Frédéric Fougerat : les conseils incontournables pour une communication efficace!
parlons business Frédéric Fougerat Tenkan
Plongez dans l'univers passionnant de la communication avec Frédéric Fougerat, le célèbre directeur de la communication et entrepreneur renommé !
Classé par le magazine Forbes parmi les plus influents, Frédéric Fougerat a décidé de partager son expertise après une carrière impressionnante au sein de grands groupes. Aujourd'hui, il dirige deux agences de communication, Tenkan Paris et Cogiteurs, mettant son savoir-faire au service des entreprises de toutes tailles.
Avec "Tenkan", qui signifie "pivoter" en japonais, Frédéric Fougerat insiste sur l'importance de l'anticipation et de la réactivité en communication. Selon lui, la communication est un pilier essentiel de toute entreprise, nécessitant une stratégie claire, une organisation efficace et un pilotage précis. Pour lui, donner un avis ne suffit pas : il faut se poser la question du "pourquoi" et définir clairement les objectifs et les publics cibles.
Contrairement aux idées reçues, la communication n'est pas réservée aux grands groupes. Frédéric Fougerat souligne l'importance pour les petites entreprises de prendre en compte cet enjeu, notamment en cas de crise. Être capable de gérer la communication en situation de crise est essentiel pour préserver la réputation et l'image de l'entreprise à long terme.
Pour en savoir plus sur l'approche de
Frédéric Fougerat en matière de communication et découvrir ses
conseils avisés, rendez-vous sur le site web de Tenkan Paris :
https://tenkan.paris/
Plongez dans l'univers passionnant de la communication avec Frédéric Fougerat, le célèbre directeur de la communication et entrepreneur renommé !
Classé par le magazine Forbes parmi les plus influents, Frédéric Fougerat a décidé de partager son expertise après une carrière impressionnante au sein de grands groupes. Aujourd'hui, il dirige deux agences de communication, Tenkan Paris et Cogiteurs, mettant son savoir-faire au service des entreprises de toutes tailles.
Avec "Tenkan", qui signifie "pivoter" en japonais, Frédéric Fougerat insiste sur l'importance de l'anticipation et de la réactivité en communication. Selon lui, la communication est un pilier essentiel de toute entreprise, nécessitant une stratégie claire, une organisation efficace et un pilotage précis. Pour lui, donner un avis ne suffit pas : il faut se poser la question du "pourquoi" et définir clairement les objectifs et les publics cibles.
Contrairement aux idées reçues, la communication n'est pas réservée aux grands groupes. Frédéric Fougerat souligne l'importance pour les petites entreprises de prendre en compte cet enjeu, notamment en cas de crise. Être capable de gérer la communication en situation de crise est essentiel pour préserver la réputation et l'image de l'entreprise à long terme.
Pour en savoir plus sur l'approche de
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conseils avisés, rendez-vous sur le site web de Tenkan Paris :
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00:12 Parlons business et parlons communication aujourd'hui et plus spécifiquement
00:16 communication de crise. À l'ère des réseaux sociaux, de l'immédiateté et du buzz,
00:20 l'entreprise doit savoir réagir très vite face à un événement soudain.
00:24 Bonjour Frédéric Fougera. Bonjour Gylane.
00:26 Vous êtes président de l'agence de communication Tenkan et la communication ça vous connaît.
00:31 Vous êtes classé numéro 1 dans le magazine Forbes, dans les communicants les plus influents.
00:35 Je voudrais qu'on parle aujourd'hui de la communication de crise spécifiquement.
00:38 Ça ne concerne pas finalement que les grandes entreprises,
00:40 il y a beaucoup d'entrepreneurs de petites structures qui nous regardent dans cette émission-là.
00:44 Ça peut arriver à tout moment à n'importe qui.
00:46 Comment les petites structures peuvent réagir face à une crise ?
00:50 Pour commencer, vous avez raison. La crise, ça ne concerne pas,
00:54 ce n'est pas une question de taille, ça peut concerner tout le monde,
00:57 potentiellement tout le monde. C'est une question de circonstances,
00:59 c'est une question de hasard, c'est une question de mauvais service,
01:02 mauvaise réaction. Donc tout le monde peut être concerné par la crise.
01:06 Alors effectivement, les grandes entreprises souvent s'y préparent,
01:08 ou en tout cas, elles sont plus sensibles.
01:10 Elles ont les moyens. Elles ont des moyens.
01:12 Elles ont des moyens, mais parfois pas la sensibilité
01:14 ou l'intention forcément de s'y préparer. Elles ont tort.
01:17 Les plus petites entreprises, elles s'y préparent moins,
01:19 elles ont moins de moyens. Les gens sont aussi beaucoup plus focus
01:22 sur leur quotidien, sur leur activité, sur servir le client,
01:25 satisfaire le client. La crise, finalement, on la met un peu de côté
01:28 et on s'y intéresse quand il est trop tard, c'est-à-dire quand elle vous tombe dessus.
01:31 Donc effectivement, la priorité par rapport à la crise
01:35 pour une entreprise, quelle qu'elle soit, c'est d'abord d'être conscient
01:38 qu'elle peut vous tomber dessus. Déjà, le seul fait d'être conscient,
01:40 c'est déjà une façon de s'y préparer.
01:42 Oui, ça veut dire qu'à tout moment, on peut se dire
01:44 il faut réorienter les choses.
01:45 On va être quelque part plus vigilant, plus attentif,
01:48 on va peut-être porter davantage son attention dans ses lectures,
01:50 en regardant les réseaux, en lisant la presse sur des questions de crise,
01:53 en se disant "Et moi, si c'était à moi que ça arrivait, qu'est-ce qui se passerait ?"
01:56 Et ensuite, effectivement, réfléchir à "Est-ce que je suis bien organisé ?
02:00 Est-ce que je suis prêt à affronter une crise ?
02:02 Si mon entreprise, si mon siège brûle, je fais quoi demain ?
02:06 Est-ce que j'ai encore un outil de production ?
02:08 Est-ce que je suis encore capable de contacter mes clients ?
02:10 Est-ce que je suis capable de payer mes fournisseurs ?
02:12 Et mon image, ma réputation ?
02:14 C'est ça, il y a l'image et la réputation. Il y a deux choses.
02:16 Qu'est-ce qui se passe ?
02:17 Il y a le produit ou le service qu'on vend,
02:18 et il y a aussi l'image de marque.
02:20 Et là, ça peut durer des années.
02:22 - Il y a effectivement deux choses qui, souvent, sont amalgamées,
02:24 et qu'il ne faut pas amalgamer.
02:26 C'est la crise en tant que telle.
02:27 Et si vous avez une crise, il va falloir gérer la crise.
02:29 Et puis, il y a votre image, c'est-à-dire la communication de crise.
02:32 Ce sont deux sujets à part qui sont très liés,
02:34 mais ce sont deux sujets à part qu'il faut souvent aborder, envisager ensemble.
02:39 - Alors parlons plus généralement de la communication.
02:41 Vous avez lancé cette phrase devenue célèbre "L'acomme est un métier".
02:44 Comment une entreprise doit organiser sa communication ?
02:46 Est-ce qu'il y a deux ou trois méthodes que vous pourriez nous donner ?
02:48 Évidemment, c'est un métier, et vous pouvez vendre des services.
02:51 Mais qu'est-ce qu'on peut dire aux gens pour structurer, pour réfléchir à leur communication ?
02:55 - Encore une fois, c'est peut-être une question de conscience.
02:58 La communication, ce n'est pas un gros mot dans l'absolu.
03:02 Ce n'est pas non plus ce que l'on va donner à faire à n'importe qui,
03:04 parce que finalement, chacun peut donner son avis.
03:08 Mais en communication, un avis, ce n'est pas une compétence.
03:10 La communication, ce n'est pas ce qu'on distribue aussi à la personne
03:13 dont on n'a pas envie de se séparer, mais plutôt que de la mettre...
03:17 Enfin, si le beau placard qu'on va lui trouver, c'est celui de la communication,
03:21 ça, ce n'est pas vraiment possible, parce que le pire ennemi de la communication,
03:24 c'est quand même l'improvisation, l'amateurisme.
03:27 Donc, si je dis que l'acomme, c'est un métier,
03:29 c'est parce que c'est une question de pratique, c'est une question d'expérience,
03:32 et c'est ce qui vous donne de l'expertise.
03:34 Et pour revenir directement à votre question,
03:36 il y a une seule question qu'on doit se poser dans l'entreprise,
03:40 en matière de communication, c'est la question du "pourquoi".
03:43 Pourquoi j'aurai à communiquer ?
03:45 Parce que peut-être que vous n'avez pas à communiquer en réalité.
03:47 Et donc, si vous n'avez pas à communiquer, vous n'avez pas à fantasmer
03:49 sur le fait d'être présent sur les réseaux,
03:51 de sortir un journal, une newsletter, de faire de l'U, peut-être pas.
03:55 Donc, c'est "pourquoi". Est-ce que vous avez une intention ?
03:57 Est-ce que vous avez un besoin ? Après, est-ce que vous avez des cibles ?
03:59 Et si oui, qu'est-ce que vous avez à leur dire ?
04:01 Qu'est-ce que vous avez à leur raconter ?
04:03 Pas vous raconter vous, mais raconter quelque chose qui les intéresse, eux, elles, les cibles.
04:07 - On ne communique jamais sans avoir réfléchi à l'objectif.
04:10 - À la question du "pourquoi" et avec quelle intention.
04:13 Parce que souvent, quand on pense communication, on pense outil, on pense le livrable final.
04:17 Il y a des gens qui vous disent "moi, je veux une affiche, je veux un événement,
04:19 je veux une page Facebook, je veux une newsletter".
04:21 Mais pourquoi ? En fait, qu'est-ce que j'ai à raconter ?
04:23 Est-ce que j'ai quelque chose à raconter ?
04:25 Et il y a des activités où il est nécessaire de faire de la communication,
04:28 parce que la communication, si je peux la résumer en quatre verbes,
04:31 la communication, c'est promouvoir et valoriser.
04:34 - Promouvoir et valoriser.
04:36 - Et de plus en plus, protéger et préserver.
04:39 Et ça, c'est la partie communication crise.
04:41 Mais si vous faites le plus beau des travails, si vous proposez la plus belle des offres,
04:45 le plus beau des services, le plus beau des produits,
04:48 mais que vous ne le faites savoir à personne,
04:50 ils restent dans vos stocks et vous ne les vendrez pas.
04:52 Donc il faut bien faire ce travail de promotion et de valorisation.
04:55 Mais peut-être que votre métier fonctionne uniquement par le bouche à oreille.
04:58 Peut-être que votre métier fonctionne par des tiers professionnels
05:01 qui, quelque part, assurent ce lien entre vous, le producteur-vendeur et le client.
05:06 Donc est-ce que vous avez besoin de communication ?
05:08 Souvent oui, mais pas toujours.
05:10 Comment, pourquoi et comment vous allez vous y prendre ?
05:12 Donc il faut produire l'intelligence nécessaire
05:14 pour ensuite pouvoir vous valoriser et vous promouvoir,
05:18 éventuellement vous préserver, vous protéger.
05:20 - Donc la communication à tout prix, ce n'est pas un objectif du tout.
05:22 - Non, non.
05:23 - Même au XXIe siècle où on dit qu'il faut communiquer, il faut communiquer,
05:25 ce n'est pas du tout...
05:27 - Non, non, il faut au moins savoir pourquoi.
05:30 - Alors je le disais, vous êtes un célèbre dire-com,
05:32 comme on dit, 35 ans à des postes de communication
05:34 au plus haut niveau chez Foncia, Elior, Capgemini, Altran, Rennstraat et j'en passe.
05:39 Et vous avez tout arrêté il y a deux ans.
05:41 Vous êtes devenu entrepreneur, vous avez quitté les grands groupes
05:44 pour une petite structure qui s'appelle Tenkan.
05:46 Pourquoi est-ce que vous êtes lancé comme ça, échangé de vie finalement ?
05:49 - Alors non seulement je suis devenu entrepreneur,
05:51 mais en moins de deux ans j'ai participé à la création de quatre entreprises.
05:54 - Vous allez me dire ça.
05:55 - Je vais bientôt devenir un super entrepreneur.
05:57 - Vous allez retrouver des grands groupes après.
05:59 - Je suis d'abord resté dans mon métier.
06:01 Ce que je sais faire c'est la communication
06:03 avec la création de deux agences, dont celle que vous citez, Tenkan Paris.
06:07 Une agence donc dédiée à la crise,
06:09 donc de façon générale à l'audit, à l'organisation des services,
06:12 des directions de communication pour les entreprises,
06:14 pour aider les dirigeants directement à comprendre quels sont leurs besoins.
06:17 On l'évoquait tout à l'heure, mais voilà, il y a des dirigeants qui disent
06:19 "mais moi je communique, j'ai besoin de communiquer,
06:21 mais finalement je ne sais pas m'y prendre
06:23 ou depuis dix ans je fais toujours la même chose
06:25 et j'ai le sentiment que ça ne sert à rien".
06:27 Parce qu'on a oublié de se poser la question du pourquoi.
06:29 Donc on reprend les bases, on reprend les fondamentaux
06:31 et puis beaucoup d'accompagnement sur la communication de crise
06:33 et sur la préparation à la crise
06:35 pour que les dirigeants, en cas de situation de crise,
06:37 se retrouvent prêts et non pas totalement démunis,
06:40 ce qui risque souvent d'aggraver la crise.
06:42 - Donc on appelle Tenkan et on a Frédéric Fougera au téléphone
06:44 et son équipe et vous nous aidez directement, c'est ça ?
06:46 - Absolument, et nous on fonctionne comme un cabinet d'avocats,
06:49 ou comme devrait fonctionner un cabinet d'avocats,
06:52 c'est-à-dire que les gens qui nous contactent
06:54 contactent parce qu'ils voudraient travailler avec moi.
06:56 Donc je suis effectivement toujours présent
06:58 et toujours disponible pour les clients.
07:00 Ils ne viennent pas pour travailler avec moi,
07:01 puis après c'est un stagiaire ou un autre collaborateur qui travaille avec eux.
07:03 On est une équipe et on est plusieurs à travailler sur les dossiers,
07:06 mais je suis toujours présent auprès du client
07:08 parce que je suis aussi un tiers de confiance vis-à-vis de ce client
07:12 et donc il a besoin d'avoir ce suivi permanent,
07:15 ce suivi humain et de confiance et de complicité intellectuelle
07:18 et de confidentialité aussi parfois sur ces sujets.
07:21 - Tenkan, ça veut dire quoi ?
07:23 - Tenkan, ça veut dire ?
07:24 - Consolence asiatique ?
07:25 - Pivoter, exactement.
07:26 Ça veut dire pivoter en japonais.
07:28 En fait, c'est une position, attitude d'aïkido
07:31 qu'on utilise dans l'aïkido,
07:32 une position d'agilité, de rapidité, de stabilité.
07:35 Un mot que j'ai pratiqué à l'aïkido
07:37 et un mot qui avait une légitimité
07:40 pour reporter l'idée, la situation et la façon dont on gère une crise.
07:44 - Alors vous avez fondé aussi Cogiteur.
07:46 Cogiteur, c'est un collectif de dire-com pour des dire-com.
07:48 - Exactement.
07:49 - Qu'est-ce que vous faites exactement ?
07:50 - Alors Cogiteur, c'est une seconde agence
07:52 qui est présidée par Agathe Veil.
07:54 Elle est une des anciennes collaboratrices.
07:55 Il y a comme un fonctionnement en tribu.
07:58 Agathe Veil, c'est une fille brillante depuis toujours.
08:00 On a travaillé plus d'une quinzaine d'années ensemble.
08:02 Et quand on a souhaité monter Cogiteur,
08:05 donc à plusieurs dire-com,
08:07 elle s'est un peu imposée naturellement
08:09 pour en prendre la tête.
08:11 Et c'est une agence exactement
08:13 comme toutes les autres agences de communication
08:15 à une exception près.
08:17 - Laquelle ?
08:18 - Elle n'est composée que de dire-com,
08:19 c'est-à-dire que de gens qui ont travaillé dans l'entreprise,
08:21 qui connaissent l'entreprise,
08:22 qui savent comment fonctionne un DAF, un DG, une DRH,
08:25 qui connaissent les rythmes, les modes de décision,
08:27 et aussi les préoccupations, les freins que peuvent rencontrer la com.
08:31 Et on vient donc pour accompagner les dirigeants ou les dire-com
08:34 sur un manque de compétence,
08:36 sur un manque de ressources ponctuelles,
08:38 sur un dossier qui n'a jamais été traité par eux
08:40 et qui ne savent pas aborder.
08:42 Donc on vient apporter cette compétence
08:44 sur une durée déterminée.
08:46 Dans l'ombre, on est des dire-com,
08:48 dans l'ombre du dire-com.
08:49 On l'aidait à produire, à faire son métier,
08:51 à délivrer dans les temps.
08:52 Parfois, on exige des dire-coms,
08:54 beaucoup de travail, beaucoup de rapidité,
08:56 mais on ne leur donne pas les ressources ou les moyens.
08:58 Donc nous, on vient compenser cette difficulté
09:00 avec notre connaissance de l'entreprise.
09:02 On n'a pas besoin de six mois pour comprendre
09:03 comment fonctionne l'entreprise,
09:04 qui prend les décisions et comment les choses vont se passer.
09:06 - C'est votre milieu, vous baignez dedans.
09:08 - Chez nous, on est directement opérationnel,
09:09 c'est ça notre particularité.
09:10 - TNK Nécojitia, vous m'aviez dit deux autres entreprises.
09:12 - Oui.
09:13 - Vous en avez quatre.
09:14 C'est quoi les deux autres ?
09:15 - Alors je ne peux pas les citer,
09:16 mais il y en a une qui est dans la restauration
09:18 et une autre dans le digital,
09:20 dont on entendra parler probablement beaucoup à la rentrée.
09:23 - Bon, je vous reviendrai.
09:25 - Je suis contraint d'être discret pour le moment.
09:27 - Vous viendrez nous dire ça.
09:28 Un mot maintenant sur l'Afrique.
09:29 C'est un continent qui vous tient à cœur,
09:31 mais aussi pour votre métier.
09:32 Vous exercez aussi vos activités là-bas.
09:34 Pourquoi ? Qu'est-ce que vous faites ?
09:36 - Il se trouve en fait que mes clients
09:39 viennent par ma notoriété sur les réseaux sociaux,
09:43 une audience qui s'est créée petit à petit
09:45 dans le temps,
09:47 et un ancien collaborateur du président Tshisekedi,
09:51 le président de la RDC aujourd'hui.
09:54 - La République des droits de l'Homme du Congo.
09:55 - Exactement.
09:56 Il fait partie des premières personnes qui m'ont suivi.
09:58 Ensuite il y a aussi eu un journaliste
10:01 qui est devenu parlementaire,
10:02 qui aujourd'hui est ministre de la Culture,
10:03 des Médias et porte-parole du gouvernement,
10:05 toujours de la RDC.
10:06 Et ces personnes ont contribué à me donner une audience
10:09 qui a eu comme un effet boule de neige,
10:11 qui a été vraiment...
10:13 C'est parti sur toute l'Afrique francophone.
10:16 Et résultat, au bout d'un moment,
10:18 on vient aussi vous solliciter
10:19 depuis les pays d'Afrique francophone
10:21 pour accompagner des dirigeants politiques ou industriels,
10:24 pour venir faire des conférences,
10:25 pour venir dédicacer des livres
10:27 qui se vendent dans tous ces pays.
10:28 Et tout d'un coup vous avez une audience.
10:30 Et aujourd'hui sur les réseaux sociaux,
10:31 j'ai des communautés africaines
10:33 plus fortes que mes communautés européennes.
10:36 Et je pense,
10:37 enfin j'en suis même certain que
10:38 ma communauté congolaise est plus importante
10:40 que ma communauté française.
10:41 - Ah intéressant !
10:42 - Alors évidemment, il y a plus de 100 millions d'habitants en RDC,
10:45 c'est pas les mêmes échelles.
10:46 Mais voilà, ce sont des effets de levier
10:50 qui vous mettent dans des situations.
10:51 Et voilà, mon amour pour l'Afrique
10:53 est venu de l'amour qui m'a été transmis par les Africains.
10:58 - Merci beaucoup Frédéric Fougera,
10:59 donc président de Tenkan.
11:00 Vous parlez des livres,
11:01 voici le dernier,
11:02 "Enthodémie de la com".
11:03 - Tout dernier.
11:04 - Qu'est-ce qu'on apprend en deux mots ?
11:05 - Mon principal succès sur les réseaux sociaux,
11:06 c'est une punchline du mardi,
11:07 comme je l'appelle parce qu'elle est publiée le mardi.
11:08 Et ça c'est une compile en fait de plusieurs années
11:10 de punchlines du mardi
11:11 qui donnent de l'énergie aux communicants
11:14 et qui sont très pédagogiques pour les non-communicants.
11:18 - Eh bien merci beaucoup Frédéric.
11:19 Et je dois préciser,
11:20 merci monsieur le commandeur de l'Ordre National du Mérite.
11:22 C'est tout nouveau, félicitations.
11:24 J'étais là pour la remise des médailles, bien mérité.
11:26 Bravo à vous.
11:27 - Merci Gilles-Anne.
11:28 - Merci de nous avoir suivis.
11:29 On se retrouve bientôt bien sûr
11:30 pour un nouveau numéro de Parlons Business.
11:32 (générique)
11:35 ♪ ♪