Aux quatre coins de la ville, durant quasiment 12 heures, nos reporters ont suivi chaque relais de la flamme. Passée dans les mains de 190 porteurs, connus ou anonymes, la torche a attiré des dizaines de milliers de spectateurs venus partager un moment euphorique. Et tout simplement historique.
Un dernier frisson avant de quitter la ville. Un magnifique point final à deux journées historiques. L’image est parfaite. Après Alonzo, Jean-Pierre Papin et Louisa Necib sur le boulevard Michelet, Valentin Rongier pénètre dans le Vélodrome. Le capitaine de l’OM transmet le flambeau à Soprano qui le hisse sur le toit du Vel’. Le minot des quartiers Nord devenu pop star porte "avec fierté les couleurs de sa ville". Sur le parvis Ganay, les regards et les téléphones de 7 000 personnes se braquent sur les écrans géants. La foule, petits et grands venus de tous les quartiers, crie son amour à Sopra. "C’est notre fierté, dit Houria, venue du 15e arrondissement de Marseille pour participer à la fête. C’est un événement historique, on est là pour participer à l’écriture de cette légende."
De légende, il en est encore question pour le dernier porteur de la flamme à Marseille. Sous le virage Sud, Didier Drogba apparaît et provoque un bonheur collectif. Il sera le dernier. Celui qui tourne cette page en embrasant une dernière fois le chaudron olympique. "À Marseille, je n’ai jamais peur, scande l’Ivoirien, questionné sur son appréhension face à la responsabilité de ce dernier relais. Il suffit que je m’approche de ce stade pour que les émotions reviennent. C’est gravé. C’est mon club et ma ville de cœur pour toujours." Dans ses veines coule le même sang bleu et blanc que dans celles du tout premier relayeur. Flash-back, douze heures plus tôt.
Un dernier frisson avant de quitter la ville. Un magnifique point final à deux journées historiques. L’image est parfaite. Après Alonzo, Jean-Pierre Papin et Louisa Necib sur le boulevard Michelet, Valentin Rongier pénètre dans le Vélodrome. Le capitaine de l’OM transmet le flambeau à Soprano qui le hisse sur le toit du Vel’. Le minot des quartiers Nord devenu pop star porte "avec fierté les couleurs de sa ville". Sur le parvis Ganay, les regards et les téléphones de 7 000 personnes se braquent sur les écrans géants. La foule, petits et grands venus de tous les quartiers, crie son amour à Sopra. "C’est notre fierté, dit Houria, venue du 15e arrondissement de Marseille pour participer à la fête. C’est un événement historique, on est là pour participer à l’écriture de cette légende."
De légende, il en est encore question pour le dernier porteur de la flamme à Marseille. Sous le virage Sud, Didier Drogba apparaît et provoque un bonheur collectif. Il sera le dernier. Celui qui tourne cette page en embrasant une dernière fois le chaudron olympique. "À Marseille, je n’ai jamais peur, scande l’Ivoirien, questionné sur son appréhension face à la responsabilité de ce dernier relais. Il suffit que je m’approche de ce stade pour que les émotions reviennent. C’est gravé. C’est mon club et ma ville de cœur pour toujours." Dans ses veines coule le même sang bleu et blanc que dans celles du tout premier relayeur. Flash-back, douze heures plus tôt.
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00:00Tout là-haut on se dit, mais voilà, on est le premier et en même temps on est une ville
00:29exceptionnelle qui touche, en 30 secondes on vit quelque chose de particulier.
00:35Je trouve ça génial d'avoir commencé à Marseille, parce qu'on sait que c'est une
00:58ville sportive, ils sont chauds ici, ils sont passionnés, il y avait une énergie incroyable.
01:35Je me sens comme Hercule, mes forces sont décuplées.
01:42Je suis content d'y être arrivé.
02:12La fierté, l'émotion, on est sur le toit du stade Vélodrome avec la flamme, c'est incroyable,
02:39jamais on ne peut avoir ça dans la tête.
02:41La star aujourd'hui c'est celle-là, c'est elle la star, c'est pas moi.
03:02Je l'apporte pour rassembler le public, que ce soit les français, il y aura un ressentissement à l'international.