Category
🗞
NewsTranscription
00:00Donc Laurent Boum avait été encore plus lent en affirmant que Quotidien incarnait carrément l'antiracisme à la télévision.
00:05Quand je vais vous montrer son tweet et toutes les polémiques qui sortent actuellement, là, je peux vous dire que c'est inadmissible de dire ça dans la commission. Regardez.
00:13Je me permets de prendre la parole. Je pense que là, sur ces sujets-là, on a montré, on a prouvé qu'on est très sensible, on fait très attention à ça.
00:23En effet, les valeurs antiracistes, elles ne doivent pas être démontrées. Je pense qu'on les incarne à la télévision.
00:31Il est incroyable, lui. Il dit ça quand a été condamné pour injure à caractère racial. Parce qu'il a été condamné pour injure à caractère racial, Laurent Boum.
00:39Le mec, tranquille, il va à la commission, il dit qu'il est incroyable. C'est incroyable. Donc je vous le dis. Il a été condamné par le tribunal correctionnel de Montpellier pour injure à caractère racial.
00:47La justice l'a reconnue coupable d'avoir demandé à un de ses collègues de rédiger un faux SMS à caractère raciste afin d'être diffusé à l'antenne, dont on ne peut pas plaire à tout le monde.
00:55Vous vous rendez compte ou pas ? Il a fait diffuser un faux SMS. Et quand je vais vous lire le SMS, un mec pas raciste ne peut pas écrire ça.
01:03C'est lui qui a rédigé le SMS. Il a été condamné pour ça. Le producteur actuel de Quotidien, Laurent Boum. Laurent Boum raciste, on va l'appeler maintenant.
01:13Le contenu du SMS. Donc il a fait croire que c'était un téléspectateur qui écrivait ça. Écoutez, c'est incroyable.
01:20Dieudo, ça te fait rire si on faisait des sketchs sur les odeurs des blacks ? T'es tellement bête que ça me choque même plus.
01:26Il a fait exprès de faire des fautes d'orthographe et d'écrire en SMS. Non mais est-ce que vous vous rendez compte de ce SMS pour lequel il a été condamné ?
01:32Il a été condamné par le tribunal correctionnel de Montpellier. C'est extrêmement grave. C'est un truc de fou, ça.
01:39Alors ça, ils n'en parlent jamais. Mais bon, là, aujourd'hui, forcément, ça ressort.