• il y a 8 mois
À 90 ans, pas question de ranger brosses et peignes pour Roger Amilhastre: ce coiffeur de Saint-Girons, en Ariège, travaille toujours, par nécessité mais aussi par passion.

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Transcription
00:00 Mais vous avez trouvé le pyjama, il y a du boulot quand même.
00:14 Oui.
00:15 C'est l'amour d'un métier.
00:22 Ça, on ne peut pas trop l'expliquer.
00:27 Certains ont dans la tête, moi je l'ai dans tout mon corps, le métier que je fais.
00:36 Et je suis content.
00:38 Si je n'avais pas quelques petits bobos d'arthrose, ça serait extraordinaire.
00:51 D'abord j'avais ma femme qui était malade et qui était dans une maison de retraite.
01:11 Et vous savez, le prix d'une maison de retraite, à 2000 euros par mois, il faut travailler.
01:23 Alors j'ai continué à travailler à cause d'elle.
01:29 Maintenant qu'elle est décédée, je pourrais arrêter.
01:33 Je continue un moment encore, après on verra.
01:38 Roger, quand j'étais jeune, venait voir les matchs avec mon père, un ancien joueur
01:56 de rugby, un joueur de très haut niveau.
01:59 Il venait à l'arrière-magasin voir les matchs du tournoi des Seine-Naziote.
02:03 Depuis là, surtout, il pouvait surveiller son salon de coiffure s'il y avait du monde.
02:08 Et comme tout le monde aimait le rugby, souvent il était tranquille.
02:10 Il était très content.
02:11 Il était très content.
02:12 Il était très content.
02:13 Il était très content.
02:13 Il était très content.
02:14 Il était très content.
02:15 Il était très content.
02:15 [Bruit de moteur]
02:17 [Bruit de moteur]

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