• il y a 8 mois
Parmi les banques commerciales déjà en difficulté, il faut signaler la Société Générale qui après avoir vendu les fonds de tiroir, vend même le tiroir ! La SG a été sauvée en 2008 par les banques américaines et celles-ci veulent maintenant un sérieux retour sur investissements, ayant un maximum d'actions. Morgan Stanley a dégradé le titre de la banque.
Mais ce sont aussi les banques centrales qui entrent dans les déficits. Dans son bilan 2023 publié jeudi 22 février, la Banque centrale européenne annonce avoir subi une perte de 1,3 milliard €, c’est aussi le cas de la FED et d’autres banques européennes. La hausse des taux voulue par elles en est la cause. Les banksters de la BCE prêtent de l'argent qu'ils n'ont pas à des banksters de la zone qui en manquent. "C'est de la cavalerie financière et de la création monétaire ex nihilo létale à terme" (Chevalier.biz). Un motif d’inquiétude supplémentaire qui rappelle la crise de 2008, les prêts interbancaires se tarissent faute de liquidités. Et pendant ce temps l’or ne cesse de monter 2 300 $ l’once pour 31 grammes.
Dans la série des déficits, voici maintenant les assurances : CGI Bâtiment (assurances), essentiellement dû à celle du grand groupe de construction Français, GEOXIA (Les Maisons Phoenix) en faillite.
Pour Pierre Jovanovic, il y a un cygne noir, celui du nombre des morts de la vaccination (source Bloomberg), conséquences inattendues : des procès et des versements d’indemnités conséquentes aux victimes.
Et pendant ce temps, Emmanuel Macron et Bruno Le Maire se heurtent au mur de la dette. Ils ont définitivement transformé la France en Grèce de 2009. Quant au livret A, il va servir à financer la guerre en Ukraine .
De tout cela l’opinion, en France et aux Etats-Unis, commence à s’apercevoir et les médias mainstream connaissent des difficultés, même le Wall Street journal perd des lecteurs, alors que les bourses continuent leur lévitation, en contradiction avec un situation économique fortement dégradée.

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Transcription
00:00:00♫ Générique de fin ♫
00:00:16Bonjour à tous. Bienvenue sur le plateau de politique et économie.
00:00:20Aujourd'hui, revue de presse économique et financière internationale avec Pierre Jovenel. Bonjour mon cher Pierre.
00:00:27— Bonjour Olivier. Merci à vous. Merci pour l'invitation. Et bonjour à tous nos spectateurs fidèles.
00:00:33— Fidèles et attentifs. — Fidés au poste.
00:00:36— Attentifs. Et je le vois aussi dans vos signatures. Vous attirez les foules. C'est formidable.
00:00:42— Ah bah à Vannes, c'était extraordinaire. Je remercie tous nos spectateurs à Vannes, à Nîmes, à Montpellier.
00:00:48C'était extraordinaire. Vraiment. C'est très très sympa.
00:00:51Vous savez, je pensais... Là, on voit le peuple de France. — Mais bien sûr.
00:00:56— On voit celui... — Et mon sentiment, si vous voulez, c'est que notre émission, elle va beaucoup plus loin que les émissions qu'on voit sur TF1 ou...
00:01:06Parce que je vois des auteurs qui passent régulièrement sur des... Quasiment tous les jours, ils attirent pas vraiment les foules dans les signatures.
00:01:15C'est ça qu'il faut noter. Enfin bon. Ceci est une...
00:01:18— Nous allons commencer comme d'habitude par donner des nouvelles de nos amis, les banques.
00:01:23— De nos comateux. Des comateux banquiers. C'est la Banque du commun. En fait, il faudrait une banque qui s'appelle la Banque du coma.
00:01:32— Oui. Mais il y a du biscuit, hein. — La Banque du commun... Alors par exemple, la Société générale, on pourrait effectivement...
00:01:39D'ailleurs, eux-mêmes, il y a 10 ans, ils ont changé toute leur signalétique sur les banques. Avant, il y avait un carré.
00:01:44Il y avait marqué... C'était rouge et blanc. Il y avait marqué Société générale au milieu. Et en fait, ils pensaient la vendre à un moment donné.
00:01:51Donc ils ont changé toute la signalétique pour qu'elle soit neutre, pour qu'éventuellement, on puisse mettre un autre nom. Voilà.
00:01:56— Ah oui. — C'est intéressant. Voilà. — Mais qu'est-ce qui va pas, alors, à Société générale ?
00:02:01— Qu'est-ce qui va pas à la Société générale ? Bah écoutez, entre notre dernier revue de presse... Moi, j'avais annoncé...
00:02:07Je crois que c'est avec vous. J'avais annoncé que la Société générale n'aura pas d'autre choix que de faire un licenciement massif.
00:02:15Eh bien c'est exactement ce qu'elle a fait. C'est-à-dire que... Ah bah attends. J'ai les infos ici. Voilà.
00:02:24Alors par exemple, voilà. C'était juste après qu'on ait enregistré. Voilà. Chose promise, chose due. Société générale licencie à nouveau.
00:02:34Donc ça, c'était le 22 janvier 2024. Voilà. Moi, je l'avais annoncé donc en septembre. Donc c'était avec vous, en septembre 2023, à la rentrée de septembre,
00:02:44que Société générale sera obligée de faire un licenciement massif pour sauver sa peau. Voilà.
00:02:50— Mais alors pour sauver sa peau aussi, elle a vendu tout ce qu'elle avait. Alors... — Ah bah elle a même vendu sa grand-mère.
00:02:55— Il reste le grand-père. — Oui. Alors elle a liquidé Rosebank, la banque en Russie. Rosebank, c'était la Société générale.
00:03:08— Bah écoutez. Moi, j'ai quelque chose. Les Américains ont mis la pression sur la Société générale... — Ah la Société générale, c'est intéressant.
00:03:12— Voilà. Lui demandant de vendre tout ce qui lui reste... — Non. Le grand-père. — Oui. Voilà. Tout ce qui lui reste de ses actifs le plus vite possible
00:03:23afin de dégager des bénéfices. Donc qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que la Société générale est incapable de fabriquer des bénéfices.
00:03:30Et donc pour faire semblant d'avoir des bénéfices et distribuer des dividendes, ils sont obligés de vendre tout leur bien.
00:03:37C'est une arnaque. Déjà à la base. — Oui. Tout à fait. Mais alors pourquoi cela ? Parce que je pense que Jean-Pierre Chevalier
00:03:47nous l'a démontré, soit quand il vient sur votre revue de presse, soit quand je l'invite ici. C'est-à-dire qu'on s'aperçoit que la banque ne fait plus de profits,
00:04:02ne fait plus de bénéfices, mais qu'elle n'est pas la seule. — Elle n'est pas la seule. Tenez, regardez. Alors c'est amusant parce que c'est un banquier
00:04:10de la Morgan Stanley qui analyse les comptes d'un autre banquier, celui de la Société générale. C'est complètement surréaliste.
00:04:16Alors il dit que Morgan Stanley a dégradé le titre de la banque de la Défense à pondération en ligne. Grosso modo, vendé, quoi, avec une cible ajustée
00:04:27de 30 à 29 €. Voilà. Alors SG présente des arguments d'investissement convaincants, blabla, sur le papier. Mais il faut une plus grande transparence
00:04:37sur les cessions et des progrès en matière de rentabilité. Donc si on traduit ça en langage normal, parce que ça, c'est du langage de banquier bidon,
00:04:45voilà, ça veut dire que la Société générale perd de l'argent. Voilà. Et ils veulent savoir combien d'argent ils vont gagner. Alors je vous donne...
00:04:57La Société générale est entrée fin 2023 en négociation pour céder ses parts dans les filiales Burkina Faso, Mozambique, République tchèque, la Roumanie,
00:05:09le Maroc, on vient d'en parler, sa banque privée au Royaume-Uni, ses métiers de titres. Donc ils vendent tout, les filiales, les machins, les trucs, etc.
00:05:17Toutes les filiales qu'il plaisait qu'Éloïse Benhamou avait remises en cause dans son livre « Cryptocratie française ».
00:05:23– Absolument. – Et surtout sa filiale allemande, Hanseatic Bank. – Hanseatic. – Ah, so, Hanseatic.
00:05:29– Hanseatic Bank, c'était la vieille tradition de la... – De toute l'aristocratie, les fonds de machins, les fonds de trucs.
00:05:37– Hanseatic, oui, bien sûr. – Exactement, ils étaient à cette banque.
00:05:40Des ventes que des Américains, par exemple, ou d'autres pourront racheter à bon prix, évidemment.
00:05:44Société Générale a même vendu Société Générale Maroc, qui était cette banque.
00:05:48Et alors, moi j'ai des retours de clients de Boursorama qui me disent qu'aujourd'hui ils ne peuvent plus faire des virements de montants XY
00:05:57comme ils le faisaient, ne soit-ce qu'il y a encore 6 mois ou 3 mois.
00:06:01Donc la Société Générale, elle est vraiment dans un...
00:06:08Alors, ils ont vendu... Attends, qu'est-ce qu'ils ont vendu, là ? Ils ont vendu Shine.
00:06:16Ouais, c'est un truc, ce qui veut dire briller en anglais, ça ne brille pas par les résultats, pour qu'on puisse dire.
00:06:25Et donc, Société Générale a fait une... Voilà, c'est ça que je voulais dire.
00:06:29C'est qu'ils ont fait un premier licenciement, voilà.
00:06:32Il a fallu attendre le vendredi 19 janvier pour que l'information fûte chez Bloomberg,
00:06:36Société Générale va jeter à la rue plus de 500 salariés.
00:06:39Et au mois de février, alors que les licenciements ne devaient toucher que 400 personnes,
00:06:45ils en ont rajouté 500. Grosso modo, ils sont à 900 licenciements.
00:06:50Et ceux-ci... Attends, on ne parle pas des postes non renouvelés, des gens qui sont partis à la retraite, etc.
00:06:57Voilà, donc vous retrouvez tout ça sur la revue de presse.
00:06:59Donc là, c'est dans les archives, c'est janvier, février, voilà.
00:07:04– Pierre, je constate qu'à partir de votre revue de presse,
00:07:08qu'il n'y a pas que les banques qui font faillite ou qui sont menacées de faillite, il y a des assureurs.
00:07:14– Mais bien sûr, il y a un assureur. – L'assureur du bâtiment.
00:07:18– L'assureur du bâtiment, celui qui assurait toutes les maisons individuelles.
00:07:22– CGI Bâtiment Assurance. – C'est un gros morceau.
00:07:25– Très gros morceau. – Et le gouvernement a forcé la reprise
00:07:28parce que sinon, ça entraînait des catastrophes en série avec un effet domino absolument phénoménal.
00:07:34– On ne l'a pas vu dans la presse, ça. – Ben non, on ne l'a pas vu dans la presse.
00:07:37Quelle presse !
00:07:39Tiens, un autre truc que vous n'avez pas vu puisqu'on parle de la Société Générale.
00:07:44Eh bien, figurez-vous que la Société Générale, alors sans doute tous les clients de la Société Générale,
00:07:47vous l'avez vu quand vous êtes connecté, c'est-à-dire qu'en fait,
00:07:52elle a été condamnée une nouvelle fois pour pratiques trompeuses.
00:07:56– Oui. – En fait, ils ont surfacturé les clients,
00:07:59les commissions d'intervention, blabla, etc.
00:08:02– Toutes les banques font ça, surfacturent les commissions d'intervention.
00:08:06– Voilà, je vous lis le truc.
00:08:08Le service du gouvernement, le CCRF, Direction Départementale de la Protection des Populations,
00:08:15protection des populations quand même, rien que ça, voilà,
00:08:19a réalisé une enquête, blabla, portant sur des pratiques
00:08:22dont les consommateurs ont été victimes de la part de la Société Générale.
00:08:26Les faits portent sur des prélèvements de commissions d'intervention non justifiées.
00:08:30Alors, en traduction de langage normal, ils ont volé les clients.
00:08:33La Société Générale a volé les clients, tout simplement.
00:08:36Voilà, il faut le dire.
00:08:37– Donc, elle se met à la logique de la banque postale.
00:08:40– Exactement, bien sûr.
00:08:41Mais, vous avez remarqué, vous savez, dans notre revue de presse,
00:08:45je l'ai dit maintes fois, et vous aussi vous l'avez constaté,
00:08:48c'est eux ou nous, et c'est une course de vitesse entre eux ou nous.
00:08:54Et eux, ils ont l'avantage, s'il vous plaît,
00:08:56ils appuient sur un bouton, ils ont 10 millions de clients,
00:08:59tiens, on va ponctionner 10 euros sur chaque compte,
00:09:01pour des prétextes de bidons, voilà, c'est ce qu'on vient de voir.
00:09:06Alors, les gens, ils disent, tiens, 10 euros, etc.,
00:09:08donc ils ne vont pas venir nous casser les pieds.
00:09:10Ben, si, là, ils se sont fait rattraper par la patrouille, comme on dit.
00:09:14C'est n'importe quoi.
00:09:18Le scandale Kerviel ne leur a pas suffi, c'est incroyable, c'est vraiment…
00:09:24Quittez cette banque, voilà, c'est mon conseil,
00:09:26parce que, je l'ai déjà dit, mais vu ce qui se passe
00:09:31avec des clients de Boursorama en ce moment,
00:09:33ben, bon, voilà, c'est…
00:09:36De toute façon, une banque,
00:09:38parce qu'elle va systématiquement chercher à arnaquer les clients.
00:09:41– Alors, les banques ne vont pas bien,
00:09:44les compagnies d'assurance, CGI, bâtiments d'assurance,
00:09:47étant faillites, c'est énorme.
00:09:48– Oui.
00:09:50– Alors, on découvre aussi dans votre presse une chose incroyable,
00:09:54la banque centrale européenne, la Fed…
00:09:59– Ah, je savais que ça allait vous plaire.
00:10:02– La Fed américaine, la Banque nationale de Belgique et la Banque de France.
00:10:07– La Banque d'Angleterre, la Banque d'Allemagne,
00:10:10la Banque d'Allemagne, la Banque centrale allemande.
00:10:13– Deutsche Bank, oui.
00:10:13– Ils ont tous… – Bundesbank.
00:10:16– Voilà, alors ça, c'était le 26 février,
00:10:21les banques centrales perdent des milliards, y compris la BCE et la FED.
00:10:24C'est-à-dire, même la Banque centrale européenne a déclaré des pertes.
00:10:27– Oui.
00:10:28– Et là, la planche à billets.
00:10:29– Oui, alors, justement, c'est ça qui est extraordinaire, c'est que…
00:10:32– Eh, moi, vous me donnez la planche à billets,
00:10:34vous ne serez pas en découverte, d'accord, mais…
00:10:38– Mais comment il faut ?
00:10:39– Mais attendez, il faut chercher nos téléspectateurs.
00:10:42– Parce qu'on est dans un dessin animé, vous voyez ce que je veux dire, avec…
00:10:48– Alors, nos téléspectateurs vont s'interroger.
00:10:51Qu'est-ce qui explique que ces banques centrales soient déficitaires ?
00:10:55– Allez-y.
00:10:57– Il y a une première explication, c'est qu'elles ont monté les taux pour…
00:11:01– C'est-à-dire qu'on s'est tapé 15 ans de taux zéro,
00:11:04on en a suffisamment parlé ici.
00:11:05– Taux zéro, maintenant, on est à 4,5.
00:11:08– Avec le taux zéro, elles ont fabriqué de la fausse monnaie.
00:11:11– Oui, mais en réalité, comme il y a de l'inflation,
00:11:15la règle nominale, moins inflation, le nominal, c'est ce qu'on a tous les jours.
00:11:20Bon, eh bien, on reste en fait en taux négatif.
00:11:23– Mais on est toujours en taux négatif, j'ai un papier là-dessus.
00:11:25– On n'est qu'en taux négatif.
00:11:26– On est à moins de 15.
00:11:27– Voilà.
00:11:28– D'ailleurs, il y a un grand papier du professeur Chevalier,
00:11:30allez sur son site, vous allez le voir.
00:11:32Il accuse la banque centrale…
00:11:33– Chevalier.biz.
00:11:34– Biz, comme business, B-I-Z.
00:11:39– Deux Z.
00:11:40– Non, un seul Z.
00:11:43– Bon.
00:11:43– Non, pour son site internet.
00:11:45– D'accord. Chevalier.biz.
00:11:47– Non, mais Chevalier accuse la BCE de cavalerie, purement, disimplement.
00:11:52Je vais retrouver le truc, c'est dans le truc bancaire.
00:11:55– Mais, attendez, je vais vous lire un commentaire,
00:11:57parce que c'est tellement hilarant.
00:12:01La Fed américaine a reconnu, elle aussi, avoir un prout.
00:12:04Alors, elle, c'est 150 milliards sur son bilan.
00:12:07Bon, à l'échelle de la Fed, ce n'est pas grand-chose,
00:12:09mais c'est quand même un bilan négatif.
00:12:13C'est-à-dire qu'une entreprise normale, elle fait faillite, genre Enron.
00:12:17Ce qui a fait dire au Dr Anthony,
00:12:21félicitations à M. Powell et compagnie,
00:12:23il faut un niveau d'incompétence très élevé pour, petit 1,
00:12:28avoir une planche à billets et, 2, perdre de l'argent.
00:12:32– Oui.
00:12:33– Voilà, tout est résumé.
00:12:35C'est-à-dire qu'en fait, ils ont perdu le contrôle de la situation.
00:12:38Voilà, en fait, je résume ça à ma façon.
00:12:41Ils ont perdu le contrôle de la situation.
00:12:44– Oui, mais c'est de vous imaginer.
00:12:46Parce qu'on ne peut pas, la nature monétaire se venge.
00:12:50On ne peut pas faire n'importe quoi avec la monnaie.
00:12:52– Mais c'est le livre Adolf Hitler, on en a parlé ensemble.
00:12:56– Absolument, et ils nous ont persuadé…
00:12:58– Rudolf von Havenstein, ah, so, Rudolf.
00:13:02– Ils étaient persuadés qu'en fabriquant de la monnaie,
00:13:05ils créaient de la croissance.
00:13:06C'est le contraire qui se passe.
00:13:08– C'est-à-dire que dès qu'on l'utilise de manière nucléaire,
00:13:10c'est sûr que c'est la destruction totale.
00:13:12– C'est la croissance qui crée la monnaie.
00:13:14– Il n'y a que les ultra…
00:13:15Attends, moi je le vois dans ma represse.
00:13:16Il n'y a que les ultra-riches qui s'enrichissent.
00:13:18– Oui.
00:13:18– Tous les autres descendent chaque année d'un cran.
00:13:21Il y a la Banque centrale.
00:13:23Tiens, regardez, même la Bundesbank a déclaré des pertes.
00:13:26La Banque centrale de Hollande a déclaré des pertes.
00:13:30La Banque centrale de Belgique… La Banque de France ?
00:13:33– Banque de France.
00:13:34– Attends, je l'ai là.
00:13:34– Oui, oui, oui.
00:13:35– C'est où ?
00:13:36Banque de France.
00:13:38– Oui, Banque de France.
00:13:38– Je l'ai titré.
00:13:40La Banque de France est en faillite.
00:13:42– Oui, en faillite.
00:13:44– De manière comptable.
00:13:46Mais attendez, une entreprise qui…
00:13:47– Ce serait une boulangerie.
00:13:48– Voilà, ce serait même une PME.
00:13:51Je veux dire, le banquier, il va lui dire
00:13:54« Hé mon pote, là, tu viens à couvrir,
00:13:55nous on ne te suit plus, c'est tribunal de commerce. »
00:13:58– Et du coup, on n'entend plus M. Villeroy de Gallo.
00:14:01– Non mais attends, ce qu'il y a de très fort avec la Banque de France,
00:14:03c'est qu'elle, elle a perdu 12 milliards.
00:14:06C'est-à-dire, techniquement, elle a perdu plus que la BCE elle-même.
00:14:10La BCE, de mémoire, elle a annoncé 8.
00:14:14Et donc, le vendredi soir…
00:14:16Attends, parce que je connais les attachés de presse,
00:14:19quand il y a des très très mauvaises nouvelles
00:14:21et qu'elles ne peuvent pas faire autrement,
00:14:22elles attendent le vendredi soir, toujours pour passer sous le radar.
00:14:27Donc, là, ils ont annoncé 12,4 milliards d'euros.
00:14:32Et donc, nous dit le communiqué,
00:14:34« Nous avons été obligés de puiser dans les réserves
00:14:38pour équilibrer, ce qui a bien dû faire notre professeur Chevalier. »
00:14:43Non mais c'est complètement…
00:14:45– Explication embarrassée, écoutez bien.
00:14:47« Le relèvement des taux directeurs depuis l'été 2022
00:14:49a conduit à une forte diminution des revenus de politique… »
00:14:51– C'est ça, c'est ça.
00:14:53– « … qui pèse… »
00:14:54– C'est la hausse des taux naturels.
00:14:56– Ah oui, franchement, c'était…
00:15:00– Prévisible, c'était sûr.
00:15:02Mais alors, ce qu'il y a d'extraordinaire,
00:15:05c'est qu'on se retrouve dans la situation suivante.
00:15:06– La Banque de France bat la BCE de 4,4 milliards.
00:15:09Et ce serait une boulangerie que la Banque de France serait effectivement,
00:15:12c'est ce que j'ai écrit devant le tribunal de commerce.
00:15:14– Est-ce que nos spectateurs réalisent
00:15:16qu'aujourd'hui, on a des banques centrales
00:15:18qui déclarent des pertes par milliard ?
00:15:19C'est quand même incroyable.
00:15:21Je veux dire, là, on a dix banques,
00:15:22quasiment dix banques centrales qui déclarent des pertes.
00:15:24– Oui, mais nique ça, nique ça.
00:15:26– Mais j'ai toujours dit que ça finirait par remonter.
00:15:28– Oui.
00:15:29– Les pertes des banques de 2008,
00:15:32vous voyez, année après année, ça remonte.
00:15:34Charles Gave avait donné une analogie quand on pêche à la dynamite.
00:15:40C'est-à-dire que d'abord, c'est les petits poissons,
00:15:42et puis, longtemps après, c'est la baleine,
00:15:45c'est les plus gros qui remontent.
00:15:46– Absolument.
00:15:46– Mais c'est exactement la même chose.
00:15:48La déflagration du 29 septembre 2008,
00:15:51voilà, là, on voit que les pertes massives remontent
00:15:55même dans les bilans des banques centrales.
00:15:58Est-ce que vous réalisez ça ?
00:15:59– Oui.
00:15:59– Et après, l'or bat des records.
00:16:02L'or a battu.
00:16:03– Alors, nous, ce matin…
00:16:04– Ce matin, 2300 dollars l'once.
00:16:06– L'once.
00:16:06– 2300 dollars.
00:16:08200 dollars en une semaine.
00:16:09– Pour nos téléspectateurs.
00:16:10– En quatre jours.
00:16:11– Une once d'or, c'est 31 grammes.
00:16:14– Ou 32, je ne sais plus.
00:16:15– 31 grammes.
00:16:17Oui, et bien, attendez, pour revenir à la BCE,
00:16:20c'est qu'elle continue à prêter de l'argent.
00:16:22C'est donc qu'elle prête de l'argent qu'elle n'a pas,
00:16:24puisqu'elle est en déficit.
00:16:26– Ouais.
00:16:27Non, mais en plus, ce que j'adore, si vous voulez,
00:16:29c'est tous ces blaireaux-là.
00:16:31Il y a un blaireau, là, que j'aime beaucoup, c'est du creuset.
00:16:35Alors, attendez, je ne sais pas où je l'ai mis.
00:16:38Il faut que je retrouve du creuset,
00:16:39parce que je le cite, parce qu'il l'avait fait un grand…
00:16:44Ah oui, voilà, l'analyste Frédéric Ducreuset.
00:16:46Alors, je ne sais plus à quelle banque il est, lui.
00:16:49Il est dans une banque privée.
00:16:50Alors, il avait écrit,
00:16:51« La BCE a enregistré une des pertes de 1,3 milliard d'euros en 2023,
00:16:55pour la première fois en 20 ans.
00:16:58La BCE s'attend à ce qu'elle subisse des pertes
00:17:00au cours des prochaines années,
00:17:01avant de retourner à des profits soutenus.
00:17:04Entre-temps, le système euro sera protégé par son capital
00:17:07et ses comptes de réévaluation. »
00:17:10Vraiment, mais c'est vraiment de…
00:17:12Mais qui va sauver les banques centrales, si ce n'est le peuple ?
00:17:16– Les impôts. – C'est le peuple !
00:17:18– La socialisation des pertes, comme d'habitude.
00:17:20– Oui, mais justement, Alain Minc, Alain Minc,
00:17:23il faut toujours surveiller Alain Minc.
00:17:25– Oui, comme le lait sur le feu.
00:17:27– Exactement.
00:17:27Il est apparu, je ne sais plus où je l'ai vu,
00:17:30Alain Minc est apparu à la télé.
00:17:32C'est l'article avec Sylvestre, avec Jean-Marc Sylvestre.
00:17:36Il est apparu en disant, la France est dans une situation gravissime,
00:17:40il va falloir monter les impôts,
00:17:43et Gabriel Attal a déclaré hier ou avant-hier,
00:17:48il va falloir se servir sur les rentes.
00:17:50– Sur les rentes.
00:17:51– Tadam !
00:17:52– Qu'est-ce que ça veut dire, les rentes ?
00:17:53– C'est tous les retraités, c'est tous ceux qui ont un peu d'épargne.
00:17:57C'est en fait le massacre de classe moyenne.
00:18:00Voilà, il va se servir sur les classes moyennes, littéralement.
00:18:03– Alors, j'ai toujours dit, depuis 2008, je n'ai pas changé d'un iota.
00:18:07– Non, c'est vrai.
00:18:08– Voilà, j'ai toujours dit que la France se transforme en Grèce,
00:18:11et que le fait de ne pas avoir nationalisé les banques en 2008,
00:18:15ça a été la plus grande erreur.
00:18:17Sarkozy s'est fait…
00:18:19Mais vraiment, ils lui ont monté le chou, ils lui ont raconté des mensonges,
00:18:23et en plus, comme c'est un agent américain…
00:18:27– Et il a même vendu de l'or.
00:18:29– Oui, c'est vrai, il a vendu, à peine nommé ministre du budget,
00:18:32je vous rappelle, il a vendu l'or de la France au prix le plus bas,
00:18:35cet enfoiré Sarkozy, enfoiré.
00:18:38Il devrait être en taule.
00:18:40Rien que pour l'histoire de l'or, je ne parle même pas de tous ces scandales.
00:18:43C'est de la haute trahison.
00:18:45– Mais vous savez, Pierre, qu'il va falloir créer des cellules de prison en très grand nombre.
00:18:49– Non, non, mais c'est de la haute trahison.
00:18:50– Parce qu'il n'est pas le seul.
00:18:52Haute trahison.
00:18:53Mais une des autres conséquences des déficits des banques centrales,
00:18:59c'est que les banques, entre elles, ne se prêtent plus de liquidités.
00:19:04Ce qui est arrivé en 2008.
00:19:06– Exactement, le marché interbancaire, moi.
00:19:07– Le marché interbancaire, voilà.
00:19:09– Ça, je l'ai observé, même Bloomberg l'a reconnu.
00:19:12– C'est très inquiétant, ça.
00:19:14– Mais c'est le signe d'une catastrophe à venir.
00:19:16D'ailleurs, j'ai un papier là, quelque part, je ne sais pas si vous l'avez,
00:19:21tous les ultra-riches, les ultra-ultra-riches,
00:19:23ceux qui ont des milliards en actions, ils se sont rendus liquides.
00:19:27C'est-à-dire qu'ils ont tout vendu, le patron de Facebook a tout vendu,
00:19:31le patron de la JP Morgan, Jamie Dimon, a tout vendu pour 160 millions d'actions.
00:19:38Voilà, ils se rendent liquides.
00:19:39Donc, il y a quelque chose, ils savent que quelque chose va se passer.
00:19:44C'est une évidence.
00:19:45– Oui, et ils se rendent liquides, alors.
00:19:48Quand vous dites qu'ils se rendent liquides, c'est en cash ou en… ?
00:19:51– En cash.
00:19:52– En cash ?
00:19:52– Bah oui.
00:19:53– Parce qu'à côté de ça…
00:19:53– Bah c'est en cash, oui.
00:19:54– Oui, mais à côté de ça…
00:19:56– Ou en or, ils peuvent très bien acheter de l'or.
00:19:58– Mais nous autres, les simples particuliers,
00:20:01nous avons beaucoup de mal à aller sur le cash.
00:20:03– Mais ils veulent supprimer le cash pour nous.
00:20:05– Les dabs se font.
00:20:06– Exactement, les dabs disparaissent.
00:20:09Là, j'ai un article, je ne sais pas, il y a un monsieur qui disait
00:20:12mais quel escrocris ces histoires de carbone,
00:20:15ils ont supprimé tout dans notre ville,
00:20:17ils ont supprimé quasiment tous les dabs dans le village,
00:20:20donc le monsieur est obligé de faire 20 kilomètres des allers-retours,
00:20:24avec sa voiture, pour essayer de récupérer du cash.
00:20:26Ce n'est pas nous, on en a déjà parlé, voilà.
00:20:28Mais vous savez, il y a un signe noir qui arrive.
00:20:32– Oui.
00:20:33– Un signe noir.
00:20:34– Oui, oui, le signe.
00:20:35– Oui, moi j'adore le signe noir, j'adore ce truc de Taïeb, c'est…
00:20:39– Oui, Taïeb, oui.
00:20:41– C'était vraiment exceptionnel.
00:20:42Mais il y avait un dessin de Walt Disney sur une histoire de signe noir, je crois.
00:20:47– Bon, alors, il faut dire à nos téléspectateurs,
00:20:49un signe noir, c'est une menace grave sur l'ensemble des marchés, des monnaies…
00:20:54– Non, c'est un événement, surtout c'est un événement imprévu.
00:20:57– Qui va provoquer le…
00:20:58– Voilà, c'est un événement complètement imprévu,
00:21:00c'est le principe même du truc, et qui explose tout le système.
00:21:05Alors, écoutez, je pense que le signe noir, entre autres, il est là.
00:21:09Je ne sais pas si vous voyez, alors je vous lis.
00:21:14Donc ça, c'était, vous le retrouvez, 5 février,
00:21:17depuis les vaccinations forcées de 2020 et 2021,
00:21:21– Oui.
00:21:21– C'est bien, les statistiques du nombre de morts
00:21:24dépassent largement les chiffres habituels,
00:21:27c'est-à-dire qu'ils ont entre 15 et 20% de morts en plus.
00:21:31Et notre lecteur, monsieur, qu'on salue, monsieur Jackson,
00:21:34pointe sur une dépêche de Bloomberg,
00:21:37donc ce n'est pas Paris-Boum-Boum, ce n'est pas Reichstatt
00:21:40ou tous les blaireaux soi-en-disant de Conspiracy Watch et autos.
00:21:46– Non, c'est du sérieux.
00:21:47– Dont le titre est… – Bloomberg.
00:21:50– La hausse soudaine de décès pèse sur l'assureur Aviva.
00:21:56– Oui, bien sûr.
00:21:57– Qui, du coup, ne va plus du tout, voilà.
00:21:59Alors, il y a une image, une photo, c'est du 5 février.
00:22:02Alors, je vous lis.
00:22:04Une augmentation inhabituelle du nombre de décès
00:22:06parmi les Britanniques d'âge moyen
00:22:08pourrait affecter les bénéfices des assureurs Aviva
00:22:10ainsi que l'égal général groupe, selon Bloomberg Intelligence.
00:22:15Alors, Bloomberg Intelligence, c'est le top du top de Bloomberg,
00:22:20surabonnement, blabla, blabla, voilà.
00:22:23BFM ne vous a pas donné cette info, c'est News No More d'ailleurs.
00:22:26C'est une info, tiens, Pascal Praud, ça pourrait te plaire, ça.
00:22:29Le taux de mortalité pour les personnes âgées de 40 à 44 ans
00:22:34est le plus détérioré au cours du premier semestre 2023.
00:22:38En fait, ce sont les effets BIP qui sont dus aux BIP, voilà.
00:22:47Tiens, j'ai oublié de dire, n'oubliez, appuyez sur la cloche là,
00:22:50parce que pour faire, c'est obligatoire, quasiment maintenant,
00:22:53sinon YouTube va nous faire descendre, voilà.
00:22:58Donc, mettez le pouce vert, bleu, rouge, je ne sais pas quelle couleur c'est.
00:23:03Bref, bleu, bleu, bleu, bleu.
00:23:04Le nombre de décès standardisé, donc là, attention,
00:23:08là on est dans, parce que les assureurs, eux,
00:23:10ils gagnent leur argent en comptant les morts, voilà.
00:23:15Pour 100 000 personnes, augmenté de 6% durant la même période,
00:23:19donc pour les 40-44 ans.
00:23:21Alors, tous ces gens sont vaccinés.
00:23:24Ben voilà, bien sûr.
00:23:26Cela marque un tournant potentiel pour la mesure de la mortalité,
00:23:30alors que, justement, ce chiffre s'améliorait régulièrement
00:23:36depuis les années 90, voilà.
00:23:38Et donc, alors j'adore Bloomberg, parce que l'hypocrisie,
00:23:43non mais voilà, là on touche l'hypocrisie, le wokisme.
00:23:47Bien que les raisons sous-jacentes de ce changement restent floues.
00:23:51– Oui, bien sûr.
00:23:52– Je dis, quand c'est flou, il y a un loup.
00:23:56Et ce loup déguisé en agnon s'appelle le Vax,
00:23:59qui a détruit la santé d'environ 30% des vaccinés
00:24:01lorsqu'il ne les a tout simplement pas handicapés ou tués, voilà.
00:24:05Ce qui est génial, c'est que les auteurs se moquent totalement
00:24:07de la santé des vaccinés.
00:24:08Ils ne s'intéressent qu'aux bénéfices détruits
00:24:12de ces pauvres petites compagnies d'assurance-vie.
00:24:16Vous vous rendez compte la vie, la dure vie de ces gens ?
00:24:18– Oui.
00:24:20– Ils ne pourront plus, voilà.
00:24:21Mais en fait, plus il y a de morts et plus ils sont obligés de payer.
00:24:24Et ça, Bill Gates, il ne savait pas quoi, il ne l'avait pas prévu.
00:24:26Enfin, si, lui, il a prévu de faire des morts,
00:24:28mais les assureurs, eux, ils n'ont pas calculé.
00:24:31Du moins, ils n'ont pas calculé que les effets secondaires
00:24:33vont continuer jusqu'en 2024.
00:24:36– Oui, bien sûr.
00:24:38– Ça veut dire que les mecs, ils ont été vaccinés il y a deux ans.
00:24:40– Oui.
00:24:42– Attention, là, cette information, elle est cruciale.
00:24:44– Oui.
00:24:45– Voilà, donc du 5 février, vous la retrouverez dans les archives.
00:24:50Voilà, plus cynique, tu meurs, voilà, t'es mouru.
00:24:54– Alors Pierre, nous allons…
00:24:54– Si cela devient une tendance…
00:24:56– Non, mais écoutez le reste, c'est marrant.
00:24:58– Cela pourrait réduire les bénéfices des assurances à terme
00:25:01chez les leaders du marché, Legal & General et Aviva,
00:25:06ont déclaré les analystes Kevin Ryan et Juliette Abiola.
00:25:10C'est potentiellement significatif
00:25:11en raison de la diminution du nombre absolu de décès.
00:25:17Voilà, plus il y aura de morts soudains,
00:25:18plus les assurances devront payer,
00:25:19au point que certains ont même commencé à modifier leurs contrats
00:25:21pour se mettre à l'abri, voilà.
00:25:23– Non, mais c'est complètement dingue.
00:25:25Je veux dire, c'est complètement fou, c'est complètement fou.
00:25:29– Oui, alors il faudrait peut-être que les assurances se retournent contre Pfizer.
00:25:33Pfizer a gagné beaucoup d'argent.
00:25:35– Non, ils ne pourront pas se retourner, c'est…
00:25:36– C'est ça le problème.
00:25:38– C'est une personne morale, la personne morale n'a pas été vaccinée.
00:25:40– Oui, non.
00:25:41– On aurait dû, voilà.
00:25:44– Alors, je reviens au…
00:25:47– Non, mais il y a un vrai problème, là, c'est…
00:25:50– Justement, il y a aussi un problème d'information.
00:25:52Nous allons, après la pause,
00:25:54faire l'inventaire de ce qui se passe en matière d'information,
00:25:56parce qu'il y a quand même des nouveaux, là.
00:25:58– Juste avant la pause,
00:26:00parce qu'il y a un truc que j'aime beaucoup,
00:26:02moi, c'est le crédit mutuel.
00:26:04– Ah oui, mais ça…
00:26:05– Oui, d'accord.
00:26:06– Allez-y pour le crédit mutuel.
00:26:07– Non, parce qu'il y a toutes leurs pubs, là, avec la nénette, là.
00:26:10Oui, mais je suis une banquière,
00:26:11mais le crédit mutuel, ça appartient à ses actionnaires, gnagnagna.
00:26:16– Ah oui, et puis l'autre abruti à côté,
00:26:18ah oui, ah bon, c'est vrai, vous êtes sûrs,
00:26:20ah oui, formidable, on voit le jesu.
00:26:21Il joue parfaitement ce rôle, le boomer.
00:26:24– Sauf que, écoutez bien…
00:26:27– Amende de la BCE.
00:26:28– La Banque Centrale Européenne vient d'infliger
00:26:31une amende de routine de 3,5 millions d'euros au crédit mutuel.
00:26:36Alors pourquoi ?
00:26:37Vous n'allez pas le croire,
00:26:38mais pour la raison que je vous ai toujours donnée ici,
00:26:42pour avoir bidonné son bilan.
00:26:44Voilà.
00:26:45Le crédit mutuel a bidonné son bilan.
00:26:48Normalement, du point de vue…
00:26:50Alors, je ne suis pas comptable, ni expert comptable, etc.,
00:26:52mais je pense que quand un expert comptable bidonne un bilan,
00:26:56c'est du pénal, ou au moins, enfin je ne sais pas.
00:27:00Enfin, c'est quand même…
00:27:01Attends, tu ne peux pas…
00:27:02Tu es censé présenter un bilan honnête.
00:27:05– Oui, mais bon…
00:27:06– Je ne sais pas, c'est votre secteur.
00:27:09– Oui, oui, mais le bilan, c'est…
00:27:10– C'est votre secteur.
00:27:11– Sincère et honnête, oui.
00:27:12– Et je vous lis le truc.
00:27:14Alors là aussi, on est en langage bancaire,
00:27:16donc il faut traduire, écoutez bien.
00:27:19« L'établissement n'a pas bien estimé les risques présents à son bilan,
00:27:23ce qui lui a permis d'afficher un meilleur niveau de solvabilité. »
00:27:26– Ah ben oui, bien sûr.
00:27:27– Les escrocs.
00:27:29C'est énorme, c'est complètement énorme.
00:27:32– Puisque vous êtes sur les…
00:27:33– Même le quotidien, l'opinion, on a parlé.
00:27:35Vous vous rendez compte ?
00:27:36L'opinion, c'est rare que…
00:27:39– Oui, mais alors, Pierre,
00:27:41de l'autre côté de l'Atlantique, c'est la même chose,
00:27:43parce que JP Morgan a payé une amende de 1,4 milliard
00:27:50de frais de justice d'avocat, etc.,
00:27:53pour, là aussi, avoir bidonné ses comptes.
00:27:59– Non, non, ils ont…
00:28:00– Qu'est-ce qu'ils ont fait ?
00:28:01– En fait, 1,4 milliard, ça comprend toutes les amendes,
00:28:06plus les frais d'avocat pour la seule année de 2023,
00:28:09soit en hausse de 426% par rapport à 2022.
00:28:13– Oui, mais qu'est-ce qui justifie ces frais d'avocat, ces amendes ?
00:28:17– Alors, justement, cette fois, la banque de Jamie Dimon
00:28:19a dû payer un petit 348 millions de dollars
00:28:22aux gendarmes de Wall Street pour avoir oublié de surveiller ses traders.
00:28:26– Ah ben voilà.
00:28:26– Ça, c'est un grand classique, on les connaît.
00:28:28Vous vous souvenez des traders de Blight Masters
00:28:30qui tournaient le cours de l'or ?
00:28:32– Oui, oui.
00:28:33– Ben, ils continuent.
00:28:34– Oui, mais ça, c'est pour défendre vos droits.
00:28:36– Mais moi, ce que je veux dire par là,
00:28:38si l'industrie bancaire, je vous le dis,
00:28:41était celle de l'industrie alimentaire, on serait déjà…
00:28:44– Empoisonnés.
00:28:45– Tous empoisonnés, on serait déjà tous mourus par empoisonnement.
00:28:49Voilà, non mais, est-ce que vous réalisez à quel point ils trichent ?
00:28:53Je veux dire, le crédit mutuel qui bidonne son bilan.
00:28:57Alors, bien entendu, la banque n'a pas appliqué les planchers fixés par la BCE
00:29:01pour calculer le risque de crédit de certaines expositions.
00:29:05Gros sous-merdeux, ils ont complètement bidonné leur truc, tout simplement.
00:29:10C'est quand même pas compliqué.
00:29:12Là, crédit mutuel, une banque qui appartient peut-être à ses clients
00:29:15mais qui est dirigée par des marlous
00:29:18qui ont truandé leur bilan pour tromper leurs collègues de la BCE,
00:29:21quand même, qui sont quand même un cran au-dessus dans la tricherie.
00:29:26Ils ne vont pas apprendre à la BCE comment bidonner le bilan.
00:29:30Et donc, les mecs de la BCE se sont vraiment énervés
00:29:33parce que là, ils nous prennent pour des bips.
00:29:35Donc, on va leur mettre une amende, bam, voilà, crédit mutuel.
00:29:39La banque qui, soi-disant, appartient...
00:29:40Non, elle ne vous appartient pas, c'est des grosses conneries
00:29:42parce qu'en plus, si la banque coule, vous êtes obligés de payer, je pense.
00:29:46On en a déjà parlé de ça, je crois.
00:29:47– Est-ce que le crédit mutuel n'avait pas racheté le Crédit du Nord ?
00:29:51– Non, c'est Société Générale. – Ah, c'est la Société Générale.
00:29:53– Crédit Nord, c'était une banque formidable.
00:29:56– Oui. – C'était une banque absolument formidable.
00:29:58– Elle est brûle. – Elle est brûle.
00:30:00Mais attends, moi, je connaissais Pierre Simon
00:30:02qui était le grand patron du Crédit Nord.
00:30:04Je veux dire, c'était des banquiers...
00:30:06Enfin bon... – Alors, Pierre...
00:30:07– C'est une autre époque. – Oui.
00:30:09– C'est une autre époque.
00:30:10– Alors, nous allons faire une pause.
00:30:12Et après la pause, j'aimerais que nous allions...
00:30:14– Je vais retour dans le futur, je vais prendre une voiture,
00:30:17je vais partir dans le futur, tout est...
00:30:19En ce moment, de toute façon, tout est...
00:30:20Je veux dire, quand je vois les banquiers qui bidonnent leurs bilans
00:30:23et qui présentent leurs bilans à d'autres banquiers, en plus...
00:30:25– Oui, oui, bien sûr.
00:30:26– C'est dingue, tu vois, c'est complètement fou.
00:30:28– Alors, Pierre... – Incroyable.
00:30:30– J'aimerais, après la pause, que nous allions maintenant
00:30:32nous interroger sur les formidables déficits,
00:30:35non pas des banques, mais des budgets publics,
00:30:38et qui, pour la première fois, je crois,
00:30:42le Mozart de la finance s'est heurté au mur de la dette.
00:30:46Et ça a des conséquences.
00:30:48– Mais ils sont fous.
00:30:49– Alors, vous dites en effet... – Ils s'en moquent.
00:30:51Mais Macron, mais ça, il s'en moque.
00:30:53Mais c'est...
00:30:55Nous allons chercher des...
00:30:57– Sarkozy, Macron, même combat.
00:31:00D'ailleurs, vous avez vu la déclaration de Sarkozy ?
00:31:01J'ai cru que c'était le 1er avril.
00:31:03Mais on n'est pas le 1er avril.
00:31:04– Non, on s'y réfère.
00:31:05– On a déjà longtemps dépassé le 1er avril.
00:31:07Il a dit que Gabriel Attal ferait un très bon futur président.
00:31:11– Waouh. – Voilà.
00:31:13– Pourquoi pas ? – Pause.
00:31:14– Pause.
00:31:15– Alors, mon cher Pierre, le mur de la dette.
00:31:22Le mur de la dette, il n'est pas seulement en France.
00:31:25Aux États-Unis, c'est aussi un vrai problème.
00:31:28– Ils ont 34 milliards de dettes.
00:31:30Et à cause de ça, ils ont absolument besoin de déclencher des guerres.
00:31:33Voilà.
00:31:34Je l'ai toujours dit.
00:31:35On en a parlé ensemble.
00:31:37On a été prophète, pour le coup.
00:31:39On en a parlé quand on avait fait une émission
00:31:43sur Hitler ou la vengeance de la planche à billets.
00:31:46– Oui, mais pour l'instant, les Américains n'ont pas les moyens
00:31:48puisque le Congrès leur refuse les moyens pour aider l'Ukraine.
00:31:53Donc, ils préfèrent faire tuer les Européens.
00:31:56– Oui, absolument, c'est nous.
00:31:57Mais justement, les agriculteurs français ont été sacrifiés.
00:32:00Ils ont été sacrifiés puisque l'Europe et la France
00:32:06ont été inondées du poulet ukrainien et d'autres produits agricoles,
00:32:10d'ailleurs, au quart du prix, grosso modo,
00:32:12dont les normes sanitaires ne comptent.
00:32:14D'ailleurs, il n'y a pas de normes sanitaires.
00:32:17Avec zéro norme sanitaire, c'est logique, c'est ukrainien, c'est corrompu.
00:32:22Alors que les agriculteurs français, eux, on les embête
00:32:27avec tout un tas d'obligations à respecter, etc.
00:32:30Et du coup, ils ne peuvent même plus vendre leur poulet.
00:32:33Non, mais c'est monstrueux.
00:32:34Ce que fait Macron, Macron est un traître à la France.
00:32:38Je le vois dans ma revue de presse.
00:32:41De toute façon, depuis Sarkozy, il n'y a plus que des traîtres.
00:32:45La France est vassalisée.
00:32:47C'est une succursale de l'Amérique.
00:32:50Mais Philippe Meurer, vous le citez, que nous avons reçu sur Plateau,
00:32:55a montré que les macronistes sont des agents d'étrangers, finalement.
00:32:59Et ils n'ont pas d'hypothétiques agents russes,
00:33:05qui seraient quelque part au RN ou que sais-je encore,
00:33:08mais des traîtres au service de l'Amérique.
00:33:13C'est là qu'en fait, justement, vous faites très bien de soulever ce point.
00:33:17Quand il y avait des espions français,
00:33:20c'était les Russes, eux, ils essaient leur idéologie,
00:33:24on va dire, la grande Russie, bla bla, etc.
00:33:26Alors que les Américains, eux, ils veulent nos entreprises.
00:33:29Je ne dis pas que ça, c'est deux mondes différents.
00:33:32Bien sûr.
00:33:32Avec technique.
00:33:33Mais bien sûr.
00:33:34Et alors, Mme Sylvie Goulard, vous vous souvenez de Mme Goulard,
00:33:39payée par une officine de l'Assemblée nationale ?
00:33:41J'avais espéré qu'elle me fasse un procès, justement.
00:33:43Non, elle ne vous fait pas un procès.
00:33:45Elle a été payée par la CIA.
00:33:47Elle a été nommée vice-gouverneure de la Banque de France.
00:33:49Qui l'ont virée.
00:33:51La Banque de France, rappelez-vous, on l'avait donnée ici.
00:33:53Ils l'ont virée, surtout pas de vagues, le 31 décembre, de mémoire.
00:33:57Voilà, absolument.
00:33:59Alors, c'est quand même très inquiétant parce que,
00:34:03comment vous dire,
00:34:05les bruits de bottes augmentent côté Ukraine.
00:34:10Mais surtout côté russe.
00:34:12Côté russe aussi, oui.
00:34:14C'est le côté russe, effectivement.
00:34:16Alors, moi, je vous donne, parce que ceci explique cela,
00:34:18la dette mondiale est montée à 313 trilliards d'euros.
00:34:22Pendant que le Dow Jones et les CAC 40 se gossent de leurs résultats toujours en hausse,
00:34:26il existe un autre chiffre qui vient contredire cette exubérance typique.
00:34:30Parce que moi, ça me rappelle typiquement 2006-2007.
00:34:34Cette exubérance de la Bourse.
00:34:36C'est exactement la même chose.
00:34:38C'est la même chose, celui de la dette.
00:34:40C'est-à-dire qu'ils ont tellement imprimé de fausses monnaies de partout
00:34:44que, effectivement, ça se transforme en dette colossale.
00:34:52C'est ce que j'ai montré dans le livre.
00:34:54C'est-à-dire que toute fausse monnaie requiert,
00:34:56parce que quand il n'y a plus l'or ou l'argent pour la stabiliser,
00:35:00c'est le marbre des tombes qui vient la stabiliser.
00:35:02C'est aussi simple que ça.
00:35:04Donc là, c'est du 26 février.
00:35:06Vous allez retrouver le graphique.
00:35:08Même les Américains, ils sont étranglés par leurs propres dettes.
00:35:12Littéralement.
00:35:1434 trillions.
00:35:16Vous réalisez ?
00:35:18Donc ils vont déclencher des guerres.
00:35:20Je l'ai toujours dit.
00:35:22Et Macron, lui, a définitivement transformé la France.
00:35:24Regardez.
00:35:26Emmanuel Macron a endetté chaque Français de 12 000 euros en 7 ans.
00:35:28Avec une augmentation de plus de 800 milliards de dettes publiques.
00:35:30Et un déficit record de 5,5 en 2023.
00:35:32La France est en faillite.
00:35:34La France est en faillite.
00:35:36Mais c'était prévisible.
00:35:38Je le dis depuis 2008.
00:35:40Ce n'était pas compliqué.
00:35:42Je ne comprends pas.
00:35:44Lorsque Macron arrive au pouvoir,
00:35:46tout le monde dit c'est un banquier,
00:35:48c'est un libéral,
00:35:50il va assainir les finances publiques.
00:35:52Vous allez voir ce que vous allez voir.
00:35:54On a pris 900 milliards de plus de dettes.
00:35:56Et il avait dit, avec le numérique,
00:35:58on va supprimer 120 000 emplois dans la fonction publique.
00:36:00Et bien, depuis que Macron est au pouvoir,
00:36:03on a gagné 60 000 emplois supplémentaires
00:36:05dans la fonction publique
00:36:07qui viennent s'ajouter aux 6 millions de fonctionnaires.
00:36:09Mais attendez, regardez.
00:36:11Je cite un monsieur qui s'appelle Franck Le Bourgeois.
00:36:13C'est un informaticien.
00:36:15Il m'a dit,
00:36:17je n'arrête pas de le signaler sur Twitter,
00:36:19sur X, à Bruno Le Maire.
00:36:21Pardon.
00:36:23Bruno Le Maire a fait n'importe quoi avec notre argent.
00:36:25Il a emprunté 250 milliards,
00:36:27indexé sur l'inflation,
00:36:29soit 11% de notre dette.
00:36:31Cela va nous coûter
00:36:33plus de 40 milliards
00:36:35à rembourser, rien que les intérêts.
00:36:37Et Bruno Le Maire vient à la télé
00:36:39en le disant en français,
00:36:41il faut faire des économies,
00:36:4320 milliards, machin.
00:36:45Mais attend,
00:36:47c'est 40 milliards juste sur les intérêts ?
00:36:49Mais c'est monstrueux.
00:36:51Ils sont en train de mentir aux Français,
00:36:53de les balader,
00:36:55de les prendre pour des abrutis.
00:36:57Et pendant ce temps-là,
00:36:59on nous dit que l'inflation baisse,
00:37:01qu'elle est tombée à 2,4.
00:37:03Alors, que pensez-vous de ce chiffre ?
00:37:05Il me semble que
00:37:07ça peut être vrai dans certains domaines,
00:37:09mais pas au supermarché,
00:37:11pas en alimentaire.
00:37:13Les Français continuent d'expérimenter
00:37:15le prix du chariot témoin,
00:37:17puisqu'il existe.
00:37:19Ah mais la Voix du Nord,
00:37:21on salue nos collègues de la Voix du Nord.
00:37:23Alors on va le voir derrière nous,
00:37:25on va mettre leur photo.
00:37:27C'est pas le Courrier de l'Ouest, plutôt ?
00:37:29Non mais il y a aussi la Voix du Nord,
00:37:31qui est la Voix du Nord à son chariot,
00:37:33c'est-à-dire qu'ils font leur course.
00:37:35Le chariot témoin.
00:37:37C'est le chariot témoin depuis des années.
00:37:39Alors qu'est-ce que vous avez, vous ?
00:37:41Parce que moi, j'ai le Courrier de l'Ouest,
00:37:43qui a à jour les prix de son chariot de cours témoin,
00:37:45dans un supermarché de l'agglomération d'Angers.
00:37:47Eh bien, évidemment,
00:37:49le ticket de caisse a augmenté
00:37:51de 13,74%.
00:37:53Oui, mais très très loin de l'offre.
00:37:55Oui, mais très très loin de l'offre officielle.
00:37:57Moi, j'aime pas ces moyens de pondérer,
00:37:59ça veut rien dire.
00:38:01Parce que si vous regardez bien leurs papiers,
00:38:03ils vous disent que le beurre a pris 40%,
00:38:05le papier toilette a pris 30%,
00:38:07et en fait, tous les trucs
00:38:09dont on a besoin régulièrement,
00:38:11qu'on achète régulièrement,
00:38:13tous ces produits-là ont pris 30% ou 20%.
00:38:15Oui.
00:38:17Non mais c'est ça.
00:38:19Et donc aujourd'hui, les gens sont pris à la gorge,
00:38:21littéralement.
00:38:23La liste que vous avez faite n'est pas terminée.
00:38:25Les steaks, les poireaux,
00:38:27l'huile de tournesol, la lessive,
00:38:2940% plus, les pâtes,
00:38:31la crème fraîche, le lait,
00:38:33le papier toilette, ça vous l'avez cité,
00:38:35les sacs poubelles, les frites surgelées,
00:38:37encore le café et les couches pour bébé.
00:38:39Progression de 15 points pour frôler 30 points
00:38:41dans certains cas.
00:38:43Mike Borowski a fait un tweet là-dessus aussi.
00:38:45Est-ce que Macron va réussir
00:38:47ce nouvel exploit
00:38:49d'augmenter de 1 000 milliards
00:38:51par la dette d'ici 2027 ?
00:38:53Ce type a pour objectif de nous rendre
00:38:55si insolvable,
00:38:57c'est bien vu ça,
00:38:59qu'en 2027, si personne ne l'arrête,
00:39:01on mangera des cailloux et ce sera un festin.
00:39:03Non mais c'est surtout.
00:39:05Et Dupont-Aignan a fait une super vidéo.
00:39:07Ah oui, j'ai vu, oui.
00:39:09Et il y a l'humoriste Naïm qui a fait
00:39:11une vidéo contre Bruno Le Maire
00:39:13exceptionnelle, mais exceptionnelle.
00:39:15Parce que...
00:39:17Et moi je leur dis,
00:39:19dressez déjà la liste
00:39:21de ce qu'on pourra vendre.
00:39:23La Joconde, les Raphaël,
00:39:25on a des super Raphaël,
00:39:27les Léonard de Vinci, la Tour Eiffel,
00:39:29l'Art de Triomphe, la Pyramide du Louvre, etc.
00:39:31Histoire d'être prêts pour la faillite généralisée
00:39:33à la grecque.
00:39:35Et justement.
00:39:37La Grèce continue de vendre ses îles.
00:39:39On va voir derrière nous.
00:39:41Les Belges, le Paradisiaque.
00:39:43Voilà, tiens.
00:39:45Ça date du 2 avril.
00:39:47On va pouvoir le vérifier.
00:39:49Endettés jusqu'à la Gorge,
00:39:51jusqu'en 2065, la Grèce est contrainte
00:39:53de vendre encore et encore ses îles.
00:39:55Donc nous, on va vendre nos îles
00:39:57au bord de l'Atlantique. On va vendre l'île de Ré.
00:39:59– Mais alors, à qui vendent-elles ?
00:40:01À des personnes privées
00:40:03ou à des Etats ?
00:40:05Ou à des banques ?
00:40:07– Elles vendent prix de demande.
00:40:09Alors là, par exemple, île à vendre
00:40:11au nord-est de Chios, pas de villa,
00:40:13mais trois églises avec des voisins,
00:40:15sur l'île voisine.
00:40:17Donc prix demandé, 3,5 millions d'euros.
00:40:19Qui, croyez-vous, qui va acheter ça ?
00:40:21C'est uniquement les ultra-riches.
00:40:23– Les oligarques.
00:40:25– Des oligarques russes,
00:40:27d'Asie centrale,
00:40:29ou américains, etc.
00:40:31Voilà, ils vont s'acheter leurs îles.
00:40:33Ils veulent tous imiter Bezos et compagnie.
00:40:35Ou Virgin, Branson,
00:40:37qui avait son île.
00:40:39– Qui s'est installé.
00:40:41Alors,
00:40:43il y avait un milliardaire français
00:40:45qui avait acheté son île.
00:40:47C'était le patron de Ricard.
00:40:49– Ah oui ? Il l'a acheté où ?
00:40:51– L'île des Ambiers.
00:40:53– D'accord.
00:40:55– En Provence.
00:40:57L'île des Ambiers lui appartenait.
00:40:59– Alors, vous savez,
00:41:01il y avait Jean-Marc Sylvestre
00:41:03qui a fait un scandale,
00:41:05mais c'était énorme.
00:41:07Attends, il touche 9 000 euros
00:41:09de retraite grâce à TF1
00:41:11C'est tout à fait incroyable.
00:41:13À la main, Jean-Marc Sylvestre,
00:41:15même combat. Ils sont totalement déconnectés.
00:41:17Moi, j'ai eu comme chef de service
00:41:19Jean-Marc Sylvestre pendant un temps,
00:41:21c'était l'ultralibéral.
00:41:23C'est-à-dire que pendant 20 ans,
00:41:25sur TF1, vous n'avez eu que
00:41:27de l'économie ultralibérale,
00:41:29des commentaires ultralibéraux.
00:41:31Regardez où nous en sommes aujourd'hui.
00:41:33– Bien sûr.
00:41:35– La France est totalement endettée
00:41:37grâce à tous ces ultralibéraux quand même.
00:41:39Alors, j'ai vu aussi une information
00:41:41que je vous ai passée.
00:41:43– C'est terrible.
00:41:45– Le livret A. Vous avez parlé du livret A tout à l'heure.
00:41:47– Oui, vous l'avez.
00:41:49– Le Sénat a adopté le texte sur le financement
00:41:51des entreprises de la défense par le livret A.
00:41:53– Ben oui, il l'a déclaré, Macron.
00:41:55En fait, ils veulent prendre l'argent
00:41:57du livret A pour favoriser...
00:41:59Alors, n'oubliez pas l'emballage
00:42:01sémantique.
00:42:03– Très important.
00:42:05– Très important. Mais grosso modo,
00:42:07l'argent, votre argent, celui que vous avez
00:42:09malencontreusement mis, tant pis pour vous,
00:42:11sur votre livret A,
00:42:13ils vont le donner
00:42:15à des fabricants d'armes
00:42:17pour fabriquer des armes,
00:42:19pour qu'on l'envoie
00:42:21comme il s'appelle, à Zelensky,
00:42:23qui est aidé dans les Panama Papers.
00:42:25– Oui, bien sûr.
00:42:27Corrompu jusqu'à l'os.
00:42:29– Un arnaqueur de premiers, fiscal, etc.
00:42:31Mais agent de la CIA.
00:42:33Vous avez le papier de la CIA, justement ?
00:42:35On a vu tous les...
00:42:37Ah si, je le vois.
00:42:39Tatatata, puisqu'on est dans le sujet.
00:42:41Tiens.
00:42:43Philippe Murer, justement,
00:42:45il a montré que le député macroniste
00:42:47Benjamin Haddad, donc là, vous avez le PDF,
00:42:49ça a dû le 11 mars,
00:42:51a touché 600 000 euros
00:42:53d'officines atlantistes américaines.
00:42:55600 000 euros ?
00:42:57Ah, ça paye bien, le traître.
00:42:59– Le lobbying.
00:43:01– Non, moi, j'appelle ça...
00:43:03Ce sont les macronistes
00:43:05qui sont des agents de l'étranger.
00:43:07Et non d'hypothétiques agents russes
00:43:09– Oui, c'est ce qu'on disait tout à l'heure.
00:43:11– de Marine Le Pen
00:43:13ou d'autres prétendus poutilonnâtres.
00:43:15Que ces traîtres dégagent,
00:43:17dit Philippe Murer.
00:43:19– Oui, mais il faut aller plus loin.
00:43:21– Donc ça a ajouté à Sylvie Goulard
00:43:23que moi, j'ai pas arrêté
00:43:25de marteler.
00:43:27– Mais en plus, non seulement
00:43:29le livreur A peut financer
00:43:31ou bénéficier de l'Ukraine,
00:43:33mais l'Ukraine ne peut plus payer.
00:43:35C'est ça, le problème.
00:43:37– Là, c'est parce que le Congrès américain
00:43:39ne veut plus donner d'argent.
00:43:41Donc, que fait Washington ?
00:43:43Il nous force, nous, à payer
00:43:45les armes pour Zelensky.
00:43:47– D'accord.
00:43:49– C'est ça, le truc.
00:43:51Alors, tiens, justement, de son côté,
00:43:53Hector Comte a vu que même
00:43:55Rokhaya Diallo...
00:43:57– Oui, on se souvient.
00:43:59– Voilà, qui passe son temps à cracher
00:44:01sur la France, est désormais payé
00:44:03par les Américains.
00:44:05Donc, voir ici, sur The World.
00:44:07Alors, moi, je trouve ça remarquable,
00:44:09toutes ces associations américaines
00:44:11qui payent des activistes français,
00:44:13tels Robert Ménard, du temps où,
00:44:15au nom de la presse, il menait campagne
00:44:17contre la Chine. Bien entendu,
00:44:19ça faisait les affaires des Américains.
00:44:21Et pour finir en beauté, la politique
00:44:23de la santé, je vous le rappelle,
00:44:25cher téléspectateur, elle a été donnée
00:44:27à Ben, officine du Mossad.
00:44:29– Voilà.
00:44:31– Donc maintenant, vous savez exactement
00:44:33qui contrôle la France.
00:44:35On va se faire des amis, là.
00:44:37– Certainement.
00:44:39Alors, simplement,
00:44:41dans la foulée
00:44:43de cette influence américaine
00:44:45et de cette guerre en Ukraine,
00:44:47il y a quand même
00:44:49un vrai problème.
00:44:51Je ne comprends pas, moi,
00:44:53comment on peut être
00:44:55en déficit à ce point
00:44:57et financer la guerre en Ukraine.
00:44:59– Ils s'en foutent.
00:45:01C'est le peuple, ils prennent l'argent du peuple.
00:45:03Ils prennent notre argent.
00:45:05Attendez, moi, je vous rappelle qu'en 2007-2008,
00:45:07les gouvernements ont décidé
00:45:09de prendre l'argent du peuple
00:45:11pour sauver les banques.
00:45:13Là, c'est exactement la même chose.
00:45:15On prend l'argent des peuples européens
00:45:17pour le donner aux Ukrainiens.
00:45:19C'est un scandale.
00:45:21– Vous voyez, ça me fait éternuer.
00:45:23Je comprends, mais c'est une anarchie.
00:45:25Voilà.
00:45:27Vous avez vu ce général, là, sur BFM,
00:45:29qui vient expliquer que, oui,
00:45:31il faut envoyer nos troupes en Ukraine.
00:45:33Ce sont, c'est eux, les vrais porte-parole
00:45:35de la CIA de Washington.
00:45:37Et encore, moi, je ne fais pas le reproche
00:45:39à la CIA, c'est des fonctionnaires.
00:45:41C'est des fonctionnaires qui travaillent
00:45:43pour leur gouvernement.
00:45:45C'est absolument phénoménal.
00:45:47– Alors, vous parlez d'information aussi.
00:45:49Il y a dans le domaine de l'information
00:45:51de signaux intéressants.
00:45:53– Ah oui, là, on voit.
00:45:55Ça mériterait une émission à part.
00:45:57– L'affaire BFM.
00:45:59– Drahi.
00:46:01– Vendue par Drahi.
00:46:03Altice est très embêtée.
00:46:05Et rachetée par M. Saadé.
00:46:07– Non, mais attendez, parce que là...
00:46:09– Et M. Saadé a reçu
00:46:11les instructions très précises
00:46:13de M. Macron.
00:46:15– Non, mais Macron a tordu le bras à Drahi.
00:46:17Parce que juste avant le rachat,
00:46:19juste une semaine avant,
00:46:21chez Drahi, chez Altice France,
00:46:23il y a eu une descente de police
00:46:25du parquet financier.
00:46:27Grosse descente de police.
00:46:29Pendant que les tractations se faisaient.
00:46:31Donc là, Drahi, il est acculé.
00:46:33On en a parlé ensemble.
00:46:35Vous voyez, c'est en train de se passer.
00:46:37J'ai l'impression qu'on s'était marré
00:46:39avec la descente de police au Portugal.
00:46:41– Oui, absolument.
00:46:43– Écoutez bien, parce que ça,
00:46:45c'est génial.
00:46:47J'ai toujours dit que Drahi
00:46:49était un Robert Maxwell Biss.
00:46:51Autrement dit, un agent du...
00:46:53C'est marrant, cette émission,
00:46:55elle est passée sous le trou
00:46:57des espions-traîtres.
00:46:59Ça fait maintenant des mois
00:47:01qu'on parle dans cette revue de presse,
00:47:03et même avec vous ici.
00:47:05Mais cette fois, ça y est,
00:47:07Patrick Drahi a commis l'irréparable.
00:47:09Écoutez bien.
00:47:11Il a demandé aux fournisseurs
00:47:13et banquiers d'Altice France,
00:47:15etc., de tirer un trait
00:47:17sur les 20 milliards d'euros
00:47:19qu'il leur doit.
00:47:21Du coup, j'ai titré ça
00:47:23« Patrick Drahi est bien un vendeur
00:47:25de téléphones à une jambe ».
00:47:27Parce que c'était la blague
00:47:29de Jacques Attali,
00:47:31qui se moquait des cathos.
00:47:33On va la passer, là.
00:47:35C'est intéressant.
00:47:37Comment arnaquer Christian ?
00:47:39– C'est Chlomo qui téléphone à David.
00:47:41On lui dit « Écoute, j'ai une affaire
00:47:43formidable pour toi.
00:47:45Un camion de pantalons, voilà,
00:47:471 dollar. Tu les veux ?
00:47:49Formidable. »
00:47:51David prend les pantalons,
00:47:53téléphone à Jonathan,
00:47:55et lui dit « Écoute, j'ai une affaire
00:47:57formidable pour toi.
00:47:59Un camion de pantalons,
00:48:012 dollars. Tu les veux ?
00:48:03Formidable. »
00:48:05Jonathan téléphone à Shaul,
00:48:07qui lui propose 3 dollars,
00:48:09et l'histoire continue.
00:48:11– Je lui dis « Écoute, tu es vraiment un escroc.
00:48:13– Comment je suis un escroc ?
00:48:15– Tu m'as vendu 49 dollars des pantalons.
00:48:17– Immétable.
00:48:19– Tu sais très bien, j'ai ouvert le camion,
00:48:21il y avait des pantalons, il n'y avait qu'une jambe.
00:48:23Qu'est-ce que tu veux que je fasse avec des pantalons ?
00:48:25Personne ne veut mettre des pantalons qui ont une jambe.
00:48:27– Je n'ai rien compris, ce n'est pas fait pour mettre,
00:48:29c'est fait pour acheter, pour vendre, pour acheter.
00:48:31– Donc c'est le pantalon à une jambe,
00:48:33là c'est le téléphone à une jambe.
00:48:35Donc là, littéralement, alors là je cite
00:48:37à Nice, la Genève.
00:48:39Alors quand il était à SG, il n'a rien dit,
00:48:41quand il y avait l'affaire.
00:48:43Et puis maintenant, dix ans après,
00:48:45M. Ouïs il s'est réveillé.
00:48:47Mais bon, il dit « SFR, qui perd plusieurs centaines
00:48:49de milliers de clients chaque trimestre,
00:48:51propose à ses créanciers
00:48:53– J'adore.
00:48:55– de renoncer à un tiers de leurs créances. »
00:48:57– Oh oui. Bien sûr.
00:48:59– La méthode drahite.
00:49:01– Alors il n'y a pas que…
00:49:03– Mais c'était tellement évident,
00:49:05c'était tellement prévisible,
00:49:07mais c'était tellement évident.
00:49:09– Oui, on le savait depuis,
00:49:11ça lui pendait au nez.
00:49:13– Attends, en plus, SFR là,
00:49:15mais ils vont être…
00:49:17Mais c'est une catastrophe, SFR,
00:49:19c'est une catastrophe.
00:49:21– Alors, il n'y a pas que BFM et Drahi,
00:49:23on s'aperçoit qu'aux États-Unis…
00:49:25– Attends, je finis, pardonnez-moi,
00:49:27je finis de citer la Genève,
00:49:29la Inef, je ne sais pas comment
00:49:31on prononce ce nom, peu importe.
00:49:33Drahi est un escroc qui, après s'être enrichi
00:49:35totalement, met en danger les salariés
00:49:37et les banques qui lui ont fait confiance.
00:49:39Voilà.
00:49:41Non mais c'est quand même incroyable, quoi.
00:49:43– Oui. – Et le propriétaire,
00:49:45donc là c'était Bloomberg, je crois,
00:49:47le propriétaire de Altice,
00:49:49SFR, a lancé la semaine dernière
00:49:51un plan de restructuration aux allures
00:49:53de dernière planche de salut face
00:49:55à une dette colossale qui culminait
00:49:57à 60 milliards d'euros.
00:49:59Bref, moi je pense qu'Altice
00:50:01et Enron, bientôt c'est Enron,
00:50:03s'ils ne sont pas sauvés,
00:50:05ça va être terrible.
00:50:07D'ailleurs, Bloomberg,
00:50:09les obligations de Altice
00:50:11ont été échangées à 79 centimes
00:50:13pour 1 dollar.
00:50:15Donc c'est un haircut de quasiment 21%.
00:50:17– Oui mais je m'interroge.
00:50:19– C'est énorme.
00:50:21– Les cabinets de notation Standard & Poor's…
00:50:23– Arrêtez avec ça.
00:50:25– Qu'est-ce qu'ils ont ?
00:50:27– Attends, Standard & Poor's, Moody's,
00:50:29je vous rappelle, c'est les trois
00:50:31plus grands responsables de la crise
00:50:33de 2007-2008.
00:50:35– Oui, bien sûr, mais pour Enron,
00:50:37ils avaient annoncé que tout allait bien.
00:50:39– Exactement, mais bien sûr.
00:50:41– Et une semaine après, bon.
00:50:43Alors il y a d'autres secteurs
00:50:45de l'information qui sont touchés
00:50:47et aux États-Unis, le Wall Street Journal
00:50:49perd des clients.
00:50:51– Vous l'avez ?
00:50:53– Je l'avais.
00:50:55– Attends, moi j'ai des trucs médias là.
00:50:57– J'ai pas mal de…
00:50:59– Il y a tellement d'informations.
00:51:01Mais quand même, c'est nouveau, ça.
00:51:03– Attends, je vais vous faire la liste,
00:51:05ça va être plus simple, regardez.
00:51:07– Allez-y.
00:51:09– Écoutez bien parce que c'est génial
00:51:11et justement c'est la raison pour laquelle
00:51:13vous devez soutenir TV Liberté
00:51:15et ma revue de presse.
00:51:17– J'adore.
00:51:19– C'est vraiment très important
00:51:21parce que nous on vous donne les infos
00:51:23que justement on ne vous donne pas, regardez.
00:51:25CNN, la fameuse chaîne CNN américaine
00:51:27qui a participé dans des médias
00:51:29lors de la première guerre du Golfe.
00:51:31Quelques 30 ans plus tard,
00:51:33ses scores sont si bas
00:51:35qu'ils ont été dépassés par History Channel.
00:51:37C'est-à-dire Humiliation Suprême,
00:51:39une petite et obscure chaîne du câble
00:51:41qui diffuse des vieux westerns
00:51:43des années 50,
00:51:45donc en fait des westerns qui ne leur coûtent rien
00:51:47ou qui doivent coûter 50 euros
00:51:49à la diffusion,
00:51:51a dépassé la médiamétrie de CNN.
00:51:53– C'est incroyable, ça.
00:51:55– Non mais je ne sais pas si vous réalisez.
00:51:57– C'est-à-dire que ça veut dire quoi ?
00:51:59Ça veut dire que aussi bien
00:52:01de ce côté-ci de l'Atlantique
00:52:03que de l'autre côté,
00:52:05les gens savent qu'on leur ment.
00:52:07– Mais bien sûr.
00:52:09– Savent qu'on leur ment.
00:52:11– Enfin pas nous.
00:52:13– Enfin ils leur mentent.
00:52:15– Oui bien sûr.
00:52:17Et l'information, donc évidemment,
00:52:19ils vont la chercher ailleurs.
00:52:21– Non mais attends.
00:52:23Regardez bien.
00:52:25Nous, notre émission, la revue de presse,
00:52:27la plus regardée,
00:52:29c'est celle de la rentrée de septembre.
00:52:31Et regardez bien.
00:52:37Alors CNN a une moyenne
00:52:39de 538 000 téléspectateurs
00:52:41par soir dans le créneau
00:52:43du 20h à 23h
00:52:45pendant la période des 7 jours
00:52:47du 15 au 21 janvier,
00:52:49selon des dernières données
00:52:51compilées par Nielsen.
00:52:53Alors le panier Nielsen.
00:52:55Alors à mon humble avis,
00:52:57c'est ce que je dis,
00:52:59sur ces 500 000 la moitié
00:53:01et le résultat de télés
00:53:03qui sont dans les hôtels
00:53:05qui, une fois allumés,
00:53:07affichent CNN tout le temps
00:53:09dans les aéroports, les cafés,
00:53:11le machin, etc.,
00:53:13un demi-million de vues
00:53:15pour une chaîne qui est diffusée
00:53:177 jours sur 7, 24h sur 24
00:53:19fait plus que 500 000
00:53:21avec notre émission
00:53:23du mois de septembre.
00:53:25On fait plus que CNN.
00:53:27Donc là, on voit bien qu'il se passe
00:53:29quelque chose d'absolument phénoménal.
00:53:31Les gens se détournent
00:53:33totalement.
00:53:35Ils ont compris qu'ils l'ont manqué.
00:53:37Des médias de grand chemin.
00:53:39Rappelez-vous le groupe Maxwell.
00:53:41Poutine a un cancer.
00:53:43Poutine va être assassiné
00:53:45par ses gardes du corps.
00:53:47Poutine a un deuxième cancer.
00:53:49Poutine tremble.
00:53:51Poutine ne peut pas contrôler
00:53:53sa jambe qui tremble également
00:53:55et ainsi de suite.
00:53:57J'ai vu ça depuis deux ans.
00:53:59C'est que ça.
00:54:01C'est le groupe Maxwell aux ordres
00:54:03de Washington.
00:54:05Poutine apparaît à la télé.
00:54:07Il ne tremble pas.
00:54:09Il a l'air tout à fait normal.
00:54:11Il est rose, on dirait un gros bébé.
00:54:13Il n'a pas l'air malade.
00:54:15Les gens se rendent compte
00:54:17que les médias CNN leur ment.
00:54:19Le groupe Maxwell leur ment
00:54:21en permanence.
00:54:23On parlait du Wall Street Journal.
00:54:25Oui.
00:54:27Il y avait de l'information,
00:54:29malgré tout,
00:54:31qui n'était pas toujours mauvaise.
00:54:33Elon Musk
00:54:35a publié
00:54:37un petit tweet
00:54:39sur X.
00:54:41Il a dit au revoir.
00:54:43Oui, on va le voir.
00:54:45Au Wall Street Journal.
00:54:47Est-ce que vous réalisez
00:54:49que le CNN, avec 500 millions de dollars
00:54:51de budget,
00:54:53avec seulement un demi-million de spectateurs
00:54:55dans le monde entier,
00:54:57c'est zéro spectateur en fait ?
00:54:59Plus personne
00:55:01ne regarde CNN.
00:55:03Il y a d'autres médias qui souffrent aussi
00:55:05aujourd'hui, des médias type mainstream.
00:55:07J'avoue.
00:55:09Tiens, je vais vous faire la liste.
00:55:11LCI est bien une chaîne TV pilotée
00:55:13par l'OTAN et la CIA, puisqu'on en parle.
00:55:15On va montrer derrière nous
00:55:17tous leurs invités.
00:55:19La liste est fabuleuse.
00:55:21On n'a que des hystériques
00:55:23ukrainiennes péroxidées.
00:55:25On se croirait dans un salon de coiffure ukrainien.
00:55:27Je vous assure.
00:55:29LCI, c'est devenu un salon de coiffure.
00:55:31Tellement c'est bas de gamme.
00:55:33C'est incroyable.
00:55:35Moi, je me marre.
00:55:37Quand je me repose un peu
00:55:39et je vois tous les péroxidées
00:55:41ukrainiennes et russes
00:55:43avec leur accent,
00:55:45en plus...
00:55:47Ne ratez pas ça.
00:55:49On a autre chose.
00:55:51Murdoch.
00:55:53Ah oui, que Poutine avait
00:55:55des doublures. Vous vous souvenez de ça ?
00:55:57Oui, la doublure de Poutine.
00:55:59Poutine a deux cancers, il ne passera pas l'année.
00:56:01Et ainsi de suite.
00:56:03Et donc, MSN
00:56:05et CNN se sont pris des gifles
00:56:07colossales. Vous allez voir
00:56:09l'image derrière nous, c'est du 22 janvier.
00:56:11Presse Gazette, on a une image
00:56:13qui illustre leur descente aux enfers.
00:56:15Le Wall Street Journal perd
00:56:1734 millions de visiteurs uniques.
00:56:1934 millions.
00:56:21À force d'être woke.
00:56:23À force de faire...
00:56:27On a l'impression que le monde entier
00:56:29est habité par des travestis.
00:56:31Non mais c'est bizarre.
00:56:33Ils sont tout le temps woke.
00:56:35Libération.
00:56:3737 000 par jour.
00:56:3937 000 publications.
00:56:41C'est incroyable.
00:56:4337 000, c'est rien du tout.
00:56:45Libération, récemment, s'est attaquée
00:56:47à un établissement privé.
00:56:49Un établissement de pauvres, figurez-vous.
00:56:51Vous savez pourquoi ?
00:56:53Parce que cet établissement
00:56:55végétait dans des classements assez médiocres.
00:56:57Et puis, ils se sont pris en main
00:56:59et ils se sont retrouvés dans les dix premiers.
00:57:01Immédiatement,
00:57:03l'annonce de libération
00:57:05permet à l'Éducation nationale
00:57:07de diligenter une enquête dans cette école.
00:57:09Non mais c'est piloté.
00:57:11Évidemment.
00:57:13Et je vous signale quand même que
00:57:15l'Éducation nationale n'a le droit
00:57:17que d'inspecter les professeurs.
00:57:19Ils n'ont pas à interroger les élèves, par exemple.
00:57:21L'inspecteur a témoin,
00:57:23Libération est pilotée par un ancien des services israéliens.
00:57:25Oui.
00:57:27Du Sinbet ou je ne sais pas quoi.
00:57:29Et vous souvenez du titre de...
00:57:31Oui, Teflon.
00:57:33Teflon ?
00:57:35Peut-être bien.
00:57:37On va mettre son nom.
00:57:39Vous vous souvenez du titre de Libération ?
00:57:41Voter Macron ?
00:57:43Non, mais lorsque l'Ekmer s'en parle de Nomben.
00:57:45Non, je me souviens de ça. Allez-y.
00:57:47Nomben, sept jours de fête
00:57:49pour la libération par l'Ekmer rouge.
00:57:51Mais ça a été un massacre.
00:57:53Trois millions de morts.
00:57:55Trois millions de morts.
00:57:57Mais c'est la presse de gauche.
00:57:59L'Ekmer rouge un jour.
00:58:01L'Ekmer rouge toujours.
00:58:03Oui, mais là, c'est entre les mains du Mossad.
00:58:05Je n'arrive pas à comprendre ce que fait le contre-espionnage.
00:58:07Allô, DCRI,
00:58:09mais qu'est-ce que vous faites ?
00:58:11Comment pouvez-vous laisser
00:58:13des anciens membres de services secrets israéliens
00:58:15prendre le contrôle de médias français ?
00:58:17Je l'ai dit maintes fois,
00:58:19Murdoch, pour acheter Fox News,
00:58:21a été obligé de renoncer à sa nationalité australienne
00:58:23et de devenir américain
00:58:25pour pouvoir acheter Fox News.
00:58:27DRAHI,
00:58:29puisqu'on est sur BFM,
00:58:31DRAHI a renoncé
00:58:33à sa nationalité française
00:58:35pour devenir israélien.
00:58:37Je le rappelle.
00:58:39Ce fourbe.
00:58:41C'est très bizarre,
00:58:43cette émission.
00:58:45C'est spécial.
00:58:47Espions, traîtres,
00:58:49et tout y contient.
00:58:51Alors tiens, puisqu'on est dans les médias,
00:58:53VICE,
00:58:55le groupe Médias VICE,
00:58:57écoutez bien,
00:58:59parce qu'on a eu VICE en France aussi,
00:59:01les mecs, c'était les rois du monde.
00:59:03On va conquérir le monde,
00:59:05VICE, machin, bidule, nous sommes le nouveau journalisme,
00:59:07etc.
00:59:09On va faire comme du Zola,
00:59:11le Zola réinventé.
00:59:13T'as raison.
00:59:15Au début, avec l'arrivée du digital,
00:59:17sa valeur avait été estimée,
00:59:19voici, disons, à 6 milliards de dollars.
00:59:21Par les experts.
00:59:23J'aime bien ces experts.
00:59:25Qui n'ont rien vu venir, comme dans leur habitude.
00:59:27Un média trop orienté
00:59:29finit toujours par mourir.
00:59:31C'est pas qu'il est trop orienté,
00:59:33moi je ne demande que ça.
00:59:35Qu'il y ait une presse de droite, de gauche, d'extrême-gauche, d'extrême-droite.
00:59:37Du moment que tout le monde donne les informations justes.
00:59:39Voilà.
00:59:41Et après, c'est les lecteurs qui font tri.
00:59:43Un journal, comme un écrivain,
00:59:45ne doit son succès qu'à ses ventes.
00:59:47Oui, mais Pierre, vous savez très bien
00:59:49que le jeu est totalement faussé en France.
00:59:51Depuis le soutien de l'État, oui.
00:59:53Voilà.
00:59:55C'est plus de...
00:59:57C'est des millions qui sont donnés
00:59:59aux journaux officiels.
01:00:01C'est contribuable.
01:00:03Là, c'est 6 milliards.
01:00:05Ils sont passés de 6 milliards en valeur boursière
01:00:07à zéro.
01:00:09Regardez bien qui finançait.
01:00:11La 20th Century Fox,
01:00:13Rupert Murdoch,
01:00:15la IU Network, c'est une co-entreprise
01:00:17de Disney, Hearst.
01:00:19Dans les dessins animés, pour enfants,
01:00:21il faut mettre des travestis, des domos,
01:00:23etc.
01:00:25C'est le côté woke, machin.
01:00:27Ensuite, il y a eu
01:00:29Technology Crossover
01:00:31qui a investi dedans. Walt Disney
01:00:33a considérablement maintenu son investissement dans Vice.
01:00:35George Soros...
01:00:37C'est le gang du 11 septembre.
01:00:39C'est incroyable.
01:00:41On trouve la même, mais c'est incroyable.
01:00:43Vous avez vu ? C'est complètement fou.
01:00:45George Soros, il est toujours
01:00:47dans tous les coups pourris.
01:00:49Pour pourrir la vie des gens, en fait.
01:00:51Ils sont disparus, alors ils n'existent plus.
01:00:53TPG Capital,
01:00:55ils ont mis
01:00:57450 millions de dollars.
01:00:59Là, ils auraient pris 450 millions de dollars
01:01:01comme Alice Cooper, sur la pochette
01:01:03de son disque. Ils auraient mis
01:01:05le feu que ça aurait fait exactement
01:01:07la même chose. Ils auraient gagné du temps.
01:01:09Ça me fait penser
01:01:11à une scène de la
01:01:13série sur Canal qui était géniale
01:01:15où les mecs sont obligés de se casser
01:01:17le gang des escrocs
01:01:19à la TVA, en Israël.
01:01:21Ils ont la police
01:01:23aux fesses.
01:01:25Du coup, ils déterrent, mais ils ont tellement d'argent liquide
01:01:27qu'ils ne savent plus quoi en faire
01:01:29et ils ne veulent pas être pris avec, donc ils le brûlent.
01:01:31Il y a Ramzi qui dit
01:01:33le carbone retourne au carbone.
01:01:35– Voilà, exactement.
01:01:37– Je recommande cette série, elle est extraordinaire.
01:01:39Vraiment, la série des
01:01:41des
01:01:43des arnaqueurs à la TVA.
01:01:45Tiens, justement,
01:01:47M. Bruno Lemaire, puisque vous cherchez des milliards,
01:01:49est-ce que vous pouvez récupérer
01:01:51les milliards qui ont été donnés, les millions
01:01:53qui ont été donnés à Netanyahou
01:01:55par les escrocs de Mimran,
01:01:57notamment Arnaud Mimran,
01:01:59qui a financé Netanyahou ?
01:02:01Non ? Parce que vous cherchez
01:02:03toujours à récupérer de la TVA,
01:02:05il faut aller la chercher, là.
01:02:07– Alors Pierre, on va conclure.
01:02:09On va conclure.
01:02:11– Mais il reste tout ça.
01:02:13– Mais malheureusement…
01:02:15– Il reste tout ça.
01:02:17– Oui, mais bien.
01:02:19Les téléspectateurs iront sur votre rue de presse.
01:02:21Comment est-ce qu'on pourrait conclure ?
01:02:23Moi, j'ai une petite dépêche que vous avez
01:02:25mise dans votre rue de presse,
01:02:27qui n'a pas grand-chose à voir avec nos médias,
01:02:29mais c'est un bout d'immeuble
01:02:31de luxe vendu un dollar à New York.
01:02:33– Oui, non, mais ça, c'est la crise
01:02:35de l'immobilier de bureau.
01:02:37– On en a déjà parlé, on en a parlé ensemble,
01:02:39mais maintenant, c'est gravissime.
01:02:41Regardez, tout ça, c'était l'immeuble.
01:02:43Ça, on n'a pas pu le vendre.
01:02:45Je vais voir exactement si je ne peux pas faire
01:02:47un podcast pour traiter toutes les infos
01:02:49qu'on n'arrive pas à faire.
01:02:51– On a quand même parlé de la faillite
01:02:53de l'assurance français, du bâtiment.
01:02:55– Oui, tout à fait, mais j'aurais
01:02:57entendu parler de ça, tiens, juste vite fait.
01:02:59Voilà, une économie qui roule
01:03:01consomme des pneus.
01:03:03Par définition, voilà.
01:03:05Et donc là, le fabricant allemand
01:03:07de pneus continentaux a décidé
01:03:09de licencier 7500 ouvriers de plus.
01:03:117500, voilà.
01:03:13Alerte rouge,
01:03:15car si Charles Gave
01:03:17avait pour habitude de dire
01:03:19une phrase très juste,
01:03:21que l'économie, c'est de l'énergie
01:03:23transformée, pour ma part,
01:03:25j'ai toujours déclaré que le pneu,
01:03:27c'est la santé.
01:03:29Bah oui, voilà.
01:03:31Une économie qui roule,
01:03:33on vend des pneus, voilà.
01:03:35Et donc là, pour le coup,
01:03:37il n'y a plus de pneus.
01:03:39Alors, il y a une arnaque,
01:03:41parce que la tribune,
01:03:43je ne sais plus qui,
01:03:45dit oui, mais c'est à cause
01:03:47des voitures électriques.
01:03:49Espèce d'abruti, depuis quand
01:03:51les voitures électriques,
01:03:53elles n'achètent pas de pneus ?
01:03:55C'est dingue !
01:03:57– Oui, mais il n'y a pas que continentaux.
01:03:59Vous faites la liste des entreprises
01:04:01pour moitié.
01:04:03X, France, 77 boutiques fermées.
01:04:05Superdit, France, vêtements
01:04:07fermes de boutique.
01:04:09Rennes, Brest, La Roche-sur-Yon,
01:04:11Langueux, etc.
01:04:1350 licenciements.
01:04:15– Mais ça n'arrête pas,
01:04:17toutes les chaînes.
01:04:19– Body Shop, Van Hool,
01:04:21Millie, France.
01:04:23– Mais ça n'arrête pas.
01:04:25– ThyssenFoods, US.
01:04:271200 salariés.
01:04:29Tout va bien.
01:04:31– Les gens n'ont plus d'argent ?
01:04:33– Oui.
01:04:35– Mais regardez bien.
01:04:37Donc là, ce n'est pas la tribune.
01:04:39C'est le communiqué de presse
01:04:41de Continental, grosso modo.
01:04:43Comme d'autres équipements
01:04:45anti-allemands, Continental
01:04:47fait face à la hausse
01:04:49des coûts de l'énergie
01:04:51de transition de son industrie
01:04:53vers la mobilité électrique.
01:04:55Ben si, c'est la tribune qui le dit.
01:04:57Vraiment, les Tesla n'ont pas de pneus.
01:04:59Mais en fait, les Allemands sont des lâches.
01:05:01Écoutez bien.
01:05:03Et des hypocrites, tenus par les Américains,
01:05:05en laissent. En réalité, ils ne veulent pas dire
01:05:07au public que leur industrie a été détruite
01:05:09par l'interdiction de vendre leur BMW,
01:05:11leur Mercedes, leur Audi, leur Porsche,
01:05:13leur Daimler, etc.
01:05:15à la Russie et à la Biélorussie.
01:05:17C'est aussi simple que ça.
01:05:19Moralité, Washington a déclenché
01:05:21des vagues de chômage massifs en Europe.
01:05:23Parce que quand ça ne va pas en Allemagne,
01:05:25en France, ça se passe encore plus mal.
01:05:27Je le rappelle.
01:05:29Et d'ailleurs, en France,
01:05:31déjà, c'est nos agriculteurs
01:05:33qui ont payé le prix de Washington.
01:05:35Mais il y a autre chose, regardez.
01:05:37Miel,
01:05:39Miel a licencié
01:05:41alors, combien ?
01:05:432 700 ouvriers.
01:05:45Miel, c'est la vaisselle de l'huile,
01:05:47c'est top.
01:05:49Miel garantit
01:05:51ces trucs 25 ans.
01:05:5325 ans sans panne.
01:05:55Miel.
01:05:57Et Bosch, son petit concurrent,
01:05:59alors, combien ils ont licencié ?
01:06:01Pour la vache, 3 500.
01:06:03C'est-à-dire qu'entre Bosch
01:06:05et Miel,
01:06:07c'est le principe Habitat.
01:06:09Vous vous souvenez, on a parlé d'Habitat ici.
01:06:11Et Playstation.
01:06:13Sony Playstation,
01:06:15ils ont licencié, je ne sais pas combien,
01:06:17900.
01:06:19900 ingénieurs.
01:06:21Parce que les parents ne peuvent plus offrir
01:06:23de cadeaux.
01:06:25Et vous savez qui vend
01:06:27l'électroménager en Europe et en France ?
01:06:29C'est Beko.
01:06:31Et Beko, c'est la Turquie.
01:06:33Mais Beko, c'est des super produits.
01:06:35Moi, j'ai vu les usines Beko en Turquie.
01:06:37C'est vrai ?
01:06:39Oui. Impeccable.
01:06:41Je vous garde le meilleur
01:06:43quand même pour la fin.
01:06:45Quand les gendarmes bancaires détournent eux-mêmes des fonds.
01:06:47Ça, c'est dans le FIRO,
01:06:49mais c'est énorme.
01:06:51C'était même pas un 1er avril.
01:06:53Attention, ça date du 26 février.
01:06:55L'argent du CSE du gendarme bancaire français
01:06:57aurait-il servi à payer des achats
01:06:59d'anciens secrétaires, etc. chez Apple ?
01:07:01500 000 euros
01:07:03de détournés
01:07:05potentiellement successifs.
01:07:07Alors donc, si même le gendarme bancaire
01:07:09qui est censé veiller
01:07:11sur les banques, etc.
01:07:13même si chez eux, ils détournent de l'argent,
01:07:15mais on va où ?
01:07:17Je vous dis, là, on est parti en vrille, en fait.
01:07:19On le voit dans cette revue de presse.
01:07:21On le voit.
01:07:23Tiens, les faillites de banques,
01:07:25on a oublié ?
01:07:27Ah bah si, j'y reparlais quand même.
01:07:29New Community Bank,
01:07:31celle qui avait racheté la signature.
01:07:33Ensuite, il y a une banque allemande
01:07:35qui est en train de mourir à petit feu.
01:07:37La Fanbriefbank.
01:07:41Voilà.
01:07:43Donc, l'action est en train de descendre.
01:07:45L'action est en train de descendre.
01:07:47Une autre banque est mourue,
01:07:49donc au Luxembourg, également.
01:07:51Et en ce moment même,
01:07:53vous avez des banques allemandes
01:07:55qui sont en train de couler
01:07:57parce que les Allemands,
01:07:59les promoteurs allemands, les sociétés allemandes
01:08:01ne remboursent plus leurs prêts immobiliers.
01:08:03C'est ce dont on a parlé tout à l'heure.
01:08:05Là, quand ils ont décidé
01:08:07de vendre un immeuble, une part d'immeuble de luxe
01:08:09à New York pour 1 euro,
01:08:11c'est parce qu'ils ont fait les comptes.
01:08:13Ils ont vu que s'ils continuaient,
01:08:15ça va leur coûter des millions,
01:08:17100 millions de plus.
01:08:19Donc, ils préfèrent vendre tout de suite
01:08:21et arrêter les frais.
01:08:23Ça s'appelle arrêter les frais.
01:08:25Donc, ils ont trouvé un pigeon.
01:08:27C'est comme HSBC France
01:08:29qui a payé Cerberus
01:08:31pour qu'il les rachète.
01:08:33– Et du coup, Cerberus a pris l'étiquette CCF.
01:08:35– C'est ça, CCF.
01:08:37– Oui.
01:08:39Alors, un dernier mot pour la conclusion,
01:08:41pour la route.
01:08:43– Alors, juste une autre banque
01:08:45qui est en train de mourir.
01:08:47Là, c'est la loi Jovannemi.
01:08:49La valeur de son action,
01:08:51elle passe de 4 000 à 32.
01:08:53– Oui.
01:08:554 000 ?
01:08:57– Métro.
01:08:59C'est des cents anglais.
01:09:01– Ah oui, d'accord.
01:09:03– Mais là, c'est de 4 000 à 32.
01:09:05Donc, la banque est en train de...
01:09:07Ils ont beau la sauver,
01:09:09c'est la troisième ou quatrième fois
01:09:11qu'ils la sauvent.
01:09:13Donc, il y a vraiment quelque chose de terrible.
01:09:15C'est effrayant.
01:09:17Regardez.
01:09:19Voilà où on est en France.
01:09:21Un soutien psychologique aux patrons
01:09:23qui font faillite.
01:09:25Et j'ai vu passer ça récemment
01:09:27par l'un de nos lecteurs, Lilian.
01:09:29Dans les villes de province,
01:09:31ils mettent en place
01:09:33une aide psychologique
01:09:35pour les commerçants
01:09:37qui ne s'en sortent plus
01:09:39dans la rue commerçante.
01:09:41Il y a quelque chose de terrible
01:09:43qui est en train de se passer,
01:09:45véritablement.
01:09:47Donc, voilà.
01:09:49En tout cas, suivez la Revue de presse
01:09:51et surtout, abonnez-vous à mon Twitter,
01:09:53à mon X maintenant,
01:09:55parce que c'est là
01:09:57où la Revue de presse continue.
01:09:59Et donc, on la développe ici.
01:10:01Voilà.
01:10:03– Merci Pierre.
01:10:05– Merci à tous les spectateurs qui sont venus.
01:10:07On va voir les dates, là,
01:10:09des prochaines rentres.
01:10:11– Vous avez tout un programme jusqu'au mois de…
01:10:13– Pas tant que ça, parce que j'essaie de…
01:10:15C'est compliqué, là, en ce moment.
01:10:17Je suis débordé, c'est le cas de le dire.
01:10:19– Il faut la santé aussi.
01:10:21– Oui, il faut la santé.
01:10:23Dieu merci.
01:10:25– Touchons du bois.
01:10:27– Exactement.
01:10:29On embrasse tous nos spectateurs.
01:10:31– Et les spectatrices.
01:10:33– Et les spectatrices.
01:10:35Partagez surtout cette vidéo.
01:10:37Envoyez le lien
01:10:39à tous vos contacts de téléphone.
01:10:41C'est la meilleure façon
01:10:43de contourner la censure de YouTube.
01:10:45Voilà. Là au moins, avec nous,
01:10:47vous avez des vraies informations économiques.
01:10:49Et tout ce qu'on vous a dit ici,
01:10:51depuis des années, on vous a dit
01:10:53achetez de l'or, achetez de l'argent.
01:10:55Vous avez doublé, voire triplé depuis toutes ces années.
01:10:57– Voilà.
01:10:59– Donc nos conseils, on ne s'est jamais trompé.
01:11:01On ne vous a jamais dit
01:11:03d'acheter des trucs
01:11:05qui ne rapportent rien.
01:11:07– Oui, oui.
01:11:09– L'or, l'argent, ça transporte l'épargne dans le temps.
01:11:11Point barre.
01:11:13– Eh bien merci Pierre.
01:11:15– Merci à vous, merci à vous Olivier.
01:11:17– Et chers téléspectateurs, je vous dis à très bientôt.
01:11:19Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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