Empeiria en 'ruhig'

  • il y a 3 mois
Une expérimentation de la "psychologie concrète" ou de la "psychagogie" (des mots grecs, de "psukhè" et du verbe "agein"; de conduire, de mener, d'amener; comme dans le mot "pédagogie"), pour retrouver le calme ("ruhiğ" en allemand, ayant une homonymie heureuse avec le mot "ruh" -âme, ou esprit- en Arabe) et la tranquillité, quoique feinte pour de pures fines artistiques de "mise-en-scène"; comme la vie elle-même, en générale -surtout dans le processus d'individuation, justement dans une "communauté", dans un espace d'intersubjectivité- , la vie, même dans son "ipséité", dans sa "solitude" -Einsamkeit-, qui se "conserve" et se "dissémine" par les moyens de la mimesis...

Donc il s’agirait, avant tout, d'une expérience des "mots" ("se dire des mots grecs, arabes, allemands, français), celle de l'auto-affection (le temps) dans le "s'entrendre-parler", et du "se-voir-se-voir", dans l'élément du spacio-temporalité, afin qu'il se révèle au Soi...
L'art et penser du Tao.
Transcript
00:00:00Chacun peut avoir des espérances par rapport au futur, mais dans l'immédiat, en tant qu'esthète,
00:00:12moi, je n'ai qu'une seule exigence, puisque je suis là, chez moi, au sens large du terme,
00:00:20dans mon pâtoulage à moi, et que je filme, que je fais un concours de circonstances,
00:00:27non pas un brainstorming. J'espère trouver une bicyclette à Alphette Jarry, non pas chez une antique,
00:00:43j'ai trouvé ce matin et j'ai photographié pour vous, il s'agit d'une table de jardin,
00:00:49en fer forgé, avec une forme de bicycle, non pas une bicyclette actuelle, mais du 19e siècle,
00:01:01l'un des premiers, très très bien comme table, un prix très abordable, avec les fleurs roses,
00:01:14en fer forgé, peine, seulement 1 000 livres turcs. Le seul problème, c'est que je n'ai pas de jardin,
00:01:25je n'ai pas de place chez moi, mais par curiosité esthétique, je voulais l'acheter, mais in extremis,
00:01:35je pensais qu'il aurait pu photographier et j'ai eu quand même 4 photos pour vous, et ça me suffit.
00:01:43Ma mère, que je n'aime pas beaucoup, elle me conseille, prendre des photos, n'achète pas, c'est pas une vie,
00:01:54mais c'est comme une mère juive, prendre des photos, en fait, satisfais-toi, prendre des photos,
00:02:06mais n'a même pas chez moi aucun objet. Alors, mon espérance actuelle, non pas pour le futur,
00:02:16trouver mon bicyclette à Alfréd Thierry, que j'ai photographié, que j'ai fait du sport du matin,
00:02:23sur un canapé extraordinairement confortable, pendant mes thérapies,
00:02:32parce que je suis là, dans un champ hospitalier, hospitalière, vous comprenez ?
00:02:40Krankenhaus, non pas Krankenhaus, mais host, un champ de hostes, hot, hostess.
00:02:55À l'absence de friendly, je suis free, I am free, mais en allemand, il me manque la paix,
00:03:12la paix, je suis en paix, je suis en liberté, comme la catégorie chinoise,
00:03:21les chiens en liberté, les chiens en laisse, je suis pas en laisse, mais je passe par le laisse aussi, laisse.
00:03:32Grande fictionnalité, intimité, convivialité aussi,
00:03:43Avant le grand environnement hospitalier, j'ai eu ce grand centre de théâtre,
00:03:51coup de théâtre, partagé par une humaine qui connaît au fond le théâtre, qui est de Halep.
00:04:02Voilà, les signes, Bézorgung, non pas Bézorgung, mais Bézé,
00:04:10nom, indicateur, ça marche, fonction, chez moi, pour l'enchaînement des autres régimes de phrases.
00:04:22Maintenant, je vais partir pour chercher mon vélo à Jari.
00:04:31À savoir, veut dire, vous pouvez pédaler à l'infini sans pouvoir avancer.
00:04:41C'est une bicyclette d'appartement, comme on dit, avant l'heure.
00:04:46Mais c'est autre chose, avoir à Jari et son vélo.
00:04:54Chercher, moi, si je vais chercher, mes connaissances sont un peu révolues.
00:05:06Qu'est-ce que je vais faire? Arrêter, aller.
00:05:12On va faire un exercice de sommeil, cette fin d'après-midi,
00:05:20parce qu'il fait trop beau, il y a un atmosphère brumeuse,
00:05:28et il n'y a rien de soleil, aucun vent, une température de 23 degrés,
00:05:36mais avec une fraîcheur qui circule entre les arbres,
00:05:43et il y a de grands abîmes.
00:05:45La mer, bien sûr, toujours changeante, toujours identique à elle-même.
00:05:52Ce n'est pas un océan, c'est une mer intérieure, c'est encore plus thalassique.
00:05:58Donc je suis très curieux.
00:06:00Je vois ici les algues toutes vertes, et la sonorité des vagues, bien sûr.
00:06:08C'est très frayant, les vagues, aujourd'hui.
00:06:11Comme moi, ça me fait dormir.
00:06:14Là, on va faire un exercice de sommeil, et l'un des meilleurs rêves.
00:06:20Imaginez, tous ensemble...
00:06:23Ah, il y a un moineau qui est venu à ma visite tout seul.
00:06:29Voilà.
00:06:32Imaginez, essayez de vous concentrer à un des meilleurs moments de vos rêves,
00:06:41bien que le contenu vous échappe.
00:06:44Vous savez que ce rêve était très important pour vous,
00:06:48et qui a peut-être changé une période de votre vie.
00:06:52Et là, choisissez ce genre de rêve,
00:06:56un bon réveil qui vous fait croire que vous avez quelque chose que vous n'auriez même pas espéré.
00:07:08Là, rêvez de cette sorte...
00:07:11Enfin, essayez d'entrer dans cette sorte de rêve.
00:07:16Ce n'est qu'une préparation.
00:07:18On va voir si ça arrive ou pas.
00:07:22Les miettes me suffisent.
00:07:25C'est-à-dire qu'on ne peut pas ouvrir et fermer l'intérieur du cerveau, ni la mémoire.
00:07:32Il n'y a pas de couvercle, mais il y a des méthodes que je suis en train de développer avec vous.
00:07:40On ne peut pas...
00:07:41Enfin, moi, j'essaie sur moi, effectivement.
00:07:45Mais c'est le moment propice.
00:07:48Détendez-vous.
00:07:50Là, en fait, on a fait une couche pour feindre le sommeil.
00:07:54Vous n'êtes pas obligé de vous assommer.
00:07:59Vous pouvez rester uniquement dans une position de Ruhrig,
00:08:04c'est-à-dire calme et tranquillité.
00:08:08Vous allez rester face à face,
00:08:14sans interface.
00:08:19Disons, vous seriez, comment dirais-je, buté.
00:08:30Buté à vos rêves.
00:08:32C'est la limite de conscience,
00:08:36votre vie consciente.
00:08:38Là, au-delà, le P.A. grandit la limite, la frontière,
00:08:46pour nous être à la fois très amis,
00:08:51c'est-à-dire très familier,
00:08:54et à la fois très étrange.
00:08:58Ça nous intrigue,
00:09:01comme derrière les aigles,
00:09:05aigles dans cette profondeur très bas de la mer,
00:09:11effectivement, tout change.
00:09:14Et comme si la mer voulait dire quelque chose,
00:09:18voulait exprimer quelque chose avec les aigles,
00:09:22avec les mouvements d'ondulation des vagues,
00:09:25ça vous attire vers cette profondeur-là,
00:09:29et seulement par une simple vue,
00:09:33et une sonorité somnambulante.
00:09:40C'est ça.
00:09:42J'ai choisi le lieu pour vous.
00:09:45J'ai eu dans cet endroit-là très bonnes expériences,
00:09:49je ne nommerai pas psychagogie,
00:09:54hypnose, non, ça n'a rien à voir,
00:09:58c'est une expérience de quoi?
00:10:02En fait, hypno, disons, en fait,
00:10:08sommeil à apnée.
00:10:11J'espère que vous n'avez pas d'apnée.
00:10:15Voilà, respirez lentement.
00:10:19Vous avez fait votre sport en venant ici,
00:10:23on a grimpé une grande colline,
00:10:27là, c'est le moment,
00:10:29enfin, on a un peu mangé légèrement,
00:10:31on a bu un peu,
00:10:33là, effectivement, on a fait une couche bleutie,
00:10:37qui s'est ressortie très bien,
00:10:40avec les...
00:10:44attends, je veux dire,
00:10:46violets, violets sauvages,
00:10:48violets sauvages,
00:10:51elles aussi, elles sont morts,
00:10:54donc bleuties, morts,
00:10:58c'est un peu pour, pour écalade,
00:11:01et il y a une forme humaine dans la couche
00:11:07pour une personne,
00:11:11donc, on a jeté quelques monnaies
00:11:18métalliques pour rappeler les anciennes traditions de Noce,
00:11:23n'est-ce pas ?
00:11:25Première nuit,
00:11:27et une détente,
00:11:29et une certaine curiosité, mais retenue,
00:11:33et beaucoup de timidité quand même,
00:11:37curiosité mélangée avec la timidité,
00:11:41et une certaine, quand même, atmosphère de quoi ?
00:11:46Alcove, alcove,
00:11:48dans les atres,
00:11:50mais nous sommes en pleine journée,
00:11:53fin de l'après-midi, mais quand même très ensoleillé,
00:11:56dans cette magnifique
00:12:02solitaire, mais,
00:12:05dans notre hémisphère, ça fait
00:12:11sommet,
00:12:13sommet de quelque chose,
00:12:16sommet du printemps,
00:12:20voilà,
00:12:22vous pensez positif,
00:12:24même les choses très graves,
00:12:27maintenant,
00:12:29neutre, devenu neutre,
00:12:32on n'efface rien, surtout pas,
00:12:36laissez venir,
00:12:38écoutez,
00:12:41prêtez l'oreille à la clameur,
00:12:44c'est votre être,
00:12:46je dis toujours clameur d'être,
00:12:49non pas de l'être,
00:12:51comme s'il s'agissait d'une pièce,
00:12:54non, pas du tout,
00:12:56il s'agit de notre être,
00:12:58donc clameur viendrait de l'entrevue,
00:13:01qui tomberait là-dessus,
00:13:04c'est-à-dire encore sous nous,
00:13:06ce serait une certaine réflexivité,
00:13:09ralentie,
00:13:11ou en toute vitesse,
00:13:13dans un clin d'oeil,
00:13:15comme on dit,
00:13:17comme si Dieu tourna,
00:13:21tout d'un coup,
00:13:23voilà,
00:13:25tout est possible,
00:13:27toute temporalité,
00:13:29s'articule
00:13:33dans ce point d'espace congruent,
00:13:39vous voyez,
00:13:41que puis-je dire,
00:13:43c'est pas une capsule spatiale,
00:13:45mais,
00:13:47imaginez, c'est notre dernier jour,
00:13:49sous la Terre,
00:13:51sous la Terre qu'on connaît,
00:13:53c'est-à-dire,
00:13:55il n'y en a pas d'autres,
00:13:57il n'y en a pas d'autres,
00:13:59c'est notre Terre,
00:14:01c'était votre Terre,
00:14:03et c'est
00:14:05c'est
00:14:07votre dernier jour
00:14:09sur la Terre,
00:14:11et vous êtes,
00:14:13par définition,
00:14:15dernier homme ou femme,
00:14:19ou première,
00:14:21qui expérimente
00:14:23sa fin.
00:14:25Voilà, projet à peu près comme ça,
00:14:27vous faites des femmes,
00:14:29vous vous débrouillez
00:14:31comme vous voulez,
00:14:33tout est libre,
00:14:36si vous voulez,
00:14:38aller à fumer un peu loin,
00:14:40ou bien,
00:14:42jouer du bal,
00:14:44faire votre pique-nique,
00:14:50vous êtes libre là.
00:14:52D'abord, il faut savoir
00:14:54qu'il ne s'agit pas d'une expérience scientifique,
00:14:56ça n'a rien à voir,
00:14:58il s'agit de la philosophie,
00:15:00ou bien,
00:15:02philosophé,
00:15:04il s'agit de votre
00:15:06côté végétal
00:15:08et animal,
00:15:10tout en gardant une certaine réflexion.
00:15:12Mais,
00:15:14comme je vous ai dit,
00:15:16il ne faut surtout pas
00:15:18vous focaliser,
00:15:20condenser,
00:15:22sur vos traumas,
00:15:24ou sur un
00:15:26événement précis,
00:15:28mais le rêve vague,
00:15:30parce que je veux,
00:15:33c'est-à-dire que
00:15:35vous avez un mouvement
00:15:37intérieur
00:15:41plutôt, je dirais,
00:15:43identique,
00:15:45c'est-à-dire tout à fait
00:15:47abstrait,
00:15:49une abstraction.
00:15:51Mais,
00:15:53comme nous sommes des êtres
00:15:55chanels, corporels,
00:15:57comme vous voyez,
00:15:59je vais photographier,
00:16:01la couche
00:16:03que nous avons
00:16:05eu,
00:16:07c'est un
00:16:09excepted,
00:16:11comment on dit en anglais,
00:16:13c'est,
00:16:15le lieu est congruent,
00:16:17mais la pente n'est pas très congruent,
00:16:19parce que la couche,
00:16:21ça se glisse, surtout
00:16:23l'humain, mouvant,
00:16:25ça se glisse,
00:16:27les objets plus lourds,
00:16:30ça ne se glisse pas.
00:16:32Eux, ils peuvent tomber soudain,
00:16:34mais l'homme
00:16:36a conscience
00:16:38de ses glissés, et nous sommes
00:16:40au bord de l'abîme,
00:16:42comme j'ai photographié
00:16:44de temps en temps, pour que vous voyez que
00:16:46nous sommes quand même
00:16:48entre la vie et la mort,
00:16:50et c'est votre dernier jour,
00:16:52n'oubliez jamais,
00:16:54et vous avez la possibilité
00:16:56de perdre la vie
00:16:58avant le destin, c'est-à-dire
00:17:00avec un accident,
00:17:02tout simplement.
00:17:04Il y a eu ce genre d'accident,
00:17:06mais c'était plutôt voulu,
00:17:08c'est-à-dire que
00:17:10ils se sont tombés
00:17:12à se glisser,
00:17:14alors qu'il y a deux
00:17:16grandes arbres, là,
00:17:18on a pu
00:17:20soutenir,
00:17:22là,
00:17:24on a fait exprès de mettre
00:17:27entre deux arbres,
00:17:29là, il n'y a aucune protection,
00:17:31aucun obstacle, aucun scandale,
00:17:33donc, là,
00:17:35il y a un abîme, mais c'est très attirant,
00:17:37ce paradis,
00:17:39il ne s'agit pas du feu,
00:17:41il ne s'agit pas de
00:17:43grand tourment,
00:17:45il ne s'agit que
00:17:47quelques secondes de chute
00:17:49et plume,
00:17:51c'est-à-dire
00:17:53éléments thalassiques,
00:17:55un véritable
00:17:57retour
00:17:59au quoi?
00:18:01À l'allemand liquide,
00:18:03comme on dit thalassique,
00:18:05depuis Férencie,
00:18:07on pense quoi?
00:18:09On pense le moment
00:18:11de naissance,
00:18:13donc, pourquoi pas
00:18:15fermer
00:18:17le cercle
00:18:19juste là où
00:18:21commencer, c'est-à-dire
00:18:24utéris, je dirais,
00:18:26utéris, l'allemand thalassique,
00:18:28ça renvoie
00:18:30à cette liquide
00:18:32utérien.
00:18:34Utérien,
00:18:36hystérion,
00:18:38a une affinité
00:18:40étymologique, je crois,
00:18:42hystérie aussi vient
00:18:44d'utérus,
00:18:46sommeil,
00:18:48c'est l'éther,
00:18:50l'éther,
00:18:52l'hypno,
00:18:54voilà.
00:18:58Si vous connaissez
00:19:00le grec, pensez grec,
00:19:02si vous connaissez l'allemand,
00:19:04restez dans l'élément d'allemand,
00:19:06moi, je restais
00:19:08dans l'élément du français,
00:19:10glissé,
00:19:12des barres,
00:19:16bon,
00:19:18c'est ce que je voulais dire.
00:19:21Une couche glisse, il y a eu des accidents,
00:19:23mais accidents,
00:19:25c'est le concours
00:19:27des circonstances.
00:19:29Notre but,
00:19:31d'ailleurs,
00:19:33c'est pas de provoquer
00:19:35de la méchanceté,
00:19:37non, c'est, au sens noble
00:19:39du thème,
00:19:41clamer,
00:19:43clamer l'être,
00:19:45clamer être,
00:19:47reclamer d'être,
00:19:49c'est bien,
00:19:51et non pas de la mort,
00:19:53dont nous ne connaissons absolument rien,
00:19:55et que je n'ai même pas spéculé,
00:19:57après la mort.
00:19:59Eh bien,
00:20:01reclamer,
00:20:03voilà,
00:20:05dans notre langue turque,
00:20:07on utilise
00:20:09même pas verbe,
00:20:11c'est devenu un substantif,
00:20:13un nom anodin,
00:20:15reclame, qui veut dire
00:20:18adversité,
00:20:20c'est-à-dire publicité,
00:20:22en anglais,
00:20:24encore bizarre,
00:20:26adversité, quelque chose comme ça,
00:20:30c'est méchanceté totale,
00:20:32prendre
00:20:34un mot,
00:20:36un verbe riche,
00:20:38reclamer, quand même, reclamer,
00:20:40nous ne savons même pas
00:20:42la différence entre demander,
00:20:44commander,
00:20:46demander d'emploi et commander,
00:20:48nous ne connaissons
00:20:50pas le français, pas suffisamment,
00:20:52je suppose,
00:20:54et reclamer,
00:20:56annihiler comme mot,
00:20:58je ne sais pas dans votre pays,
00:21:00ça se passe comment, mais publicité,
00:21:02enfin, cette publicité,
00:21:04c'est la fin du public,
00:21:06à mon avis,
00:21:08voilà, penser des choses comme ça,
00:21:10des affinités
00:21:12sélectives,
00:21:15les mots peuvent vous aider,
00:21:17pourquoi pas,
00:21:19les dessins,
00:21:21j'aime beaucoup,
00:21:23penser en dessinant,
00:21:25écrivez
00:21:29plein de mots,
00:21:33pas toujours,
00:21:35écrivez de gros mots,
00:21:39quelque chose comme ça,
00:21:41et oui,
00:21:43nous avons des mots fétiches,
00:21:45même si
00:21:47nous ne comprenons pas
00:21:49le sens
00:21:51historique,
00:21:53le contexte terrible
00:21:55dans lequel ils sont utilisés,
00:21:57peut-être que
00:21:59le mot que je trouve philosophique,
00:22:01c'est un mot abject,
00:22:03ce mot allemand,
00:22:05comme la plupart des mots allemands,
00:22:07très démocratique,
00:22:09très bureaucratique,
00:22:12très militarisé,
00:22:14même pendant
00:22:16l'époque nazie,
00:22:18mais avant,
00:22:20et même après, c'est encore pire,
00:22:22et pire,
00:22:24selon les questions,
00:22:26c'est un
00:22:28baiser long,
00:22:30baiser long,
00:22:32baiser sec, qui vient de
00:22:34zayen,
00:22:36ah oui, oui,
00:22:38c'est triste,
00:22:40mais être bête, au sens
00:22:42lacanien, après,
00:22:44dolosien,
00:22:46c'est-à-dire être bête
00:22:48venue dans une toute
00:22:50innocence,
00:22:52face à monsieur Jean Kralewicz,
00:22:54un étudiant allemand,
00:22:56qui disait,
00:22:58je suis rien
00:23:00dans le
00:23:02camp de concentration,
00:23:04c'est pas moi qui l'ai fait,
00:23:07c'est ça,
00:23:09une bêtise,
00:23:11innocence,
00:23:13c'est pas pour rien
00:23:15qu'il y a
00:23:17une doctrine d'ignorance,
00:23:19pour devenir bête,
00:23:21pour comprendre mieux,
00:23:23Dieu,
00:23:25je ne dis pas
00:23:27création,
00:23:29la fin de la création, ça inclut
00:23:31tout, le mot
00:23:33simple,
00:23:35crypte,
00:23:37qui veut dire
00:23:39dièse, le jour,
00:23:41Dieu,
00:23:43dans notre culture,
00:23:45autre chose,
00:23:47voilà,
00:23:49c'est de penser le
00:23:51monopolynésien,
00:23:53voilà.
00:23:58On oublie un peu
00:24:00trop que les
00:24:02préliminaires comptent
00:24:05que le noyau,
00:24:07plus que le noyau
00:24:09normatique de la
00:24:11chose.
00:24:15Quand je dis chose,
00:24:17entendez zaher,
00:24:19si vous voulez,
00:24:21shei,
00:24:23qui vient de
00:24:25d'une lettre
00:24:27seulement, dans l'alphabet
00:24:29grec chi,
00:24:31qui est chi,
00:24:33selon les prononciations
00:24:35crétoires.
00:24:39Copti,
00:24:41Alexandrine,
00:24:43pourquoi pas,
00:24:45Byzance, Constantinople,
00:24:47Lycia,
00:24:49qui parle
00:24:51aussi grec.
00:24:53Bon, shei,
00:24:55ça peut être
00:24:57persan, arabe,
00:24:59ou dogine,
00:25:03grec, mais
00:25:05ça fait partie
00:25:07intégrante de la langue tuque,
00:25:09pour dire, bien sûr,
00:25:11rien,
00:25:13le rien qui compte beaucoup.
00:25:17Eh bien, je suis très content
00:25:19aujourd'hui,
00:25:23j'ai aucune
00:25:27écoute parasitaire
00:25:29ou
00:25:32prolifération de
00:25:34paroles
00:25:36vides
00:25:38dans les
00:25:40moyens de transport, bien sûr.
00:25:42Heureusement que je ne suis
00:25:44pas dans une grande
00:25:46croisière et
00:25:48prendre du
00:25:50bain de soleil
00:25:52et entrer
00:25:54dans un faux
00:25:56bassin,
00:25:58forcément salé ou
00:26:00chlorifié,
00:26:02avec beaucoup
00:26:04d'enfants
00:26:06de
00:26:08policiers,
00:26:10s'il s'agit
00:26:12de gars inférieurs
00:26:14de
00:26:16un club méditerranéen qui s'est
00:26:18fermé, etc. Bon,
00:26:20je suis très content que je ne sois
00:26:22dans un endroit
00:26:24touristique,
00:26:26que je ne nommerais
00:26:29pas l'endroit, d'ailleurs,
00:26:31j'ai versé tous les indices
00:26:33et,
00:26:35comme disait André Breton,
00:26:37en fait,
00:26:39par rapport à Marcel Duchamp,
00:26:41en faisant
00:26:43tout le chemin à reculons,
00:26:45on peut restituer
00:26:47son histoire et
00:26:49c'est-à-dire ce qu'il voulait dire.
00:26:51Impossible.
00:26:53On aurait que la chance.
00:26:55Donc, je disais
00:26:57que le premier préliminaire
00:26:59compte beaucoup,
00:27:01autrement dit,
00:27:03le mot préliminaire,
00:27:05dans mon lexique de trois mois,
00:27:07est devenu un accessoire
00:27:09à cause d'Abi.
00:27:11Abi
00:27:13Waburg,
00:27:15selon la traduction de
00:27:17cher M.
00:27:19Jean-Marie Pontevial
00:27:21de Bordeaux,
00:27:24que je n'ai pas eu la chance
00:27:26de connaître,
00:27:28quand il était vivant.
00:27:30J'ai connu
00:27:32Hubert D'Amiche,
00:27:34Didier Roubellement,
00:27:36Georges Didier Roubellement,
00:27:38grand esthéticien,
00:27:40grand théotien,
00:27:42grand pratiquant
00:27:44de l'esthétique,
00:27:46disons.
00:27:48Eh bien, qu'est-ce que je voulais dire?
00:27:50Voilà, les accessoires,
00:27:52il s'agit de mon pantalon,
00:27:54bien sûr.
00:27:56J'ai trop oublié de l'enlever.
00:27:58Dès que je suis,
00:28:02je viens ici,
00:28:04il fallait
00:28:06s'alléger.
00:28:08Voilà, tout ce que j'ai oublié.
00:28:10Je parlais beaucoup de mind,
00:28:12de focus,
00:28:14d'esprit.
00:28:16Je ne suis pas un yogi,
00:28:18je ne suis pas un chaman,
00:28:21je suis un pratiquant
00:28:23de quoi? Un pratiquant.
00:28:25Un pratiquant d'Althusser,
00:28:27un pratiquant de
00:28:29Blaise Pascal,
00:28:31c'est-à-dire, quelqu'un
00:28:33d'abord matérialiste,
00:28:35ensuite,
00:28:37une dialectique
00:28:41ou dans le langage
00:28:43du XVIIIe,
00:28:45dans mon langage
00:28:47du XXIe siècle,
00:28:49dialectique Fulberier,
00:28:51c'est le destin de l'homme
00:28:53et de la nature.
00:28:55Se tromper, se faire tromper,
00:28:57par Mimicis, etc.
00:28:59Quelqu'un d'abord avec l'accessoire.
00:29:04My darling aussi
00:29:06m'avait demandé
00:29:08qu'est-ce que tu veux
00:29:10de mes bijoux.
00:29:12Moi, je t'achète
00:29:14tes bijoux, chérie, tout simplement.
00:29:16Même pas pour
00:29:18t'initier à notre voyage
00:29:20à Kordo, en Indonésie,
00:29:22j'achète
00:29:24des pendaison,
00:29:26des coupes d'oreilles.
00:29:28Coupes d'oreilles
00:29:30en forme de,
00:29:32bien sûr, grenades.
00:29:34Parce que nous allons
00:29:36avec toi
00:29:38à Grenade.
00:29:40Grenade, oui.
00:29:42À Savilla aussi.
00:29:44Nous serons
00:29:46très heureux à Kordo.
00:29:48Il y a une vue
00:29:50très chic.
00:29:52Mais, dès l'abri,
00:29:54là, il y a des bons appartements.
00:29:56Et nous aurons
00:29:58quand même
00:30:00un appartement transformé
00:30:02en hostel, hotellerie.
00:30:04Là, nous serons
00:30:06comme chez nous.
00:30:10Ça m'est égal
00:30:12qu'il soit un peu salubre.
00:30:14Pas du tout
00:30:16mauvais pic,
00:30:18ou tes hiltons,
00:30:20ou tes biennales
00:30:22de mardin.
00:30:24Mardin,
00:30:26c'est symétrique,
00:30:28beaucoup, mais
00:30:30tu as quand même une promesse
00:30:32à quelqu'un d'autre.
00:30:36Écoute-moi,
00:30:38si tu lis ces lignes,
00:30:40réponds-moi.
00:30:42C'est un message
00:30:44de télésécrateur.
00:30:46Merci.
00:30:48L'année devrait être
00:30:502012.
00:30:54C'est ça.
00:30:56C'est ça.
00:30:58Ah, ton rêve était ça.
00:31:00Ah, tu l'as dit,
00:31:02tu l'as franchi.
00:31:04Ah, tu as fait des erreurs.
00:31:06On note, on dénote,
00:31:08on connote.
00:31:12Alors,
00:31:14Imperia a réussi.
00:31:16Nous avons un résultat.
00:31:18Le premier
00:31:20qui peut sortir
00:31:22du groupe.
00:31:24Les autres
00:31:26qui se détendent
00:31:28encore plus.
00:31:30Je me demande
00:31:32s'il y aura
00:31:34une pleine lune ce soir,
00:31:36parce que j'ai envie
00:31:38de rester quand même toute la nuit
00:31:40sans batterie,
00:31:42sans charge, sans électricité,
00:31:44sans l'eau.
00:31:46Il y a la mer
00:31:48qu'on ne peut pas atteindre,
00:31:50mais en marchant
00:31:52200 mètres,
00:31:54on est dans la plage.
00:31:56Bon, il ne faut
00:31:58absolument pas dire
00:32:00à personne
00:32:02la localisation.
00:32:04Sinon, c'est fini.
00:32:06C'est fini.
00:32:08Sinon, c'est fini.
00:32:10C'est fini.
00:32:12Parfois, les gens
00:32:14qui ont envie de mourir
00:32:16n'ont pas
00:32:18de détresse terrible.
00:32:20Non,
00:32:22c'est une sorte d'extase.
00:32:24Une certaine
00:32:26étudie,
00:32:28bien sûr, enchantement,
00:32:30épanouissement
00:32:32maximum de la vie.
00:32:34Je ne parle
00:32:36pas des choses mesquines
00:32:38envers
00:32:40une
00:32:42pathologie,
00:32:44mais une envie
00:32:46à la mort
00:32:50de se perdre
00:32:52dans une infinité
00:32:54illimitée,
00:32:58sauvage,
00:33:00d'une capsule spatiale
00:33:02pour l'expérience
00:33:04du vide.
00:33:06C'est ça.
00:33:08Donc, ce n'est pas
00:33:10du tout rationnel. Bien sûr,
00:33:12nous avons l'instinct,
00:33:14si vous voulez,
00:33:16de rester dans la vie,
00:33:18comme je disais,
00:33:20peut-être
00:33:22pour la vie
00:33:24en disciplinant ça.
00:33:26En ce qui concerne
00:33:28l'humain, effectivement,
00:33:30elle s'avère dans son être
00:33:32c'est une pire des mesquineries
00:33:34qui sont mauvaises
00:33:36à l'oreille.
00:33:38C'est une qualité
00:33:40tellement critique.
00:33:42À mon moineau,
00:33:44il est venu.
00:33:46Voilà ce qu'il a dû
00:33:48persévérer.
00:33:50L'autre concept
00:33:52c'est
00:33:54biologiste
00:33:56Conatus.
00:33:58Que veux-tu
00:34:00de mon Conatus ?
00:34:02Que peux-tu
00:34:04savoir,
00:34:06philosophe ?
00:34:08On peut parler comme
00:34:10disons, haut philosophe.
00:34:12Que puis-je
00:34:14espérer ?
00:34:16Que puis-tu
00:34:18espérer
00:34:20de mon
00:34:22Conatus ?
00:34:24Quel est ton lien ?
00:34:26Tu écoutes le catalogue ?
00:34:30Tu es chef de
00:34:32quoi ?
00:34:34Voilà, peut-être que tu es ministre
00:34:36de collecteurs du
00:34:38Trépuce ?
00:34:40C'est ça, ça marche comme ça,
00:34:42les impôts, etc.
00:34:44Là,
00:34:46maintenant,
00:34:48comme nous sommes civilisés
00:34:50et dans
00:34:52une forêt
00:34:54et sous ce littoral
00:34:56et
00:34:58nous avons le droit
00:35:00de penser
00:35:02au sens
00:35:04du terme,
00:35:06c'est-à-dire
00:35:08penser au sens
00:35:10français du terme,
00:35:12c'est-à-dire avoir une pensée
00:35:14c'est une sorte
00:35:16de deuil
00:35:18et l'innéron
00:35:20se rappelait d'un mort,
00:35:22d'un absent. Parlons des
00:35:24absents, mais sans donner
00:35:26pas long
00:35:28absentement
00:35:30mais dans
00:35:32votre
00:35:34mind
00:35:36je dirais
00:35:38c'est complètement concrétisé
00:35:40oui, parlons
00:35:42c'est ça
00:35:44avoir une pensée
00:35:46et dire
00:35:48tout simplement
00:35:50dans les visites
00:35:52de cimetières, d'eau,
00:35:54recueillement,
00:35:56un moment de recueillement
00:35:58je dirais
00:36:00d'avoir un Dieu personnalisé, non
00:36:02d'avoir justement un mort
00:36:04personnalisé
00:36:06il y a partout
00:36:08des osements,
00:36:10des traces de mort
00:36:12toutes ces végétations
00:36:14viennent de la transformation
00:36:16de mort
00:36:18non pas seulement
00:36:20humaine, bien sûr, c'est-à-dire
00:36:22tout un mort qui
00:36:24se transforme en vie
00:36:28c'est ça
00:36:30l'expérience
00:36:32le nom, enfin
00:36:34le concept peut être discuté, mais
00:36:36on connaît, pourquoi pas
00:36:40dans ma première
00:36:42d'abord il faut dire que
00:36:44les filles
00:36:46elles ne voulaient pas se glisser
00:36:48vers de l'abîme
00:36:50on les a mis un peu plus loin
00:36:52sur la colline
00:36:54et un garçon
00:36:56qui est descendu quand même
00:36:58loin des filles
00:37:00pour uriner
00:37:02là, on l'a perdu
00:37:04c'est-à-dire qu'il est
00:37:06sûrement fasciné
00:37:08par la vue
00:37:10ou autre chose
00:37:12et il se glissait
00:37:14vers le fond
00:37:16le problème c'est que la mère
00:37:18on peut se jeter
00:37:20de n'importe quelle
00:37:22distance, même d'un
00:37:24hélicoptère de parachute
00:37:26mais ici, il y a beaucoup de rochers
00:37:28quand même
00:37:32bon, on essaye de l'atteindre
00:37:34mais
00:37:36il est trop beau
00:37:38pour être sauvé
00:37:40et sur le rocher
00:37:42étendu
00:37:44seulement son oreille
00:37:46c'est un sacrifice
00:37:48mime
00:37:50donc il y a
00:37:52la production qui va s'occuper
00:37:54de son oreille
00:37:56sinon
00:37:58on a pu
00:38:00utiliser
00:38:02une sousie
00:38:04on dit sousie
00:38:08dans l'industrie filmique
00:38:10voilà
00:38:12quelqu'un qui va
00:38:14quelqu'un qui va
00:38:16souffler
00:38:18ou bien qui va donner son coeur
00:38:20au lieu
00:38:22de l'acteur
00:38:24acteur quand même
00:38:26qui a phonésie, charisme
00:38:28principale
00:38:36je disais, enfin
00:38:38deux choses maintenant
00:38:40d'une part, là comme il y a
00:38:42des oiseaux de l'eau
00:38:44comme on dit
00:38:46il ne s'agit pas d'un lac
00:38:48mais il y a des oiseaux qui nagent
00:38:50et c'est très très romantique
00:38:52ils ne sont pas
00:38:54d'Elsine
00:38:56pas
00:38:58de Tchaïkovsky là
00:39:00mais
00:39:02il y a des traces
00:39:04d'Ahmet Hachim
00:39:06grand poète
00:39:08du 19e siècle ottoman
00:39:10qui écrit
00:39:12celui d'un poème
00:39:14qui s'appelle
00:39:16Les oiseaux du lac
00:39:18qui m'a boulé
00:39:20bien sûr
00:39:24je me rappelle bien
00:39:26j'ai beaucoup travaillé
00:39:28à l'époque où
00:39:30j'écrivais à la fois
00:39:32quoi
00:39:34midin
00:39:36donc avant
00:39:38et après mon service
00:39:40surtout pendant et après
00:39:42et
00:39:44donc les années
00:39:50vous m'excusez
00:39:52les années
00:39:541992
00:39:56et 1993
00:39:58l'oeuvre
00:40:00date
00:40:02l'oeuvre de
00:40:04Mylène
00:40:06date de ce temps là
00:40:08donc
00:40:10Ahmet Hachim
00:40:12présence de ce poète
00:40:14ça fait sentir
00:40:16c'était
00:40:18la chose que je voulais dire
00:40:20encore plus
00:40:22esthétiquement
00:40:24mais c'est pour une autre fois
00:40:26deuxième chose
00:40:28il s'agit bien sûr
00:40:30d'une false
00:40:32que j'ai fait
00:40:34pour une fiction
00:40:36autobiographique
00:40:38pour envoyer
00:40:40à n'importe quel colloque
00:40:42universitaire aux Etats-Unis
00:40:44le titre est bien
00:40:46fiction autobiographique
00:40:48c'est compréhensible
00:40:50même en canadien
00:40:52au Québec
00:40:54ou à Ottawa
00:40:56c'est pour ça qu'on choisit des mots
00:40:58comme ça qui ne veulent
00:41:00rien dire
00:41:02on minimise
00:41:04grec ou turc
00:41:06qui est en nous
00:41:08qui nous a traversé
00:41:10en quelque façon
00:41:12mais mon propos
00:41:14c'est pas ça
00:41:16tout ça c'est très important
00:41:18référence à Ahmet Hachim
00:41:20quand il s'agit d'un coucher de soleil
00:41:22ah oui oui
00:41:24l'ancestre d'Ahmet Hachim
00:41:26et dans cette série
00:41:28de poèmes
00:41:30il parle de sa mère
00:41:32c'est l'ancestre
00:41:34pourquoi
00:41:36il parle de sa mère
00:41:38de quel droit
00:41:40pourquoi
00:41:42pas parler
00:41:44des différents oiseaux
00:41:46en français
00:41:48il veut dire quelque chose
00:41:50oiseau
00:41:52vous voyez
00:41:54moi j'ai pas vécu dans le temps
00:41:56d'Ahmet Hachim
00:41:58je suppose que sa mère
00:42:00elle était endeuillée
00:42:02et son père
00:42:04et son mari
00:42:06ils étaient décédés
00:42:08c'est à dire
00:42:10ils étaient tombés martyrs
00:42:12dans la guerre
00:42:14précédente
00:42:16et Ahmet Hachim
00:42:18un petit garçon
00:42:20qui
00:42:22souvenait de ses promenades
00:42:24autour
00:42:26dans les rivages
00:42:28au bord des lacs
00:42:30quel lac ça peut être
00:42:32Nikosie ou
00:42:34autre chose
00:42:36il faut qu'il y ait des oiseaux
00:42:38des oiseaux
00:42:40et bien il a écrit
00:42:42un poème
00:42:44très très romantique
00:42:46très symbolique
00:42:48très chargé
00:42:50voilà
00:42:52mais il faut dire
00:42:54je ne suis pas
00:42:56préparé pour ça
00:42:58c'est une référence d'un ceste
00:43:00terrible
00:43:02avec l'élément de l'eau
00:43:04et pourquoi
00:43:06accompagnement de la mer
00:43:08pourquoi il n'y a pas
00:43:10des oiseaux
00:43:12pourquoi tu n'as pas
00:43:14un livre d'ornithologie
00:43:16non il n'y en a pas
00:43:18c'est un
00:43:20ottoman crispin
00:43:22il est allé seulement
00:43:24à Paris
00:43:26où il connait Parcours Rimbaud
00:43:28et il essaie de l'imiter
00:43:30mais
00:43:32c'est ça
00:43:34il ne peut parler que
00:43:36sous un symbolisme
00:43:38sans
00:43:40au félinat
00:43:42je suis à peu près
00:43:44face à un grand
00:43:46bâtiment du 19ème siècle
00:43:48tout en bois
00:43:50énorme
00:43:52numéro 1
00:43:54dans l'énormité
00:43:56il s'agit d'un
00:43:58au félinat grec
00:44:00on est en Turquie là
00:44:02comme location on ne peut dire que ça
00:44:04alors
00:44:06deuxième affaire j'ai oublié
00:44:08il y avait deux choses importantes
00:44:10ceci et là
00:44:12l'autre garçon
00:44:14en pissant
00:44:16il a choisi
00:44:18l'autre monde
00:44:20mais il est comme
00:44:22un dormant
00:44:24il n'est pas mort
00:44:26il est un remplaçant
00:44:28un ersatz
00:44:30un acteur
00:44:32simplement
00:44:34un acteur au moins
00:44:36je suis un régisseur
00:44:38de mon quartier
00:44:40c'est à dire
00:44:42il s'agit
00:44:44d'un karamatak
00:44:46pas du tout un cygne
00:44:48mais un karamatak
00:44:50qui nage très bien
00:44:52je devrais apprendre
00:44:54à me plonger
00:44:56dans un karamatak
00:44:58je ne peux pas traduire
00:45:00langue
00:45:08langue
00:45:12gueule
00:45:14on ne dit pas pour les oiseaux
00:45:16que
00:45:18il faut que je travaille les oiseaux
00:45:20voilà
00:45:28encore des crônes et des crêtes
00:45:32les animaux
00:45:34sont très compliqués
00:45:36beaucoup plus compliqués que les fins
00:45:38heureusement qu'il y a
00:45:40beaucoup de couples qui traversent
00:45:42leur
00:45:44voie enchantée
00:45:46mais les filles
00:45:48refusent de descendre
00:45:50là où nous sommes
00:45:52campés
00:45:54c'est une bénédiction
00:45:56totale
00:45:58nous sommes dans une solitude
00:46:00en plus je vais vous donner
00:46:02une petite garnisse
00:46:06un petit secret
00:46:08je suis
00:46:10au bord d'une frontière
00:46:12avec une séparation
00:46:14d'une région
00:46:16strictement interdite
00:46:18parce que
00:46:20je suis
00:46:22un allemand civil
00:46:24encore plus joli
00:46:26forbidden
00:46:28forbidden
00:46:30verboten
00:46:32verboten
00:46:34sicherheit
00:46:36sicherheit
00:46:40vous n'avez pas dit propriété
00:46:42parce que c'est illégal
00:46:44sicherheit
00:46:46qu'est-ce que ça veut dire?
00:46:48sicherheit
00:46:50Buberger
00:46:52sicherheit
00:46:54c'est très...
00:46:56voilà
00:46:58attend
00:47:025 mètres
00:47:04d'une
00:47:06fille barbelée
00:47:08qui me sépare
00:47:10d'une zone interdite
00:47:12
00:47:14effectivement
00:47:16s'il s'agit
00:47:18de volupté
00:47:20ou
00:47:22de la transgression
00:47:24je ne veux pas aller
00:47:26dans ce sens-là
00:47:28il faut que
00:47:30je descende
00:47:32encore pas dans les rochers
00:47:34au bord de la
00:47:36baleine
00:47:38longuement
00:47:40eh bien
00:47:42le français c'est mon
00:47:44c'est mon langage de communication
00:47:46coéditien au sens
00:47:48de
00:47:50converser avec vous
00:47:52unilatéralement
00:47:54bien sûr
00:47:56ce que je veux dire, le français
00:47:58que j'aime
00:48:00c'est une autre chose
00:48:02que je travaille pour
00:48:04pour y initier
00:48:06un peu
00:48:08qui m'a plu des décennies
00:48:10et décennies
00:48:12et
00:48:14c'est une langue nulle
00:48:16et non avenue
00:48:18dans le monde actuel
00:48:20c'est-à-dire ça ne fonctionne pas
00:48:22ça ne marche pas
00:48:26à Paris
00:48:28dans la ville coéditienne, disons
00:48:30surtout entre les gens
00:48:32c'est fini
00:48:34c'est-à-dire que ça ne sert
00:48:36même pas à la communication
00:48:38je ne sais pas à quoi sert
00:48:40le français, il faut quand même
00:48:42mettre à côté
00:48:44il faut laisser
00:48:46aux savants
00:48:48il faut le considérer
00:48:50comme un langage mort
00:48:52comme latin
00:48:56c'est la réalité
00:48:58d'un autre siècle qu'il faut accepter
00:49:00l'académie française
00:49:02qui se consacre
00:49:04autrement
00:49:06je ne dis absolument pas
00:49:08qui se dissoute
00:49:10mais
00:49:12qui s'occupe
00:49:16d'une manière
00:49:18plus sérieuse
00:49:20c'est-à-dire de ma perspective
00:49:22que
00:49:24Soudi
00:49:26Soudi
00:49:28depuis toujours
00:49:30tout le monde a compris
00:49:32bon, le propos
00:49:34alors
00:49:38dans quelles langues
00:49:40effectivement dans les langues
00:49:42mortes mais qui
00:49:44qui sont encore
00:49:46vivantes comme grec
00:49:48comme turc
00:49:52j'ai voulu d'autres termes
00:49:54donc etc
00:49:56donc ce sont des bizarreries
00:49:58c'est-à-dire non pas des métissages
00:50:00qui ne veulent rien dire
00:50:02le mot métissage
00:50:04bien qu'il s'agisse de grec le mot
00:50:08ce sont des pires
00:50:10je vais chercher des mots
00:50:12très graves
00:50:14ce sont des pires
00:50:16produits
00:50:18des fornications
00:50:22c'est pas suffisant
00:50:24des pires
00:50:26enfin il faut utiliser
00:50:28toute littérature
00:50:30marginale de
00:50:3219e
00:50:34surtout l'autre
00:50:36un mot que je ne connais
00:50:38que ça au 19e
00:50:42voilà
00:50:44fornication c'est déjà bien
00:50:46mais quand je dis
00:50:48hôtel california
00:50:50fornication etc
00:50:52je suis banné
00:50:54ça veut dire
00:50:56qu'on ne peut
00:50:58même
00:51:00en anglais surtout
00:51:02dans les zones
00:51:04interdites
00:51:10chichterheit américain
00:51:12on ne peut prononcer
00:51:14dans les médias sociaux
00:51:16certainement
00:51:18dans le
00:51:20Californication
00:51:22qui était une chanson
00:51:24de mes
00:51:2617 ans
00:51:28que j'adorais
00:51:30sur la place de
00:51:32Hippodrome
00:51:34il faut s'enchaîner
00:51:36plutôt du côté
00:51:38des animaux
00:51:40nos chers
00:51:42êtres chéris
00:51:44des animaux
00:51:46surtout sauvages
00:51:50j'ai un animal
00:51:52domestique
00:51:54qui vit
00:51:56sous mon toit
00:51:58depuis quand même
00:52:00je compte
00:52:02je ne me trompe pas
00:52:0425 ans un chat quand même
00:52:06et bien
00:52:08je n'ai rien
00:52:10à dire sur mon chat
00:52:12je le répète chaque fois
00:52:14je déteste
00:52:16parler de domestique
00:52:18surtout de leurs
00:52:20besoins
00:52:26le seul visage
00:52:28que je me rappellerai
00:52:30dans mon chevet
00:52:32avant de mourir
00:52:34ce sera le visage
00:52:36les regards
00:52:38de mon chat
00:52:40et aucun
00:52:42regard
00:52:44humain
00:52:46n'est pas resté
00:52:48longtemps dans mon esprit
00:52:50in my mind
00:52:52au sens, non pas de l'âme
00:52:54au sens de
00:52:56mind
00:52:58c'est-à-dire entendement
00:53:00correct
00:53:02et bien
00:53:04voilà
00:53:06ceci ou cela
00:53:08pour nous
00:53:10chiffre donc
00:53:12plutôt aveux
00:53:14pour
00:53:16se détendre
00:53:18justement l'exercice
00:53:20d'impéria
00:53:22même tout seul
00:53:24dans une impéria
00:53:26il y a
00:53:28une
00:53:30propulsion
00:53:32c'est-à-dire
00:53:34on parle
00:53:36de la physique
00:53:38une attraction et une répulsion
00:53:40répulsion
00:53:42qui tourne
00:53:44à un goût
00:53:46à un
00:53:48cauchemard
00:53:54l'amour
00:53:58c'est comme
00:54:00vomissement, n'est-ce pas?
00:54:02un cauchemard
00:54:04donc
00:54:06il y a quoi?
00:54:08une lustre
00:54:10en allemand
00:54:12juste en ce juillet
00:54:14ce juillet
00:54:16voilà, une impéria
00:54:18c'est une propulsion qui finit
00:54:20une propulsion
00:54:22qui a une
00:54:24protention, qui a des
00:54:26préliminaires, qui a des
00:54:28retentions
00:54:30qui a des rappels et qui finit
00:54:32par se neutraliser
00:54:34et devenir une paix
00:54:36apollonienne qui veut dire
00:54:38tension zéro
00:54:40c'était une dernière
00:54:42phrase
00:54:44tension zéro
00:54:46c'était une citation exacte de Jean-François
00:54:48Lyotard
00:54:50sûrement dans son livre
00:54:52intitulé
00:54:54l'inhumain
00:54:56pourquoi ce titre? je ne sais pas
00:54:58mais il faut envisager l'inhumain
00:55:00après humain
00:55:02au lieu de
00:55:04super humain
00:55:06c'était quoi?
00:55:08cette connerie de
00:55:10Hubert Mensch, voilà
00:55:12l'homme
00:55:16je vais faire
00:55:18une phrase quand même
00:55:20élégante
00:55:22l'homme va
00:55:24survivre à lui-même
00:55:28ou bien l'humanité
00:55:30il faut dire encore plus
00:55:32élégante, élégamment
00:55:34l'humanité
00:55:36va survivre
00:55:38à elle-même
00:55:40de manière
00:55:42plus élégante
00:55:44l'humanité
00:55:46élégamment
00:55:48va survivre
00:55:50à elle-même
00:55:52ça c'est de la poésie
00:55:54correcte
00:55:56acceptable
00:56:00publiable
00:56:02voilà
00:56:04ça c'était
00:56:06c'était quoi?
00:56:08c'était une leçon, un stage
00:56:10un quoi?
00:56:12un cours
00:56:14un cours de quoi?
00:56:16voilà
00:56:18un jeu de société
00:56:20table
00:56:22table ronde
00:56:24non, table roulante
00:56:26appel des esprits
00:56:28voilà
00:56:30tout ce
00:56:3218, 19ème
00:56:34entre deux guerres
00:56:36avant la première guerre
00:56:38tout ce spiritualisme
00:56:40j'ai trouvé très très
00:56:42philosophique, très chic
00:56:44très élégante
00:56:46avant le tourisme
00:56:48il y avait
00:56:50il y avait
00:56:52quand même
00:56:54c'est ça
00:56:56
00:56:58je suis actuellement
00:57:00là actuellement
00:57:02finalement
00:57:04il faut l'arriver
00:57:06et je suis dans un
00:57:08sanatorium
00:57:10pour mes
00:57:12pneumonies
00:57:14c'est ça
00:57:16avec Sinem Özer
00:57:18effectivement quand il avait déposé
00:57:20le titre de sa thèse
00:57:22j'ai commencé
00:57:24à insinuer
00:57:26à Jean Batoukan également
00:57:28quand il dit bête
00:57:30j'ai commencé
00:57:32à insinuer une littérature
00:57:34impossible
00:57:36qu'on peut
00:57:40classifier sous le titre
00:57:42animalière
00:57:46il n'a rien compris
00:57:48enfin Sinem
00:57:50a tout compris
00:57:52il est très très intelligent
00:57:54elle est très intelligente
00:57:56Sinem
00:57:58et moi
00:58:00j'ai dit que tu peux faire
00:58:02une petite portion
00:58:04dans la limite
00:58:06de notre contrat
00:58:10notre contrat universitaire
00:58:12c'est à dire fiction
00:58:14elle a fait
00:58:16d'une perfection
00:58:18qui
00:58:20me
00:58:22donne
00:58:24de l'admiration
00:58:28également
00:58:30Jean Batoukan
00:58:32aussi
00:58:34avec seul fait de
00:58:36ne pas
00:58:38suivre mon chemin
00:58:40et d'avoir
00:58:42saisi
00:58:44tout mon discours
00:58:46il est devenu
00:58:48ce qu'il est devenu
00:58:50c'est à dire lui-même
00:58:52parfait
00:58:54je suis content quand même
00:58:56de m'être réveillé
00:59:02est-ce que ça marche
00:59:04écoeur
00:59:06ça marche
00:59:08est-ce que ma voix
00:59:10vient là
00:59:16il n'y a personne
00:59:18il n'y a même pas un loup
00:59:20un renard
00:59:22même pas un lapin
00:59:24ni lièvre
00:59:26il y a beaucoup de
00:59:28attends lièvre
00:59:30lièvre
00:59:32il y a beaucoup de lièvre
00:59:34mais il n'y a pas de lièvre
00:59:36il y avait beaucoup de chevaux
00:59:38je les avais
00:59:40enfin c'est
00:59:42tous les chevaux que je venais
00:59:44régulièrement ici
00:59:46on a supprimé tous les chevaux
00:59:50maintenant on a
00:59:52on n'a pas de pétrole
00:59:54mais on a des
00:59:56des accélérateurs
00:59:58de mobilité électrique
01:00:00ça
01:00:02ça ne m'intéresse pas
01:00:04c'est parce qu'il n'y a pas de chevaux
01:00:06que je ne viens
01:00:08je ne venais plus
01:00:10mais ça suffit
01:00:12ça crève
01:00:16voilà
01:00:18les chevaux
01:00:20qui se baignaient dans la mer
01:00:22en hiver
01:00:24au mois
01:00:26de février
01:00:28je les aimais
01:00:30on était très proches
01:00:34ils étaient
01:00:36achevés
01:00:38les chevaux achevés
01:00:40c'est-à-dire
01:00:42qu'ils étaient hors du travail
01:00:44trop vieux
01:00:46en turc
01:00:48comme un très ancien homme
01:00:50c'est pas en français
01:00:52qu'est-ce qu'on dit
01:00:54pour ces
01:00:56bêtes de baisons
01:00:58bêtes
01:01:00chérie tu m'entends
01:01:02je te laisse un message
01:01:04j'ai eu un coup de fil
01:01:06des Etats-Unis
01:01:08matériaux de cercles
01:01:10assabliés
01:01:12très bien
01:01:14accueillis
01:01:16on me propose
01:01:18de publier
01:01:20l'endroit où
01:01:22exact c'était
01:01:24aussi
01:01:26la naissance
01:01:28comme tu sais très bien
01:01:30mon grande oeuvre
01:01:32que j'ai
01:01:34réussi
01:01:36à écrire avec ton aide
01:01:38parce que
01:01:40tu cuisinais
01:01:42très bien
01:01:44et bien
01:01:46cette histoire de Guéherri
01:01:48bien sûr
01:01:50une histoire
01:01:52eschatologique
01:01:54d'Ibn Khaldun
01:01:56qui passe dans notre chère
01:01:58Afrique
01:02:00de
01:02:02Nord-Est
01:02:06Nord-Ouest
01:02:08et bien
01:02:10ne t'inquiète pas
01:02:12il n'y a pas d'attentat terroriste
01:02:14
01:02:16nous sommes en passage en escale
01:02:18de croisière
01:02:20avec les camarades
01:02:22quelques filles qui étaient
01:02:24indigènes qui sont venues
01:02:26et on les a envoyés
01:02:28à la maison
01:02:30et on va
01:02:32rentrer à nos hôtels
01:02:34Guéherri, je t'aime, je t'aime
01:02:36il faut
01:02:38quand même que je rajoute
01:02:40à ce que tout à l'heure
01:02:42j'ai oublié
01:02:46quand j'étais
01:02:4817-18 ans
01:02:50j'ai lu, j'étais très curieux
01:02:52des livres
01:02:54comme ça traduit en turc
01:02:56Tao Ju Seks
01:02:58effectivement
01:03:00Tao
01:03:02me rappelle quelque chose
01:03:04mais beaucoup plus tard
01:03:06effectivement quand j'étais
01:03:08vraiment adulte
01:03:10que j'ai pu lire
01:03:12le livre, grand livre
01:03:14quand même, grands travaux de
01:03:16Julien François
01:03:18sur la pensée chinoise
01:03:20là effectivement
01:03:22avec lui, grâce à lui
01:03:24on a tout compris
01:03:26grâce à l'esthétique de Tao
01:03:28Tao
01:03:30que
01:03:32j'ai
01:03:34associé
01:03:36toujours à cet endroit
01:03:40puisque je suis jamais allé
01:03:42au Chine
01:03:48ni au Japon
01:03:50ni à Thaïlande
01:03:52ni aux Indes
01:03:54c'est dans mon
01:03:56petite famille
01:03:58que
01:04:00je peux pratiquer
01:04:02cette extraordinaire
01:04:04esthétique
01:04:06et bien sûr
01:04:08philosophie
01:04:10éthique
01:04:12esthétique, etc.
01:04:14de Tao
01:04:16tous mes
01:04:18photographes d'aujourd'hui
01:04:20avec tout
01:04:22ce Fulbury
01:04:24qui m'appartient
01:04:26qui est ma spécialité
01:04:28soient dédiés
01:04:30à la mémoire
01:04:32vraiment
01:04:34des pratiquants
01:04:36de Tao
01:04:40moi je pratique
01:04:42sur ce niveau-là
01:04:44je ne connais pas
01:04:46les autres
01:04:50j'espère que
01:04:52l'horizon
01:04:54est ouvert
01:04:56à tous
01:04:58dans mon état
01:05:00pour moi, il n'y a que Tao
01:05:02d'ailleurs
01:05:04c'est-à-dire pas autre solution
01:05:06aux beaux entendeurs
01:05:14toujours Francis Poirier
01:05:22Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org