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Quels films sortent au cinéma cette semaine ? La rédaction vous fait découvrir les films qui font l'actualité
Transcription
00:00« Biopic, histoire vraie, drame, comédie, film noir et romance sont au programme cette
00:26semaine, avec tout d'abord le biopic consacré à Amy Winehouse, Back to Black.
00:31Yvan Attal et Mathieu Kassovitz viendront nous parler de l'histoire vraie qui a inspiré
00:35le film Frères d'Olivier Cazas.
00:37Nous découvrirons notre monde de Louana Bajrami.
00:40La justice sera au cœur de Premières Affaires de Victoria Musid-Lac.
00:44Yvan Kalberak nous présentera N'avoues jamais, nous ne manquerons pas de trembler
00:49devant le banjeur d'âme et nous arpenterons les cours de tennis pour Challengers de Lucas
00:54Guadagnino.
00:56Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine, nous vous proposons de découvrir
01:00le classement des films en salles, établi par les étoiles des spectateurs sur le site
01:04Allociné.
01:05En troisième position, Riddle of Fire obtient 3,9 sur 5.
01:11Juste au-dessus, avec 4 sur 5, on retrouve Borgo.
01:17Et cette semaine se place en première position, Amal, Un esprit libre, qui obtient 4,3 sur 5.
01:24Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:26Back to Black de Sam Taylor-Johnson est un biopic qui retrace la vie de la chanteuse
01:33Amy Winehouse à travers la création de son premier album, inspiré par son histoire d'amour
01:39passionnée et tourmentée.
01:40J'ai l'impression que les documentaires, les médias, les tabloïds ont tous disséqué
01:57sa vie.
01:58Et en faisant ce film, j'avais envie de rencontrer Amy de l'intérieur, de son point de vue,
02:04de manière à raconter son histoire au fil des paroles de ses chansons.
02:07C'était un moyen de célébrer sa musique à nouveau, car c'est ce qu'elle a écrit
02:23qui nous a guidés vers son âme.
02:24Se placer dans son point de vue, c'est lui rendre son intégrité.
02:31C'est arrêter de la placer simplement en victime.
02:35Il y avait d'abord un travail technique, j'ai pris des cours de chant tous les jours
02:52pendant des heures, durant quatre mois, de manière à travailler ma voix puis ensuite
02:57de l'approcher de celle d'Amy en termes de résonance et dans la forme du visage à
03:02adopter.
03:03Puis je me suis immergée dans ses références, essentiellement pour comprendre ce qu'était
03:13vraiment le jazz, le hip-hop aussi par moments, des girls' band aussi.
03:18Je me suis vraiment plongée dans ce qui a influencé son âme.
03:22Il fallait aussi se rappeler qu'elle a écrit ses chansons, qu'elles sont nées de son expérience
03:27personnelle.
03:28Frères d'Olivier Cazas raconte l'histoire vraie de deux frères de 5 et 7 ans abandonnés
03:46par leur mère en 1948 et qui vont survivre seuls durant 7 ans dans la forêt.
03:51Le cinéaste a été aidé pour son récit par le survivant de la fratrie, Michel de
03:56Robert.
03:57Ce qui m'a touché quand j'ai découvert l'histoire, plus qu'au-delà de l'assidération
04:10de leur survie, c'est très vite le lien d'amour entre les deux frères.
04:14C'est ce qui m'a complètement foudraillé.
04:16L'histoire est bouleversante de mômes qui sont abandonnés comme ça, qui s'enfuient,
04:22se sentant coupables, pensant qu'ils sont coupables de la mort de quelqu'un et qui
04:26passent 6 ou 7 ans tous les deux à fuir les hommes et à vivre comme des sauvages.
04:31Et comment ces enfants grandissent, qu'ils sont devenus adultes.
04:34Évidemment que cette histoire est bouleversante sur le papier.
04:37Tu es venu ici pour mourir ? Il y a pire, non ? Tu serais parti sans me dire au revoir.
04:43Maintenant que tu es là, on ne le saura jamais.
04:46La référence aux enfants de la guerre, la référence aux enfants perdus, elle est pour
04:52moi très importante, parce que tous ces enfants vivent avec ça et ça ne vous quitte
04:57jamais.
04:58Vous dépassez le problème, mais il est là.
05:00Il faut que tu comprennes, je n'y crois plus.
05:03Mais comment tu peux dire ça ? Regarde la rage qu'il t'a fallu pour avoir tout ça,
05:09tout ce que tu as construit.
05:10Justement.
05:11J'ai cru que de devenir quelqu'un, ça comblerait le vide.
05:17Ce qu'on a vraiment voulu savoir, c'est quelle était leur interaction entre les deux.
05:21Est-ce qu'ils se prennent dans les bras ? Est-ce qu'ils s'embrassent ?
05:24Est-ce qu'il est pudique, pas pudique, contre eux, etc.
05:30Quand je dors assis, enlacé avec mon frère, la chaleur que je lui donne et la chaleur
05:36qu'il me donne, c'est la survie de l'un et l'autre.
05:41Depuis qu'on est partis de cette cabane, plus rien n'a de saveur.
05:45Je crois après quelque chose qui ne reviendra pas.
05:46J'ai quand même eu qu'un mot à dire à Olivier.
05:49On est potes, donc je lui ai dit, écoute, merci, merci, vraiment, merci.
05:54Parce que tu as réussi à ce que je superpose des images de ma mémoire,
06:02elles se superposent au film.
06:08Notre monde de Louana Bajrami est centré sur deux jeunes filles
06:11qui quittent leur village pour intégrer l'université de Pristina.
06:14À la veille de l'indépendance du Kosovo, les deux jeunes femmes se confrontent
06:17au tumulte d'un pays en quête d'identité, dont la jeunesse est laissée pour compte.
06:30Moi, ce qui m'intéressait en 2007, c'est qu'on attend donc l'indépendance,
06:33c'est-à-dire de mettre en parallèle la quête identitaire de ce pays,
06:40qui se cherche encore et qui attend quelque chose,
06:43à la quête identitaire de ces deux jeunes femmes.
06:45Franchement, c'était un écho délibéré.
06:48C'est moi qui suis là.
06:49Je suis là pour vous.
06:51Parce que l'un répondait à l'autre,
06:53et surtout le contexte politique, social, du pays en tout cas,
06:59permettait de surligner ce que traversent ces jeunes femmes.
07:06Pourquoi ?
07:07Pourquoi tu ne m'as pas rencontrée ?
07:08Pourquoi tu ne m'as pas rencontrée ?
07:10Je ne suis pas là.
07:11Je ne suis pas là pour te chercher.
07:13Je suis là pour te soutenir.
07:15On parle d'individus, en fait, on parle d'émotions,
07:17on parle de quête, de désir, d'émancipation.
07:20Enfin, ce sont des choses qui sont très communes, très naturelles.
07:27Là, on est dans la ville et on est étouffés.
07:30C'est très, très underground.
07:32Et en fait, je crois que j'avais ce désir-là.
07:37La ville, ça a toujours été très cinégénique.
07:40Ça raconte beaucoup.
07:41Il y a plus, disons, de supports visuels
07:43pour raconter aussi ce que traversent les personnages.
07:46Chose que j'avais beaucoup moins sur le premier film.
07:55Et là, j'ai eu l'occasion d'un petit peu plus m'amuser.
07:59Ça raconte aussi, même si ça se passe en 2007,
08:01c'est fou ce que je vais dire,
08:02mais ça raconte une forme d'actualité, en fait.
08:04Je trouve que ça permet aussi beaucoup l'identification.
08:07Je suis partie de mon prochain étiquette.
08:15Première affaire de Victoria Musid-Lac
08:16s'intéresse à une jeune avocate fraîchement diplômée
08:19qui est propulsée dans sa première affaire pénale.
08:21Emportée par la frénésie de sa nouvelle vie,
08:23elle en vient à questionner ses choix.
08:26Les policiers vous ont placés en garde à vue
08:28pour vous interroger dans le cadre d'une enquête
08:30pour enlèvement et séquestration.
08:32Je vais vous aider à raconter votre histoire aux policiers.
08:34Ce qui m'intéressait, c'est de traiter un personnage
08:38qui a du mal à s'imposer et à exister dans sa famille.
08:40Je représente un des suspects potentiels.
08:42Impressionnant, vous paraissez si jeune.
08:44Non mais Nora, t'as passé deux jours avec un criminel ?
08:47Victoria s'est extrêmement bien instruite.
08:49C'est elle qui nous a tout donné pour créer nos propres personnages.
08:52Vous risquez un procès aux assises
08:54et jusqu'à 30 ans de prison pour meurtre.
08:55Moi, je n'ai rien fait. Le policier me fait peur.
08:58Je parle là !
08:58C'est une des choses aussi que Victoria voulait travailler.
09:02C'est comment le métier change et insuffle une personnalité.
09:09J'ai rencontré quelqu'un.
09:12Ça n'a rien à voir avec ton affaire, j'espère.
09:13Vous parlez aux flics en dehors de la procédure ?
09:16Ce qui me pose question,
09:17mais ça pour des raisons intimes,
09:20c'est l'imbrication d'une fonction dans la société
09:25et d'un point de vue intime et moral.
09:28Et l'avocat, c'est vrai qu'il a ces deux aspects.
09:30À la fois, il représente quelqu'un en termes juridiques,
09:33donc il est en dehors de la morale.
09:35Et en même temps, ça reste un individu comme vous et moi,
09:37qui a ses propres idées et qui va avoir son avis sur les choses.
09:41J'ai peur.
09:42S'il se prend 30 ans de prison à cause de moi.
09:44Il y a des gens qui sont en prison et qui n'ont rien fait.
09:46Et des assassins en liberté, c'est comme ça.
09:48Un film initiatique avec une jeune femme
09:50qui se retrouve projetée, malgré elle, dans une réalité
09:55qu'elle a repoussée le plus possible.
09:58Oui, c'est la découverte de la réalité,
10:00la découverte des humains, leurs troubles.
10:04Racontez-moi ce qui s'est passé.
10:11Yvan Kalberak réunit le duo Sabine Azéma,
10:13André Dussolier pour N'Avoue Jamais.
10:15Le comédien incarne un général à la retraite
10:17qui découvre que sa femme l'a trompé 40 ans plus tôt.
10:20Fou de rage, il entreprend de retrouver l'amant
10:23afin de lui casser la figure.
10:27Moi, je suis Rani.
10:28C'est horrible de se avoir dans les bras d'un autre.
10:30Tu n'arrêtes pas de penser à ta poitrine incandescente,
10:33à ton triangle de Vénus en éruption.
10:36Il y a cette phrase de François Stallman que j'aime beaucoup
10:38qui dit « on ne sait jamais ce que le passé nous réserve ».
10:41Et en fait, c'est vrai qu'on a toujours peur du futur,
10:43mais parfois, il y a des choses dans le passé
10:44qu'on a oubliées et qui peuvent ressurgir.
10:46Et là, dans cette histoire, ça va être l'occasion
10:48pour le personnage de vraiment faire un parcours
10:51à la fois cauchemardesque et initiatique.
10:53Et effectivement, c'était un ingrédient de comédie formidable.
10:56C'était de soins dressés.
10:58Alors ?
10:59Donc, tu m'as trompé avec ce type ?
11:01Par ration sentieuse, c'était il y a 40 ans.
11:04Oui, mais c'est aujourd'hui que je le découvre.
11:06Le sentiment de la jalousie, en tout cas,
11:09est un sentiment qu'on a tendance à taire
11:12ou alors qu'il peut prendre des proportions très graves
11:13ou qu'il peut prendre des proportions un peu vraiment lourdes.
11:17Je pars à Nice pour péter la gueule de son Boris.
11:20T'as perdu la tête.
11:21J'ai perdu la face.
11:22Et puis là, je ne sais pas, la génération d'après
11:26va voir les choses un peu différemment.
11:28C'est ça qui est bien dans ce film, c'est que de génération en génération,
11:31on voit que les réactions sont totalement opposées.
11:33Tu te rends compte que tu risques de tout perdre ?
11:34Je donne le principe.
11:36Annie, attends ! Annie, qu'est-ce que tu fais ?
11:38Je fais ce que je veux et je t'emmerde !
11:40C'est incroyable la différence qui existe
11:43entre l'éducation qui est donnée maintenant aux jeunes qui arrivent
11:47et ce qu'on a vécu, nous, avec nos parents.
11:50Divorcez pas, maman, je t'en supplie.
11:52Divorcez pas.
11:53Je pensais que ça te ferait ni chaud ni froid.
11:56Bon, ben, il faut évoluer, il faut pas se rebeller,
12:00il faut accompagner.
12:03Mais ça parle de toutes ces générations, le film.
12:05Je te préviens, ça va être un carnage !
12:07Tu vas le tuer !
12:08Non, je suis sûrement une résidente en place.
12:11Vous vous calmez maintenant, oui !
12:12Lâchez-le, vous allez lui faire mal !
12:14Annie ?
12:15Oui ?
12:16C'est incroyable, t'as pas changé.
12:17Ce qui est drôle, c'est ce personnage,
12:19qui est un mec très, très moyen, un branleur.
12:26Il a une jolie maison, mais il n'a jamais rien foutu de sa vie,
12:29donc il n'a jamais rien eu.
12:32C'est un passant, quoi, voilà.
12:34Une fois divorcé, tu risques quand même de l'avoir un peu moins.
12:41Dans un couple, quand ça va pas, on attend que ça passe.
12:43Et si ça passe pas ?
12:44C'est qu'on n'a pas attendu assez longtemps.
12:49Le duo Julien-Maury-Alexandre Bustillot continue de creuser
12:52le sillon du film de genre avec une mangeure d'âme.
12:55Commandante de gendarmerie enquête sur un double meurtre
12:58d'une rare violence dans les Vosges.
12:59Elle fait équipe avec un capitaine qui fait face
13:02à une série de disparitions d'enfants.
13:04Le Dévoreur ne l'invite jamais à rentrer.
13:08Il pourrait envahir ton foyer.
13:10On est des fous de films de genre au sens large.
13:14C'est-à-dire qu'on a grandi en regardant des films d'horreur,
13:18des films d'épouvante, des films de science-fiction.
13:21C'est notre ADN.
13:22On vous a pas prévenu du carnage ?
13:24Connaissant les clichés du genre, on se dit
13:27oui, voilà, les gens vont certainement penser
13:29qu'on va aller dans cette direction.
13:30Donc faisons un contre-pied et puis faisons un double contre-pied
13:33et puis essayons d'aller vers autre chose
13:35et de toujours vraiment tendre le cou à ces attentes.
13:39Il est séduit.
13:43Bonjour, dame.
13:44Tous ces enfants se sont volatilisés dans des vues de voisine.
13:46Ils ont disparu quand ?
13:47C'est comme les contes de fées, en fait.
13:49C'est comme Bruno Bettelheim et la psychanalyse des contes de fées.
13:52C'est-à-dire qu'on dit l'horreur, l'indicible, de manière codée.
13:59Mais même pour nous, acteurs, on est plus libres.
14:03On peut se permettre.
14:06Ils se sont clairement jetés l'un sur l'autre.
14:08Et je suis catégorique sur ce point.
14:10Qui a fait du mal aux enfants, Yvonne ?
14:12Il est ici.
14:13On est protégés par le genre et ça, effectivement,
14:15c'est à la fois d'un point de vue sociétal,
14:17ça raconte plein de trucs sur le monde.
14:19Si le mangeur d'âmes existait vraiment.
14:22Je suis persuadée qu'il y avait quelqu'un d'autre présent dans le monde des fées.
14:26Arrête-toi !
14:27Tous ces morts, on n'est pas dans une légende.
14:29Des personnages qui sont brisés, qui ont des secrets.
14:32Qui ne sont pas, comme tu dis, manichéens du tout.
14:36Qui sont confrontés vraiment au mal absolu
14:41et qui vont devoir se confronter à leur propre démon intérieur
14:48pour pouvoir passer cette épreuve.
14:51Les probabilités de retrouver un mineur après 48 heures sont quasi nues.
14:54Mais on a tous besoin de comprendre.
14:57Yvonne n'est plus à l'hôpital, il a disparu.
14:59On s'enfonce petit à petit et on rentre de plus en plus dedans.
15:02On commence à rentrer dans des couloirs où on ne sait pas où on va arriver.
15:10Si tu entends le murmure de sa forêt,
15:13il est là pour manger ton âme.
15:15Faire un film, un vrai thriller,
15:18presque orienté un peu à l'action mais aussi totalement en entertainment,
15:21tourné vers le public, mais autour d'une thématique abominable.
15:31À l'affiche de Challengers de Luca Guadagnino,
15:33Zendaya incarne une ancienne joueuse de tennis devenue entraîneuse.
15:37Elle est tiraillée entre son mari, un champion en perte de vitesse,
15:40et le futur adversaire de ce dernier,
15:42qui n'est autre que son ancien meilleur ami à lui et son ex à elle.
15:48Tu es incroyable aujourd'hui.
15:49Allez !
15:50Pour avoir une ligne de mode, une fondation,
15:54tu vas transformer toute ta famille en millionnaire.
15:57Ces personnages sont étroitement liés.
15:59Ils n'arrivent pas à s'extraire de cette relation.
16:04Dès leur première rencontre, on peut parler d'énergie qui s'accorde.
16:07C'est un peu comme un courant contre lequel on ne peut pas lutter.
16:11Si l'un des trois n'est pas là, les deux autres ne peuvent pas avancer.
16:17Qu'est-ce que tu vas faire maintenant ?
16:18Malheureusement, ma seule compétence dans la vie, c'est de tirer un ballon avec un racquet.
16:21Je veux que tu sois mon coach.
16:23Je veux que tu sois mon coach.
16:25Elle a misé toute sa vie sur sa carrière,
16:28et en dépit de son accident, elle trouve un moyen de rester dans le monde du tennis
16:32pour être au contact de ces deux-là.
16:34C'est l'interdépendance qui est au cœur de cette histoire.
16:37Ils ne peuvent pas s'en départir.
16:39Combien de fois ça se passe ?
16:41Tu veux aller chercher la même fille ?
16:43Viens ici.
16:44Quelqu'un d'entre nous ?
16:46Ils luttent pour deux raisons.
16:48Ils partagent la même passion pour le tennis,
16:51à différents niveaux et à différents moments de l'histoire.
16:55Mais le temps a érodé leur amour pour le tennis.
17:09Je ne saurais pas vous dire pourquoi elle agit de la sorte.
17:12Mon avis sur elle évolue constamment,
17:14et je ne peux pas dire si tout est calculé de sa part.
17:18Peut-être se trouve-t-elle coincée dans une relation qui altère son jugement.
17:24Je ne sais pas si elle maîtrise vraiment la situation
17:27ou si elle est empêtrée dans une spirale
17:30qui la pousse à commettre des erreurs et perdre le contrôle.
17:42C'est un film qui retourne la tête de tout le monde.
17:44Il confronte à vos insécurités de manière frontale.
17:47Et c'est affreux.
17:56Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
18:12Assez, Stégy, ne bouge pas.
18:22Qu'on soit roms, qu'on soit gitanes, qu'on soit ce qu'on veut,
18:26on fait partie quand même tous de la même communauté.
18:35Il y a encore des choses à donner, des choses à faire,
18:38bien que d'être écouté.
18:41L'endroit où je me sens le plus libre au monde, c'est sur un plateau.
18:51Vous n'êtes pas grecque.
18:52Non, j'ai l'air américaine.
19:03Excusez-moi.
19:04Je suis venu avec les enfants.
19:07Je suis venu avec les enfants.
19:09Je suis venu avec les enfants.
19:11Je suis venu avec les enfants.
19:12Je suis venu avec les enfants.
19:18Je ne peux jamais m'esclaper ici.
19:21Mes jeux, sont hors-marque.
19:23Doris ne peut pas sortir de l'eartre,
19:25parce qu'il y a une fusion ch�che.
19:28Pourquoi lesуса-t-il ?
19:29Les tours sont finis et maintenant ?
19:32J'ai compris ce que c'était de me dire dans cette chaîne.
19:35Parce qu'il y avait la connotion VLC serait intéressant de faire cela.
19:37N'oubliez pas, votre vie ne dure que 18.000 jours.
19:42Votre corps est d'une valeur inestimable pour notre communauté.
19:48Voilà par ici les sorties, c'est fini. Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.