"Je condamne les exactions, la Nouvelle-Calédonie doit rester française" affirme Sébastien Chenu

  • il y a 4 mois
Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement National, était l’invité de BFM Politique.

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00:00 Non, vous n'avez pas, je crois, suivi Benjamin Duhamel exactement à la fois l'histoire de la Nouvelle-Calédonie et la nécessité de tracer des perspectives.
00:09 Il n'y a pas de changement de ligne au RN ?
00:11 Non, il y a la volonté du Nouvelle-Calédonie qui reste française, nous l'avons affirmé, réaffirmé, la volonté aussi de voir l'ordre revenir.
00:19 Moi, je soutiens les forces de l'ordre, je condamne les exactions, j'ai une pensée évidemment pour les chefs d'entreprise,
00:25 les commerçants qui voient leurs outils de travail se faire détruire, mais la Calédonie doit rester française.
00:30 Maintenant, une fois qu'on a dit ça…
00:31 Juste Sébastien Chenu, moi je veux bien, là je prends à témoin ceux qui nous regardent et vous expliquer qu'il n'y a pas de changement.
00:35 Benjamin Duhamel.
00:36 En 2021, au moment du troisième référendum, Marine Le Pen avait déclaré que les Calédoniens s'exprimaient, je cite, "de façon définitive".
00:41 Et là, cette semaine, on apprend qu'elle plaide pour un nouveau référendum dans 40 ans. Vous ne pouvez pas nous expliquer qu'il n'y a pas de changement.
00:46 Mais Benjamin Duhamel, la situation a évolué en 20 ans.
00:50 Les accords de Nouméa qui ont été…
00:53 2021, c'était il y a trois ans.
00:55 Laissez-moi m'exprimer.
00:56 Qui ont été produits en 1998.
00:58 On traçait des perspectives.
00:59 Il y a eu trois référendums, dont le dernier a été d'ailleurs boycotté.
01:02 Il avait eu lieu pendant la période du Covid.
01:05 Donc il n'était pas légitime, ce référendum ?
01:06 Il était légitime, mais on sait très bien qu'il a été tenu dans des circonstances particulières.
01:09 Mais peu importe, il y a eu un résultat et trois fois, les Calédoniens ont indiqué qu'ils souhaitaient rester dans la République française.

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