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00:00 des profils y composés le gouvernement.
00:02 Oui, presque dans l'ensemble de ses 25 ministres.
00:05 Mais même au jour où ils commencent le débat, la plupart des questions qu'ils nous posent sont
00:11 "d'où viennent ces personnes?"
00:12 Il y a des gens qui nous demandent ce qu'ils pensent de ce qu'ils ont fait au gouvernement.
00:20 Il y a des gens qui nous disent que nous pouvons avoir des doutes sur ces personnes
00:27 et que ce qu'ils ont fait, c'est un réussiteur.
00:30 Ce qu'il a déjà réussi au niveau de sa zone, c'est de le suivre.
00:34 C'est ça, c'est le but.
00:36 C'est un vrai débat, donc il faut s'y annoncer.
00:39 Dans une république, le problème est de prouver de quoi il est capable.
00:45 Est-ce qu'on va le mettre dans un milieu où on peut le faire de manière générale?
00:49 On ne peut pas le comparer à d'autres.
00:51 Il y a des gens qui sont composés et qui sont des spécialistes dans leur domaine.
00:55 Il y a un ministre de la justice, un procureur qui sait ce qu'il doit faire.
01:01 Il y a aussi un autre caractère.
01:04 On a aussi des généraux qui sont dans le gouvernement.
01:10 Il y a des forces de l'armée et des ministres de l'intérieur.
01:13 Si on se pose des questions sur le ministre de l'intérieur,
01:17 quelqu'un qui pilotait des gendarmes, aujourd'hui il doit piloter des policiers,
01:22 est-ce qu'il y a des choses à changer? Je ne pense pas que non.
01:24 Il faut regrouper les formations pour pouvoir mettre en place une sécurité intérieure.
01:31 Il faut aussi mettre en place une culture au niveau du ministre de l'intérieur.
01:37 - Je pense que... - Il y a encore de la culture.
01:40 Non, je veux dire que le ministre de l'intérieur doit avoir un casque pour le faire.
01:48 Mais il faut y avoir une adaptation pour pouvoir mettre en place des gendarmes.
01:54 Je pense que nous devons avoir un peu d'espoir
02:01 car si on s'en occupe, on peut en faire un.
02:05 Si on a le moyen, on le fera.
02:07 Je me demande ce qui est le problème au Sénégal.
02:10 On n'a pas besoin de poser des questions sur les personnes.
02:15 Le gouvernement est là pour les personnes.
02:19 Mais pas pour les beautés et les dignités.
02:23 Je ne suis pas le plus grand frère de Moussa Boukarcham.
02:27 On n'a pas de problème pour dire que les gens sont là.
02:30 Mais la composition de manière générale, au-delà des personnes qui sont là
02:36 qu'est-ce qui peut être une alternative à ce que l'on avait envie de voir?
02:43 Est-ce que cette démarche va être la plus efficace?
02:49 C'est la question. Il y a un président qui est là.
02:54 On peut dire que la politique est là pour l'aider ou non.
03:01 C'est ce que je veux dire.
03:03 On peut dire que le gouvernement ne l'aide pas.
03:08 Mais il ne l'aide pas ou non.
03:14 Il faut que les gens retennent ça.
03:16 Il faut comprendre que cette république est réunie par des personnes.
03:25 On doit être là pour les personnes et les forces pour les aider.
03:29 C'est aussi simple que ça.
03:31 On peut dire que la composition est là pour les institutions.
03:35 Mais dans l'ensemble, je crois qu'il n'y a pas de professionnels qui sont là pour nous aider.
03:43 Mais il y a beaucoup de gens qui sont là pour nous aider.
03:48 On a mis en avant la politique dans l'administration.
03:51 On doit commencer à trouver des profils politiques.
03:57 Les profils politiques doivent s'intégrer à la signature.
04:04 On doit essayer de faire quelque chose qui ne dérange pas la république.
04:12 Tout ça a fait que les gens ont commencé à avoir des problèmes.
04:15 On doit surveiller leur éthique et leur démontologie pour pouvoir les aider.
04:22 C'est pour ça que je suis là.
04:25 Mais le plus important, c'est qu'on doit avoir des postes de ministre car on a une base politique.
04:32 Mais vous avez tous des postes de ministre.
04:37 La différence est que quand on gagne le bureau de vote,
04:41 même le président n'a pas gagné le bureau de vote.
04:47 On a fait une composition car on avait des problèmes en 2012.
04:53 On a eu des problèmes en 2016.
04:57 - En 2017, la hausse de la hausse de la hausse de l'enrée. - Oui.
05:00 On a besoin de notre propre politique.
05:04 On a besoin de notre propre politique.
05:08 On a besoin de techniciens pour voir la réalité de la situation.
05:16 On a besoin de politiques qui s'entraident.
05:21 On a besoin de politiques qui s'entraident.
05:26 On a besoin de politiques qui s'entraident.
05:35 On a besoin de politiques qui s'entraident.
05:41 On a besoin de politiques qui s'entraident.
05:44 Donc, la composition de 25 et 25I est en train de se faire en fonction de la situation.
05:50 On a besoin de politiques qui s'entraident.
05:53 On a besoin de ministères qui s'entraident mais de gros ministères.