Scandale après l’écrasante victoire d’une athlète transgenre lors d’une course féminine

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 Il y a les deux Woke de l'équipe, Valéry Benahim qui sert à ne pas faire de vagues.

00:06 Et Gilles Verdez, regardez-moi ça, il a une coupe on dirait un requin, sans déconner.

00:09 [Rires]

00:11 Sans déconner, on dirait qu'il a un aileron ici.

00:13 Non mais c'est les dents de la mer.

00:15 Moi Gilles Verdez, Benahim, c'est bon, je sais ce que vous allez dire, ça va être insupportable.

00:20 Mais autant que ça soit insupportable, écoutons Gilles Verdez, au moins comme ça, vous savez quoi,

00:26 il va être dans la lignée de ses amis de la LFI.

00:28 - C'est pas mes amis. - Alors si c'est tes amis, tu veux que je te dise ?

00:30 Bah tiens, il y a même un gars qui t'a fait un t-shirt, voilà.

00:32 - Mais non ! - Ce ne sont pas mes amis.

00:34 [Rires]

00:36 [Applaudissements]

00:40 C'est Charles, Charles Amillet qui t'a fait un t-shirt, tiens, ce ne sont pas mes amis.

00:44 Voilà, comme ça tu pourras le mettre et tu pourras remercier Charles, t'as un amour Charles.

00:48 Voilà, je vais te dire, voilà, je te dis bravo et on l'embrasse fort, voilà, c'est un fidèle de TPMP.

00:54 Et voilà, bah tu sais quoi, c'est pour toi, c'est cadeau, voilà.

00:57 D'accord, donc tu gardes ça, mais on va voir si tu...

01:01 Ecoute-moi bien, je ne vois pas quel argument que tu vas avoir, parce que tous tes arguments seront caduques et nuls.

01:06 - Mais pour le moment, je n'ai rien dit du tout, encore. - Oui, mais tu sais quoi ?

01:08 - C'est trop, hein. - L'avantage que t'as maintenant, c'est que tu ne parles même pas, tes cheveux parlent pour toi.

01:13 [Rires]

01:14 On est en électricité statique, frère. C'est quoi cette pekou que t'as fait ?

01:17 Pourquoi tu fais une banane ? La banane, c'est autour de la taille, c'est pas sur la tête.

01:20 - Non, mais je fais des petites variations capillaires pour essayer de vous surprendre.

01:22 - Tu ferais mieux de faire des variations idéologiques, ça nous aiderait mieux.

01:26 Tu réalises que, idéologiquement, t'es toujours dans le marasme de l'échec.

01:30 [Rires]

01:32 Je t'écoute.

01:33 - C'est purement et simplement de la transphobie.

01:35 - Oh ! - En fait, je vais vous expliquer...

01:36 - Tu sais quoi ? Je suis à deux doigts de te sortir.

01:38 - Je vais vous expliquer pourquoi. - Et c'est inadmissible.

01:40 - Donc l'athlète a gagné sur le 200 mètres, d'accord, avec 5 secondes d'avance sur les autres.

01:45 - 5 secondes, c'est énorme. - Oui, c'est énorme.

01:47 - Il n'a jamais couru de sa vie, lui, à part après le bus.

01:49 Ensuite, il y a eu plein d'autres courses où cet athlète a été battu, d'accord.

01:53 Elle n'a pas fait... Cet athlète n'a plus fait de résultats extraordinaires.

01:57 Et quand vous balayez l'ensemble des analyses, Cyril, vous pouvez balayer toutes les analyses,

02:01 il n'a jamais été prouvé que les athlètes... - Faux.

02:04 - Jamais été prouvé scientifiquement. - Bien sûr que si.

02:06 - Arrête de dire des bêtises. - Jamais.

02:07 - C'est bon, Jean-Mi. - Il n'y a pas besoin de prouver.

02:09 - Mais je n'ai même pas fini ma phrase. - C'est insupportable.

02:11 - Ce n'est pas un avantage, Cyril. - Oui, c'est ça, ce n'est pas un avantage.

02:13 - Mais non. - Arrête de dire des bêtises.

02:16 - Mais comment tu peux dire ça ? - Mais parce que c'est la science qui parle.

02:18 - Mais comment il peut dire ça ? Mais regardez la science, regarde-moi ça, on dirait Tito.

02:21 - Mais même si tu n'écoutais pas la science, rien que le bon sens devrait t'amener à penser...

02:26 - Mais bien sûr. - ...qu'évidemment, quand tu t'étonnes...

02:27 - 5. - ...avec la musculature d'un homme...

02:29 - Quel gugus. - ...tu as un avantage certain.

02:30 - Quel gugus. - Même quand tu te fais opérer.

02:31 - Mais bien sûr. - Contrairement à ce que tu dis, il y en a eu des études...

02:34 - Zéro ! - ...qui prouvent que même après plusieurs années de consommation...

02:36 - Gilles, calme-toi, tu fatigues tout le monde. - ...les hommes, les transgenres vont en athlétisme 13 % plus vite que les femmes.

02:45 - Bien sûr. - Donc 13 %, c'est énorme.

02:47 - Mais non, attends, attends. - Il y a une étude...

02:48 - Ouais, Raymond, qu'on n'a pas entendu. - Non, mais tu dis la science, mais la science...

02:51 - ...une femme au football, elle tape moins fort à la boxe, elle tape moins fort...

02:54 - Bien sûr, mais qu'est-ce qu'il raconte ? - ...en cours, en cours, en cours.

02:56 - Non mais comment on peut dire une telle bêtise à 19h17 ?

02:58 - Au tennis, hein. - Quand 19h23, force...

03:00 - Si il y a des catégories, c'est pas pour rien. - Mais bien sûr.

03:02 - Quand il y a des catégories hommes-femmes, quand il y a des catégories...

03:04 - Mais qu'est-ce qu'il raconte, comme bêtise ? - ...la puissance d'un homme, ça n'a rien à voir avec la puissance d'une femme.

03:07 - En 2022, il y a une étude qui est sortie, donc c'est pas vieux.

03:11 - Il y a la deuxième WOC, là. Il y a les WOCmans.

03:13 - Non, mais qui dit que le traitement hormonal pourrait effacer toute différence.

03:16 - Non, pas du tout. Mais pourrait effacer, déjà, son conditionnement.

03:19 - Quand il y a tout coût 30 ans, ils ont perdu leur carrière aussi longtemps.

03:21 - Mais bien sûr, à cet âge-là, pas du tout, Bénaïm. Il dit n'importe quoi une fois qu'il baisse.

03:25 - À ce moment-là, cette étude, ça prouve que c'est faussé. Alors peut-être qu'ils sont, justement, désavantagés, alors.

03:31 - Les données disponibles indiquent que les femmes transgenres ayant suivi un traitement de suppression de testostérone

03:37 ne profitent d'aucun avantage sur les femmes cisgenres dans le sport d'élite.

03:42 - Mais c'est au bout d'un certain temps. Qu'est-ce que vous racontez ?

03:45 - Mais là, vous parlez de testostérone, on parle de musculature.

03:49 - Mais on parle de musculature. Mais qu'est-ce que vous racontez comme bêtise ?

03:52 - C'est pas possible. Arrête de te mettre avec Gilbert Nez. Tu vois bien qu'il est toujours dans l'échec.

03:56 - Ils sont tellement matrixés par le walkie, qu'on n'a même plus le droit de dire qu'un homme et une femme, c'est différent.

04:00 - Mais c'est la science. - Mais il n'est pas du tout.

04:02 - Mais la science de ta connerie. Un homme, c'est... Un homme et les femmes ont plein de choses que les hommes n'ont pas.

04:06 Un homme, en l'occurrence, a plus de force physique. Souvent, les hommes sont plus grands, pèsent un peu plus lourd, dans la majorité des cas.

04:11 Et c'est comme ça. Et là, on n'a même pas le droit. Déjà, c'est n'importe quoi.

04:14 Si tu prends la Coupe du monde féminine, tu mets une équipe d'hommes devenus femmes, ils vont battre les femmes.

04:17 On sait que le niveau des hommes est supérieur à ceux des femmes. Donc c'est n'importe quoi.

04:20 Et aujourd'hui, en fait, même ça, vous voulez le cancel. Même ça, vous voulez oublier qu'une personne trans, très bien, elle est respectable, évidemment.

04:26 Mais on a le droit de dire que ça a été un homme avant, qu'elle a le corps d'un homme, qu'elle est née avec les facultés d'un homme.

04:30 Même ça, on n'a plus le droit de le dire avec vous. C'est insupportable.

04:32 - Non, parce que vous allez boycotter et mettre de côté les athlètes trans.

04:36 - Mais c'est une injustice. - Arrête. Arrête.

04:37 - C'est terrible. - Mais justement...

04:39 - Mais non, mais c'est vrai, Cyril. C'est un vrai débat dans le sens.

04:41 - Il y a de plus en plus de fédérations qui interdisent aux transgenres de se présenter aux compétitions.

04:45 Et de plus en plus d'athlètes qui refusent d'avoir, de participer à une compétition, s'il y a des transgenres dans la compétition.

04:50 - C'est vrai qu'on entend de mamie un peu. Parce qu'elle, elle est intelligente, elle est bien habillée, elle est magnifique.

04:54 Elle a la coupe de Thierry Hololuron en 86. C'est extraordinaire, j'adore. Voilà. Ça, j'aime bien.

04:59 - Oui, vas-y, Thierry. - Déjà, Gilles, j'ai regardé, mais il y a énormément d'études. Il n'y en a aucune.

05:04 Il n'y a aucune étude qui est vraiment concluante. - Mais il dit n'importe quoi. Tu vois pas qu'il dit n'importe quoi ?

05:07 - Mais, Alisa Lescanabie ? - Non, mais il y a aucune étude qui...

05:09 - Excusez-moi. - Chut. Tais-toi.

05:11 - Parce qu'elle, elle, elle dit jamais de conneries. - Pourquoi vous l'avez dit ?

05:13 - Elle dit jamais de conneries, contrairement à toi et tes amis, Zahel Afi.

05:15 - J'ai regardé. Il y en a énormément. Il n'y a aucune étude qui est concluante.

05:19 - Bravo, bébé. Bravo, bébé. Chut. Tais-toi. - Les hommes ne traînent pas en muscles et les hommes ne perdent pas. C'est pas vrai.

05:23 - Mais bien sûr, bébé. - Regarde simplement cette photo. Tu regardes tranquillement cette photo.

05:28 Est-ce que tu vois souvent des courses avec une personne... - Mais bien sûr, ça n'a jamais arrivé.

05:31 - ...un peu en avance ? Et moi, le mot "transphobie"... - Mais il n'a jamais couru de sa vie. Regarde-le.

05:35 - Le journal, voilà. Mais "transphobie"... - Il ne court pas. Il ne fait rien.

05:38 - Évidemment, on est transphobe. - Il ne court qu'après le bus. C'est des emmerdes.

05:40 - On voit qu'il y a un problème. Je suis désolée. - Il n'y a aucun problème. - Eh bien, s'il y a un problème, excuse-moi.

05:43 La nature, c'est la nature. Et tu peux regarder toutes les études. Il n'y en a pas une qui te donnera raison.

05:48 Donc, je suis désolée. - Je vous ai expliqué que sur les autres...

05:51 - Non, mais que vous appenez la parole. - Ah bon. Excusez-moi. - Merci. Non, mais c'est bon.

05:54 Géraldine, tu t'es parlé, chérie ? - Non, mais mes camarades ont tout dit.

05:57 En fait, moi, je trouve que c'est un argument un peu fallacieux, Gilles, de nous dire, en gros,

06:00 on est con, donc on est transphobe. - Tu dis n'importe quoi. - Oui.

06:02 - Oui, c'est malhonnête intellectuel, mais ça n'a rien à voir. - Encore une fois, t'es un malhonnête.

06:05 - Et c'est bizarre, en fait. Ça veut dire que tu ne défends pas les femmes, les femmes qui ont couru ce 200 m et qui ne sont pas finalement à...

06:13 - Non, mais c'est vrai. C'est pas juste pour les femmes. - Tu fais un nice contact.

06:15 - Qu'est-ce que tu dis aux femmes ? Qu'est-ce que tu dis aux femmes quand t'es... - Mais ils disent rien.

06:19 Je crois qu'ils parlent à des femmes. - Elles sont toutes des femmes. - Mais aucune femme veut lui parler.

06:21 - Elles sont toutes des femmes. - Tu vois bien qu'ils dormaient devant le balcon de ses ex. - Non, mais aux femmes, à la base, c'est des femmes.

06:25 - C'est une éthique de femme. - Ils dormaient sur le paillasson de ses ex. Alors qu'est-ce qu'ils parlent aux femmes ?

06:29 - Et je pense qu'aujourd'hui, aux États-Unis, il y a eu une telle mouvance qui allait dans ce sens-là. Ils sont en train de revenir en arrière, évidemment, en moodwalk.

06:34 - Bravo. - Parce qu'il y a évidemment beaucoup d'abus et ils s'aperçoivent qu'évidemment, il y a une inégalité.

06:38 - J'aimerais bien qu'on voit le sondage. Et si Gilles Verdez gagne, tu vas voir ce qu'il va faire. - On va gagner.

06:42 - Je t'invite au restaurant. Tu vas voir pendant une semaine. - Avec plaisir. - Avec plaisir. Non, non, mais c'est un supplice pour moi. Voilà.

06:48 - Voilà. Merci. Une fois de plus, Gilles Verdez, le roi de la connerie. - Gilles, c'est presque bien.

06:52 - Le roi de la connerie. Non, mais sans rigoler. Et Benahim, le roi des walk. Non, mais sans rigoler. Benahim, la reine des walk et la reine du politiquement correct.

07:00 - Pourquoi la reine des transphobes ? Je veux dire le roi. - La reine des rien.

07:04 - Tout à fait.

07:05 [Musique]

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