Le journaliste Jacques Cardoze révèle dans "Touche pas à mon poste" avoir été agressé dans le métro : "J ai eu très peur, car il m'a coincé sur mon siège. Le ton est très vite monté et les gens se sont écartés car ils ont compris que les choses allaient ml tourner. Il ne me reprochait rien de particulier à moi, car il m'a en plus confondu avec un autre journaliste dont il a cité le nom, mais en fait il dénonçait les journalistes de façon générale en nous reprochant d'être sioniste et de défendre en permanence Israël."
Si Jacques Cardoze raconte son histoire sur le plateau face à Cyril Hanouna c'est, dit-il, pour montrer que cela peut arriver à tout le monde, même quand on ne fait rien et qu'on est installé tranquillement dans le métro."
Et d'ajouter "Ce week-end, comme j'étais choqué par ce qui s'est passé m femme m'a demandé de ne plus prendre le métro..."
Si Jacques Cardoze raconte son histoire sur le plateau face à Cyril Hanouna c'est, dit-il, pour montrer que cela peut arriver à tout le monde, même quand on ne fait rien et qu'on est installé tranquillement dans le métro."
Et d'ajouter "Ce week-end, comme j'étais choqué par ce qui s'est passé m femme m'a demandé de ne plus prendre le métro..."
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00:00 -Le problème c'est que mon agresseur, lui, il croit à ce qu'on lui dit.
00:03 -Et il m'a reconnu en tant que personne de la DGV.
00:05 -C'était quoi la... -Il a été violent, t'as eu peur ?
00:07 -Oui j'ai eu peur parce qu'à un moment donné j'ai voulu m'échapper, si tu veux.
00:10 Au début, les gens s'écartent un petit peu, ils se poussent, ils sentent que ça va tourner vinaigre.
00:15 -Il parlait fort et tout ça ? Il était agitif ?
00:17 -Oui, non, il était très calme. J'ai senti qu'il était sous médicaments, je pense qu'il n'était pas dans son état normal.
00:22 Voilà, et il était absolument persuadé de son discours, il voulait absolument que je reconnaisse qu'il y a deux poids, deux moussaires.
00:30 -Ça vous a choqué ou pas ? -Pardon ?
00:32 -Ça vous a choqué ? -Ah oui, j'ai été choqué.
00:34 -Ah vraiment ? -Oui j'ai été choqué, ma femme me dit ce week-end "mais tu prends plus le métro, c'est fini".
00:38 -Quoi, il y a eu un... -Non, il y a eu un moment où j'ai voulu m'asseoir sur... Vous savez dans le métro il y a des banquettes...
00:45 -Tu connais le métro ? -Non mais je plaisante.
00:47 -C'était pour détendre un tout petit peu l'atmosphère.
00:52 -Non, il y a des banquettes l'une contre l'autre et en fait il était collé à cette banquette-là, il était debout comme ça et il me montre la photo comme ça.
01:00 Et donc moi étant assis, j'ai la photo ici et je me dis si je pars en courant, il va me poursuivre.
01:06 Donc je me dis "il ne faut pas que... tu es un comportement agressif".
01:10 Donc j'ai essayé d'argumenter avec lui mais honnêtement il était...
01:13 -Et toi qui a fait de la danse, tu n'as pas pensé à lui faire un passeau d'oblique ?
01:16 -Non mais c'est vrai.
01:18 -Je revenais de mon cours de danse.
01:20 -Non mais en vrai, je vais vous dire, moi ce que je n'aime pas c'est les mecs qui disent n'importe quoi.
01:24 Sachez-le, et ici vraiment, je vous dis, on essaie vraiment d'être les plus justes possible.
01:29 Nous, les seuls gens, les seules personnes qu'on n'aime pas, enfin qu'on dénonce dans cette émission, ce sont les personnes.
01:34 Nous ici, je le dis, on est une émission et je le pense profondément, on aime la France.