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00:00 Le base politique est de faire des affaires et de faire des hommes.
00:04 On veut sortir de toi.
00:06 Ce qui est important c'est que tu aies le gourmand à la première ministre.
00:14 Et que tu le donnes à ceux qui le veulent.
00:19 Tu le mérites et tu l'as maîtrisé.
00:22 On attend qu'ils le donnent parce qu'on ne l'a pas fait.
00:27 C'est ce que vous avez dit sur le cul de fonction.
00:30 - Mais les démissions sont déjà faites. - Mais le président de la république a dit que tu as deux mois.
00:40 - C'est clair. - On va laisser le clair pour le faire.
00:44 Mais on ne doit pas le donner à la première ministre.
00:49 On a vu que Birame Sidiou est venu et il a fait un mandat pour que le député ne le laisse pas.
00:58 - C'est ce qu'on a fait depuis longtemps. - Je ne sais pas.
01:02 - Cheikh Alioubey est le député maire. - Je ne vais pas te parler de ça.
01:06 - C'est votre parti. - Vous pouvez le dire mais pour vous en faire plaisir.
01:10 Je ne vais pas te parler de ça.
01:15 - C'est une blague? - Non, je vais juste vous dire.
01:20 Le président Ousmane Diop a dit qu'il ne croyait pas en Kimil Defenson.
01:27 On ne peut pas le respecter dans ce cadre.
01:33 Il a dit que le cadre de Birame Sidiou est un livre.
01:39 Il a dit qu'il respecterait ses propres livres.
01:46 Mais ce n'est pas le cas dans le programme passif, ni dans le réglement intérieur ni dans le critère de parti.
01:52 On a fait un réunion pour le faire.
01:58 - Mais comme vous... - Attendez, je vais vous expliquer.
02:02 Pour présenter la république, on a demandé à la première ministre de dire à tous les membres de la commission.
02:08 On a demandé à cela pendant un mois mais le président Ousmane Diop a dit qu'il ne croyait pas.
02:12 Il a dit qu'il ne croyait pas en ce qui s'est passé à la réunion.
02:17 Mais on a dit qu'il ne croyait pas et qu'on le saura.
02:23 - Donc, vous avez compris. - D'accord.
02:25 On peut donc confirmer que Birame Sidiou a laissé le poste de député.
02:31 Oui, il a refusé de faire son démission.
02:35 - D'accord, donc il n'a pas refusé de faire son démission. - Oui.
02:41 Mais on a aussi dit que le côté politique du gouvernement,
02:44 le président Ousmane Sonko doit aller à l'Assemblée nationale pour faire sa déclaration de politique générale.
02:52 En tout cas, il a le droit de faire sa déclaration de politique générale.
02:56 Mais ce qui est le cas dans le programme passif, c'est la majorité.
03:02 C'est la majorité qui a voté pour le démissionnement du ministre de gouvernement.
03:07 Le PDS a dit que c'était sans condition et qu'il n'y avait pas de texte pour le faire.
03:13 Mais le PDS a fini par le faire à l'Assemblée nationale.
03:18 Mais en principe, c'est l'opposition.
03:22 Donc, comment avez-vous réglé ça?
03:26 La déclaration de politique générale de Ousmane Sonko à l'Assemblée nationale.
03:30 Je suis un député sénégalais.
03:34 Et les autres sont des républicains.
03:36 Ils ne sont pas des foussiers du Sénégal.
03:40 Donc, on va écouter la déclaration de politique générale de l'Assemblée nationale.
03:46 On va prendre leurs décisions et on va faire ce qu'ils veulent.
03:52 Ce que je pense, c'est que le chaos dans la rue n'est pas de notre faute.
04:00 On a des gens qui ont fait la même chose que les sénégalais.
04:06 Parce que le président Bessiri Diomaye, les bourg-kinabés et les guinéens ont voté pour le Sénégal.
04:11 Pour respecter les choix des populations sénégalaises, il faut que les hommes soient ensemble.
04:19 Je pense que les hommes doivent être ensemble.
04:24 Parce que si on ne fait pas ça, on ne sera pas ensemble.
04:26 Si on ne se battait pas, on n'aurait pas pu être ensemble pendant 3 ou 4 mois.
04:33 Donc, on va voir comment les sénégalais vont s'apprécier.
04:38 Mais je pense que les républicains sont des sénégalais.
04:41 Parce que les députés sont des sénégalais.
04:45 Donc, on va faire tout pour qu'on soit ensemble.
04:51 Donc, on va faire tout pour que ça ne se produise pas.
04:54 - Mais vous avez fait un débat, non? - Oui.
04:57 Vous avez fait une déclaration de politique générale.
05:00 Vous avez évoqué la motion de censure.
05:04 - Vous avez fait un débat. - Non, c'est le gouvernement qui l'a fait.
05:08 Comme vous le savez, c'est le gouvernement qui l'a fait.
05:12 Je vous le dis, le loi de l'Assemblée nationale permet de faire ça.
05:17 On va le faire, on va suivre la loi.
05:20 Mais on ne va pas avoir de problème.
05:21 Ce que les sénégalais veulent, c'est qu'on les apprécie.
05:26 C'est ce qu'ils veulent.
05:28 Ce qu'ils veulent, c'est que les députés de l'Assemblée nationale
05:33 votent pour le 24 mars.
05:37 Pour que le pari d'abattre le 24 mars soit de 54%.
05:41 Ce que les députés de la population veulent, c'est qu'on les apprécie.
05:44 Ce que les sénégalais veulent, c'est que le président de la République s'en fasse.
05:52 Il faut que les cinq ans de son temps soient bien passés.
05:55 Le président de la République, le Premier ministre, il doit être encore plus fort.
06:03 Il doit faire face à la politique et les députés de la population.
06:07 Il faut que les députés de la population aient une réalité politique
06:13 pour pouvoir gouverner le pays.
06:16 C'est ce que l'Assemblée nationale veut.
06:19 Il faut que les députés de la population aient une réalité politique.
06:24 - C'est ce que je voulais dire. - C'est la seule chose que je peux te dire.
06:28 C'est ce que je voulais dire.
06:30 Je ne veux pas en parler plus.
06:32 - Mais il y a des soldats. - Tu n'as pas le droit de le dire.
06:36 - Tu ne peux pas le dire. - C'est ce que je veux dire.
06:38 Je crois que les députés de l'Assemblée nationale
06:41 et les sénégalais, c'est la seule chose qui peut faire partie de la population.
06:47 Si tu veux, tu peux laisser les sénégalais en Assemblée nationale.
06:52 Tu peux te mettre en place.
06:54 Mais tu dois être d'accord.
06:57 On a parlé de tout pour que les gens aient la chance de gagner.
07:04 On a parlé de tout pour que les gens aient la chance de gagner.