Jérome Bêglé : «La prise de conscience tardive de la justice me semble être la preuve qu'une ligne a bougé.»
Jérome Bêglé : «La prise de conscience tardive de la justice me semble être la preuve qu'une ligne a bougée. [...] Aujourd'hui, ça ne passe plus. Cette prise de conscience peut être salutaire dans certains milieux médiatiques et de justice.»
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00:00 Je suis de ceux qui pensent qu'il y a un avant et un après 7 octobre.
00:03 Il y a des propos gentiment antisémites, gentiment défavorables...
00:09 - Gentiment antisémites ?
00:10 - Laissez-moi parler.
00:11 Gentiment favorables au Hamas, qui étaient tolérés dans certains milieux avant le 7 octobre
00:16 et qui ne le sont plus en aucun cas aujourd'hui.
00:19 Et c'est pour ça que la prise de conscience tardive de la justice qui agit 6 mois,
00:25 un peu plus de 6 mois après, me semble être la preuve qu'une ligne a bougé.
00:30 Et que quelque chose qu'on entendait, qui pouvait nous faire sursauter,
00:34 mais qui ne méritait pas de passer devant les tribunaux,
00:37 passer non pas crème comme vous dites, mais sous les radars,
00:40 aujourd'hui ça ne passe plus.
00:41 Et au moins cette prise de conscience, si elle est durable,
00:49 et je pense qu'elle peut être durable, peut être un peu salutaire en France,
00:52 dans certains milieux médiatiques et de justice.
00:54 - C'est la fin de cette émission.
00:56 Merci à tous d'avoir été là.
00:57 Merci à tous d'avoir été là.
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