• il y a 7 mois

Aujourd'hui dans "Punchline", Olivier de Keranflec’h et ses invités débattent de la situation en Nouvelle-Calédonie.
Retrouvez "Punchline" sur : http://www.europe1.fr/emissions/punchline2

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Punchline, 18h-19h, Olivier de Carenfleck sur Europe 1.
00:06 De retour dans Punchline sur CNews Europe 1, bienvenue si vous nous rejoignez pour vous accompagner.
00:15 Gabriel Cluzel, journaliste, Véronique Jacquet, journaliste également,
00:18 aux côtés Louis Draguenel, journaliste politique,
00:21 et Jacques Morel, général de gendarmerie, ancien patron de la section de recherche de Versailles.
00:26 Je vous propose à présent de revenir sur la situation en Nouvelle-Calédonie.
00:29 Alors stabilisée et plus calme selon les autorités,
00:32 reste que des zones sont encore à reconquérir.
00:35 Ce sera le rôle des renforts qui arrivent sur place
00:39 et les témoignages en tout cas se succèdent avec un quotidien toujours très compliqué,
00:43 comme nous l'expliquent ces habitants sur place. On les écoute.
00:46 On se sent quand même un peu plus soutenus du coup.
00:48 On sait qu'il y a maintenant, qu'il y a l'armée qui est arrivée en nombre sur le territoire.
00:53 Donc quelque part, ça nous rassure.
00:56 Et donc voilà, après, on n'a pas l'impression que de l'autre côté, ça calme les choses.
01:04 Malgré les appels au calme timide de l'autre camp,
01:10 on a l'impression qu'ils sont partis sur un rythme de rouleaux compresseurs
01:13 et qu'ils veulent vraiment découdre. Donc c'est ça qui fait un peu peur.
01:17 On s'inquiète plus pour le moment sur le ravitaillement, par exemple, pour se nourrir, etc.
01:23 Dans les magasins, il n'y a plus rien.
01:27 Il y a des fils interminables parce qu'ils font rentrer au compte-gouttes quand les magasins ouvrent.
01:31 Il y a des fils interminables, mais on arrive dans le magasin et les rayons sont vides.
01:34 Donc ça, c'est inquiétant.
01:37 Sur notre barrage, on a été attaqué au cocktail Molotov.
01:39 Pour dire la vérité, le deuxième jour, on est allé,
01:44 on est parti en expédition dans les marinas de Nouméa chercher de l'essence sur les annexes des bateaux
01:51 pour pouvoir nous aussi préparer des cocktails Molotov puisqu'on n'a plus accès aux stations de service.
01:55 À la fin des premières 48 heures, on a répondu à une attaque par des cocktails Molotov.
01:59 Ils ont fini par comprendre qu'on ne lâcherait pas et que la situation était difficile pour eux aussi.
02:05 On a eu une demande de trêve de la partie en face de nous.
02:08 Et donc ça s'est apaisé à partir de ce moment-là.
02:11 Nous entendons donc à quel point la situation est compliquée
02:14 après quatre nuits de violentes contestations.
02:17 Je vous rappelle ce triste bilan.
02:19 Cinq personnes tuées, l'armée qui est déployée, plus de 1000 forces de l'ordre attendues.
02:24 Très clairement, Général Jacques Morel, tout cela est le signe d'une situation de guerre.
02:29 On peut parler de situation de guerre.
02:31 Ce ne sont pas des émeutes comme nous avons pu nous connaître ici en métropole.
02:36 On peut parler de guerre civile puisque si vous voulez,
02:39 effectivement, les assaillants sont des gens qui appartiennent à la population de la Nouvelle-Calédonie
02:47 qui sont là. Ce ne sont pas des troupes constituées.
02:51 Si vous voulez, ce sont des gens qui sont armés de par leur goût pour la chasse, nous dit-on,
03:00 mais avec une densité très importante.
03:02 Les forces de l'ordre ont été prises de court parce qu'on ne s'attendait pas
03:07 à ce que cette situation s'enflamme comme ça en Nouvelle-Calédonie.
03:10 Maintenant, avec les renforts qui ont été amenés,
03:14 on peut juger que la force est suffisante pour ramener le calme.
03:19 Cela paraît d'ailleurs être le cas.
03:21 Permettre aux gens qui ont été engagés dès le départ de se reposer
03:24 et que des troupes un peu fraîches prennent le relais pour calmer ces jeunes excités
03:31 et voir quelles réponses les politiques vont devoir amener maintenant
03:36 pour ramener le calme définitivement.
03:39 Il y a la réponse politique, donc la riposte sur le terrain.
03:43 Louis Dragnel, on parle d'un peu plus de 1 000 forces de l'ordre en renfort.
03:48 Est-ce qu'on a les moyens, si la situation dégénère encore,
03:51 d'envoyer davantage d'hommes de forces de l'ordre ?
03:54 En raison de l'organisation de la préparation des Jeux olympiques,
03:57 pas tellement plus.
03:58 C'est la raison pour laquelle on n'a envoyé que 1 000 policiers et gendarmes supplémentaires.
04:02 Il faut bien avoir à l'esprit qu'il y a actuellement 1 600, 1 700 policiers et gendarmes en Nouvelle-Calédonie.
04:08 Cela ne va pas être 1 700 plus 1 000.
04:10 Les 1 000 qui arrivent vont tout simplement permettre, ce qu'expliquait le général,
04:14 à ceux qui sont sur place de pouvoir dormir.
04:17 Parce que ça fait plusieurs nuits d'affilée en enchaînant les journées
04:21 que les policiers et gendarmes sur place font tout ce qu'ils peuvent,
04:24 n'ont pas du tout un rythme normal.
04:27 Donc voilà, la situation reste quand même tendue sur place.
04:30 Mais les remontées qu'on a depuis la Nouvelle-Calédonie,
04:34 c'est que l'effet du couvre-feu et un certain nombre de mesures qui sont mises en place
04:39 ont fait un peu baisser la pression et globalement,
04:42 en tout cas, je ne vais pas m'engager sur Mme Solay,
04:46 mais la situation semble s'apaiser,
04:49 ce qui ne veut pas pour autant dire que tout est réglé,
04:51 parce que l'état aujourd'hui de l'île,
04:54 les habitants qu'on entend, on entendait des témoignages tout à l'heure,
04:58 ils parlent de destruction totale de certaines entreprises.
05:01 Ce n'est pas uniquement des pillages,
05:03 même les bâtiments ont été complètement détruits.
05:06 Donc il y aura un plan de reconstruction de l'île qui va devoir être mis en place ensuite.
05:10 C'est vrai qu'on a vu de véritables zones de guerre.
05:12 Vous imaginez que tout ça, ça va être dans un temps très long.
05:14 Et puis simplement un petit détail, c'est que les policiers et gendarmes
05:17 qui se sont envoyés sur place, pour l'instant, on leur a dit
05:19 qu'ils étaient envoyés là-bas pendant trois semaines.
05:22 Donc c'est aussi, ça permet de se faire une idée à Paris
05:26 du temps que prendra le rétablissement réel de l'ordre public.
05:31 Parce qu'effectivement, peut-être un moment général,
05:33 trois semaines, ce n'est pas rien.
05:34 Quand vous prévoyez des renforts pour trois semaines,
05:37 cela veut dire qu'il y a encore beaucoup, effectivement,
05:40 de zones à aller reconquérir.
05:42 Oui, et puis je crois qu'il ne faut pas montrer, si vous voulez,
05:45 que ces gens-là sont venus juste pour faire un aller-retour,
05:48 montrer la force et s'en aller.
05:50 Il faut permettre aux gens qui sont implantés là-bas,
05:53 il y a 600 gendarmes qui sont implantés en Nouvelle-Calédonie,
05:58 il faut que ces gendarmes puissent reprendre leur autorité,
06:02 que le dispositif refonctionne,
06:05 que tous les réseaux soient rétablis
06:08 et que les gens qui ont été interpellés ou vont être interpellés,
06:14 parce que comme dans toute manifestation violente comme ça,
06:17 il y a des images vidéo, il y a maintenant des opérations,
06:20 c'est le judiciaire qui va aussi reprendre sa place
06:23 derrière ces manifestations, puisqu'il va falloir aller arrêter
06:26 les gens qui ont tué ce gendarme,
06:28 il va falloir aller arrêter les gens qui ont tiré sur les forces de l'ordre,
06:33 ça, ça va prendre du temps et ça ne peut se faire
06:36 qu'avec des forces à la hauteur des enjeux.
06:38 Alors toujours est-il que les langues se délient
06:41 depuis le début de l'insurrection,
06:43 des témoignages qui se multiplient pour parler d'une réalité en Nouvelle-Calédonie,
06:48 cette réalité c'est le racisme anti-blanc.
06:50 Voyez ce sujet signé Maxime Legay, nous en parlons ensuite.
06:55 La Nouvelle-Calédonie, à feu et à sang,
06:58 et des métropolitains qui prennent la parole
07:01 pour dénoncer les discriminations dont ils sont victimes.
07:04 On nous menace, on veut tuer, on veut tuer du blanc.
07:07 Ceux qui sont visés, c'est les métropolitains qui viennent de France,
07:12 mais le problème c'est qu'il y a des Calédoniens,
07:14 et c'est jamais assez, c'est jamais des générations depuis assez de temps.
07:18 Il y a vraiment, oui, un racisme, mais on ne sait pas pourquoi.
07:21 Pour le géopolitologue Hervé Ganade,
07:23 cette racialisation du conflit est la cause de phénomènes multiples.
07:27 Le racisme anti-blanc provient à la fois des débuts de la colonisation,
07:32 de l'arrivage de personnes émigrées, de travailleurs pour l'exploitation du nickel,
07:37 et troisièmement, il y a une notion revancharde du passé, du présent et du futur.
07:44 Et tout ça, ça fait un patchwork et une sorte de volcan très éruptif.
07:49 Selon les chiffres des derniers recensements,
07:51 la part des Kanaks représente 41,2% de la population totale,
07:56 contre 24% pour la communauté européenne.
08:00 Alors, dans ce contexte, ce sondage CNews Europe 1, le JDD, publié aujourd'hui,
08:06 57% des Français considèrent que les émeutes en cours en Nouvelle-Calédonie manifestent un racisme anti-blanc.
08:13 D'ailleurs, il est intéressant de noter dans ce sondage
08:15 que les personnes affiliées aux partis centristes, tels que Renaissance,
08:18 présentent des opinions assez similaires à celles des partis de droite,
08:21 comme le Rassemblement National, Véronique Jacquier,
08:24 ce racisme anti-blanc sur l'île en Nouvelle-Calédonie,
08:27 où ils puissent ses racines, selon vous.
08:30 Vous connaissez un peu la Nouvelle-Calédonie ?
08:32 Oui, je connais un peu la Nouvelle-Calédonie, je ne suis pas une spécialiste,
08:35 mais j'ai eu l'occasion d'y aller et surtout d'y rester assez longtemps.
08:38 Ils puissent ses racines tout simplement parce que les Kanaks sont le peuple originel
08:43 et que les blancs, ce qu'on appelle les Kaldosh, qui viennent de France,
08:48 sont installés depuis 150 ans.
08:50 Ce sont deux communautés, finalement, qui cohabitent, qui se tolèrent.
08:54 Il y a une marginalisation de la communauté Kanak, disons quand même les choses.
08:59 Elle n'est pas aux manettes de ce qui est économique,
09:01 elle n'est pas non plus aux manettes de ce qui est politique,
09:03 et elle est géographiquement cantonnée au nord de l'île,
09:07 notamment le fief des Kanaks s'appelle Yengen, et aux îles Loyauté,
09:12 Maré, Lifu et Ouvea.
09:15 Ouvea, souvenez-vous, en 88, il y a eu le massacre d'Ouvea,
09:18 c'est-à-dire des indépendantistes qui avaient pris en otage une vingtaine de gendarmes.
09:22 Ça s'était soldé par la mort de 19 indépendantistes et la mort aussi de deux gendarmes.
09:26 Ça avait été incroyablement violent.
09:28 C'est à partir de cet épisode sanglant qu'on avait mis sur pied les accords de Nouméa
09:33 où on avait dit qu'on se donne 25 ans pour trouver une solution,
09:37 pour faire en sorte que ces peuples arrivent à vivre ensemble
09:40 puisqu'on sait qu'ils ne vivent pas ensemble.
09:42 Les Blancs sont majoritairement cantonnés mais installés à Nouméa.
09:48 Et d'ailleurs, oui, il y a un racisme anti-Blanc
09:50 puisque ce sont des commerces tenus par des Blancs qui ont été visés.
09:55 Et les Kanaks n'en font pas mystère, mais les Kanaks, un, sont en minorité,
09:59 et deux disent qu'on ne veut pas se voir dépossédés de ce qui est notre identité culturelle.
10:04 Bon, cela dit, depuis plus de 150 ans, il y a deux identités
10:07 qui culturellement ont pris possession chacun d'un territoire
10:11 et qui, quand la politique est bien faite, arrivent à se parler et à dialoguer.
10:15 C'est quand même ce qui s'est passé pendant 25 ans.
10:17 Là, moi, je pense que le problème est politique
10:19 et qu'il faut trouver des interlocuteurs pour faire en sorte que la paix revienne.
10:23 Mais effectivement, il y a quand même une nouveauté, me semble-t-il, Gabriel Cluzel.
10:27 Il était encore impensable de parler de racisme anti-Blanc sur le territoire français
10:32 il y a peu de temps, quelques années.
10:34 Nous entendons ces témoignages aujourd'hui, ces langues se délier.
10:38 Comment vous le comprenez ? Est-ce que cela révèle quelque chose en particulier ?
10:41 Oui, les langues se délient du citoyen moyen, si j'ose dire.
10:44 Mais en revanche, je trouve que cela a très, très peu d'écho dans le monde politique.
10:48 Nous sommes en France, la Nouvelle-Calédonie, c'est la France.
10:51 Nous avons des gens qui sont terrés chez eux, qui ont peur
10:53 parce qu'ils pensent qu'ils seront caillassés parce qu'ils sont Blancs, je vous demande.
10:58 Moi, je veux bien écouter toutes les excuses du monde, c'est le peuple originel, etc.
11:02 Enversons la situation, nous sommes en métropole, il y a un peuple originel qui dirait
11:06 "Moi, je suis raciste, je ne veux pas des immigrés parce que je suis le peuple originel".
11:13 Vous imaginez cette population immigrée terré chez elle et terrorisée ?
11:17 Écoutez, tout le monde politique serait en émoi.
11:20 Là, tout le monde s'en fiche. Pardon, mais le racisme anti-Blanc...
11:23 La France insoumise qui est pour la créolisation de la métropole, il n'y a aucun problème là.
11:27 En revanche, c'est totalement opposé à la créolisation et au mélange en Nouvelle-Calédonie.
11:31 Ce qui est très intéressant, c'est qu'on voit se dessiner une rhétorique complète
11:35 et presque mondiale, tout à fait simpliste, une espèce de vulgate
11:38 qui dit que le Blanc, c'est le colonisateur, alors qu'il soit juif en Israël,
11:45 français en Nouvelle-Calédonie ou français en Algérie.
11:50 Et c'est absolument absurde, parce que vous savez très bien que, par exemple,
11:53 les Algériens sont à la fois colonisés et colonisateurs dans leur histoire,
11:57 ils ont colonisé les Berbères en leur temps, avant que les arabos musulmans arrivent au VIIe siècle.
12:02 Eh bien, il y avait des Berbères qui étaient notamment chrétiens et animistes.
12:06 Donc, tout cela, évidemment, est une vulgate facile, mais que...
12:10 Comment dire ? Que... A empoigné la France insoumise et un certain nombre d'autres
12:15 pour dire que, finalement, le racisme anti-Blanc se justifie parce que le colonisateur a été abominable.
12:21 Moi, je crois que les politiques devraient faire extrêmement attention à tout ce qui se passe en Nouvelle-Calédonie.
12:25 Peut-être un dernier mot, effectivement, Louis de Reynell, derrière ce racisme anti-Blanc,
12:29 comme le soulignait Gabriel Cluzel, c'est aussi une haine de l'Occident qui s'est manifestée
12:33 et avec derrière, des partis politiques qui soutiennent à l'extrême gauche, vous le disiez très bien, les défis.
12:37 Bien sûr, donc la France insoumise qui assume totalement et très clairement son combat.
12:41 Par ailleurs, il y a quelque chose que, je ne sais pas si on aura le temps de le développer,
12:45 moi je ne comprends pas du tout, la position de Marine Le Pen, son revirement sur la position de Nouvelle-Calédonie.
12:52 Et par ailleurs, et je trouve que ce n'est pas un détail, la question calédonienne fait l'objet d'ingérences étrangères,
12:58 c'est-à-dire qu'il y a des puissances étrangères, comme l'Azerbaïdjan, la Turquie, la Chine,
13:04 et précisément, ils voient la faille et ils essayent de l'exploiter en utilisant cette dialectique
13:10 qu'a très bien décrite Gabriel Cluzel à l'instant.
13:13 Oui, puisqu'on entend effectivement Véronique Jacquier, certaines voix, demander pourquoi pas un quatrième référendum,
13:19 mais peut-être que cela signifierait aussi, pourquoi pas cinq, que...
13:23 Pourquoi pas cinq ? C'est de l'opportunisme pur de la part du Rassemblement national que de revenir sur ce qu'ils ont voté,
13:30 à savoir l'élargissement du corps électoral, c'est complètement délirant.
13:34 Vous imaginez un instant si à l'élection présidentielle on fonctionnait comme le référendum calédonien,
13:43 où on votait une première fois, puis une deuxième fois pour vérifier qu'on a bien voté,
13:46 puis une troisième fois, et puis éventuellement une quatrième fois.
13:49 Je sais bien que le scrutin était imparfait.
13:51 La passe d'armes a été assez...
13:53 Sur un processus qui a duré 25 ans.
13:55 Bien sûr.
13:56 Juste pour conclure, sur cette passe d'armes que vous avez peut-être vue sur les réseaux sociaux
14:00 entre Jordan Bardella et François-Xavier Bellamy, pour nous éclairer en quelques secondes, Gabriel Cluzel.
14:05 Vous savez, parce que depuis quelques semaines, on dit finalement qu'il y a un papier de cigarette
14:08 entre certains candidats aux européennes, François-Xavier Bellamy, Jordan Bardella,
14:12 Mario Maréchal, Jordan Bardella a même "avoué" qu'il avait proposé la troisième place à François-Xavier Bellamy.
14:17 Nous suivrons tout cela, puisqu'ils se sont accrochés.
14:20 Puisque nos programmes continuent sur Europe 1.
14:23 Dans un instant, restez avec nous, c'est Jacques Serret qui vous accompagne.
14:27 Bonsoir mon cher Jacques, alors quel est le programme ce soir ?
14:29 Bonsoir Olivier. Écoutez, de l'info, des invités, du débat,
14:32 et nous serons en ligne dans quelques instants avec le grand rabbin de France, Haïm Korsia.
14:36 Rendez-vous à ne pas manquer, donc, sur Europe 1 dans un instant.
14:39 Autre rendez-vous à ne pas manquer, ce sera lundi soir face à Jordan Bardella.
14:43 Lundi à 21h sur CNews et sur Europe 1, en partenariat avec le JDD.
14:49 Une émission orchestrée par Laurence Ferrari et Pierre De Villeneau.
14:53 Notez-le dans vos agendas, lundi soir, 21h.
14:56 Et puis sur CNews, il est prêt, votre rendez-vous du vendredi soir.
15:01 Philippe De Villiers, face à Philippe De Villiers, c'est tout de suite avec Geoffroy Lejeune.
15:05 Le tout orchestré par Elliot Deval.
15:08 Un grand merci pour votre fidélité.
15:10 Merci à David Poujol, Marine Durusquier, Alexie Leprince de m'avoir aidé à préparer cette émission,
15:17 ainsi qu'à toutes les équipes techniques.
15:18 Merci à tous les quatre, c'était un plaisir.
15:20 A très vite sur CNews et Europe 1.
15:22 *Musique*

Recommandations