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Poésie et homme 3 : des micro-poèmes illustrés sur l’homme (la peur, la philo, les rêves, la spiritualités et l’univers)


Transcription
00:00 La peur qui hante les gens engendre des monstres méchants.
00:10 Les cartésiens aiment des cartes, pas les cartes.
00:26 Je crie donc je suis.
00:31 L'instinct de survie nous donne la grande peur qu'on a de la mort.
00:44 On vit, on meurt, on change même d'heure, après quoi on court ?
00:54 L'un qui dit blanc, l'autre qui dit noir, ainsi s'achemine le savoir.
01:06 Laissons les exoplanètes pour vivre dans d'autres mondes, nous devons nous faire honte.
01:18 Une volupté quand l'essence s'émousse est le mal incrusté.
01:27 Au tout début de mon sommeil une partie de mon cerveau veille sur celle qui déjà rêve.
01:39 Mon soulagement s'avive quand se dissout le mauvais rêve qui colle à mon réveil.
01:50 Angélus de midi, la paysannerie se tape la cloche.
02:00 De crainte de Dieu, en principe de précaution, Sapiens souffrit-le.
02:11 Sapiens avance le feu, l'agriculture, la mécanique, l'électricité, l'électronique, l'informatique
02:25 et aussi l'IA pour être comme son Dieu.
02:30 L'individu pris dans l'évolution n'est qu'un pion.
02:40 Combien faudra-t-il de Fukushima et Tchernobyl pour naître éternel ?
02:52 Nous, animaux, ne survivons qu'en mangeant les autres vivants.
03:03 Bête humaine, maillons dans une chaîne, on a peu de jeu.
03:15 Sapiens, Sheravirus.
03:25 La vie qui en sort toujours retombe dedans le noir néant.
03:36 Bien coincé entre deux intignis, le grand et le petit, l'homme comme un ver dans une galerie.
03:47 Quand on est venu, la nature nous a fait venus pour qu'on reste nus.
03:58 Comme des balours, nous évoluons plombés par la gravité.
04:09 Sommes-nous plantés sur un éclat de Big Bang pour l'éternité ?
04:20 Les neutrinos évanescents et fugaces sont-ils de monde parallèle les traces ?
04:31 Les hommes nus jusqu'au 21e siècle.
04:42 La comète ignore la planète en surchauffe.
04:53 Le coronavirus remet l'homme à sa place.
05:03 La nature nous tient par la quête intignie du plaisir inassouvi.
05:14 L'homme n'arrête ni le progrès ni la quête du confort douillet.
05:25 Récite mon poème, tes yeux se ferment. Récite mon poème.