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00:00 On lui a dit de le tuer et maintenant il est en train de se faire pécher.
00:05 Ensuite, on lui a dit de le tuer et de le laisser mourir.
00:16 Il a donc décidé de le laisser mourir.
00:20 On a toujours dit à Amadou qu'ils continuaient à se parler et à se voir.
00:27 Ils ont donc décidé de faire des échanges entre les agents et les syndicats.
00:35 Il est aussi le directeur général.
00:37 Ils l'ont donc toujours à côté.
00:39 Même dans les événements de 2020, Amadou a été sorti du gouvernement.
00:43 Il n'a pas été le seul à sortir.
00:45 On a tous d'ailleurs dit à Amadou de le tuer.
00:48 Amadou Dal est le seul à être en contact avec l'union.
00:55 Le président parait-il que c'est lui qui a fait le choix.
01:02 Il a fait le choix avec tous les syndicats.
01:06 Il a donc décidé de le tuer.
01:12 Il a donc décidé de le tuer comme il a fait pour moi.
01:21 C'est ce qui m'a convaincu.
01:26 Mais ce n'est pas vrai.
01:28 Même si c'était vrai, Amadou n'a pas pu manipuler le conseil congénal.
01:35 En 2019, le président de la commission a été le premier ministre.
01:45 Il a donc décidé de manipuler le conseil congénal.
01:51 Avant de déposer ses candidats, il a dit qu'il n'allait pas passer.
01:56 Et quand il est arrivé, il n'a pas passé.
01:58 Donc, le premier ministre est le premier candidat.
02:04 Il a donc décidé de manipuler le conseil congénal.
02:07 Pourquoi a-t-il décidé de le faire en 2024?
02:12 Pourquoi a-t-il décidé de le faire en 2024?
02:17 C'est faux.
02:18 C'est pourquoi le président a été le premier ministre.
02:22 Il a décidé de manipuler les candidats.
02:27 Lors de la semaine dernière, les députés de Béarnaud ont décidé de soutenir le PS.
02:35 Le président a dit qu'il avait une crise parce qu'il avait mal au conseil congénal.
02:40 Le président a-t-il fait quelque chose de mal?
02:45 Nous devons nous protéger.
02:48 Mais il y a des gens qui sont dans la partie de l'engour.
02:54 Ils ont des doigts.
02:56 C'est ce qu'on voit dans la parédétat.
02:59 Je sais que les gens sont très inquiets.
03:04 Ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour embarquer le président dans la partie de l'engour.
03:12 Ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour l'engour.
03:15 Je sais tous les gens qui ont fait ça.
03:20 Je les connais tous.
03:22 Je les connais dans le parti, dans le gouvernement et dans le régime.
03:27 Pourquoi avons-nous sorti de l'engour?
03:32 Il y a eu des prématures et des problèmes.
03:37 C'était pour faire passer la forfaiture.
03:40 Si le premier ministre et les autres étaient là, ils n'auront pas fait ce qu'ils ont fait.
03:49 Il a fallu les écarter du gouvernement pour faire ça.
03:53 Il a fallu les écarter du gouvernement pour faire ça.
04:01 C'est ce qu'on a fait.
04:04 Le président était là pour le libérer.
04:06 Pourquoi directement?
04:09 Avant, on a gardé le gouvernement pendant 2-3 mois.
04:16 Après avoir été libéré, on a continué à maintenir l'amendement.
04:26 Mais après le président l'a confirmé.
04:32 C'était fini.
04:34 Il a fallu que l'amendement soit fait pour sortir Amadou du gouvernement.
04:44 Il a fallu que l'amendement soit fait pour sortir Amadou du gouvernement.
04:50 Mais Amadou ne voulait pas le maintien du processus électoral.
04:57 Il y a que une fine minorité de ses camarades de la paire qui le revoient.
05:09 C'était pour faire passer Amadou.
05:13 Mais ils ont été touchés.
05:15 Ils ont été touchés car ils ont été touchés.
05:20 Mais c'est juste un affaire.
05:22 Il ne faisait pas le poids.
05:26 On a eu des victimes dans la partie et on a eu des victimes.
05:32 C'est quelque chose qui est inacceptable.
05:37 On doit le montrer.
05:40 Le processus de la candidature a été transparent.
05:48 Claire et limpide.
05:51 Le président Maksal a dit qu'il allait le laisser.
05:54 On ne l'a pas forcé à laisser.
05:59 On l'a dit.
06:01 Si je le dis, il va briguer un autre mandat.
06:05 Je crois qu'il a le droit.
06:10 Mais il doit renoncer.
06:14 On va le voir.
06:16 On a aussi renoncé à un autre candidat.
06:20 Mais les profils se sont signalés.
06:25 On a fait un appel à tous.
06:30 Mère Aminata Mbengue Ndiaye.
06:33 Moumoud Diagne Fada avec le Bernand.
06:37 On a donné à tous le Bernand.
06:40 La coalition présidentielle.
06:42 On l'a fait de façon transparente.
06:44 On a écouté les candidats.
06:48 On a fait le choix.
06:52 Le choix n'a pas été inanimé.
06:55 Même Abou Laida Auradiala.
06:58 Même Diouf Sarr.
07:00 Même Abdoula Diouf.
07:03 On a tous voté pour lui.
07:06 Mais il n'y a pas de choix.
07:08 Je me souviens qu'il y a eu un dernier conseil des ministres.
07:13 Avant ceci.
07:15 Le président a dit
07:21 "Batois, utilise tes leviers"
07:27 "Ceci est ce que le président veut"
07:31 C'est ce que le président a dit.
07:35 Le président a senti qu'on allait le détruire.
07:41 On ne s'est pas éloigné.
07:45 Même moi, j'ai été approché.
07:48 Depuis 3 ou 4 mois avant.
07:51 Depuis le conseil des ministres de Kédougou.
07:54 - C'est déjà trop tôt. - Oui.
07:57 On m'a parlé sur le téléphone.
08:00 Pour me soutenir.
08:03 Pour me défendre.
08:06 Mais je n'ai pas refusé.
08:10 Je n'ai jamais refusé de faire ce que je veux.
08:16 Je ne vais pas me battre contre ce que je veux.
08:20 Le président de la République, Makisal,
08:24 ancien président du Sénégal,
08:27 a fait une révélation aujourd'hui.
08:30 Il a demandé à son collègue de le soutenir.
08:34 Il a dit que le président avait une volonté
08:39 de soutenir le candidat.
08:46 Il a dit que c'était son ami.
08:51 On ne se fréquente pas tout le temps.
08:55 Il a beaucoup de sympathie pour moi.
08:59 Je le lui rends.
09:02 Je ne peux pas dire ce qu'il a dit.
09:06 Mais je le connais.
09:09 Il a dit que le président Makisal
09:12 aurait pu le soutenir.
09:16 Il aurait pu le soutenir.
09:20 Il aurait pu le soutenir.
09:24 Mais il y a des gens qui l'ont défendu.
09:31 Il a voulu les soutenir.
09:35 C'est ce qu'il a vu.
09:38 Il était derrière tout ça.
09:42 Il n'a rien dit.
09:45 Il n'a pas opposé.
09:48 Les choses ont changé.
09:52 Il a changé beaucoup.
09:55 Mais il a fait tout ce qu'il pouvait.
10:02 Tout le monde le connait.
10:05 Il a posé des actes qu'on aime.
10:09 Il a posé des actes qu'on aime.
10:15 Mais on ne le reconnait pas.
10:18 Il a posé des actes qu'on aime.
10:21 Mais on ne l'a pas dépassé.
10:23 Il n'a rien dit.
10:27 Le président n'a pas eu de formation.
10:31 Il est bien formé.
10:35 Il a bien étudié.
10:37 On peut le dire.
10:39 Il a voyagé en Amourba.
10:41 Il a intrigué Macky Salle.
10:43 Il a dit qu'il allait en France.
10:47 Il a signé un contrat.
10:49 Tout ça, c'est des balivères.
10:51 Il n'a rien dit.
10:54 Il a dit qu'il allait en France et que Macky Salle ne l'accepterait pas.
11:02 C'est parce qu'ils ont attendu le moment pour le faire.
11:07 Mais c'était en dehors du gouvernement.
11:11 Je vais vous dire quelque chose.
11:14 Je crois qu'il a fait tout ce qu'on lui a dit.
11:20 Mais si on le considère comme un candidat, il ne va pas voir les voies et moyens pour atteindre son objectif.
11:27 Mais il a tout le droit.
11:29 Si Macky Salle veut avoir un deuxième mandat en 2019, on ne l'aura pas.
11:36 Mais on l'aura.
11:39 Et il a atteint son objectif.
11:41 Il n'a pas de bataillons.
11:45 Mais il a des pertes.
11:48 Il a gagné.
11:50 Mais il n'a pas de raison de combattre.
11:53 Il a dit qu'il allait les aider.
11:56 Et puis nos pires ennemis.
11:58 Le passéf est notre pire ennemi.
12:02 Ils ont fait tout ça pour vous.
12:07 Vous devez vous en tenir compte.
12:11 Vous avez même aidé le président Macky Salle.
12:16 Je suis en opposition face à eux.
12:21 Je ne suis pas en opposition radicale.
12:25 Je suis en opposition radicale face à eux.
12:29 Vous pouvez prendre mon nom ou me mettre en prison.
12:35 Mais je vous en supplie.
12:38 Je vous en supplie.
12:43 Je vous attends.
12:46 Vous savez ce que je veux dire.
12:49 Parce que je l'ai vu, il est toujours arrogant.
12:53 Mais il est toujours arrogant.
12:58 Il est toujours arrogant.
13:01 Vous pouvez être dans l'opposition.
13:04 Quelle est votre problème?
13:09 Il a réduit les comptes de notre administration.
13:13 Mais il ne parle pas de façon effrontée.
13:15 - Qui est Ousmane Sonko? - Il est le chef du gouvernement.
13:19 - Mais il ne parle pas de la loi. - Il n'a pas de raison de vous en tenir compte.
13:23 Il est toujours en opposition.
13:26 - Il est le chef du gouvernement. - Je vais lui dire ce qui se passe.
13:33 Vous voulez nous menacer ou nous faire tomber?
13:43 On verra.
13:46 - Amadou, tu vas parler. - Il ne parle pas de la loi.
13:54 - Est-ce que... - Qu'est-ce que tu veux?
13:58 Il n'y a pas de problème de réduire les comptes.
14:03 - Mais vous devez faire quelque chose. - Pourquoi est-ce que vous êtes là?
14:08 - Vous devez réduire les comptes. - Vous allez les faire tomber.
14:14 - Vous ne pouvez pas laisser ça. - Vous avez dit que vous...
14:19 - Vous ne pouvez pas crier aux voleurs. - Non.
14:22 Vous voulez nous faire tomber.
14:25 Depuis 2014, nous sommes en opposition avec Ousmane Sonka.
14:33 Nous devons prendre le coup.
14:36 Que pouvons-nous faire pour les vols?
14:43 Quand je suis sortie de la chambre, j'ai dit que je voulais prendre le coup pour traquer les vols.
14:52 Parce que c'est le gouvernement qui a fait le coup.
14:55 Tu es là et tu attends à ce que les vols te traquent.
15:04 Si on traque, je ne le ferai pas.
15:12 Je ne suis pas ministre ni DG.
15:16 Je suis le président de l'Assemblée nationale et le ministre de tutelle de Cheikh Oumarane.
15:28 Mais on est tous les mêmes.
15:36 Je dois comprendre ton état.
15:40 Donc tu es en colère contre Ousmane Sonka parce que tu veux protéger les gens de ta famille?
15:47 Si c'est le cas, je suis d'accord.
15:52 - Mais tu dois être plus clair. - Non, je veux dire...
15:56 Si c'est le cas, je suis d'accord.
16:01 Si tu veux faire des investissements, tu dois faire ça.
16:11 Je suis d'accord.
16:13 Si tu veux faire ça, tu dois continuer à exercer la pression.
16:19 Si tu veux faire autre chose, tu dois faire ça.
16:27 - Mais on doit faire autre chose. - Qu'est-ce qu'on peut faire?
16:31 On a fait 30 millions par jour pour l'hôtel Azalaye.
16:42 Ousmane Sonka a fait 2 millions par jour et les gens qui y sont sont en colère.
16:51 Mais c'est l'état.
16:55 - Avec tout ce qu'il y a? - C'est l'état.
16:59 Tout le monde est dans l'état.
17:02 Le président Macky Salle a dit qu'il allait à un autre hôtel.
17:11 - Les gens sont là. - Mais on les a allés.
17:16 On ne peut pas les laisser ici. Il y a des dossiers sur la table.
17:26 On doit les chercher et nous donner les infos.
17:32 Ils vont nous fouiller mais on va les surveiller.
17:37 - Vous avez des amis dans le village. - Oui.
17:39 On va dénoncer l'acte contre les populations.
17:46 On ne peut pas les laisser ici.
17:50 On ne peut pas les laisser ici.
17:54 - Ils auront le temps de le faire. - Mais on doit savoir où les chercher.
18:00 - On va les chercher dans le village. - C'est ce qu'on a dit.
18:05 - On va les chercher dans le village. - Mais le président a fait un discours.
18:11 - Mais qu'est-ce qu'on va faire? - Il a dit des choses.
18:14 Le premier conseiller de ministre n'a pas pris de contact.
18:18 - On va voir ce qu'il va faire. - Le 18 avril,
18:24 le président Macky Salle, le 2 avril,
18:29 il a fait une passation comme le basurou.
18:32 Le 3 avril, il a fait un discours.
18:35 Le 4 avril, il a pris sa place.
18:40 Le 20 avril 2012, il a dit qu'il allait nous tuer.
18:44 Le 20 avril, il a dit qu'il allait nous tuer.
18:50 - Que se passe t-il? - Est-ce que le dossier est là?
18:56 Est-ce que ce qu'on a vu au Sénégal, le président ou le ministre des finances
19:04 sera bien rémunéré?
19:06 Le président a dit qu'il y a quelque chose qui est là et que le contexte est bien.
19:14 On a bien réfléchi sur le contexte mais en 2012,
19:19 on a payé le salaire.
19:21 Macky Salle a payé le salaire mais on n'a pas reçu le revenu.
19:24 Les salaires sont de 7000 milliards.
19:28 On n'a pas reçu de dépenses.
19:30 On ne peut pas payer les salaires.
19:33 C'est trop tôt pour vous.
19:36 Ils sont venus avec un nouveau projet.
19:40 On devrait parler de 2 ou 3 mois mais on ne peut pas parler de 3 ans.
19:46 Ils ne vont pas payer.
19:49 Ils sont venus pour se faire payer.
19:54 Ils ont eu une bonne gouvernance.
19:56 Ils ont fait un courant pour le Sénégal.
20:00 Ils ont payé l'essence et l'eau.
20:05 Qu'est-ce qu'ils veulent?
20:07 Ils veulent perdre du temps et se faire payer.
20:13 Il y a un problème avec les salariés.
20:19 Mais je ne suis pas salarié.
20:21 C'est ton problème.
20:23 Tu dois être prêt.
20:25 Je ne suis pas prêt.
20:27 Avant les élections, tu étais un salarié.
20:30 Maintenant, tu es un salarié.
20:34 Tu es un salarié.
20:36 Tu sais Aida, tu es le chef du gouvernement.