• il y a 7 mois

Chaque jour dans la matinale de Dimitri Pavlenko, un éditorialiste vient au micro d'Europe 1 mettre la lumière sur un sujet de son choix. Ce jeudi, Dimitri Vernet s’attarde sur l'émotion et l'appel à la fermeté des personnalités politique face à l'augmentation des violences. Seule La France insoumise, évidemment, a profité de l'occasion pour relancer le débat sur la légalisation du cannabis.

Retrouvez "Le zapping d'Europe 1" sur : http://www.europe1.fr/emissions/le-zapping-deurope-1

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Transcription
00:00 C'est les affilés politiques de Dimitri Vernet. Bonjour Dimitri.
00:02 Bonjour à tous.
00:03 On n'est pas dans de la délinquance, on est dans une attaque de guerre, de guérilla.
00:08 Voici les mots d'Éric Zemmour hier sur BFM TV pour qualifier l'attaque du fourgon pénitentiaire dans l'heure
00:14 ou encore ceux d'Olivier Marlex sur LCI.
00:16 Il y a l'effondrement de l'autorité dans notre pays,
00:19 de voir que des véritables commandos armés, armés lourdement,
00:24 osent s'attaquer et tuer des représentants de l'ordre public.
00:29 Entre émotions et appels à la fermeté, la classe politique était à l'unisson.
00:33 Enfin, presque.
00:34 Evidemment.
00:36 Oui, évidemment que la France insoumise s'est démarquée.
00:40 Adrien Quatennens était sur Sud Radio.
00:42 Mais rien ne justifie qu'on perde la vie au travail
00:44 et même quand ce sont des travaux où il y a des risques.
00:47 Avec la politique du tout répressif,
00:49 nous n'avons pas les moyens de mener de véritables politiques de santé publique pour les consommateurs.
00:54 Et bien alors dans ce cas-là, il faut dire que oui, peut-être en effet,
00:57 le débat sur la légalisation doit être ouvert s'agissant du cannabis.
01:00 Oui, vous ne rêvez pas, alors que deux agents pénitentiaires ont été sauvagement tués,
01:04 côté insoumis, on en profite déjà pour promouvoir la légalisation du cannabis.
01:08 Décidément, ils n'ont pas de retenue.
01:10 Evidemment.
01:12 Sur tous les sujets d'ailleurs,
01:14 écoutez le même Adrien Quatennens parler des attentats terroristes du 7 octobre.
01:18 C'est un acte terroriste.
01:20 Mais par contre Jean-Luc Bourdin, on doit bien dire une chose,
01:22 c'est que le 7 octobre, il n'est pas tombé du ciel.
01:25 Pas tombé du ciel, oui, c'est comme une gifle en quelque sorte, n'est-ce pas M. Quatennens ?
01:29 Sans transition, Malika Sorel, numéro 2 de la liste de Jordane Bardella pour les européennes,
01:36 était sur France Info et je crois que, bon, Malika, elle est très très rancunière.
01:40 En fait, si vous réfléchissez bien, Emmanuel Macron, il se retrouve, il se comporte comme un enfant.
01:45 C'est-à-dire, il demande un jouet, quand on lui donne, il dit "Veux pas, veux pas, veux ça".
01:49 C'est dur, dur être bébé.
01:51 Bon, pour l'imitation, on repassera, mais on le sent, elle n'a toujours pas digéré
01:56 que le gamin Macron ne lui donne pas de ministère.
01:59 On n'est pas dans un bac à sable, il faut absolument que le président de la République se mette au travail.
02:03 Pour terminer, on part au Sénat, où ont lieu tous les jours, vous le savez, des auditions.
02:13 C'était le cas hier pour la ministre Olivia Grégoire.
02:15 Audition, bon, vous entendez la musique qui ressemblait plutôt à Motus.
02:19 Ce que vous avez dit sur les mots, M-O-T-S.
02:22 Si les mots M-O-T-S...
02:26 Sur les mots M-A-U-X...
02:29 En détente.
02:34 Dans le même temps, c'est Valérie Pécresse qui était auditionnée.
02:38 On est à 72 jours des Jeux Olympiques, et je crois qu'on peut dire qu'on est prêts comme jamais.
02:45 On est prêts comme jamais.
02:47 La présidente de la région Île-de-France a présenté les derniers ajustements concernant les transports en commun pour les JO.
02:53 Notamment le plan canicule.
02:55 On aura 100 fontaines à eau qui seront dans les 50 gares des Jeux.
03:00 On aura, financées par Île-de-France Mobilité, des brumisateurs.
03:04 Et voici la définition de brumisateur pour Valérie Pécresse.
03:10 Des brumisateurs de... des aspergeurs de gouttes d'eau.
03:16 On appelle ça des brumisateurs.
03:18 Sûrement les gouttes d'eau du plongeon dans la Seine d'Anne Hidalgo.
03:22 Les gna gna gna, et les gna gna gna, je leur dis qu'en fait oui, on va nager dans la Seine.
03:27 Merci beaucoup Dimitri Verdet.

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