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00:00 Comment réagira t-elle sur le premier acte du président de Maïfé?
00:03 Je suis très heureux et je veux féliciter d'abord le président de Maïfé.
00:11 Je ne suis pas venu à Paris pour faire des élections.
00:16 Je suis venu pour le Sénégal mais je veux que tu te souviennes de ce qui s'est passé.
00:21 Je veux que tu te souviennes de ce qui s'est passé.
00:28 Tu dois savoir où tu es allé pour que tu puisses te sentir bien.
00:32 C'est un pays très difficile.
00:34 On a beaucoup de gens qui sont en colère pour se protéger.
00:39 On a aussi beaucoup de gens qui sont en colère pour se protéger.
00:45 On a aussi beaucoup de gens qui sont en colère pour se protéger.
00:49 Je suis allé beaucoup en Afrique.
00:54 Après les élections, j'ai décidé de venir en Afrique.
00:58 Je veux te dire quelque chose.
01:02 Les Africains se sentent très heureux de te voir.
01:10 Ils se sentent très heureux de te voir.
01:15 Ils se sentent très heureux de te voir.
01:19 C'est pourquoi ils sont venus en Afrique.
01:25 Ils ont tous l'impression que ce qui les fait mal ne va pas.
01:33 Ils ont l'impression que ce qui les fait mal ne va pas.
01:39 Ils ont l'impression que ce qui les fait mal ne va pas.
01:48 Avant les élections, j'ai reçu une mission de Wademos
01:53 une société civile africaine qui est en Nigerie.
01:56 Ils ont mobilisé beaucoup de gens pour venir.
01:59 - J'ai fait une déclaration de 3 février. - De 3 février.
02:04 Ils ont changé leur billet d'avion et ils sont partis.
02:09 Ils m'ont dit qu'ils étaient en catastrophe pour aller au port.
02:16 Mais ils ont fait tout pour qu'on ne soit pas en catastrophe.
02:21 Si on avait une régression démocratique, on serait responsable.
02:27 Mais si on avait une victoire sur la démocratie, on serait tous les acteurs.
02:34 Donc, on doit s'en occuper pour que ça ne se reproduise pas.
02:40 Mais on a le pouvoir et on ne peut pas le lâcher.
02:45 C'est la vie de la société.
02:48 C'est la vie de la société.
02:53 Donc, on doit s'en occuper.
02:55 Un autre point est qu'on doit s'occuper de tous les jeunes.
03:01 On doit s'occuper des jeunes présents.
03:05 Je veux dire qu'on doit s'occuper de tous les jeunes présents.
03:12 - Tu as bien compris ce que je veux dire. - C'est ça.
03:16 On peut tous se battre mais on ne peut pas les vaincre.
03:22 Parce qu'on sait que son coeur est un projet de l'esprit.
03:28 Tout le monde a une volonté pour lui.
03:31 Il ne peut pas être seul.
03:36 Donc, on doit s'occuper de tout ce qui est à son coeur.
03:41 Donc, si on pense qu'il est présent partout
03:44 on doit s'occuper de tout ça.
03:47 C'est ce qui est important.
03:49 Après avoir vu ces éléments,
03:52 on doit se concentrer sur les leçons à prendre.
04:00 Avant de se poser des questions.
04:02 La première leçon est de connaitre bien l'Askan.
04:07 La maturité de la population sénégalaise.
04:10 On a des Askans qui sont très intelligents et qui ont beaucoup de talent.
04:17 La maturité est ce qui nous a permis de créer notre génération.
04:22 On a toujours été des démocrates.
04:25 On a créé et fait des alternances.
04:30 On a toujours fait des alternances.
04:32 On a expérimenté les alternances.
04:36 On a toujours été prêts à faire des choses.
04:40 On a toujours été prêts à faire des choses.
04:45 La maturité est ce qui nous a permis de créer notre génération.
04:53 On a toujours été prêts à faire des choses.
04:56 Mais on a toujours été prêts à faire des choses.
05:03 On a toujours été prêts à faire des choses.
05:09 On a toujours été prêts à faire des choses.
05:16 Mais on doit continuer à maintenir la pression et le monde informé.
05:22 On doit intégrer les deux et on doit être unis.
05:27 La deuxième leçon est la solidité institutionnelle.
05:32 Je n'ai pas parlé de conseil constitutionnel car il y a des choses à dire.
05:37 Quand j'ai entendu parler de solidité institutionnelle,
05:41 on m'a dit clairement que je ne pouvais pas aller au troisième mandat.
05:46 Donc, il y a des choses à dire.
05:50 Mais la solidité institutionnelle est l'armée sénégalaise.
05:57 On a un rapport avec le gouvernement.
06:03 Je sais ce qui se passe en Rwanda et au Niger.
06:08 Les films diffusés en Italie sont des histoires de guerre.
06:14 Mais si on veut se propager, on ne peut pas croire que le Niger est en guerre.
06:19 Le quatrième élément est de savoir les moyens de notre disposition.
06:27 C'est ce qui est entre le responsable et l'engagé.
06:30 On pense souvent à la place sur le plateau.
06:37 On pense à la sortie de ce plateau et c'est ce qui est entre la démocratie.
06:41 Si on veut faire de la télévision, on doit avoir des documents.
06:46 Si on ne veut pas faire de la journalisme, on doit faire du solo.
06:53 On a des outils et internet nous permet de faire du solo.
06:59 On ne peut pas laisser ça.
07:00 Donc, je veux qu'on se mette à la décision de la démocratie.
07:14 Si je dois me poser un acte, je vais me mettre à la décision de la démocratie.
07:26 Je suis là pour ça mais je vais me mettre à la décision de la démocratie.
07:35 Si je dois me mettre à la décision de la démocratie, je peux y aller plus tard.
07:41 Il y a beaucoup de choses à faire.
07:46 Si on fait tout ce qu'on peut, même si c'est à partir de la vingtaine
07:53 on peut y arriver avec beaucoup d'énergie et de temps.
07:57 Mais si on fait tout ça, on va se mettre à la décision de la démocratie.
08:01 On va se mettre à la décision de la démocratie.
08:07 Donc, il faut que l'on s'assure de la démocratie.
08:12 Parce que ce qui est perdu dans un mandat, ce sont les décours, les institutions, la confiance, la perception, la justice, l'institution.
08:25 Il y a beaucoup de choses qui sont perdues.
08:26 Si on le fait aujourd'hui, on peut y arriver.
08:30 5 ans, on peut y arriver mais je veux que les Sénégalais sachent leur réel.
08:37 Et qu'ils ne le fassent pas.
08:40 Les Américains font le réel parce qu'ils ne le savent pas.
08:46 Je sais que tu n'es pas un réel mais tu es un réel.
08:50 Tu es un drapeau.
08:51 Tu es là pour te faire croire.
08:55 On fait les conditions pour que tu saches ton réel.
09:00 Je ne l'ai jamais dit ici mais quand on est allé à l'imam
09:04 pour qu'il nous dise ce qu'il veut dire dans notre hymne national
09:10 et qu'il nous donne des mandingas pour qu'on le sache
09:15 c'est pour ça qu'on ne sait pas son réel.
09:19 Il faut savoir son réel et qu'il est un drapeau.
09:22 Il est un vrai drapeau.
09:26 On le voit dans les gens qui se battent pour lui.
09:28 Si on empulse la dynamique, on le voit à la couleur de la tête.
09:33 Je veux dire que les gens se battent pour lui.
09:36 Saga, Tod, Yac, Sally et...
09:42 Déf Ndounon.
09:45 On ne peut pas les laisser se battre pour eux.
09:48 Personne ne sait qui Saga est ou qui est en train de le faire.
09:54 On ne peut pas les laisser se battre pour eux.
10:00 On ne peut pas les laisser se battre pour eux.
10:05 On ne peut pas les laisser se battre pour eux.
10:08 Si on a des amis, on ne peut pas les laisser se battre pour eux.
10:15 On a des amis qui se battent pour eux.
10:18 Ils se battent pour eux et ils sont très forts.
10:23 Ils sont très forts.
10:27 S'ils circulent sur la punctualité, on les empêche de se battre pour eux.
10:34 C'est pourquoi ils les empulsent.
10:37 Si on a un ami qui est en train de se battre pour eux,
10:42 les ministres vont pointer à 6h30 et commencer à 7h.
10:48 C'est un exemple.
10:52 Mais ce que je veux dire pour les gens
10:56 et pour moi, c'est que
11:00 ce que les gens veulent c'est qu'ils puissent faire leur travail
11:05 et qu'ils puissent passer du temps avec eux.
11:10 - Mais les gens ne peuvent pas faire leur travail. - Je vois.
11:13 Vous savez pourquoi?
11:15 La productivité est la tension.
11:20 Ils ne peuvent pas faire leur travail.
11:26 Mais ils ne peuvent pas se battre pour eux.
11:29 Ce que je veux dire c'est que si tu regardes ton WhatsApp, tu vas te battre.
11:35 Si tu as un ami qui peut te battre, tu vas te battre pour lui.
11:43 Si tu fais ça, tu vas te battre pour lui.
11:49 Mais tu dois savoir ce que tu veux faire.
11:53 Si on a confiance en soi, on va se battre pour lui.
12:01 Ce n'est pas la peine de se battre pour les gens.
12:06 Comme le fait le cas de Thaliou.
12:11 Il est en train de se battre pour lui.
12:16 On a un lien avec notre pays.
12:23 Mais les américains ne peuvent pas se battre pour eux.
12:29 Si on ne fait pas ça, on va se battre pour eux.
12:34 C'est ce que je pense que les gens devraient propulser.
12:40 - Les américains avant la France? - C'est ça.
12:43 On doit arrêter de se battre pour eux.
12:48 C'est la posture qui les fait.
12:52 Il y a des postures condescendantes qui nous font venir ici.
12:56 On a besoin de leur intérêt pour faire ça.
13:00 Ce qu'on a fait ici est leur intérêt.
13:03 Mais si on ne s'est pas battu pour eux, on aurait dû faire ça pour les autres pays.
13:12 Le monde a changé.
13:16 Et le monde a tellement évolué que personne ne peut le laisser.
13:20 C'est la cible de l'autonomie.
13:23 On a une dépendance contre-dépendance, interdépendance et indépendance.
13:28 C'est la dépendance qui nous fait venir ici et nous aider à faire ça.
13:35 On a tous des problèmes mais on a toujours le doute de se déconstruire.
13:41 On a toujours le doute de se déconstruire.
13:45 Si on se déconstruise, on va se défendre.
13:50 Si on se défend contre les autres, on ne va plus se dépendre.
13:59 Mais on va avoir une interdépendance.
14:02 C'est la dépendance consentie.
14:05 Donc, on a une souveraineté absolue.
14:08 Mais on a aussi des partenariats.
14:13 On est toujours en dépendance contre-dépendance.
14:18 On est là pour nous-mêmes.
14:21 La dépendance n'a pas de rapport de force.
14:25 On doit être en force pour nous-mêmes.
14:29 On doit être en force pour nous-mêmes en France.
14:34 On doit imposer notre interdépendance.
14:37 On ne peut pas être libéral pour le coup de la famine.
14:43 On peut être libéral pour le coup de la faim, le bauxite, le magnésium, le gaz, le pétrole...
14:49 On doit être en force pour nous-mêmes.
14:55 C'est l'interdépendance.
14:56 Mais on ne peut pas être contre-dépendant pour être interdépendant.
15:01 Déroutif Cheikh, c'est une question de manière globale.
15:06 Bonne appréciation pour les premiers actes du président Diomagne.