• il y a 8 mois
Fondé en 2019, le collectif Némésis multiplie les actions médiatiques, quasiment exclusivement pour s’attaquer l’immigration avec des banderoles et des messages racistes et xénophobes.

Le 7 avril dernier, une militante a été placée en garde à vue pour une pancarte faisant un lien entre les migrants et les viols commis en France

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Transcription
00:00 Nemesis, le collectif qui veut faire croire qu'on peut être d'extrême droite et féministe.
00:04 Le dimanche 7 avril dernier, deux militantes du collectif Nemesis s'incrustaient au carnaval de Besançon.
00:09 Elles brandissaient des pancartes racistes liant l'immigration aux viols commis en France.
00:13 L'une d'elles finira en garde à vue et une enquête pour provocation à la haine a été ouverte.
00:17 En soutien, plusieurs élus du Rassemblement National ont sorti les mêmes pancartes en pleine séance du Conseil Régional.
00:22 Depuis sa création en 2019, Nemesis multiplie les actions médiatiques comme celles de Besançon.
00:27 Parfois protégées par des militants d'extrême droite comme lors de la manif "Nous Toutes" en 2021.
00:32 Fondé par Alice Cordier, le collectif prétend regrouper 150 membres un peu partout en France.
00:37 On y retrouve notamment Mila, qui avait subi un harcèlement après une sortie islamophobe,
00:41 devenue aujourd'hui la coqueluche de toute l'extrême droite française.
00:44 Et certaines ont même des liens avec le Rassemblement National,
00:46 comme Nina Azamberti, un temps assistante parlementaire du député Romain Bobry.
00:51 Le parti d'extrême droite et Nemesis partagent la même obsession.
00:54 L'immigration serait responsable de tous les problèmes de la France.
00:56 [Musique]

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