fait ça dans leur rapport.
00:58:58 Il y a Pierre Quinqueneu qui nous dit
00:59:00 qu'il y a encore dans le plasma, les cellules limitaires,
00:59:02 plus de deux ans après.
00:59:03 Oui.
00:59:04 Mais on va en parler.
00:59:05 Pour l'ami Pierre.
00:59:06 Mais ce que je veux dire c'est que
00:59:07 ces trois papiers montrent quoi ?
00:59:09 Il y a des gens chez qui c'était zéro.
00:59:10 Il y a des gens chez qui c'était un ou cinq.
00:59:12 Il y a des gens chez qui c'est dix, quarante et même deux cents.
00:59:14 Donc on inspecte en réponse.
00:59:15 Donc ce que je viens de prédire
00:59:17 et ce que j'avais prédit il y a deux ans
00:59:19 qu'il n'y a pas de posologie
00:59:20 a été mesuré deux ans après.
00:59:22 Mais tout biologisme moléculaire c'est
00:59:24 que la production d'une protéine dans un système hétérogène
00:59:26 dépend de plein de facteurs qu'on ne contrôle pas.
00:59:28 En fait ça c'est un point que je voulais...
00:59:30 Donc ça c'est pour la quantité.
00:59:31 C'est un peu la boîte de Pandore quoi.
00:59:32 Oui c'est ça.
00:59:33 Et ça c'est le point qu'il faudrait peut-être souligner
00:59:35 puisque quand on essaye de discuter
00:59:38 des effets secondaires et des problèmes
00:59:40 c'est que les gens ne font pas de lien
00:59:41 parce qu'en disant "ah mais moi je me suis fait injecter, j'ai rien eu.
00:59:43 Moi je ne me suis pas fait injecter, j'étais malade."
00:59:45 Mais au final c'est parce que...
00:59:47 Il y a une hétérogénité de réponse.
00:59:49 Les gens sont tellement différents.
00:59:51 Donc c'est dépendant de la dose, c'est dépendant de la personne,
00:59:53 c'est dépendant de leur âge, leur sexe, etc.
00:59:55 Du métabolisme, de la masse musculaire, la capacité de grâce.
00:59:57 Il est très difficile de faire le lien en fait entre ces différentes...
00:59:59 C'est en gros tant en termes de quantité qu'en termes de qualité,
01:00:03 qu'en termes de temps, etc.
01:00:04 C'est le problème.
01:00:05 Alors maintenant si on refocalise sur ce troisième problème
01:00:08 où tu essaies de me guider,
01:00:10 c'est la pharmacocinétique,
01:00:12 les études pharmacocinétiques sont encore plus dures à faire.
01:00:14 Donc déjà les doses ce n'était pas facile.
01:00:16 Et ils ont fait un court-circuit très simple.
01:00:18 Ils ont dit "les ARN c'est limité dans le temps."
01:00:21 Et ils ont dit "on sait qu'un ARN, tu sais très bien qu'un ARN messager..."
01:00:24 C'est efféminé comme on l'a dit au début de l'interview.
01:00:26 Oui, il y a un polyadenyléthyl, il y a le capping, etc.
01:00:29 On dit "oh il reste dix minutes, il reste une demi-heure."
01:00:31 Donc on va mesurer in vitro le temps de rémanence de l'ARN.
01:00:35 Donc in vitro, en laboratoire.
01:00:36 Et puis ils l'ont fait chez des animaux, et c'est tout à fait logique.
01:00:39 Mais comme ils ont besoin de stabiliser cet ARN,
01:00:42 ils n'ont pas mesuré post-injection chez l'homme.
01:00:44 Et ils ont fait l'étude sur les rats avec des grandes doses d'ARN d'ailleurs,
01:00:47 parce que les gens attaquent cette étude en disant "oui mais c'est des doses supérieures à celles du vaccin."
01:00:51 En biologie moléculaire, la dose n'est pas ce qu'il y a de plus important,
01:00:54 parce qu'une molécule peut avoir des effets énormes.
01:00:56 C'est catalytique, c'est pas stoichiométrique, ça tu comprends.
01:00:59 Donc en gros, ce qui se passe ici, c'est que la pharmacocinétique
01:01:03 est très difficile à mettre au point, elle n'a pas été faite.
01:01:05 Et c'est important parce que si on veut faire une réponse immunitaire,
01:01:10 un vaccin, ça ne reste pas des années.
01:01:12 Donc si on avait un doute, si il y a quelqu'un qui a dit "ça après deux ans, une injection",
01:01:18 ça prouve que l'ARN s'est auto-amplifié.
01:01:21 Parce qu'on parle des ARN auto-amplifiants, mais un ARN qui reste traîné sous forme de plasmide
01:01:26 parce qu'il a tous les petits éléments pour rester en parallèle du génome humain,
01:01:29 il continue, et alors six mois après, un an après, il peut toujours l'avoir.
01:01:33 Mais ça ne se passe pas chez tout le monde.
01:01:35 Mais ça c'est grave, parce que ça veut dire qu'il y a un gène exogène
01:01:39 qui reste chez certaines personnes.
01:01:42 Donc en gros, pour revenir un peu aux métaphores du début, des manuels culinaires, etc.
01:01:47 Donc plutôt qu'avoir un ARN messager qui est éphémère,
01:01:50 donc une photocopie qu'on jette dans la poubelle à la fin de la journée une fois que le plat est frais,
01:01:54 ici ce que tu dis c'est qu'ils ont aussi fait en sorte que cet ARN messager soit plus stable dans le corps.
01:02:00 Donc est-ce qu'ils ont modifié l'ARN messager de manière à ce qu'il se soit...
01:02:04 Oui, mais je ne le reproche pas. Je veux être clair avec les gens.
01:02:07 Ils n'avaient pas les moyens de calibrer une pharmacocinétique normale.
01:02:12 Alors qu'est-ce qu'ils font ? Ils se disent un ARN, si je le mets nu, il dure par exemple 15 secondes.
01:02:18 Si je mets ça, il dure une minute. Si je mets ça, il est cinq minutes.
01:02:21 Si je fais comme ça, il reste dix minutes. Si je fais comme ça, il reste un jour.
01:02:25 Donc ils ont fait du traficueillage qui est logique.
01:02:28 Toi et moi on fait la même chose au labo, comment stabiliser l'ARN ?
01:02:31 On ne crache pas dans la soupe ici. On explique aux gens ce qu'on a fait pendant des années, moi 35 ans, toi 15 ans.
01:02:38 Donc on essaye d'avoir une stabilisation et on assume, ce qui est un saut cognitif,
01:02:44 que l'ARN ne fait qu'une seule chose et qu'après il disparaît.
01:02:48 Seulement ça c'était si on avait un ARN pur. On sait qu'il y a des problèmes de purification et d'autres promoteurs, etc.
01:02:53 L'ARN ne vient pas tout seul et là on a foiré.
01:02:56 Donc si on avait un ARN pur, on aurait pu dire oui, on est sûr qu'il reste...
01:02:59 C'est éphémère et ça disparaît.
01:03:01 Voilà, mais comme c'est pas aussi simple que ça, c'était pas éphémère, ça disparaît chez certaines personnes, sans doute la majorité.
01:03:07 Je tiens à rassurer un peu les gens. On va tous pouvoir assister au procès de ces gens, rassurez-vous.
01:03:12 Ça prendra du temps. Mais il y a des gens qui vont souffrir un peu plus parce que leur physiologie
01:03:18 ou leur propre génétique a fait qu'il y a eu des effets secondaires plus profonds.
01:03:22 Et là il faudra à un moment prévoir des programmes de monitoring médical pour dire il faut vous surveiller
01:03:27 parce que si une situation est stable, ça va où ça veut vivre.
01:03:30 Mais si une situation n'est pas stable, il faut la prendre d'emblée.
01:03:33 Et on va parler par exemple des coagulations, etc.
01:03:37 Donc en gros, je crois que la pharmacocinétique n'est pas mesurable et n'est pas transférable.
01:03:44 De nouveau, raison de plus pour ne pas mettre des produits comme ça expérimentaux sur le marché.
01:03:48 Moi je pose la question, c'est même pas un produit ce truc.
01:03:51 Pourquoi c'est venu sur le bureau de l'EMA ou le bureau de la FDA ?
01:03:54 Si moi je suis le directeur de ces deux institutions, je dis vous revenez dans 20 ans quand vous avez…
01:03:58 C'est venu sur leur bureau la preuve, c'est ce dossier-là.
01:04:01 Mais après ils ont dit bon, ok, mais de toute façon je vois que vous n'avez pas étudié, on va le marquer tel quel.
01:04:06 Et puis c'est tout.
01:04:07 On couvre les effets.
01:04:08 Tu nous as tout dit de ce que tu avais vu là-dedans ?
01:04:10 Oui, ici ça couvre…
01:04:12 Il faut mettre ce papier en ligne parce que c'est trois pages.
01:04:15 Tu mets les pages essentielles.
01:04:17 Les gens savent lire, on n'invente rien.
01:04:19 Donc tous les régulateurs et tout le monde qui était impliqué savait.
01:04:24 Et alors on vient sur la définition légale de ce qu'est un vaccin ou pas.
01:04:28 Oui, c'est ça.
01:04:29 Ça c'est un truc de fin d'interview.
01:04:31 Un vaccin, on fait des fast-track pour plein de raisons.
01:04:34 Et c'est pour ça qu'il était très important de l'appeler vaccin.
01:04:37 Parce que c'est une case légale.
01:04:40 Et alors ils vont dire mais c'est logique, on ne fait pas de pharmaceutique pour les vaccins classiques.
01:04:44 Si, un nouveau vaccin classique, on doit faire la pharmaceutique.
01:04:46 Oui, parce que c'est une nouvelle technologie.
01:04:47 Non mais tu précises bien, ce n'est pas un vaccin.
01:04:49 Ah oui, non, ça, ça n'a jamais été un vaccin.
01:04:51 C'est l'application à l'immunité d'une plateforme d'expression de protéines in vivo.
01:04:57 Je vais être très long.
01:04:58 C'est un système d'expression hétérologue in vivo à des fins immunitaires.
01:05:03 Parce qu'un vaccin, je stimule directement le système immunitaire.
01:05:06 Ici, j'ai une capacité de production en interne.
01:05:08 Alors on peut appeler ça vaccin si on veut, mais ce n'est pas un vaccin.
01:05:10 Et l'abus vient du fait que le vaccin anti-cancer, parce qu'on a fait la même technologie
01:05:14 où on a pris les décès, les cèdres dendritiques, pour faire des vrais vaccins.
01:05:17 Et ça, c'est le boulot des immunologues de cancer depuis les années,
01:05:21 fin des années 70, début des années 80.
01:05:23 Et c'est un boulot magnifique.
01:05:25 J'y ai même participé quand j'étais à la VHB.
01:05:27 Donc en gros, les termes ont été abusés.
01:05:30 Mais alors, tu vas encore plus loin, puisque tu dis que non seulement on ne connaît pas la dose,
01:05:34 on ne connaît pas la biodistribution, on ne sait pas où c'est dans le corps,
01:05:38 on ne sait pas combien de temps.
01:05:40 Mais alors là, c'est vraiment la cerise sur le gâteau.
01:05:42 Tu dis qu'en plus, on ne sait pas ce qu'on injecte,
01:05:45 puisque ces mRNA ne produisent pas uniquement la protéine Spike,
01:05:51 mais produisent d'autres protéines également.
01:05:53 Est-ce que tu pourrais nous expliquer ?
01:05:54 Oui, alors là, je vais essayer d'être clair,
01:05:56 parce que c'est à la fois tellement simple pour des gens comme toi et moi,
01:05:59 et tellement compliqué pour des gens comme nous.
01:06:01 J'ai un petit métaphore sur le bras que je passerai une fois que tu as expliqué.
01:06:04 Et après, tu me diras ce que tu en penses.
01:06:06 Attention à la métaphore avec le bras, Jonas.
01:06:08 Les métaphores du bras ? Ah oui, c'est pas mal.
01:06:11 C'est mieux, c'est plus grand que la métaphore du doigt.
01:06:13 Oui, c'est clair.
01:06:14 Et c'est ce que tu appelles la fidélité de traduction.
01:06:16 Oui, oui.
01:06:17 Donc la fidélité de traduction.
01:06:18 Donc un jeune, j'ai la langue génétique à quatre mots,
01:06:22 A, T, C, G ou A, U, C, G.
01:06:25 Et ces quatre mots font des triplets,
01:06:28 ça veut dire par groupe de trois, ça correspond à un mot protéique.
01:06:32 Donc par exemple, A, A, A est traduit en un acide aminé.
01:06:36 A, T, C, c'est un autre acide aminé.
01:06:40 Et comme ça, le polymère nucléique,
01:06:43 donc l'ADN ou l'ARN, est traduit en polymère,
01:06:46 protéine qui se plie à une certaine forme et à un certain effet.
01:06:50 Et le problème, c'est que le message est unique.
01:06:55 Mais pas pour les virus.
01:06:57 Les virus ont des génomes si petits
01:07:00 qu'ils ont reçu le tour de force darwinien
01:07:03 d'encoder plus d'un message secret dans la même séquence.
01:07:07 Donc, comprenez, les cryptographes de la planète entière aimeraient,
01:07:11 tu as un message, tu le lis à la position 1 et tu le décryptes,
01:07:15 tu as un premier message, tu passes une position, tu le décryptes,
01:07:18 tu as un autre message et il est cohérent.
01:07:20 Tu passes à la position 3, tu as un autre message cohérent,
01:07:22 tu viens en -1, donc t'imagines, les virus ont réussi à encoder dans un seul gène,
01:07:28 - Ça c'est les virus qui ont fait ça ? - Oui.
01:07:30 Deux à trois protéines et ça s'appelle des ARN polycystroniques.
01:07:34 Les biologistes de première année vont comprendre ce que je dis.
01:07:37 Et c'est un système qui est réglé. Pourquoi chez les virus ?
01:07:40 Parce qu'un virus, c'est une particule inerte.
01:07:42 Disons que j'ai besoin, pour fabriquer la capsule,
01:07:44 de 10 protéines X, de 50 protéines C et de 37, oh non, de 38 protéines K.
01:07:51 Eh bien, en les encodant dans le même gène,
01:07:53 mais en des régulations différentes, je peux avoir les bons nombres.
01:07:56 Parce que le virus s'auto-assemble.
01:07:58 Et donc, avoir les bonnes quantités au bon moment,
01:08:00 ça fabrique du virus comme par magie.
01:08:02 Il n'y a pas de petit homme vert qui assemble les virus avec des clés à molettes.
01:08:06 Donc, si j'ai deux protéines A et une protéine K, ça va ensemble.
01:08:10 Donc, ces rapports stoichiométriques, ces rapports de masse
01:08:13 entre les différentes protéines doivent être contrôlés par le virus.
01:08:16 Et sa solution, c'est d'avoir encodé.
01:08:18 Alors, vous allez me dire, c'est un miracle.
01:08:20 Non, parce que beaucoup de parties de protéines ne sont pas fonctionnelles.
01:08:23 Donc, ça peut être le backbone.
01:08:24 C'est pour ça qu'on peut glisser des positions
01:08:26 et avoir des protéines différentes, tout à fait différentes,
01:08:29 qui ont des fonctions différentes dans le même gène.
01:08:31 Donc, la reine polycystronique.
01:08:33 Maintenant, je vais aller plus loin.
01:08:35 Ils savaient ça.
01:08:36 Il y a des papiers 2018, 2017.
01:08:38 Oui, on doit un peu...
01:08:40 C'est le cas de toute façon chez tous les virus, les génomes.
01:08:43 Certains virus avec quatre biologues.
01:08:44 Mais voilà, enfin, beaucoup de virus ont ce principe-là.
01:08:47 Puisque pour des raisons non seulement aussi d'espace...
01:08:50 Oui, ils ont un petit génome.
01:08:51 Oui, ils arrivent à compresser une encyclopédie entière sur quelques pages.
01:08:55 Et puis après, ils te disent, voici où tu dois commencer la lecture.
01:08:58 Et tu dois décomprimer.
01:08:59 Oui, donc c'est en gros un système qui est évolutif.
01:09:02 Ça fait des milliards d'années.
01:09:04 Les virus et les bactéries, ils ont des reculs bien plus que la vie multicellulaire,
01:09:07 qui a mi-milliard d'années.
01:09:08 Eux, ils ont quelques milliards de reculs.
01:09:10 Donc, ils ont pu évoluer des solutions de ce genre-là d'un point de vue génétique.
01:09:13 Et c'est bien.
01:09:14 Et c'est même un système très intéressant,
01:09:16 parce qu'il s'agit d'avoir des applications, peut-être même en pharmacologie.
01:09:19 Mais ici, on a un problème.
01:09:21 Ça veut dire qu'ils disent, on va contrôler la première position.
01:09:25 Alors, c'est logique.
01:09:26 On dit, si on n'a pas le frame shift, le glissement de la phase de lecture,
01:09:31 on va commencer au start.
01:09:33 Mais on n'a pas les outils pour être sûr que ça se passe à 100 %.
01:09:37 Le virus, il a ses propres outils.
01:09:39 À côté de son géome, il a quelques protéines.
01:09:41 Et il contrôle ça très bien.
01:09:43 Nous, ce n'est pas notre système.
01:09:44 Mais pas les dieux, quoi.
01:09:45 Alors ici, je voudrais juste te donner un exemple.
01:09:48 Et tu pourrais me dire ce que tu en penses.
01:09:50 En tout cas, pour une partie de nos internautes,
01:09:53 je parle surtout des internautes qui sont un peu moins jeunes,
01:09:56 donc les gens légèrement plus âgés,
01:09:59 se souviennent encore du code Morse qui est utilisé, par exemple,
01:10:02 pendant la guerre pour communiquer dans un bateau ou autre chose,
01:10:06 des messages.
01:10:07 Et le code Morse, en fait, c'est basé sur des BIP,
01:10:10 donc des cours et des dons.
01:10:12 Mais là, par exemple…
01:10:13 C'est des triplés aussi ?
01:10:14 C'est des triplés aussi, enfin, pour la majorité.
01:10:17 Donc, si on donne un code S, c'est par exemple trois petits BIP,
01:10:21 et puis le O, pour SOS, c'est trois longs et trois courts.
01:10:26 Trois courts, trois longs, trois courts.
01:10:28 BIP, BIP, BIP, BIP, BIP, BIP, BIP.
01:10:30 Voilà.
01:10:31 Mais le problème, c'est que si ce cadre de lecture,
01:10:33 on le déplace et qu'on supprime le premier,
01:10:36 ça ne fait que deux BIP, trois longs.
01:10:38 BIP, BIP, BIP.
01:10:39 Voilà.
01:10:40 C'est un autre message.
01:10:41 Et à ce moment-là, ce n'est plus un S que l'on a,
01:10:43 c'est par exemple un V ou un E ou un numéro 3.
01:10:45 Tu as contrôlé ?
01:10:46 Oui, j'ai contrôlé, oui.
01:10:47 C'est bien, donc c'est très clair.
01:10:48 Donc en fait, c'est là où c'est important que le cadre de lecture soit correct,
01:10:51 parce que si on commence à entendre le message,
01:10:55 à la position 2,
01:10:56 quelqu'un nous communique, on est sur un bateau,
01:10:59 et tout d'un coup, quelqu'un m'appelle en disant,
01:11:00 on est en train de recevoir du code,
01:11:02 si j'arrive au mauvais moment,
01:11:04 je vais mal interpréter le code qu'il nous a envoyé.
01:11:06 Donc plutôt qu'avoir un langage qui consiste à dire,
01:11:11 tourne à gauche, en fait, on commence en plein milieu du message,
01:11:15 et le même code va changer.
01:11:17 Tu veux dire que s'il commençait au 3e bip et qu'il revenait jusqu'au 1er,
01:11:21 ça signifie autre chose ?
01:11:22 Oui, c'est ça, ça veut dire que 1 bip, dans le langage mort, c'est un E,
01:11:27 3 bips, c'est un O.
01:11:28 Mais 2 bips, ce n'est pas la même chose.
01:11:30 Donc en fait, en fonction du cadre de lecture,
01:11:32 de là où on commence la lecture,
01:11:34 ça va changer le message complètement.
01:11:35 Mais le génie de la biologie, c'est que le message fait du sens.
01:11:38 Et si tu appliques ça au…
01:11:40 Voilà.
01:11:41 C'est ce que je suis en train de faire.
01:11:42 Et donc ce que tu commençais à dire, et après je te recède la parole,
01:11:45 c'était de dire que les virus, eux, ont leur cadre de lecture.
01:11:48 Ils disent, voilà, on va commencer la lecture ici pour pouvoir…
01:11:51 Ils ont trois ou quatre cadres de lecture.
01:11:53 Voilà, et donc ils disent, voilà, pour produire la protéine Spike,
01:11:55 on va commencer la lecture ici, pour produire la protéine, une autre protéine,
01:11:59 on va commencer ici.
01:12:00 Et ce que toi, tu es en train de dire, c'est que quand nous,
01:12:02 on a essayé d'imiter cet ARN messager pour le vaccin,
01:12:05 qui devrait produire la Spike,
01:12:07 parfois, il y a des glissements de cadre de lecture.
01:12:09 Donc, il ne va plus produire la protéine Spike qui va nous immuniser,
01:12:12 mais il va produire une autre protéine complètement, donc un autre langage.
01:12:16 C'était connu.
01:12:18 Et il y a quand même beaucoup de biologistes qui sont encore honnêtes
01:12:21 et qui essaient de démontrer ça.
01:12:22 Et ça a été démontré dans un papier dans Nature récemment.
01:12:24 En peu d'eau, on en dirait ?
01:12:26 Oui, avec…
01:12:27 Oui, un peu d'eau.
01:12:28 Ce serait appréciable.
01:12:30 Et donc, tant qu'on…
01:12:31 On peut avoir autre chose de l'eau ?
01:12:32 Oui.
01:12:33 Et tant qu'on attend de l'eau, d'ailleurs, pour les internautes qui sont plus jeunes,
01:12:36 c'est pareil dans le langage codé,
01:12:38 enfin dans le langage de programmation d'ordinateur.
01:12:40 Quand on utilise C++ ou Python ou Java,
01:12:43 si on met un point ou un point virgule ou un tiré au mauvais endroit,
01:12:47 le logiciel ne fonctionne pas.
01:12:49 Donc, il y a quand même un cadre de lecture.
01:12:50 Il y a un syntaxe à respecter.
01:12:52 Je reviens toujours à mon truc.
01:12:54 Ça, c'est chez l'humain, où il y a des messages « garbage »,
01:12:57 on ne sent pas de sens.
01:12:58 Chez le virus, le message fait du sens.
01:13:00 C'est ça qui est magique.
01:13:01 Donc, on peut glisser et avoir un second message
01:13:03 qui est parfaitement lisible et compréhensible et qui est une vraie protéine.
01:13:07 Alors, on a d'autres protéines.
01:13:08 Et il y a un papier qui avait montré ça aussi fin 2002, début 2023,
01:13:13 qui a dit qu'il y a d'autres protéines,
01:13:15 parce que le point moléculaire est un peu différent.
01:13:17 Mais chercher les protéines inconnues…
01:13:19 Et qu'est-ce qui produit comme protéines, par exemple ?
01:13:20 On n'en sait rien.
01:13:21 On n'en sait rien.
01:13:22 Donc, en gros, ce que…
01:13:23 Il faudrait faire une étude, ce qu'on appelle une silicose,
01:13:25 c'est-à-dire regarder les différentes frames de lecture,
01:13:27 donc regarder les différentes positions,
01:13:29 regarder ce que ça prédit comme protéines,
01:13:31 comme séquences dans les bases de données,
01:13:33 et voir…
01:13:34 Et il n'y a pas que des protéines entières.
01:13:36 Merci beaucoup.
01:13:37 Et aussi, on a des verres, maintenant.
01:13:39 Ça fait…
01:13:40 Mais donc, en gros, ce que tu dis,
01:13:42 c'est qu'il faudrait regarder l'alphabet Morse
01:13:44 et dire si on supprime un des points ou un des tirés,
01:13:47 qu'est-ce que ça donne comme message ?
01:13:49 Oui.
01:13:50 Mais l'équivalent pour les virus.
01:13:51 Donc, au lieu de produire du spike,
01:13:53 on va produire d'autres protéines.
01:13:55 Oui, mais ça, je l'ai dit.
01:13:56 Mais on ne sait pas lesquelles.
01:13:57 On ne sait…
01:13:58 Parfois, c'est d'autres protéines,
01:13:59 et parfois, c'est des motifs.
01:14:00 Parce qu'un bout de protéines,
01:14:01 disons que c'est du garbage.
01:14:03 Servez-lui l'apéro qu'il commence à parler.
01:14:05 Mais il est déjà commencé, Arthur.
01:14:07 Non, ce n'est pas vrai.
01:14:08 Ceci n'est pas de la vodka, c'est de l'eau.
01:14:10 C'est d'ailleurs.
01:14:11 Donc, si on glisse de position
01:14:13 et qu'on a une séquence qui ne fait peu de sens,
01:14:17 on peut avoir des motifs qui font du sens.
01:14:19 Et par exemple, il y a des motifs amyloïdes
01:14:21 qui ont été repérés comme ça par les glissements.
01:14:23 Donc, on a un zoo de protéines qu'on ne contrôle pas.
01:14:26 Et est-ce que ça se passe fréquemment ?
01:14:29 Ça, je n'en ai aucune idée.
01:14:30 Parce que ça va dépendre de la dose d'ARN,
01:14:33 ça va dépendre du cycle cellulaire.
01:14:34 De la personne.
01:14:36 De la personne, etc.
01:14:37 Mais donc, un produit dont on n'est même pas sûr,
01:14:41 on est sûr de ce qu'on injecte à 90%,
01:14:44 mais on n'est pas sûr des 20% restants qui produisent n'importe quoi.
01:14:47 Et ça, c'est qu'un des problèmes de fidélité.
01:14:49 Il y en a deux autres.
01:14:50 Il y a un autre problème, c'est la contamination.
01:14:53 Alors, il y a des contaminations en biologie
01:14:55 qui sont spontanées et difficiles à éviter.
01:14:57 Quand je fais de la biologie moléculaire, on la fout là-bas.
01:14:59 Contamination endogène, tu parles de...
01:15:01 Contamination via la technique.
01:15:03 Quand moi, je manipule déjà les jaunes associés,
01:15:05 on ne le fait pas en prenant déjà avec des pincettes.
01:15:08 OK, on les met dans des vecteurs,
01:15:10 on les met dans des trucs circulaires, non circulaires.
01:15:12 On a des enzymes, on a des tics plutôt moléculaires pour couper.
01:15:15 On doit les voir.
01:15:16 Donc, on met une couleur devant.
01:15:17 Tu as fluorescence verte, rouge, bleue.
01:15:21 Tu peux voir au microscope ou dans des machines
01:15:23 qui trient les cellules et qui parviennent à les purifier.
01:15:25 On peut mettre la cellule verte à gauche,
01:15:27 les cellules non colorées à droite, cellules vertes.
01:15:29 Et donc, c'est comme ça qu'on peut modifier une cellule
01:15:31 et la récupérer parce que la transformation cellulaire
01:15:34 est un peu randomisée.
01:15:35 On ne sait pas prédire s'il y a 100%, 10%, 20% de cellules
01:15:38 qui vont prendre le jeûne.
01:15:39 Donc, on a des reporters.
01:15:40 Les reporters, c'est des petits jeûnes
01:15:43 qui expriment des protéines qui n'ont rien à voir
01:15:45 avec ce que je veux faire.
01:15:46 Bon, quand j'ai fini mon boulot, c'est ma boîte à outils.
01:15:49 Je dois couper les outils et les retirer.
01:15:51 C'est le plâtrier qui vient faire ton calage dans ta cuisine,
01:15:54 dans ta salle de bain.
01:15:55 Quand il a fini, il reprend son plâtre,
01:15:57 il reprend ses cellules et il nettoie.
01:16:00 Les biologistes moléculaires de Pfizer et de Moderna
01:16:03 n'ont pas toujours tout nettoyé derrière eux.
01:16:05 Ça veut dire que quand ils nous injectent,
01:16:06 il y a encore les équivalents de la poussière, des plâtres,
01:16:09 des trucs comme ça.
01:16:10 Par exemple, il y a un rapport qui est sorti
01:16:12 où on avait des séquences de SV40.
01:16:15 On dit que c'est un promoteur du cancer.
01:16:16 Ça ne me fait pas peur pour la promotion du cancer.
01:16:18 Moi, c'est la preuve que les outils sont restés sur place.
01:16:21 Ça, c'est des contaminations.
01:16:23 C'est des contaminations et c'est encapsulé.
01:16:25 Donc, ce n'est pas vraiment...
01:16:27 Et on ne sait pas l'enlever parce que quand on purifie,
01:16:29 l'ARN encapsulé dans son liposome,
01:16:31 on va purifier le déchet avec.
01:16:35 Donc, on ne sait pas les enlever.
01:16:37 C'est du déchet lié à la technologie.
01:16:39 On aurait dû faire ça upstream.
01:16:41 Et ça, ça demande des frais coûteux.
01:16:43 C'est encore plus de frais de purifier au maximum
01:16:46 et de retirer tous les outils.
01:16:47 Donc, la pollution par les outils existe, premièrement.
01:16:50 Et puis, il y a la pollution randomisée, batch to batch.
01:16:52 C'est le dernier problème.
01:16:53 Ça veut dire qu'on a vu, notamment chez Astra,
01:16:55 chaque produit qu'on doit sortir.
01:16:58 Quand on fait une chaîne de production,
01:17:00 par exemple, 1 million de doses, 5 millions ou 100 000 doses,
01:17:02 on a ce qu'on appelle un batch, c'est-à-dire un processus, un lot.
01:17:06 Et le lot, on a des centaines de papiers.
01:17:09 On a fait ça, t'as dit tout à l'heure.
01:17:10 On a utilisé X millilitres d'eau,
01:17:12 X centaines de litres d'alcool, quoi qu'on fasse.
01:17:14 On doit, et avec les numéros de lot, de tout.
01:17:17 Et donc, ça s'appelle un Master Batch Record, MBR,
01:17:19 qui est certifié par un pharmacien d'industrie
01:17:22 qui dit tout a été respecté.
01:17:23 On a respecté toutes les normes.
01:17:25 Donc, nous, on a fait ce qu'on a pu.
01:17:27 C'est les Good Manufacturing Practices.
01:17:30 Et on est légalement couverts,
01:17:31 parce qu'on a fait tout ce que le législateur,
01:17:33 ou tout ce que la pratique courante,
01:17:35 et aussi la safety.
01:17:37 Donc, on a respecté toutes les normes.
01:17:39 Il faut prendre le temps pour ça.
01:17:40 Il faut prendre le temps, et il faut surtout avoir la traçabilité.
01:17:42 Mais il y a une batch, c'était tellement,
01:17:44 on veut vendre très vite,
01:17:45 qu'ils n'ont pas toujours fait les contrôles de qualité à douane.
01:17:47 Donc, il y a trois problèmes.
01:17:49 La fidélité non respectée est liée au fait
01:17:52 que l'ARN viral peut faire plusieurs choses à la fois.
01:17:55 Il y a les contaminations endogènes liées aux outils
01:17:58 qui ne sont pas faciles à enlever.
01:18:00 Et puis, il y a les contaminations liées
01:18:03 à un processus de contrôle de qualité,
01:18:05 fait à la va comme je te pousse.
01:18:06 Et donc, tout ça, c'est dans la fidélité du produit.
01:18:09 Avec bêtement du Valium ou de l'aspirine,
01:18:12 ça ne se passe pas, ça.
01:18:13 On a un pic.
01:18:15 Donc, la chimie classique avait l'avantage d'être propre.
01:18:18 Donc, non seulement on ne contrôle pas
01:18:21 la quantité de ce qu'on nous a injecté
01:18:23 en termes d'ARN messager,
01:18:25 on ne connaît pas la qualité,
01:18:27 on ne connaît pas la distribution dans le corps,
01:18:29 on ne connaît pas combien de temps il passe dans le corps.
01:18:31 Et tu dis en plus qu'il nous reste encore un problème à traiter.
01:18:37 Ca ne s'arrête même pas là encore.
01:18:39 Il y a encore un dernier problème.
01:18:41 Ce qui est marrant, quand tu le dis comme ça,
01:18:43 et notre ami journaliste dit, mais qu'est-ce qu'on connaît ?
01:18:46 Les vrais scientifiques,
01:18:47 ils reconnaissent qu'ils ne connaissent pas grand-chose.
01:18:49 Je l'ai dit, chaque fois qu'un scientifique dit,
01:18:51 je suis sûr à 100%, vous avez un con en face de vous,
01:18:53 qu'il ferait mieux d'aller à l'église.
01:18:55 Quelle que soit sa dénomination,
01:18:57 notre ami Marc Van Rens, c'est un mystique.
01:18:59 Ah, Marc Van Rens.
01:19:00 Ah oui, l'inénarrable.
01:19:02 Un seul, c'est le type qui disait,
01:19:04 un hète, un kirche, un god, un biologiste.
01:19:07 Non, ce type est fou.
01:19:09 Je vous le dis comme ça parce qu'il nous a mis dans une mise pas croyable.
01:19:12 Et c'est lui, avec d'autres, qui a dit, il faut une seule doxa.
01:19:16 Et on dit, tous les autres sont des complotistes ou des fous,
01:19:20 ou des harcèleurs, parce que tu as dit la vérité,
01:19:24 alors qu'on dit, c'est peut-être pas vrai,
01:19:26 et que tu le dis deux fois, tu harcèles.
01:19:28 Mais le problème est que ça ne s'arrête pas là.
01:19:31 En effet, il y a un autre...
01:19:33 Une baisse d'immunité, tu veux dire.
01:19:35 Oui, et c'est ça, la seule chose qui me fait vraiment peur.
01:19:38 Alors, tu en parlais tout à l'heure,
01:19:41 tu disais, mais attendez,
01:19:42 est-ce qu'il n'y a pas une baisse d'immunité qui n'est pas...
01:19:45 Non, il y a une attaque auto-immunitaire.
01:19:47 Il y a les deux qui se passent.
01:19:48 Oui, c'est ça. Alors, les deux semblent contradictoires,
01:19:50 mais tu peux expliquer pourquoi ils ne sont pas contradictoires.
01:19:53 Non, donc, comme on utilise une mauvaise cellule
01:19:56 pour présenter un antigène au système immunitaire
01:19:59 et qu'on ouvre la porte à un risque d'auto-immunité,
01:20:01 ça, ça se passe, c'est des inflammations,
01:20:03 système immunitaire qui attaque un type cellulaire global dans le corps.
01:20:06 En parallèle, chez X% des gens,
01:20:09 ce qu'on a vu, c'est que des gens, post-vaccin,
01:20:12 attrapent des zonas.
01:20:14 Alors, le zona, c'est banal, ça fait mal, c'est chiant,
01:20:17 mais c'est banal.
01:20:18 Mais un zona, quand on a fait le virus de la varicelle est anti,
01:20:22 ou quand on est vacciné,
01:20:25 ça veut dire que le virus, il reste,
01:20:27 quand on l'a fait ou qu'on est vacciné,
01:20:28 il est dans nos systèmes nerveux.
01:20:29 Restant de la vie ?
01:20:30 Oui, toute la vie.
01:20:31 Il reste, il est contrôlé par le système immunitaire.
01:20:33 Il est emprisonné quelque part dans notre corps ?
01:20:35 Non, il n'est pas qu'emprisonné.
01:20:36 Il est non seulement emprisonné dans les cellules neurales,
01:20:39 dans les racines dorsales de nos nerfs sensitifs,
01:20:43 mais en plus, il est contrôlé,
01:20:45 il ne peut pas se reproduire, le système immunitaire lui dit « ta gueule ».
01:20:47 On lui fout des baffes.
01:20:49 Donc, en gros, ce virus est contrôlé.
01:20:52 Quand le zona revient,
01:20:54 et ça revient, c'est les fameux boutons de fièvre,
01:20:56 c'est des zonas, quand on a une baisse immunitaire,
01:20:58 ça peut être dû à un stress,
01:21:00 ça peut être dû à un décès,
01:21:01 parce que notre système immunitaire est influencé par nos émotions aussi,
01:21:03 donc on peut aussi, manque de vitamine D,
01:21:05 donc on peut avoir plein de raisons d'être...
01:21:07 Mais on voit qu'entre 2 et 3% des gens,
01:21:11 quand ils injectent, ils attrapent un zona
01:21:13 qui dure entre 6 semaines et 3 mois.
01:21:15 Les Israéliens, on avait vu, ils avaient une fréquence au début d'1,4%
01:21:18 et puis d'1,8%.
01:21:19 On a vu ça dans 12 pays, très vite.
01:21:21 Donc, dans les 6 premiers mois de 2021,
01:21:24 on avait des zonas un peu partout,
01:21:25 et on dit « ouais », et personne ne s'y intéressait.
01:21:28 Mais moi, je suis un ancien clinicien,
01:21:29 je me dis, un zona chez les gens qui sont vaccinés,
01:21:32 contre le virus qui donne le zona,
01:21:34 ou qui ont fait la maladie d'enfantile,
01:21:36 je me dis, ça, c'est...
01:21:38 Et tous les médecins, je ne connais aucun médecin en Belgique
01:21:40 qui va oser dire que j'ai tort,
01:21:42 c'est une immunosuppression temporaire.
01:21:45 Un zona chez un adulte qui avait déjà rencontré l'HVZ
01:21:49 ou qui est vacciné contre,
01:21:50 c'est une immunosuppression temporaire.
01:21:53 Alors, pour utiliser...
01:21:54 Pour aller plus loin, pardon de t'interrompre.
01:21:57 Quand tu as une immunisation temporaire,
01:21:59 tu ouvres la porte à plein de choses,
01:22:01 et on va en parler.
01:22:02 Oui, c'est ça.
01:22:03 Donc, en gros, pour utiliser le langage un peu plus vulgaire,
01:22:05 on flingue notre immunité pendant un certain moment
01:22:08 avec ces injections.
01:22:10 En gros, c'est ça.
01:22:11 Il y a une baisse d'immunité.
01:22:12 Et on ne sait pas combien de temps.
01:22:13 Si on sait, ça va durer quelques semaines à trois mois.
01:22:16 Parce qu'après, la preuve que ça remonte,
01:22:18 c'est que le zona part.
01:22:19 Sinon, le zona serait chronique à vie.
01:22:20 Et comment se fait-il que la baisse d'immunité,
01:22:22 qui explique donc que le zona, en fait, en gros,
01:22:25 c'est quand je disais qu'il est emprisonné,
01:22:26 c'est-à-dire qu'on ouvre la porte de prison,
01:22:28 il sort ou il ne sort pas.
01:22:29 Mais en gros, il y a une baisse immunitaire.
01:22:30 Oui.
01:22:31 Mais comment...
01:22:32 Enfin, quel est le mécanisme par lequel le fait de...
01:22:34 Le fait d'injecter une ARN à un messager qui produit du spike
01:22:39 influence notre immunité comme ça?
01:22:41 Il y a, pour le moment, deux ou trois mécanismes
01:22:45 qui sont viables.
01:22:46 Ils peuvent peut-être se passer en parallèle.
01:22:48 On ne sait pas que...
01:22:49 Des hypothèses ou...
01:22:50 Ce ne sont pas des hypothèses.
01:22:51 Ce sont des mécanismes qui se passent.
01:22:52 Parce qu'on connaît l'immunité innée.
01:22:53 Quand on parle d'hypothèse, c'est-à-dire qu'on a trois
01:22:55 ou trois explications possibles.
01:22:57 On ne sait pas encore choisir celle qui fait le plus de sens.
01:22:59 Mais en gros, le système immunitaire inné,
01:23:01 il ne reconnaît pas une forme.
01:23:03 Le système immunitaire normal, c'est comme une clé et une serrure.
01:23:06 Il reconnaît une forme.
01:23:07 Que ce soit l'anticorps, que ce soit l'immunoglobuline
01:23:09 qui est sur une cellule à mémoire,
01:23:11 elle reconnaît quelque chose de très précis.
01:23:13 Et elle reconnaît en fait des petites peptides.
01:23:15 Ça, c'est très sélectif.
01:23:17 Ça veut dire qu'on peut s'immuniser contre le virus de la grippe
01:23:19 et pas contre le virus de l'urume.
01:23:20 On peut s'immuniser contre le virus de la papouétase inverse
01:23:22 et pas contre un autre.
01:23:23 J'invente des termes ici, si vous permettez.
01:23:26 Donc, on reconnaît un truc précis et pas le reste.
01:23:29 Le système immunitaire inné, il ne fonctionne pas
01:23:31 sur base de reconnaissance moléculaire.
01:23:33 Il reconnaît le patois de la langue ADN ou ARN.
01:23:36 Et on appelle ça les toll-like receptors.
01:23:38 C'est des récepteurs de patterns.
01:23:39 Ça veut dire qu'il y a toute une famille,
01:23:42 ils sont quand même près de neuf,
01:23:44 c'est des familles de récepteurs qui reconnaissent le fait
01:23:47 que les codons, les séquences qu'ils voient,
01:23:50 ne viennent pas du corps.
01:23:52 Ils ne sont pas humains.
01:23:54 C'est d'une reconnaissance, en gros,
01:23:56 c'est comme si on reconnaissait à l'enveloppe du message
01:23:59 qu'elle n'est pas partie de ce bureau de poste-là.
01:24:02 Donc, il y a des enveloppes, tu n'ouvres pas le message,
01:24:05 mais tu vois que le message ne peut pas venir de Belgique.
01:24:09 Le timbre est différent.
01:24:11 Voilà, par exemple, ce n'est pas une bonne comparaison,
01:24:13 mais en gros...
01:24:14 Oui, mais enfin, c'est exogène, c'est extérieur à notre corps.
01:24:16 Et qu'est-ce qu'il fait ?
01:24:17 Il s'immunise contre ces séquences d'ADN ou d'ARN,
01:24:20 mais ce n'est pas une immunité par anticorps,
01:24:22 c'est avec des enzymes de restriction,
01:24:24 c'est tout ça, il les détruit.
01:24:26 Là, tu sais.
01:24:27 Et c'est un système qui a des réponses de 2-3 semaines.
01:24:30 Et par exemple, on a des immunités croisées,
01:24:32 parfois quand on s'immunise contre un germe X, Y ou Z,
01:24:36 on se protège aussi contre d'autres germes,
01:24:38 parce que ce système, c'est le moteur de base de l'immunité,
01:24:41 c'est le garde-chiombe, ça veut dire que ça augmente le moteur
01:24:44 de tous les autres principes immunitaires.
01:24:46 Et c'est l'immunité innée qui est non spécifique.
01:24:48 Donc, si elle monte en puissance, elle bloque d'autres choses
01:24:52 que, par exemple, le trigger qui l'a immunisé.
01:24:54 Donc, ça veut dire qu'un virus X peut vous protéger
01:24:57 contre un virus Y qui est différent,
01:24:59 parce qu'ils sont là au même moment,
01:25:01 mais il y en a un qui a fermé la porte.
01:25:03 Mais si on a un produit qui ouvre la porte,
01:25:05 au même moment, il y a d'autres choses qui peuvent rentrer.
01:25:08 Et qu'est-ce qu'on fait avec la méthylpsédoridine ?
01:25:10 La méthylpsédoridine, c'est des bases modifiées.
01:25:13 Et ces bases modifiées sont physiologiques.
01:25:15 Il ne faut pas croire que c'est de la chimie raffinée
01:25:17 par un génie humain.
01:25:18 Non, on en trouve cinq ou six.
01:25:20 Et ces bases modifiées, il y a la cytidine modifiée,
01:25:23 il y a deux uridines, il y a la 1-méthyl et la 6-méthyl.
01:25:26 Donc, on a des bases modifiées.
01:25:28 Et on a découvert ça, bon, il y a plus de 20 ans.
01:25:31 Et on a étudié, parce que ça fait partie
01:25:33 de la régulation des ARN.
01:25:34 Quand on parle d'un ARN et qu'on doit fabriquer une protéine,
01:25:37 ce n'est pas uniquement une lecture.
01:25:39 C'est combien de protéines, c'est quand, c'est comment.
01:25:42 On la stoppe quand ?
01:25:44 Et ça, c'est les ARN modifiés qui font, qui règlent.
01:25:47 Et les ARN interférents, ce qu'on appelle SIRN.
01:25:50 C'est-à-dire qu'il y a tout un monde ARN qui règle la traduction,
01:25:53 la qualité de la traduction et la quantité de traduction
01:25:56 du message en produit.
01:25:58 Et c'est un domaine de recherche.
01:26:00 Ça justifie presque toute l'interview de base en disant,
01:26:02 on ne sait pas, parce que ces ARN modifiés,
01:26:04 on commence à connaître leurs fonctions.
01:26:06 Alors, on a deux, trois fonctions.
01:26:08 On en découvre encore maintenant des nouvelles.
01:26:10 La méthylpsoduridine avait deux qualités, qu'on lui connaît.
01:26:14 Quand on la met dans une séquence,
01:26:16 elle se consolide la séquence, ça veut dire qu'elle est moins habile.
01:26:19 C'est comme si on avait des wagons de train
01:26:21 et que la tâche entre deux wagons est plus solide.
01:26:24 Devant le wagon, la méthylpsoduridine fait une tâche plus solide.
01:26:27 Donc, ça rallonge la durée de vie des ARN.
01:26:29 C'est simple.
01:26:30 Mais la méthylpsoduridine fait une autre fonction.
01:26:34 C'est que la position devant elle, elle est randomisée.
01:26:38 Donc, par exemple, j'ai une séquence,
01:26:40 ATCG, ATCGU, bla bla bla,
01:26:43 et puis j'ai une méthylpsoduridine, donc une MPU.
01:26:46 Devant la MPU, je peux mettre n'importe quoi par la machinerie cellulaire
01:26:51 parce que c'est une position qui est indiquée, il faut la randomiser.
01:26:54 Cette randomisation, ça veut dire qu'il y a des petites billes.
01:26:57 Supposons que j'ai quatre billes génétiquement, j'ai A, T, U, G.
01:27:00 Donc, j'ai des billes de couleurs différentes.
01:27:02 Si je dois avoir théoriquement devant cette méthylpsoduridine
01:27:05 toujours une bille rouge dans la séquence protéique virale,
01:27:07 dans la séquence d'ARN virale,
01:27:09 et que je mets une méthylpsoduridine,
01:27:11 je vais avoir devant cette méthylpsoduridine n'importe quelle couleur.
01:27:15 - Oui, parce qu'il y a des gens qui vont décrocher, à mon avis.
01:27:18 - Oui, c'est ça. En gros, je fais du randomisation.
01:27:21 Quand je randomise une séquence, je fais de grandes importances.
01:27:24 - Ça veut dire, en gros, pour reprendre le code Morse,
01:27:27 que tu vas mettre au hasard un point ou un tillet,
01:27:29 et ça va changer complètement le message,
01:27:31 et donc le produit que ça va produire dans notre cosse,
01:27:33 c'est-à-dire le protéine spike ou autre chose.
01:27:35 - Alors, ce qui se passe ici, c'est qu'il n'y en a pas qu'une de méthylpsoduridine.
01:27:39 Il y en a plusieurs centaines dans la séquence de 1400.
01:27:42 - Oui, mais il y a des choses à très basse fréquence qui se font 0,1 % des fois,
01:27:45 ou 0,2 %, et qu'on en met 200, ça fait 40 %.
01:27:48 Donc, on pourrait arriver à une situation où une molécule d'ARN messager sur deux
01:27:51 fait n'importe quoi.
01:27:53 - Et ça, c'est lié à la baisse immunitaire ?
01:27:56 - Non, c'est lié à la méthylpsoduridine.
01:27:58 J'ai dit il y a trois effets de la méthylpsoduridine.
01:28:01 Et maintenant, la méthylpsoduridine, elle défend, elle inhibe aussi
01:28:05 la réaction d'immunité contre les ARN exogènes,
01:28:08 et c'est dans le papier de Quirico, donc les prix Nobel,
01:28:11 qui ont dit voilà, on avait ce problème, il y avait une réaction immune
01:28:14 contre l'ARN synthétique, en utilisant la méthylpsoduridine
01:28:17 dans telle et telle position, en telle et telle quantité, il passe.
01:28:20 Et ils en sont fiers.
01:28:22 Donc, ils ont dû tuer l'immunité innée.
01:28:25 Mais le problème, c'est que l'immunité innée n'est pas spécifique.
01:28:28 Donc, si je tue l'immunité innée, même pour les trois semaines,
01:28:31 soi-disant, d'un produit, pendant trois semaines, j'ouvre la porte à d'autres choses.
01:28:34 Et qu'est-ce qu'on voit, les autres choses, maintenant, les symptômes ?
01:28:37 C'est que beaucoup de gens ont fait SARS-CoV-2 après le vaccin.
01:28:40 Donc, ça veut dire qu'ils avaient le virus entre eux, leur immunité naturelle,
01:28:43 le contrôle, ils se sentent bien parce que ce virus avait une très faible morbidité,
01:28:47 une extrêmement faible mortalité si on était en dessous de 60 ans.
01:28:50 Pour le rappeler, c'était pas un tueur.
01:28:52 Donc, les gens se sentaient bien, ils avaient leur virus et on s'en fout.
01:28:55 Ils prennent le vaccin, le vaccin fait un dippe immunitaire chez 3% des gens,
01:28:59 il s'active, on a le virus. Et c'est quand même pas mal.
01:29:03 C'était déjà dans les données de Pfizer au moment du dossier à l'EMA et à l'FMA.
01:29:07 Il y avait un petit peu de décalage.
01:29:10 À la FDA, ils voyaient, ils ont dû retirer 400 personnes de leurs cohortes vaccinées
01:29:14 parce qu'ils ont fait le SARS après le vaccin.
01:29:17 Ils ont dit, ça noue le signal, donc on les retire.
01:29:20 C'est un effet de leur produit.
01:29:22 Donc, en fait, on peut avoir des vaccins qui donnent, ouvrir la porte au virus.
01:29:26 On peut avoir une ouverte-porte aux bactéries.
01:29:28 Imaginez que je suis en dippe immunitaire, je peux avoir une bactérie, je peux avoir des...
01:29:33 Les gens qui ont les nez qui coulent sans arrêt depuis qu'ils sont vaccinés,
01:29:36 ils sont en dippe immunitaire à chaque fois qu'ils font des doses de vaccin.
01:29:39 Donc, au plus on se vaccine, au plus on est en dippe immunitaire,
01:29:41 au plus on se vaccine, au plus on a de la maladie.
01:29:43 Ça peut être des parasites, parce que le système immunitaire, il contrôle tout.
01:29:47 On peut avoir des parasites, des champignons.
01:29:49 On revoit des pneumocystices, on revoit des maladies de champignons assez rares,
01:29:52 comme au moment des patients qui avaient des cas de sida.
01:29:56 Donc, ça peut être aussi des cancers, parce que le système immunitaire de base...
01:30:01 - Turbo-cancer, ils parlent. - Pourquoi turbo?
01:30:03 Ça, c'est un truc très simple à comprendre, mais ça peut être des cancers.
01:30:06 Depuis la milieu 21, il y avait des soins intensifs en Belgique
01:30:10 qui voyaient dans la campagne vaccinale primitive
01:30:12 que les gens qui avaient des soins intensifs étaient des gens assez âgés,
01:30:16 qu'ils étaient des cancers en rémission qui reflambaient.
01:30:18 Et ça, l'UCL le sait, parce que c'était leur soin intensif, de même que la faculté de Liège.
01:30:22 Mais les gens, ils ne peuvent pas publier ce qu'ils veulent.
01:30:25 Ils ne peuvent pas non plus faire des tests qu'ils veulent,
01:30:28 parce que tout est contingenté par l'inami.
01:30:30 On ne peut pas faire de la recherche sur des patients.
01:30:32 Donc, en gros, si on sait que ce n'est pas normal
01:30:35 et qu'on veut faire quelque chose, qui va payer le test?
01:30:37 Donc, c'est là. Il y a un système assez contraignant
01:30:39 qui fait que les cliniciens ont été castrés
01:30:41 et n'ont pas toujours explicité ce qu'ils ont vu.
01:30:44 Mais ils ont vu ça depuis la faculté 21.
01:30:46 C'est une question un peu bête, mais ce que tu veux dire,
01:30:48 c'est que quelqu'un qui se vaccine peut faire un cancer
01:30:51 qu'il ne l'aurait pas fait s'il ne s'était pas vacciné.
01:30:53 Oui, il y a des cancers primitifs aussi.
01:30:55 Il y a des cancers qui reflambent et des cancers primitifs.
01:30:57 Ce qu'on a vu maintenant, et on commence à voir le recul,
01:30:59 c'est qu'entre 2 et 3 % des gens...
01:31:01 C'est ça le problème de cette communication vers le public.
01:31:04 C'est que beaucoup de gens ne vont pas avoir ça.
01:31:06 Mais il faut penser un peu aussi aux 2 ou 3 %.
01:31:08 Mais 2 ou 3 %, c'est beaucoup.
01:31:09 Ce n'est pas rien. Il ne faut pas être égoïste.
01:31:11 Il faut penser aux gens que ce vaccin abîme.
01:31:13 C'est bien beau de dire qu'il faut se vacciner pour protéger.
01:31:16 Ça, c'était de l'altruisme, de faux allois hypocrite.
01:31:19 Et maintenant, il serait peut-être temps de s'occuper des gens
01:31:21 qui souffrent de ces produits.
01:31:22 Et donc, dans ce qui se passe avec les cancers,
01:31:25 imaginez comment fonctionnent les mitraînés et les cancers.
01:31:28 Nous faisons des cancers toutes les semaines, ou tous les mois.
01:31:30 Et il y a des petites cellules,
01:31:32 mais elles ne font pas encore une masse tumorale.
01:31:34 Donc, tant que c'est moins de 10 000, 100 000 cellules,
01:31:36 le système immunitaire va les attaquer et va les nettoyer.
01:31:38 Et ça, ça se passe sans qu'on ne le voit jamais.
01:31:41 Et puis, parfois, il y a un million, un demi-milliard, un milliard de cellules,
01:31:46 ça commence à faire un petit cube de 2 mm3 de côté.
01:31:48 On peut le voir avec des méthodes fines et on peut avoir un biomarqueur.
01:31:51 Et donc là, on a un début de transformation.
01:31:53 C'est-à-dire que ce n'est pas encore un cancer, on peut voir.
01:31:55 Mais donc, la courbe, c'est comme un S.
01:31:57 C'est très plat pendant très longtemps, on ne voit rien,
01:31:59 parce que tout ça est nettoyé par le système immunitaire.
01:32:01 Et puis, d'un coup, on commence à voir des choses.
01:32:03 Et puis, ça s'accélère.
01:32:05 Et puis, après, on a un plateau, on a le cancer développé.
01:32:07 Donc, imaginez un S.
01:32:09 L'immunité innée s'occupe de la partie basse du S.
01:32:11 Si vous la supprimez, vous êtes directement dans la courbe qui monte.
01:32:15 Vous comprenez ? C'est pour ça que ça va vite.
01:32:17 Des cancers très invasifs, très agressifs,
01:32:20 ça existait dans les cancers du sein, dans le cancer rénaux.
01:32:23 On les connaît depuis 20 ou 40 ans.
01:32:25 Des cancers qui, entre le premier diagnostic et la mort,
01:32:28 se passent en un an.
01:32:30 Ça existait, mais c'était extrêmement rare.
01:32:32 Olivier Renard dit arrêtez de confondre.
01:32:34 J'avais vu RNM qui est naturel à RNM de synthèse.
01:32:36 Peut-être une petite réponse à ça.
01:32:38 Oui, mais je vais d'abord finir ce que tu veux dire.
01:32:40 Je veux aussi dire aux gens, on est rentré dans une période avec ce COVID
01:32:43 d'une intolérance profonde où on peut presque plus être en désaccord.
01:32:45 Donc, je vois des choses passer auxquelles je ne réponds pas.
01:32:47 Mais voilà, on est en train d'essayer.
01:32:49 On recherche la vérité, on se questionne.
01:32:51 Et voilà, soyez parfois un peu plus tolérants pour certains.
01:32:54 Mais ce qui se passe maintenant,
01:32:56 ce que j'étais en train de dire au niveau du DIP immunitaire,
01:33:00 des cancers invasifs, très dangereux et très rapides,
01:33:05 ils ne sont pas inconnus.
01:33:07 Mais c'était extrêmement rare.
01:33:09 Maintenant, ça devient des polycancer.
01:33:11 C'est-à-dire d'avoir trois cancers en même temps ou deux
01:33:13 avec moins d'un an entre le premier symptôme,
01:33:15 sans facteur de risque et le décès.
01:33:17 Ça devient de plus en plus courant.
01:33:19 Je n'ai pas dit que c'est encore fréquent, vu que ça touche entre 2 et 3 % des gens.
01:33:22 Oui, 2 et 3 % par exemple, ici dans la commune, ça ferait 700 personnes.
01:33:27 Oui, mais ça ne se voit pas assez.
01:33:29 Ça ne se voit pas et ce ne sont pas les 700 qui vont l'avoir en même moment.
01:33:32 Parce que si on a le DIP immunitaire de trois mois, ça c'est 3 %.
01:33:37 Mais de ces 3 %, qui va développer un turbo-cancer ?
01:33:40 Ce ne sont pas les 3 %, c'est maximum 3 %.
01:33:42 Donc en gros, sur la commune, ça va peut-être être 70 personnes.
01:33:46 Et ça passe inaperçu, mais ce ne sont pas des cancers normaux.
01:33:48 C'est pour ça qu'on dit, et on a plusieurs à dire,
01:33:50 c'est des cancers hyper fréquents, poly-cancer.
01:33:53 On a parfois deux types de tumeurs en même temps.
01:33:55 Ça, je n'ai presque jamais vu de ma vie, sauf dans des cas très rares de tumeurs endocrines.
01:33:59 Donc avoir une tumeur de muscle et une tumeur, je ne sais pas moi, d'un vaisseau en même temps,
01:34:04 ce n'est pas courant, ou un lymphome et autre chose.
01:34:08 Donc on a ces gens et des tumeurs du pancréas sans avoir d'alcoolisme.
01:34:13 En général, les pancréas type chronique donnent des tumeurs du pancréas.
01:34:16 Et c'est lié à un rythme, à un style de vie.
01:34:18 Des gens qui n'ont jamais touché une goutte d'alcool, qui ont toujours tout bien respecté,
01:34:21 qui ont une pancréasite fulgurante et un cancer du pancréas qui surmonte en un an, ce n'est pas courant.
01:34:25 Donc il y a ça qui se passe.
01:34:27 Donc en gros, le deep immunitaire, il n'est pas fréquent, mais il est là.
01:34:32 Moi, je n'ose pas parler de vaccine-induced AIDS parce que ce serait trop, trop choquant pour les gens.
01:34:38 Mais c'est un syndrome d'immunodéficience acquis.
01:34:41 Comme disait Montagné quoi.
01:34:42 Oui, mais ils n'ont pas l'HIV parce que les gens confondent vite en disant,
01:34:46 le vaccin nous donne l'HIV.
01:34:48 Non, le vaccin met une fraction des gens dans une catégorie où leur système immunitaire inné dysfonctionne
01:34:55 et leur donne une porte ouverte à d'autres affections que le système immunitaire normal peut balayer.
01:35:00 Donc pour résumer, donc...
01:35:02 Pour revenir à la question, je peux peut-être répondre à la question.
01:35:04 ARN, naturel, ARN, messager.
01:35:06 ARN.
01:35:08 ARN, messager.
01:35:10 ARN, M.
01:35:12 ARN, naturel, ARN, messager.
01:35:14 Quelqu'un dit que tu confondrais Olivier Renard, qu'il ne faut pas confondre les deux.
01:35:19 Mais non, c'est justement ce que j'explique.
01:35:21 Je ne confonds pas les deux, cher M. Renard.
01:35:24 Ça veut dire que pour les ARN, qu'ils soient naturels ou qu'ils ne soient pas naturels,
01:35:30 il y a un condom bias, il y a un patois des langues génétiques.
01:35:34 Et ça veut dire que c'est le système immunitaire inné qui en fait reconnaît ça.
01:35:40 Et un ARN exogène, on va s'en débarrasser très vite, ça commence dans les premières minutes.
01:35:44 Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est 40 ans de recherche, c'est 25 ans récent.
01:35:48 Il y a plein de gens qui ont étudié ça, l'immunité innée.
01:35:51 Elle est non spécifique.
01:35:52 Ce qui se passe quand on se débarrasse des ARN et même des ADN,
01:35:56 parce que les celles tumorales ont aussi un usage de condom différent.
01:35:59 C'est pour ça que c'est la même chose.
01:36:01 Quand l'immunité innée se plante ou décroît, elle décroît pour tout.
01:36:06 Ce n'est pas spécifique d'un germe ou d'un type d'ARN.
01:36:09 Et donc c'est là où ce prix Nobel est à la fois génial, parce que c'est de la bonne recherche,
01:36:14 et à la fois la loi des conséquences, et une connerie intégrale,
01:36:17 parce que ces scientifiques se vendent dans leur papier d'avoir ouvert la porte
01:36:20 pour que l'ARN synthétique puisse rester quelques minutes.
01:36:23 On sait qu'il peut rester des années maintenant,
01:36:25 parce qu'il y a un autre problème là dont on n'a pas parlé.
01:36:27 Mais en plus, il permet d'ouvrir la porte à d'autres choses.
01:36:31 Moi, je voulais juste résumer ce que tu disais.
01:36:33 C'est quelque part assez, comment dire, je ne veux pas dire provocateur,
01:36:37 mais ce n'est pas super comme constat quand on dit qu'on ne connaît pas la quantité,
01:36:43 dans les cas de plateformes ARN messager, que ce soit pour les vaccins ou pour autre chose,
01:36:49 comme tu disais au début.
01:36:50 Pour n'importe quel médicament ARN.
01:36:51 On ne connaît pour l'instant ni la posologie, c'est-à-dire la quantité,
01:36:54 ni la qualité, donc la pharmacocinétique et les problèmes liés au frameshift, etc.
01:36:58 Ni la biodistribution, donc où est-ce que ça va dans le corps.
01:37:01 Et qu'en plus, on se rend compte qu'il y a une baisse immunitaire et à quoi s'ajoutent en plus
01:37:09 les attaques auto-immunitaires et ainsi que la toxicité de la protéine Spike.
01:37:15 Et pour toutes ces raisons, pour résumer, tu proposes ou tu voudrais qu'il y ait un moratoire
01:37:21 sur les plateformes ARN messager.
01:37:23 Il n'y a pas le choix.
01:37:24 Je crois que quand on regarde tous ces effets secondaires séparés,
01:37:27 bon les myocardites, je vous dis c'est entre un, enfin on va dire entre 2 pour 1000,
01:37:32 si on regarde certaines données dans certains pays, et 2%.
01:37:35 Si on regarde les anomalies du cycle dont on n'a pas parlé,
01:37:38 qui sont des anomalies avec des disruptions endocriniennes,
01:37:40 c'est entre 11 et 17%.
01:37:42 Ce qui est énorme.
01:37:43 Allez voir où est mon cycle.
01:37:44 Oui, oui, c'est incroyable.
01:37:45 Et ça, on n'en a pas parlé parce que c'est autre chose.
01:37:47 Il y a des atteintes auto-immunitaires, mais aussi des atteintes hormonales.
01:37:51 Et quand on voit les cas, on fait de la la grosse louche.
01:37:58 On va dire 2% de gens qui vont avoir un risque de cancer.
01:38:02 Quand on regarde les AVC, les strokes,
01:38:05 donc tous ces problèmes de coagulation dont on n'a pas parlé,
01:38:08 mais qui sont quand on met des liposomes en trop grande quantité dans le corps,
01:38:11 ça active aussi le système, ça active aussi les systèmes de coagulation
01:38:15 parce que les phospholipides sont un des triggers de notre coagulation.
01:38:19 Donc en gros, on a X% là, X% là.
01:38:22 On en arrive, en regardant les bases de données en France et en Europe,
01:38:25 à voir 40% d'effets secondaires.
01:38:27 Ce n'est pas une preuve scientifique, mais je vous dis,
01:38:30 ces effets secondaires sont liés au même produit.
01:38:34 Ce ne sont pas des trucs différents.
01:38:35 C'est 4 ou 5 mécanismes homoclés différents
01:38:39 qui sont liés au même produit,
01:38:40 donc qui doivent être comptabilisés comme un seul grand effet secondaire.
01:38:43 Puisqu'on en plus...
01:38:46 Le risque du virus, c'était 2 pour 1 000 de toute la société.
01:38:50 2 pour 1 000, on a perdu 2% déjà.
01:38:53 Il faudra un jour que Van Raam se dise comment il a fait ce miracle.
01:38:55 Mais à côté de ça, il faut savoir qu'en dessous de 60 ans sans comorbidité,
01:39:00 c'était 1 pour 300 000 le risque Covid.
01:39:02 1 pour 300 000.
01:39:04 Et je vous dis que le vaccin peut vous faire une chance sur deux d'avoir un effet secondaire.
01:39:07 Bénin, malin ou très grave, il n'y a pas photo.
01:39:10 Et ce n'est pas lié à un vaccin, c'est lié à la plateforme ARN,
01:39:13 parce que maintenant le vaccin est fantastique, il a très bien marché.
01:39:17 Il faut certifier tous les ARN vaccinaux, tous les ARN quels qu'ils soient.
01:39:20 Et ils sont en train de créer...
01:39:22 Et c'est là où c'est important le moratoire, je trouve.
01:39:26 Oui.
01:39:27 Oui, c'est qu'ils ont déjà prévu de faire les vaccins ARN messagers
01:39:32 pour le RSV, qui est donc le virus respiratoire syncytial.
01:39:37 C'est le Bephortus le vaccin ?
01:39:39 Je pense que c'est Moderna qui...
01:39:42 Non, mais le nom du vaccin.
01:39:44 Je ne me souviens plus.
01:39:45 Mais donc pour le RSV, qui est un virus respiratoire,
01:39:48 pour la grippe, pour les futurs coronas,
01:39:51 ils ont dans les plans de commencer à utiliser cette technologie d'ARN messager
01:39:56 pour les futurs vaccins.
01:39:58 Donc ça va plus se limiter au SARS-CoV-2.
01:40:01 Et au vaccin, il y a une centaine de produits basés sur les ARN
01:40:06 qui étaient bloqués par l'AFDH et l'EMA depuis plus de 12 ans.
01:40:10 Ça, les gens ne sont pas au courant, mais Moderna en 2017 disait à ses récisseurs
01:40:13 qu'on avait du mal à certifier nos produits.
01:40:15 Donc ils utiliseraient comme argument le vaccin COVID pour dire
01:40:18 vu que ça a fonctionné, on va l'utiliser pour d'autres choses aussi.
01:40:22 Et quid des transfusions sanguines et de la contamination ?
01:40:24 C'est trop tôt pour en parler.
01:40:26 Moi, je crois que cette histoire d'exosomes...
01:40:28 Tu ne veux pas faire trop peur aux gens non plus ?
01:40:29 Je ne veux pas faire peur aux gens.
01:40:31 Je l'ouvre déjà tellement, je l'ouvre en général quand je suis sûr.
01:40:34 Les gens peuvent ne pas me croire, mais si je ne suis pas à peu près sûr
01:40:38 de ce que je vois, je la ferme dans toutes les langues.
01:40:41 Ce que certains auraient dû faire.
01:40:44 Oui, surtout autour des ministres.
01:40:46 J'ai une pensée particulière à la ministre de Montréal
01:40:49 et à ses conseils comme donné, par exemple.
01:40:52 Au moment où j'essaie d'avoir un dialogue, il n'y a pas de dialogue possible.
01:40:56 Au moment où je leur dis alors sur Twitter
01:40:58 « Madame la ministre, est-il logique de vacciner les immunodéprimés
01:41:01 avec un produit qui peut donner 3% d'immunosuppression ? »
01:41:04 Pas de réponse. Et puis on me bannit Twitter.
01:41:07 J'ai posé la question 33 fois ou 34 fois.
01:41:10 Et puis le jour où je suis banni, il y a Donnier, le pharmacologue de Namur,
01:41:15 qui dit « la ministre a raison parce que l'OMS le dit »
01:41:18 et la ministre fait un thumb up.
01:41:20 Il faut savoir que M. Donnier siège à plusieurs commissions,
01:41:23 donc c'est le cycle d'autoréférencement.
01:41:25 Il dit « c'est pas moi, mais c'est l'OMS qui le dit, mais il est là à la table ».
01:41:28 Donc c'est une belle boucle d'entre-soi.
01:41:30 Et deuxièmement, maintenant j'ai un like de la ministre qui dit
01:41:33 « c'est OK de donner un produit qui donne immunosuppression à des immunodéprimés ».
01:41:37 Ça, je crois que politiquement, c'est sa mort qu'elle a signé.
01:41:41 Et je le dis sans animosité.
01:41:43 Pour moi, un politique qui tue en le sachant...
01:41:47 On peut dire la même chose de De Croo, toutes les questions que j'ai tenues posées...
01:41:51 Mais oui, mais oui, mais je crois qu'à un moment, le belge moyen va se rendre compte...
01:41:55 C'est bientôt les élections.
01:41:57 Oui, mais je ne sais pas ce qui va se passer, mais le belge moyen va se rendre compte
01:42:00 qu'on leur a menti, qu'on a raconté n'importe quoi et qu'on a tué 10.
01:42:04 Pour une personne qu'on saura, on a tué 10.
01:42:06 Un virus qui a un IFR, donc un taux de mortalité de 2 pour 1 000,
01:42:09 et qu'on finit pour la première vague toute l'année 2020 et les premiers trimestres 2021,
01:42:13 on a 2% de décès.
01:42:15 Ça veut dire que sur 33 000 belges décédés, il y a 30 000 de trop.
01:42:19 Si De Croo n'avait pas été là, ces 30 000 personnes seraient encore là.
01:42:22 Ou bien si De Croo et son prédécesseur...
01:42:24 Alors au niveau mondial, c'est...
01:42:26 7 millions en morts directes, 3 fois plus en morts indirectes, ça veut dire on rajoute 21.
01:42:31 Donc c'est en gros de 18 et 20 millions de morts liées au virus.
01:42:35 Et puis le vaccin, maintenant, c'est sans doute la même chose,
01:42:38 parce qu'il y a une case vaccinale, c'est pas des morts, c'est beaucoup de morbidité.
01:42:41 En sachant, on l'a déjà dit plusieurs fois, qu'ils n'ont pas laissé les médecins généralistes soignés,
01:42:44 qu'ils ont...
01:42:45 Oui, on a publié.
01:42:46 ...hyperméctine, hydroxychloroquine, on n'en a pas parlé.
01:42:49 C'est vrai que le sujet d'aujourd'hui était surtout ce plateforme-là,
01:42:52 mais à quoi s'ajoutent encore toutes les mauvaises réactions qu'il y a pu se faire en termes de société ?
01:42:57 Moi, je crois, en fait, si je peux prendre un peu d'auteur,
01:43:00 je crois que cette pantalonnade et ce débat est lié à une opportunité.
01:43:05 Il y a des gens qui ont vu une opportunité avec la crise
01:43:08 de faire passer une technologie qui aurait encore mis 20 ans à traîner, d'un coup.
01:43:13 Parce qu'ils n'ont pas compris ce qu'ils faisaient.
01:43:16 Et donc il y a des investissements, il y a beaucoup de gens...
01:43:19 Moi, je ne suis pas conspirationné, je crois qu'il y a beaucoup de gens
01:43:22 qui n'ont pas besoin de se lier pour faire une conspiration.
01:43:25 C'est les grands réseaux boursiers, c'est évident que l'évaluation...
01:43:28 Quand Grodd va croquer...
01:43:29 Voilà, voilà.
01:43:30 Et donc, à partir du moment où on sait qu'on va avoir un vaccin qui est possible,
01:43:33 et on va dire « Eh, le vaccin, il est plus rapide », ça, c'est aussi une couille.
01:43:38 Il faut savoir qu'un vaccin normal, on en fait deux par an pour la grippe,
01:43:41 on peut le faire en deux mois.
01:43:42 Le vaccin ARN, il faut bien l'étudier.
01:43:44 Si c'est un nouveau germe, il faut peut-être 10 ans de recherche avant.
01:43:47 Là aussi, on nous a menti, mais c'est un autre problème.
01:43:50 Donc, en gros, on a une nouvelle technologie.
01:43:53 Et je vous dis, pour moi, ma lecture de ça, c'est de transférer les capacités de production
01:43:59 d'un médicament avec une chaîne de production qui coûte des sous
01:44:02 et qui a un processus de qualité, etc.
01:44:04 Et c'est très coûteux, ça.
01:44:06 Dans le corps humain, on pose les problèmes dans la production, dans le corps humain,
01:44:10 mais on n'en était pas au point.
01:44:12 Et donc, cette vision qui est peut-être un peu...
01:44:15 Elle n'est pas sarcastique, elle est réelle.
01:44:17 Elle économise beaucoup de sous à la production,
01:44:19 mais elle pose tous les problèmes qu'on corrige en production.
01:44:22 On fait du contrôle de qualité, on fait de la posologie,
01:44:25 on fait tout ça quand on met dans les fioles.
01:44:27 Une fois qu'on transpose ça dans le corps humain, c'est le corps humain qui est responsable.
01:44:30 Et alors, comme je dis, danser tout nu autour d'un totem, un utpamu,
01:44:33 en espérant que le corps s'en sorte bien, ça a été un pari.
01:44:36 Pour moi, ces gens ont parié sur la biotechnologie qu'ils ne comprennent pas à fond.
01:44:40 Et c'est ça le problème.
01:44:41 Et donc, quand des gens... On est très peu sur Terre.
01:44:44 Moi, j'ai l'avantage d'être médecin, d'avoir géré des choses,
01:44:47 de ne pas avoir peur, d'avoir joué avec des germes et des gènes,
01:44:50 avec Jonas et plein d'autres pendant des années,
01:44:52 et d'avoir été à la vie technologique.
01:44:55 Donc, je vois cette crise par différents prismes.
01:44:58 Et donc, comme je n'ai aucun conflit d'intérêt, j'ose faire des liens.
01:45:02 Mais il y a peu de gens qui ont cette capacité.
01:45:05 C'est pas moi qui suis en avant.
01:45:06 Il y en a plus que moi et je ne suis pas le seul.
01:45:08 Mais il y a surtout beaucoup de gens qui se sont tûs.
01:45:10 Je ne comprends pas, au jour d'aujourd'hui,
01:45:12 que les UNIF n'aient pas dit que les PCR, c'était 75% de faux positifs.
01:45:16 J'ai la réponse.
01:45:17 Les 30 deniers d'UDA, pour les universités,
01:45:20 ça a été l'argent des PCR, près de demi-hertz en Belgique.
01:45:22 C'est un bon subside.
01:45:24 Donc, c'est quand même grave.
01:45:25 Or, ils le savaient.
01:45:26 Je n'ai toujours pas d'explication.
01:45:29 Oui, mais donc, tu comprends, il serait de la manière...
01:45:31 Ils ont reçu du pognon avec ça et donc, ils se sont tûs.
01:45:34 Ben, ils se sont dit, on ne va pas tuer la poule aux odeurs.
01:45:36 Parce que moi, j'ai des labos... Je suis recteur de l'UNIFIX.
01:45:39 J'ai des labos qui soient à 100 millions ici, 50 millions par là.
01:45:42 C'est bien pour mes petites affaires.
01:45:43 Et ça permet de faire des amphithéâtres.
01:45:45 Ça permet de donner des cours et d'acheter du matériel.
01:45:47 Donc, il y a un système qui s'est mis en place
01:45:49 où on a un peu comme un système mafieux.
01:45:52 On saupoudre l'argent partout.
01:45:53 Les gens, ils sont complices sans le savoir.
01:45:55 Alors, là, c'est de leur plaguer parce qu'ils comprennent,
01:45:57 mais ils disent, oh, ça ne va pas être aussi grave que ça.
01:45:59 Tout le monde a fait le pari que ça allait être limité dans le temps.
01:46:02 Et alors, ces fameux vaccins ARN,
01:46:05 ce qui s'appelle la Precision Medicine,
01:46:07 ça, c'était couru d'avance, ça allait être une catastrophe.
01:46:09 Mais ça, c'est en plein dans un nouveau paradigme
01:46:12 parce que l'industrie, ça coûte cher de fabriquer des molécules.
01:46:15 Les anticorps, c'est très lourd, ça ne va pas partout.
01:46:19 Donc, pouvoir donner un produit, un message d'un produit,
01:46:22 c'est un nouveau paradigme qui est génial.
01:46:24 Ah non, je vais terminer sur une piste.
01:46:27 La Precision Medicine basée sur les ARN,
01:46:29 dans 20 ans, ça va être génial,
01:46:31 mais c'est 20 ans trop tôt.
01:46:33 Et c'est ça, mon problème.
01:46:34 Et donc, moi, je trouve qu'on a été trop vite
01:46:37 et c'est une opportunité ratée
01:46:40 parce qu'ils se sont tués dans le pied.
01:46:41 Les gens ne feront pas confiance.
01:46:43 Et puis, Martin, Jonas, on ne peut pas parler de tout aussi,
01:46:45 mais c'est vrai qu'on aurait pu parler de la prévention, de l'immunité,
01:46:48 parce qu'on parle des médicaments,
01:46:50 donc, de l'après, mais les gens sont en mauvaise santé la plupart du temps.
01:46:54 Beaucoup de gens sont en baisse,
01:46:56 ne font pas d'exercices physiques, ont un mauvais sommeil,
01:46:58 ils fument, boivent.
01:46:59 Donc, tout ça fait aussi qu'on rentre dans une société
01:47:02 où on a besoin de médicaments.
01:47:03 Des copains médités, oui.
01:47:04 Et c'est vrai qu'on peut dire aussi que maintenant,
01:47:06 les gens vaccinés, les médicaments,
01:47:08 ça va fonctionner pour les multinationales pharmaceutiques
01:47:10 parce qu'ils vont créer des médicaments
01:47:12 pour soigner tous ces problèmes créés par la vaccination.
01:47:15 Moi, je crois qu'une priorité, maintenant,
01:47:18 quand les gens seront calmés, seront bien réveillés,
01:47:20 il faut faire des programmes de monitoring.
01:47:21 Par exemple, si quelqu'un a faim, Jonas,
01:47:25 c'est quelqu'un qui est identifié, identifiable,
01:47:28 il faut lui faire pendant un an ou deux,
01:47:29 tous les 4-5 mois, un monitoring des biomarqueurs
01:47:32 spécifiques du cancer, juste pour voir.
01:47:34 Parce que si on le prend au jour 1, il s'en sortira, il ou elle.
01:47:38 Mais si on le laisse 6 mois, on le perd.
01:47:40 Donc, voilà, et ça coûte pas si cher que ça
01:47:43 de faire trois consultations en un an.
01:47:45 Donc, je viens avec des trucs très simples.
01:47:48 Pour, par exemple, les gens qui ont des Ptc,
01:47:51 des bleus, qui ont fait ça après vaccin,
01:47:52 ils ont des problèmes de coagulation,
01:47:54 il faut leur mesurer la fonction cardiaque et des dimers.
01:47:56 C'est un ECG, 3-4 fois par an, les dimers.
01:47:58 Les dimers, c'est un marqueur, pas de coagulation,
01:48:02 c'est un marqueur qui fait que votre système
01:48:04 qui règle la coagulation tourne vite.
01:48:07 Donc, un dimer, ça a un taux minimal, un taux maximal,
01:48:10 on va dire, je crois que c'est autour des 1 500,
01:48:12 je ne me rappelle plus trop.
01:48:13 Une explosion de dimers après...
01:48:15 Mais l'explosion à 50 fois, ce qui est normal,
01:48:17 ça ne veut pas dire qu'on est en train de coaguler.
01:48:19 Ça veut dire que dès qu'il y a un petit truc,
01:48:21 on va coaguler en masse.
01:48:23 Ces gens-là, il faut mesurer les dimers.
01:48:24 Et les gens qui ont des dimers dans les hautes sphères,
01:48:26 on peut leur donner de la fraxine
01:48:28 ou des épargnes de poids moléculaires en chronique
01:48:30 ou de l'aspirine pour justement contrôler
01:48:32 et éviter les explosions.
01:48:34 - Je crois que le Dr Bouillon et le Dr, peut-être...
01:48:36 - Oui, Hox.
01:48:37 - Benoit Hox, oui, on en avait parlé, etc.
01:48:39 - Mais il faut... Les gens...
01:48:40 Mais comment repérer ces gens?
01:48:41 C'est très simple.
01:48:42 C'est des gens qui ont eu des...
01:48:43 qui ont des problèmes de bleu facile, etc.
01:48:45 Parce que c'est la même chose qui vous coagule
01:48:47 ou qui vous fait qu'il y a une consommation de votre protéine
01:48:49 de coagulation qui fait des petites hémorragies.
01:48:51 Donc, les gens qui ont des symptômes,
01:48:53 il y a des gens qui font des embolies pulmonaires,
01:48:56 donc qui ont mal au poumon, etc.
01:48:58 Donc, tous les symptômes d'appel dont on sait
01:49:00 qu'il y a des troubles d'un malaise à coagulation.
01:49:02 Les gens qui ont des problèmes immunitaires,
01:49:04 par exemple des maladies de peau,
01:49:06 qui ont des lupus qui reviennent,
01:49:07 qui ont des rougeurs, qui ont des toxicités,
01:49:09 il faut les reprendre.
01:49:11 Et il faut non seulement les soigner pour le symptôme,
01:49:14 mais il faut monitorer.
01:49:15 - Donc, maintenant, en fait, il est temps de, entre guillemets,
01:49:18 réparer la case et de surtout tout enregistrer...
01:49:20 - Surveiller.
01:49:21 - Tout surveiller pour...
01:49:23 - Pas tout surveiller, tout...
01:49:24 - Mais il est temps, je veux dire, de faire un suivi médical comme...
01:49:27 - Des gens qui ont des signes d'appel.
01:49:29 Moi, ce que je dis, il ne faut pas prendre toute la population
01:49:31 et la mettre sous cloche et faire des prises de sang à tout le monde.
01:49:33 Pour ça, on va dire qu'il est fou.
01:49:34 On dit assez, Jacques Zizé est fou.
01:49:36 Là, je ne suis pas fou à ce point-là.
01:49:37 Je crois qu'il y a des gens qui ont des signes d'appel A, B, C, D,
01:49:40 et leur faire trois ou quatre consultations sur une année,
01:49:42 ce n'est pas du luxe.
01:49:43 - Oui, voilà.
01:49:44 - Ça permet d'attraper les problèmes avant.
01:49:47 C'est quoi, ça ?
01:49:50 - On voit une image de Van Rens, tu peux la passer, en tarté,
01:49:55 qui nous ferait...
01:49:56 Mais ils ne le feront pas.
01:49:57 - Ils vont le faire.
01:49:58 - Qui va le faire ?
01:49:59 - Les autorités de santé, parce qu'elles vont être forcées.
01:50:02 Le problème, c'est que si les gens croient qu'ils vont pouvoir passer à autre chose,
01:50:06 sans s'en occuper, ils se plantent.
01:50:08 Ces trucs ne vont pas partir.
01:50:10 Cette technologie, si on la pousse de plus en plus,
01:50:12 ça va faire de plus en plus de cas, si ça va au-delà des vaccins.
01:50:14 Donc, il y a un moment où la position du type qui dit
01:50:17 « Il n'y a rien, je ne vois rien », va être intenable.
01:50:19 Et donc, au plus tôt qu'ils y viennent, au mieux, ce sera pour tout le monde.
01:50:23 Moi, je suis très confiant de l'avenir.
01:50:25 Je dis aux gens qui m'attaquent partout, je dis « Vous allez tout perdre. »
01:50:29 Parce que le temps ne joue pas pour vous.
01:50:31 Le temps ne joue pas pour vous.
01:50:32 La biologie, un virus, un vaccin, les ARN, ça n'est pas les communiqués de presse.
01:50:37 C'est ça qui est dommage.
01:50:39 Ah, ce serait bien si, par sa voie magique,
01:50:42 par leur voie magique, les journalistes de la TB,
01:50:44 ils pouvaient contrôler les virus.
01:50:46 Ah oui, mais désolé, ça ne marche pas.
01:50:48 En tout cas, merci.
01:50:51 C'était passionnant et énormément de bons commentaires.
01:50:54 On était à combien ? Pas mal de personnes.
01:50:56 Quelques petits messages partagés, partagés, partagés.
01:51:00 Si cette émission a eu lieu, c'est parce qu'on existe aussi
01:51:04 et qu'on veut nous tuer.
01:51:06 On veut tuer les scientifiques qui pensent autrement,
01:51:08 mais on veut aussi tuer les médias libres.
01:51:10 Je rappelle quand même qu'ils nous ont privés de subsides,
01:51:12 de votre argent public, de l'argent de vos impôts.
01:51:15 Donc on a perdu quasiment 180 000 euros.
01:51:17 On ne va pas très bien financièrement,
01:51:20 donc n'hésitez pas à nous aider, à partager, à nous faire connaître.
01:51:24 Il faut un modèle par subscription, je crois,
01:51:26 pour éviter les abus de la publicité et les grands groupes.
01:51:28 Oui, et on n'a pas de plus.
01:51:29 Il faut commencer à payer pour les news.
01:51:31 Je crois que les gens qui commencent à comprendre,
01:51:35 dans le modèle actuel d'Internet, tout est gratuit,
01:51:37 mais alors on se fait avoir.
01:51:39 Tout à fait.
01:51:40 Il y a un moment où il faut dire, je veux bien payer 1 euro par mois,
01:51:42 je veux bien payer 7 euros par mois.
01:51:43 C'est ça.
01:51:44 Il y a Elon Musk qui fait de X un système par souscription.
01:51:48 Pourquoi ?
01:51:49 Parce que comme ça, il n'a pas besoin d'un lanceur publicitaire.
01:51:51 Il l'a dit.
01:51:52 Quand Elon Musk dit « Fuck you », to be clear,
01:51:54 « Stop advertising », c'est ça qu'il dit.
01:51:56 Il ne s'en prend pas uniquement à Disney, il s'en prend au modèle.
01:51:58 L'advertisement technologique qui pervertit toutes les news.
01:52:01 Heureusement que vous êtes là, mais on n'est pas immortel.
01:52:07 Je répète, sans Z,
01:52:10 et si les gens ne se rendent pas compte, comme dit Martin,
01:52:14 de l'importance de nous financer, on disparaîtra.
01:52:16 C'est évident.
01:52:18 Je vous expliquerai jeudi prochain en direct la manière,
01:52:21 ça c'est fantastique,
01:52:22 la manière dont ils nous ont enlevé les subsides.
01:52:24 C'est une mafia officielle,
01:52:28 constituée par l'AJP, le CDJ,
01:52:32 je vais me prendre des coups de bâton, ce n'est pas grave.
01:52:34 Le conseil d'ontologie journalistique
01:52:37 et l'association des journalistes professionnels ne sont là
01:52:39 que pour défendre les médias industriels,
01:52:42 la RTBF et les autres.
01:52:44 Et très rarement, quand on fait un vrai journal,
01:52:47 quand on recherche la vérité, comme la Charte de Munich le dit,
01:52:50 on ne les trouve plus là pour nous défendre.
01:52:53 Je vous expliquerai de quoi est composé le CDJ, l'AJP,
01:52:57 et comment ils nous ont enlevé nos subsides.
01:52:59 Je rappelle que le 16 mars, Ariane Bilorant,
01:53:02 le 16 mars, vient à Bruxelles.
01:53:05 Vous êtes tous les bienvenus,
01:53:07 parce que je vais essayer d'inviter d'autres personnes,
01:53:09 mais bon, Martin, tu viens des Etats-Unis,
01:53:11 donc ça risque de être compliqué.
01:53:13 En discutant avec vous, je me dis que ce serait bien
01:53:16 de refaire le grand débat qui nous avait valu
01:53:19 à la fermeture de notre chaîne YouTube.
01:53:21 On est aussi en procès contre YouTube,
01:53:23 et peut-être que les nouvelles qu'on aura en février
01:53:25 seront positives, ça ferait jurisprudence au niveau mondial.
01:53:28 C'est vrai que c'est dur pour les médias indépendants,
01:53:32 mais je crois que, comme je dis, la situation est telle
01:53:36 que de plus en plus de gens se réveillent,
01:53:38 mais ils sont groguis.
01:53:39 Quand on se réveille et qu'on se ouvre les yeux dans le lit,
01:53:41 on n'est pas encore en pleine forme.
01:53:43 Donc on est dans cette phase transition,
01:53:45 on est en train de se réveiller,
01:53:46 mais on est encore un peu dans les vapes,
01:53:47 et ça va arriver.
01:53:48 Donc je crois que les mois, les semaines qui viennent,
01:53:50 vont être un peu plus dur.
01:53:51 Oui, il faut que les gens n'attendent pas trop,
01:53:52 parce que c'est vrai que, comme disait d'ailleurs
01:53:54 Mathias De Smet, spécialiste du totalitarisme,
01:53:56 quand il n'y a plus un autre son de cloche,
01:53:58 c'est là vraiment que le pouvoir totalitaire va.
01:54:01 Je vous rappelle aussi que le 21 février,
01:54:03 la défense à Anguien, à 20h, inscrivez-vous sur le site.
01:54:07 Voilà, on essaie de continuer.
01:54:09 Et puis moi je mets toujours un petit accent,
01:54:11 personnellement, sur l'importance que les gens comprennent bien,
01:54:16 donc sur la vulgarisation et les métaphores, etc.
01:54:19 Puisque je pense que, contrairement à ce qu'on pense,
01:54:23 ces choses-là ne sont pas si compliquées que ça,
01:54:26 que les grands principes sont les grands problèmes, en fait.
01:54:29 Et que je ne peux que être méfiant du fait que,
01:54:35 pendant trois ans, les médias, enfin les grands médias mainstream,
01:54:39 il n'y en a aucun qui a pris le temps de faire des dossiers
01:54:42 où on vulgarise, on explique un peu ce que c'est le protein spike,
01:54:45 on explique ce que c'est un virus,
01:54:46 on explique ce que c'est un arène messager, etc.
01:54:48 C'est comme s'il y avait une volonté de dire
01:54:52 "ouah, c'est trop compliqué, on laisse ça aux experts".
01:54:54 Ou c'est compliqué quand ils ont envie que les gens ne comprennent pas.
01:54:56 C'est ça, et donc je pense qu'il faut,
01:54:59 et c'est quelque chose qu'on aime bien mettre en avant notamment,
01:55:02 donc il faut bien expliquer, bien décrypter l'actualité
01:55:07 pour que les gens comprennent.
01:55:08 Et quand on comprend, c'est plus facile de se réveiller.
01:55:10 C'est bien, on voit les choses avec plus de clarté.
01:55:14 Tout ce qu'on a débattu ici se trouve dans les bouquins de médecine, dans les manuels.
01:55:17 Ce n'est même pas des papiers scientifiques de vol.
01:55:20 Si les gens lisent "Molecule of Cell Biology",
01:55:22 "Molecule of Cell Biology", "Molecule of Cell Biology",
01:55:24 "Molecule of Cell Biology", "Molecule of Cell Biology",
01:55:26 tout est là.
01:55:27 Et ça veut dire qu'il n'y a rien qu'on a dit entre nous,
01:55:30 qui n'est pas dans les bouquins.
01:55:31 Ça veut dire que les scientifiques qui ne l'ont pas dit sont des usurpateurs.
01:55:34 Non, ça veut dire qu'ils ont eu les jetons.
01:55:36 Moi je voudrais que les biologistes moléculaires de première, deuxième année,
01:55:40 que les gens qui ont fait des manipulations,
01:55:42 les gens qui font des mutations dirigées,
01:55:44 les gens qui s'occupent de germes,
01:55:46 savent et reconnaissent dans leur famille
01:55:48 "Oui, ce que ces deux foulants ont dit à Kéros, c'est dans des bouquins".
01:55:51 Et alors ça va commencer à choquer.
01:55:53 Parce qu'il n'y a aucun secret.
01:55:55 Parce que pour le moment, ce qu'on voit, c'est que vous avez un papier
01:55:57 pour prouver ce que vous dites,
01:55:58 que le métabolisme c'est important dans la santé des protéines.
01:56:00 Pour moi ça revient au fait de dire
01:56:01 "Tu peux me démontrer que le soleil se lève à l'est ?
01:56:04 Je ne vais pas refaire un papier pour démontrer que le soleil se lève à l'est
01:56:07 parce que la Terre tourne d'une certaine manière.
01:56:09 Il y a un moment où il faut arrêter d'être con quoi.
01:56:11 Et cette connerie institutionnalisée
01:56:13 est basée sur le fait qu'on n'explique rien.
01:56:15 Donc expliquer aux gens,
01:56:16 parce que c'est compliqué mais c'est bien expliqué,
01:56:19 et c'est explicable, les gens comprennent,
01:56:21 les choses font leur propre perception.
01:56:25 Alors si on les convainc, tant mieux,
01:56:27 ils sont équipés pour discuter.
01:56:28 Si on les convainc du contraire et qu'ils ne nous aiment pas,
01:56:30 tant mieux, ils sont équipés pour discuter.
01:56:32 Il faut relancer la machine à penser.
01:56:34 Et puis ils sont libres d'aller lire, comme je disais.
01:56:36 J'enverrai bien le lien du rapport de l'Agence médicale européenne.
01:56:41 Mais il y a des phrases qui sont...
01:56:43 Alors il faut les trouver puisque ce n'est pas de la lecture.
01:56:45 Ce sont horribles ces phrases.
01:56:46 Et ils ne sont pas faciles à dénicher entre guillemets.
01:56:49 Il faut vraiment lire le rapport, il faut être intéressé.
01:56:51 Mais puisqu'on a fait ce travail-là, autant le partager.
01:56:53 Je veux dire, on trouve des phrases comme ça,
01:56:56 où ils disent "on a décidé de ne pas étudier,
01:56:58 c'est tellement gros que parfois les gens ne me croient pas.
01:57:00 Je suis obligé d'imprimer le rapport,
01:57:02 à montrer à des connaissances à moi,
01:57:05 pour dire c'est marqué noir sur blanc,
01:57:07 ce n'est pas moi qui ai écrit ce truc-là.
01:57:08 C'est tellement gros.
01:57:09 C'est l'effet Trump.
01:57:10 Oui, c'est ça.
01:57:11 Quand on fait un crime au vu de tous,
01:57:13 les gens disent "si c'était illégal,
01:57:15 ils ne le feraient pas aux yeux de tous".
01:57:18 On est arrivé dans une société
01:57:20 où le voyeurisme est arrivé à tel point
01:57:23 que quand on fait des crimes en direct,
01:57:25 les gens disent "ça ne peut pas être criminel,
01:57:27 sinon ça ne serait pas fait en direct".
01:57:29 Je ne sais pas moi, ça va au-delà du totalitarisme.
01:57:32 Ça c'est lié à notre relation personnelle
01:57:34 avec les faits autour de nous.
01:57:36 Alors, juste pour préciser, l'émission repassera,
01:57:39 évidemment, donc on n'est pas juste en direct.
01:57:41 Et je réponds à Florence, ce qu'elle disait,
01:57:43 parce qu'on faisait des métaphores sur l'église, les reliés.
01:57:46 On n'est pas du tout contre les gens qui vont à l'église.
01:57:49 Non, pas du tout.
01:57:50 J'étais la semaine dernière, samedi,
01:57:52 chez les Frères Tibériade,
01:57:54 qui est une communauté religieuse hyper ouverte,
01:57:56 qui a invité Rémi Tell,
01:57:58 qui vient quand même de retraduire le livre
01:58:00 sur Theodor Kaczynski,
01:58:02 Una Bomber, aux Etats-Unis.
01:58:04 Et donc, ils sont très ouverts.
01:58:06 D'ailleurs, ça passera en podcast.
01:58:08 Donc on n'est pas du tout contre le religieux.
01:58:10 On dit juste que certains scientifiques
01:58:13 sont devenus comme une église.
01:58:15 Une secte, en fait.
01:58:17 Parce que la spiritualité,
01:58:19 quelle qu'elle soit respectable,
01:58:21 c'est un chemin de vie.
01:58:23 Et moi, si je ne suis pas croyant,
01:58:25 catho, au sens propre du terme,
01:58:27 je suis spirituel sans église.
01:58:29 Par contre, ce que je n'aime pas en tant que scientifique,
01:58:31 c'est ce pseudo sectarisme.
01:58:34 Et la science n'est pas une secte.
01:58:37 Et la science n'est pas le consensus.
01:58:39 La science, c'est le débat, c'est l'ouverture d'esprit.
01:58:41 Et on en discute jusqu'à ce que l'un convainc l'autre.
01:58:43 Et c'est ce qui a manqué.
01:58:45 Et donc, il ne faut pas mélanger.
01:58:47 En fait, on vient au procès Galilée.
01:58:49 Il y a des choses indicibles, incompréhensibles,
01:58:51 et qu'il faut discuter sur le plan de l'émotion,
01:58:53 sur le plan de la foi.
01:58:55 Il y a des choses très mesurables
01:58:57 auxquelles la foi n'a aucune place.
01:58:59 C'est comme render à César, quelque part.
01:59:01 Tout à fait.
01:59:03 Merci beaucoup, Jonas Parika, Martin Zizy.
01:59:05 On va faire un grand débat.
01:59:07 On va refaire un grand débat,
01:59:09 je pense, au début avril. Vous serez là.
01:59:11 Moi, je me serai.
01:59:13 Oui, c'est ça.
01:59:15 Et il faut espérer que ça évolue.
01:59:17 Oui, ça doit évoluer, absolument.
01:59:19 Merci de nous avoir suivis. Soutenez-nous, soutenez La Presse Libre.
01:59:21 C'est indispensable.
01:59:23 A très bientôt.
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