Maître X.
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00:00 [Générique]
00:02 [Musique]
00:04 [Musique]
00:06 [Musique]
00:08 [Musique]
00:10 BAM! reçoit aujourd'hui
00:12 Maître X. Bonjour Maître X.
00:14 Bonjour Caro.
00:16 Vous êtes apparu en
00:18 2021 en enregistrant
00:20 vos célèbres capsules juridiques.
00:22 Elles sont reconnaissables
00:24 au symbole de la fameuse pilule rouge
00:26 empruntée au film de Matrix, mais surtout
00:28 parce qu'elles recensent les
00:30 bonnes nouvelles juridiques et judiciaires.
00:32 Vous êtes avocate.
00:34 La première question que j'ai envie de vous poser
00:36 c'est face au mensonge des autorités
00:38 sanitaires et des gouvernements, peut-on
00:40 faire confiance à la justice ?
00:42 Ah, vaste question.
00:44 Je dirais que on devrait pouvoir
00:46 faire confiance à la justice,
00:48 mais
00:50 il se trouve que depuis 3 ans,
00:52 on a vu que c'était plus compliqué que ça
00:54 et qu'il y avait manifestement
00:56 un problème de séparation des pouvoirs.
00:58 En effet,
01:00 et pourtant BAM! a interviewé par exemple
01:02 le député européen Marcel De Graaf
01:04 qui encourage les citoyens à se regrouper
01:06 et à poursuivre leur gouvernement en justice
01:08 ou encore Frédéric Baldan
01:10 qui a déposé un recours contre
01:12 la présidente de la Commission européenne.
01:14 Vous vous êtes proche d'autres
01:16 avocats engagés dans la résistance.
01:18 Pensez-vous que ces actions puissent aboutir ?
01:20 Alors je crois qu'elles aboutiront,
01:22 oui, mais je ne crois pas que
01:24 ce sera ça qui va faire basculer les choses.
01:26 Je crois que les actions doivent être lancées,
01:28 c'est très bien d'encourager les gens,
01:30 il faut le faire, il ne faut pas se laisser faire
01:32 par rapport à ce qui se passe pour l'instant,
01:34 mais je crois que les magistrats
01:36 retrouveront peut-être un peu plus de liberté d'action
01:38 quand il y aura eu aussi
01:40 on va dire une bascule
01:42 plus du
01:44 soit au peuple, soit à des politiciens,
01:46 soit je ne sais pas encore à quoi exactement,
01:48 mais je n'ai pas l'impression
01:50 moi que ce sera la partie judiciaire
01:52 qui va faire basculer la situation.
01:54 Mais peut-être que je me trompe et à la rigueur j'espère.
01:56 Et donc à votre avis
01:58 qu'est-ce qui pourrait faire basculer la situation ?
02:00 Un réveil massif.
02:02 Alors on y arrive
02:04 doucement je crois avec les effets secondaires,
02:06 on y arrive aussi avec
02:08 la crise agricole
02:10 et les agriculteurs qui ont un très très large
02:12 soutien de la population me semble-t-il
02:14 et petit à petit
02:16 les mesures qui sont prises par les gouvernements,
02:18 l'inflation,
02:20 toute l'espèce de crise économique
02:22 qu'on est en train de nous construire en face
02:24 contribuent à mon avis
02:26 aussi à reverser les choses
02:28 et à réveiller un peu plus de monde encore.
02:30 On est en fait engagé dans une guerre de l'information
02:32 et dans ce cadre
02:34 quel est le message,
02:36 quel est l'objectif de Maître X ?
02:38 Alors mon objectif au départ
02:40 c'était déjà de mon côté,
02:42 avant même de publier ma première capsule,
02:44 c'était d'essayer de voir
02:46 si j'étais la seule à penser comme ça ou pas.
02:48 C'est-à-dire que je m'apercevais qu'il y avait des gros problèmes,
02:50 qu'on était face à des gouvernements
02:52 dans tout le monde occidental
02:54 et même dans le monde entier
02:56 qui réagissaient tous de la même manière face à un problème
02:58 qui pourtant ne pouvait pas être identique partout
03:00 et par rapport à ça
03:02 j'ai voulu voir
03:04 si j'étais la seule à analyser de cette manière-là
03:06 le fait qu'on piétinait nos libertés
03:08 de manière aussi systématique
03:10 et organisée. Et donc j'ai commencé
03:12 à faire des recherches de mon côté pour voir ce qui avançait.
03:14 Et puis quand j'ai vu qu'il y avait
03:16 réellement des juges qui pensaient
03:18 comme nous, qui avaient des décisions
03:20 qui étaient rendues dans un sens
03:22 qui était plus protecteur des libertés fondamentales,
03:24 j'ai commencé à les recenser
03:26 et à partir de là à en parler.
03:28 Donc mon but c'était vraiment
03:30 de rassurer un petit peu
03:32 la population qui était
03:34 déjà attentive
03:36 aux dérives qui avaient lieu
03:38 et de leur dire "Regardez, il y a des juges
03:40 qui font encore leur boulot et on va y arriver
03:42 mais il ne faut rien lâcher,
03:44 il faut continuer encore et encore".
03:46 Et donc en effet, comme vous me disiez Caro,
03:48 c'est une guerre de l'information et donc
03:50 chaque information qui passe est super importante,
03:52 les mauvaises avec lesquelles on nous paralyse
03:54 mais aussi les bonnes qui peuvent
03:56 nous donner du courage en fait.
03:58 Paradoxalement, quelqu'un comme
04:00 Mathias Desmet, lui, pense
04:02 que parce que
04:04 l'hypnose de masse dans laquelle
04:06 on se trouve actuellement
04:08 a été notamment induite par la peur
04:10 et par les mauvaises nouvelles,
04:12 on ne pourra sortir
04:14 les gens de cette hypnose que
04:16 par des nouvelles
04:18 qui fassent peur
04:20 mais qui fassent peur
04:22 par rapport aux dérives totalitaires.
04:24 Donc, contrer la peur
04:26 par la peur, ça n'est pas votre philosophie ?
04:28 En fait, j'en rejoins un petit peu
04:30 son point de vue, d'ailleurs je le trouve
04:32 passionnant quand on l'écoute Mathias Desmet,
04:34 j'en rejoins son point de vue mais je crois
04:36 que si les gens se sentent complètement
04:38 bloqués et complètement acculés,
04:40 le dos au mur, ils ne bougeront plus
04:42 parce qu'on a déjà vu ce qui se passait
04:44 depuis trois ans, ils ne bougeront pas.
04:46 Si on ne leur dit pas aussi d'un côté
04:48 il y a une fenêtre à côté
04:50 qui se passe bien et où il y a moyen
04:52 d'encore faire bouger les choses
04:54 et d'encore faire un peu de droit,
04:56 et bien là ils auront une fenêtre dans laquelle ils pourront s'engouffrer
04:58 avec un peu d'espoir. Comment voulez-vous
05:00 que les gens se réveillent
05:02 alors qu'on les maintient dans une espèce d'hypnose
05:04 dont vous parliez depuis quatre ans au moins
05:06 et que d'un coup
05:08 ils posent directement les bons actes
05:10 qui vont faire que tout le monde va se réveiller. Pour moi, ce n'est pas possible.
05:12 S'il n'y a pas une fenêtre d'espoir
05:14 quelque part avec "oui, il y a des juges
05:16 qui font encore leur travail, il y a
05:18 des actions judiciaires qui peuvent
05:20 avancer, même doucement, mais vers
05:22 une bonne solution", pour moi on ne réveillera
05:24 personne parce que
05:26 le peuple acculé, qu'est-ce qu'il va faire ?
05:28 Il n'a plus rien à perdre, il va se révolter mais on n'est pas
05:30 les plus forts. Si on se révolte, on aura face
05:32 à nous des forces
05:34 notamment des forces armées européennes
05:36 qui sont en train de construire et ce n'est pas nous qui allons gagner.
05:38 Or, dans une guerre de l'information,
05:40 on peut gagner si on est plus nombreux
05:42 et qu'on parvient à faire passer les bonnes informations.
05:44 Ça, c'est ce que je crois.
05:46 C'est parce que
05:48 les juges eux-mêmes
05:50 sont soumis à la pression du pouvoir
05:52 politique et du pouvoir médiatique
05:54 qui cherchent à contrôler le narratif et à censurer
05:56 toute contradiction, qui d'ailleurs
05:58 maintenant est taxé de désinformation.
06:00 Donc, nous sommes dans
06:02 cette guerre de l'information
06:04 mais qu'est-ce que ça vous inspire
06:06 quand la France, par exemple,
06:08 essaye de faire
06:10 adopter une loi qui pénalise
06:12 tout avis médical divergent
06:14 en l'assimilant à une dérive sectaire ?
06:16 Alors, ça m'inspire que
06:18 d'un côté, je crois qu'ils ont très peur
06:20 des conséquences parce que les gens commencent à s'apercevoir
06:22 des effets délétères
06:24 de ces injections et qu'on peut
06:26 difficilement les mettre sous le tapis à ce stade
06:28 parce qu'il y en a tellement, ça c'est une chose.
06:30 Et deuxièmement, les dérives
06:32 sectaires ont souvent été
06:34 un prétexte
06:36 pour brider toute
06:38 autonomie de la population.
06:40 C'est-à-dire qu'on a déjà eu les dérives sectaires
06:42 qui étaient mises comme prétexte
06:44 à la loi qui interdisait quasiment
06:46 de faire l'enseignement à domicile
06:48 il y a un an ou deux.
06:50 Et maintenant, on a des dérives sectaires qui vont nous dire
06:52 "non mais vous n'avez plus le droit de critiquer
06:54 les mesures en matière
06:56 de santé". Et dans
06:58 deux mois, si on les laisse faire, ce sera aussi
07:00 les climato-sceptiques,
07:02 toute critique
07:04 des mesures gouvernementales.
07:06 Et d'ailleurs en Belgique, si je ne me trompe pas,
07:08 ils sont en train de réformer le code pénal
07:10 et ils veulent introduire un délit
07:12 d'atteinte méchante à l'autorité
07:14 de l'État. Enfin, c'est n'importe quoi.
07:16 Depuis quand on n'a plus le droit
07:18 de critiquer l'autorité de l'État ? C'est la démocratie
07:20 ou pas ?
07:22 C'est une tendance qu'on a l'impression
07:24 qui se développe dans toute l'Europe.
07:26 Et la Belgique, si je ne me
07:28 trompe pas, a
07:30 en effet adopté, donc sa chambre
07:32 des représentants a adopté
07:34 la réforme du code pénal qui introduit
07:36 ce nouveau délit d'atteinte méchante à l'autorité
07:38 de l'État, le
07:40 jeudi 22
07:42 février, je crois.
07:44 Et d'ailleurs,
07:46 contre l'avis, par exemple, de l'Institut fédéral
07:48 des droits humains.
07:50 Et donc c'est un nouveau délit qui
07:52 pourrait criminaliser en fait toute protestation
07:54 sociale, toute forme de désobéissance
07:56 civile. Oui, et après ça, nous,
07:58 quand on explique depuis trois ans, notamment
08:00 Maître Virginie Diarojo-Requia, avec qui
08:02 je suis en contact, quand on explique
08:04 depuis trois ans qu'on est
08:06 dans un État qui n'est plus une démocratie,
08:08 qu'on est dans des dérives totalitaires
08:10 extrêmes,
08:12 les gens qui vous écoutent déjà
08:14 en sont convaincus, mais par
08:16 contre les autres ont du mal à croire que
08:18 oui, ça peut nous arriver aussi, et ça arrive
08:20 par petites touches successives, c'est-à-dire
08:22 précisément ces lois,
08:24 les unes après les autres, qui nous empêchent de
08:26 parler, qui nous empêchent de dire, qui nous empêchent de faire,
08:28 qui nous empêchent de nous soigner comme on veut,
08:30 etc. Et c'est clair
08:32 qu'un régime totalitaire
08:34 ne se met pas en place du jour au lendemain,
08:36 sinon forcément tout le monde réagit.
08:38 Un régime totalitaire se met en place par
08:40 petits pas, à part que là, ils sont
08:42 en train de les accélérer très sérieusement.
08:44 Soit parce qu'ils ont peur et qu'ils sont eux-mêmes
08:46 acculés, soit parce qu'il n'y a plus rien qui
08:48 les retient, parce que la population se tait
08:50 et admet tout depuis des années.
08:52 Je ne sais pas, mais dans tous les cas,
08:54 nous, la seule chose qu'on peut faire, c'est informer,
08:56 informer, informer et informer encore.
08:58 Oui, c'est...
09:00 Le philosophe Alexis Hopte, lui, parle de
09:02 complot-sophisme. Il dit
09:04 que ce n'est pas seulement une censure,
09:06 c'est avant tout une méthode de manipulation de masse
09:08 qui vise à pousser les gens à l'auto-censure.
09:10 Et donc que le but, c'est
09:12 effectivement d'effrayer les masses, de faire naître dans l'individu
09:14 la peur d'être marginalisé.
09:16 Et en fait,
09:18 il ajoute que la secte, c'est
09:20 quand on taxe les complotistes d'antivax
09:22 ou de gourous, ceux
09:24 qui doutent méthodiquement, en réalité.
09:26 Oui, et puis
09:28 il faut savoir que le mot de complotiste,
09:30 enfin, vous le savez sûrement, a été inventé
09:32 après l'assassinat de Kennedy,
09:34 parce qu'on voulait
09:36 décourager les gens de se plonger réellement
09:38 dans ce qui s'était réellement passé,
09:40 et de critiquer le rapport qui avait été
09:42 rendu, de un, et de deux.
09:44 Il est clair que face aux effets secondaires
09:46 des vaccins pour l'instant,
09:48 si le citoyen lambda
09:50 sait que s'il a le malheur d'oser
09:52 dire à la télévision ou à la radio
09:54 qu'il connaît quatre personnes qui se sont
09:56 écroulées dans les deux semaines de leur vaccination,
09:58 mais que s'il dit ça, il risque 15 000 euros
10:00 et un an d'amende, 15 000 euros
10:02 d'amende plutôt, et un an de prison,
10:04 il ne va pas le faire.
10:06 Parce que dans le meilleur des cas,
10:08 il sait très bien ce qui se passe, et il ne va pas le faire
10:10 parce qu'il n'a plus d'argent, parce qu'on est tous aux abois,
10:12 et dans le pire des cas,
10:14 il ne va pas le faire, parce qu'il va dire "non, mais si c'était
10:16 vrai, on ne m'interdirait pas de le dire".
10:18 Donc dans tous les cas, il y a
10:20 une sacrée démarche de la part de la population
10:22 pour oser passer au-dessus de loi comme ça
10:24 pour au moins
10:26 s'exprimer et pour donner leur
10:28 vérité, qui n'est pas forcément la vérité absolue.
10:30 Mais plus on va décourager les gens de le faire,
10:32 et moins ils vont parler.
10:34 Et donc en fait là, c'est finalement,
10:36 paradoxalement, l'État lui-même
10:38 qui se trouve embarqué dans une dérive sectaire.
10:40 À mon sens, oui.
10:42 Parce qu'il y a tous les symptômes
10:44 d'une dérive sectaire.
10:46 On isole les gens, on les empêche de parler,
10:48 on les fatigue, on les abrutit d'informations
10:50 stressantes et angoissantes
10:52 du matin au soir.
10:54 Tout ça participe à l'isolement des gens,
10:56 et l'isolement des gens, c'est aussi
10:58 une technique des sectes
11:00 pour arriver à maintenir une main-mise
11:02 sur les adhérents, en fait, c'est la même chose.
11:04 C'est d'ailleurs un secteur dans lequel
11:06 vous avez pas mal d'expérience, Maître X,
11:08 la lutte contre les sectes.
11:10 Oui, j'ai travaillé
11:12 il y a quelques années, beaucoup pour lutter contre les sectes.
11:14 Alors là, j'entends parler des vrais sectes,
11:16 celles qui mettent vraiment en danger
11:18 leurs adeptes, pas celles
11:20 qu'on voudrait nous faire passer pour sectes aujourd'hui.
11:22 Mais oui, dans tous les mouvements
11:24 sectaires, il y a des constantes
11:26 dans la façon de maintenir
11:28 les adeptes en permanence
11:30 fatigués, épuisés, isolés.
11:32 Parce qu'un individu
11:34 qui a faim et qui est fatigué, déjà ça,
11:36 n'est plus physiquement en état de se rebeller.
11:38 Déjà ça, rien que ça.
11:40 Donc ça, c'est deux techniques qu'on retrouve très souvent.
11:42 Et après, il y en a plein d'autres.
11:44 C'est d'ailleurs comme ça que je me suis aperçue
11:46 en mars-avril 2020
11:48 qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas
11:50 dans les discours à la télévision.
11:52 Parce que je retrouvais dans ces discours
11:54 qui étaient assénés en permanence
11:56 24h/24, exactement
11:58 les mêmes méthodes de communication que celles
12:00 que je voyais dans les sectes contre lesquelles
12:02 j'ai lutté il y a quelques années.
12:04 En effet. Mais il y a quand même
12:06 quelques nouvelles
12:08 qui peuvent nous donner de l'espoir puisque Maître X
12:10 en est à sa capsule numéro 198.
12:12 Oui, et 199 même, hier matin.
12:14 Ah, bravo, bravo.
12:16 On attend avec impatience la 199.
12:18 Mais parmi toutes les informations
12:20 que vous avez transmises,
12:22 est-ce qu'il y en a
12:24 certaines qui vous ont particulièrement frappé,
12:26 qui vous tiennent à cœur, et pourquoi ?
12:28 Alors oui, il y a une information
12:30 que j'avais délivrée dans une capsule
12:32 numéro 12, c'était en octobre 2021,
12:34 chauffer heure.
12:36 Et il s'agissait d'une affaire
12:38 qui avait été plaidée au Pérou.
12:40 Parce que c'est la première fois que je voyais
12:42 des juges avec une vision
12:44 aussi claire de la
12:46 source et de l'origine de la
12:48 situation dans laquelle on était.
12:50 Alors je ne vais pas tout détailler pour laisser vos éditeurs
12:52 aller l'écouter, il faut l'écouter sur CrowdBunker.
12:54 Parce que sur YouTube,
12:56 je ne l'ai pas remise à cet endroit-là.
12:58 Ça vaut le coup d'être écouté réellement.
13:00 Parce qu'on a des juges là qui avaient une vision
13:02 très très très claire des choses.
13:04 Alors sans spoiler, en gros,
13:06 un juge, enfin un cours d'appel péruvien
13:08 a considéré que
13:10 la survenance
13:12 de la crise
13:14 Covid était bien
13:16 pour elle, puisqu'il s'agissait d'un problème de procédure
13:18 et de comptabilité des délais pour répondre
13:20 à une mesure pénale,
13:22 était bien pour la
13:24 cour d'appel un cas de force
13:26 majeure qui justifiait que des délais étaient dépassés.
13:28 Mais par contre,
13:30 que les seuls qui pouvaient avoir connaissance
13:32 de cette crise étaient
13:34 ceux qui l'avaient entièrement créée
13:36 et dont on cite les noms.
13:38 Donc là, il va falloir aller écouter.
13:40 Et donc, en gros, la cour d'appel
13:42 dit
13:44 "Mais en fait, nous juges,
13:46 on avait le droit d'être en retard parce qu'on ne savait pas,
13:48 mais par contre, il y a bien au-dessus
13:50 de nous des gens qui ont créé cette crise
13:52 de toutes pièces."
13:54 Une autre capsule que je trouve très intéressante,
13:56 c'est la 41, numéro 41.
13:58 Là, ça parle d'une loi qui a été votée,
14:00 qui est bien votée au Chili
14:02 et qui, en fait,
14:04 elle est votée en matière de droit du travail
14:06 et elle a pour objet
14:08 d'interdire
14:10 à des employeurs ou des futurs employeurs
14:12 quand ils recrutent,
14:14 d'imposer à leurs travailleurs
14:16 des tests pour vérifier si ceux-ci n'ont pas été
14:18 génétiquement modifiés.
14:20 Je parle bien des travailleurs génétiquement modifiés.
14:22 Et, en fait,
14:24 ça m'a fait penser
14:26 à un livre de Lucia Cerise que j'avais lu
14:28 il y a un peu de temps avant,
14:30 "Neuropirates", où il rassemble
14:32 toute une série de ses interventions et conférences
14:34 où il disait "Vous verrez que
14:36 le transhumanisme va s'imposer
14:38 tout doucement et que, notamment,
14:40 au prétexte de protéger
14:42 les humains
14:44 ou les non-humains, on va faire
14:46 des petites lois qui interdisent
14:48 les ségrégations et les discriminations."
14:50 Et, en fait, quand j'ai lu ça,
14:52 je me suis dit "Mais c'est exactement ça, en fait."
14:54 Parce que cette loi qui est destinée
14:56 à protéger les travailleurs chiliens
14:58 a pour but, en fait,
15:00 de faire comprendre que, oui,
15:02 il y a des travailleurs qui sont génétiquement
15:04 modifiés. Alors, normalement,
15:06 une modification génétique, c'est quand quelqu'un
15:08 subit une thérapie génique. Et une thérapie génique,
15:10 ça n'arrive quand même pas tous les jours.
15:12 Alors que là, on veut nous expliquer
15:14 qu'on va généraliser
15:16 une interdiction pour l'employeur
15:18 d'imposer un test
15:20 pour voir si son travailleur
15:22 n'a pas été génétiquement modifié.
15:24 Mais je crois qu'il est grand temps que les gens se posent des questions, en fait.
15:26 Donc, je trouvais ça
15:28 très très intéressant à ce niveau-là.
15:30 Il n'y a pas de référence directe,
15:32 évidemment, aux injections
15:34 contre le
15:36 Covid-19,
15:38 mais, en revanche, c'est une loi
15:40 qui a été adoptée.
15:42 Oui, et dans le cadre de
15:44 cette crise-ci, alors qu'il y a quand même
15:46 beaucoup de scientifiques à travers le monde
15:48 qui nous disent que, oui, ce sont des thérapies géniques.
15:50 Et, d'ailleurs, il n'y a pas que les scientifiques.
15:52 Je veux dire, il y a aussi
15:54 des représentants
15:56 des firmes pharmaceutiques
15:58 qui expliquent clairement,
16:00 et même, je crois que c'était dans les documents
16:02 déposés par Pfizer ou par Moderna,
16:04 je ne sais plus, à la
16:06 commission boursière aux Etats-Unis,
16:08 il était indiqué clairement que c'était une thérapie génique.
16:10 Donc, je veux dire,
16:12 cette loi-là n'arrive pas par hasard
16:14 à ce moment-ci. Ça aurait pu y être
16:16 il y a 10 ans ou dans 10 ans. Non, non, c'est maintenant.
16:18 Ce n'est pas pour rien.
16:20 Avant de conclure, maître X,
16:22 il faut que je pose cette question.
16:24 Pourquoi cacher votre identité ?
16:26 Parce que,
16:28 dans la mesure où on est dans une guerre de l'information,
16:30 ce qui est le plus important, c'est l'information
16:32 elle-même. Et,
16:34 je ne vois pas en quoi mon identité
16:36 aurait apporté quoi que ce soit
16:38 aux informations que je passe.
16:40 Et dans la mesure où ce n'est pas moi qui ai introduit les procédures,
16:42 pour diverses raisons, notamment parce que
16:44 je ne suis pas dans une grande ville,
16:46 ça n'avait pas d'intérêt que je me mette en avant.
16:48 Parce que moi, ce que je veux, c'est juste que l'information passe.
16:50 Et ma tête, mon nom,
16:52 n'ont aucune importance pour ce travail-là que je fais.
16:54 Merci,
16:56 maître X. Où les auditeurs
16:58 peuvent-ils vous retrouver
17:00 et vos chroniques ?
17:02 Alors essentiellement,
17:04 sur Crowdbunker,
17:06 une chaîne qui s'appelle Maître X officielle,
17:08 il y a un canal du même nom
17:10 sur Telegram. Ça, c'est là où je publie
17:12 le plus souvent. Et après,
17:14 j'ai créé, il n'y a pas très longtemps,
17:16 j'ai rempli un compte Twitter
17:18 aussi Maître X officiel.
17:20 Et il y a une chaîne YouTube
17:22 où il y a les capsules les plus récentes,
17:24 mais elles n'y sont pas depuis le début.
17:26 Et je vous conseille aussi, pour ceux qui veulent se lancer,
17:28 les capsules avec les vignettes bleues
17:30 qui s'appellent "L'info juridique qui pique",
17:32 qui sont un peu articulées autrement,
17:34 mais qui vont peut-être vous intéresser également.
17:36 Parfait. Eh bien,
17:38 merci beaucoup pour cet entretien,
17:40 maître X.
17:42 Merci à vous.
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