HOMMAGE à Roger CUVILLIER 1922-2019

  • il y a 5 mois
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00:00 (Applaudissements)
00:16 ("La Marseillaise")
00:19 ("La Marseillaise")
00:22 ("La Marseillaise")
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00:32 ("La Marseillaise")
00:35 (…)
00:45 (…)
00:59 (…)
01:08 L'histoire de la représentation est jalonnée de noms.
01:13 Les méandres de l'histoire, c'est hasard aussi, les ont choisis pour nous.
01:17 Niepce, Marais et Cuvillier sont tous les trois passés à travers le filtre du temps.
01:22 Nous reconnaissons aujourd'hui le rôle qu'ils ont joué pour le développement de l'image.
01:28 Roger Cuvillier a lui aussi fait des films amateurs avec sa caméra.
01:31 Son nom, il l'a définitivement lié à l'histoire de l'image en relevant un challenge technique.
01:37 M. Cuvillier, avec le Pensy Nord, dote le cinéma d'un nouveau moyen.
01:42 Alors l'idée du zoom, du Pensy Nord, c'est absolument aberrant, c'est à peine croyable.
01:47 Bon, l'entreprise ne m'en a pas parlé puisque c'était insoluble.
01:51 Il y a eu des expériences avant-guerre qui se traduisent par des échecs.
01:56 Donc on n'en parlait pas, ce n'était pas possible de réaliser un objectif à focale variable
02:00 en maintenant bien sûr la mise au point de l'image dans le plan de la pellicule.
02:04 Alors il s'est trouvé que j'avais un ami, vous avez vu, là sur le film, mon ami Richard Corneille
02:10 qui vit sortir de l'IDEC, l'Institut d'Auditude Cinématographique
02:16 et qui m'a dit "Tiens, je viens d'apprendre que tu étais rentré chez Sanberthiaud, regarde ma caméra Pagas,
02:22 tu vois la tourelle, les trois objectifs Sanberthiaud, c'est bien, mais si tu peux imaginer,
02:27 c'est idiot ce que je te dis là, mais réfléchis, si tu peux imaginer un objectif unique
02:31 remplaçant tout ça, ce serait formidable.
02:34 Tu vois, il y a un objectif à focale variable.
02:37 Je lui ai dit "Bon, je vais réfléchir". J'ai réfléchi et j'ai trouvé le solut.
02:41 Bon, il faut savoir qu'à l'époque, un objectif pour la photo et surtout pour le cinéma
02:48 était de faire 3 vagues de commandes.
02:50 Deux, il y avait la mise au point, aujourd'hui elle est automatique.
02:55 Il y avait l'ouverture du diaphragme, aujourd'hui c'est automatique.
02:59 Donc aujourd'hui le problème du zoom c'est énormément simplifié par rapport
03:03 au problème qu'on m'a posé, ou que je me suis posé en fait.
03:06 Donc le problème était de faire varier justement ces lentes pour avoir tout en maintenant
03:11 la mise au point dans le plan de la pellicule et l'éclairement de l'image.
03:14 Bon, donc c'est ça qui était.
03:17 Dès qu'on l'a sorti, le brevet a été pris en 1949.
03:21 Les premiers objectifs à Dijon sont sortis en 1950, c'était extrêmement rapide.
03:25 Et puis la demande était tellement forte, poussée par Payard,
03:29 qui était le grand constructeur des caméras en Suisse,
03:32 qui adoptait le Pansinov sur ses caméras.
03:35 Voilà, donc le développement est extrêmement rapide.
03:39 La Somme Berthouille, 2 usines, 3 usines, 2 à Paris et une à Dijon.
03:45 Bon, à Paris, il faisait des instruments d'optique militaire, c'était sa vocation.
03:48 Et à Dijon, il fabriquait des objectifs pour la photo de cinéma.
03:52 Des objectifs à focale fixe bien sûr.
03:54 Donc on m'a dit, ben c'est là qu'il faut lancer cette fabrication nouvelle.
03:58 Donc je suis arrivé à Dijon, je ne connaissais personne, je ne connaissais pas Dijon,
04:02 on est même usine.
04:04 Voilà, et donc j'ai lancé cette fabrication.
04:08 Voilà, donc je suis venu à Dijon en 1950 pour lancer la fabrication du Pansinov.
04:14 Qui était réservé au cinéma d'un metteur aux caméras 16 mm.
04:19 Puis les caméras 8 mm, puis les caméras super-vites.
04:23 Voilà, l'évolution de l'histoire du Pansinov.
04:27 Alors ce qui est étonnant, effectivement, c'était tellement nouveau à l'époque,
04:31 que le premier concurrent ingénieux n'a sorti ses zooms,
04:35 et sous l'appellation "zoom" et sur un principe différent, que 8 ans.
04:38 Pour ça, le développement de l'usine de Dijon pendant 8 ans, est incroyable aujourd'hui.
04:43 On a indiqué un produit nouveau, les petits japonais sont là, top, top, top.
04:47 Pendant 8 ans, le Pansinov est resté sans concurrent, d'où le développement de l'usine de Dijon.
04:52 C'est une histoire un peu incroyable, et c'est une histoire vraie en plus.
04:57 Enfin, moi, ça m'a procuré une très belle carrière, bien sûr.
05:01 Et le louche arrive à combiner même le zoom sur chariot,
05:06 avec le zoom haptique, si je puis dire.
05:11 C'est là qu'il dit, bon, on est humain.
05:13 Alors, les appréciations des professionnels sont intéressantes,
05:18 mais il ne faut pas oublier que le zoom a été fait pour le cinéma d'amateur,
05:22 et les professionnels y sont venus un peu plus tard, quand on a sorti le rapport 5 fois.
05:28 Et quand on a sorti le rapport 5 fois, parce que la simplicité du Pansinov,
05:35 dans son principe, ne permettait pas d'aller au-delà.
05:39 Et là, il y a bien le rapport 5 fois, parce que sur les caméras de l'époque,
05:41 la caméra Pagard, la tourelle, 3 objectifs, 25 la focale normale,
05:46 15 le grand angle, 75 le télé.
05:49 Donc les caméras Pagard offraient, comme quelque chose de très confortable,
05:54 si je puis dire, aux utilisateurs, les 3 focales,
05:57 avec un rapport 5 fois entre le grand angle et la télé.
06:00 Et le zoom, le Pansinov, arrive à avoir le rapport 5 fois,
06:03 tout en maintenant la mise au point des clés.
06:07 On a la chance aujourd'hui d'avoir Roger Cuvier, ici présent,
06:10 disjonné, inventeur de la focale variable,
06:14 qui nous a aimablement cédé sa collection de focales variables,
06:20 qui résume, elle seule, toute l'histoire de cette focale.
06:26 Cette caméra était équipée d'une tourelle, avec 3 objectifs de focales différents,
06:31 pour passer du grand angle au télé, suivant le sujet.
06:36 On va en retenir une modique comme ça, 75.
06:39 Je crois vraiment, regarde ma caméra, et que ça toure les 3 objectifs.
06:44 Si on pouvait remplacer ça par un objectif unique à focales variables,
06:48 bien évidemment, ce serait formidable.
06:51 Alors après, monsieur Berthiaud, pour rester sur ce chapitre,
06:55 s'est marié avec l'optique et précision de Levallois,
06:58 et fabriqué aussi des optiques photographiques,
07:01 pour devenir la SOPLAM.
07:05 Et sous ma direction, si je puis dire, j'ai connu la SEM Berthiaud et la SOPLAM,
07:09 avec à 10 jours une activité qui était essentiellement axée sur l'optique photo cinéma.
07:14 J'ai deux patients, le Zoom, qui va me vautre 50 ans,
07:19 donc une patiente un peu émoussée, mais il m'a jamais vu, j'ai l'accroche.
07:23 Et puis, alors, plus récemment, c'était avec Jean-Pierre Deschamps,
07:27 et son association Mission Lumique, il a nommé le président.
07:32 Et il a mis ici, moi je sais que rapporté mon expérience de 40 ans de stéroscope,
07:36 il a mis ici à la numérisation des images, et à la perfection des analogues,
07:40 de toute façon on peut les faire soi-même.
07:42 C'est incroyable, à Deschamps, d'avoir cette venteur, de même.
07:47 Quand on s'intéresse un petit peu à Marie-Elisabeth, c'est vrai que c'était une tendance naturelle,
07:53 mais elle a refait du projet de lumière.
07:57 Et j'avoue que j'aurais été très triste si ça n'avait pas été fait.
08:05 - Salut papy, tu vois, je change de truc chez un des hommes.
08:08 - Oui, et tu trouves ? - Oui.
08:10 - Oui, tu as trouvé. Oui, il y a tout là.
08:12 L'origine du Zoom, la création du Pansinor, Roger Cuvillier, c'est bien.
08:17 Qu'est-ce que tu veux savoir de plus ?
08:19 - Qu'est-ce que c'est, comment ça marche ?
08:21 - Je vais te montrer tout ça.
08:24 C'est une caméra Payard, 8 mm, équipée d'un Pansinor.
08:29 Alors le Pansinor remplace l'objectif unique et même la tourelle.
08:39 Toutes les valeurs intermédiaires, ce qui permet de faire du travelling.
08:43 - T'as vraiment inventé ça ? - Oui.
08:45 - T'avais quel âge ? - 27 ans.
08:50 - A 27 ans en effet, jeune ingénieur centralien, Roger Cuvillier est engagé en 1947 par l'entreprise Somme Berthiaud,
08:56 premier constructeur français d'optique instrumentale.
08:59 Il partage alors son temps entre la Somme Berthiaud et les cours de l'école supérieure d'optique.
09:05 Mais c'est grâce à la demande d'un cinéaste qu'il découvrira la focale variable.
09:10 - J'avais un ami, Richard Cornu, qui sortait d'une grande école de cinéma,
09:15 et qui m'a dit "écoute, je viens d'apprendre que tu es rentré chez Somme Berthiaud,
09:19 regarde ma caméra, il y a trois objectifs Somme Berthiaud, c'est pas mal,
09:23 mais si on pouvait imaginer un objectif unique à focale variable, bien sûr, en plaçant tout ça, ce serait formidable.
09:30 Bon, écoute, je vais y réfléchir, je n'y croyais pas plus que ça.
09:33 - Personne n'y a pensé avant toi ? - Si, mais je ne l'ai su que beaucoup plus tard.
09:38 - Et puis, on a essayé de réaliser un film qui soit gai, dynamique, didactique,
09:48 compréhensible par tous, aussi bien par les jeunes que par les plus âgés,
09:54 et qui explique de façon sympathique, encore une fois, le changement, les dimensions, et la vie d'un inventeur.
10:12 - Il y a un peu la visée qui est là-bas. - Il y a une visée horizontale, une verticale.
10:18 - Il y a un pôle de visée comme ça. - Ah !
10:21 - Voilà.
10:23 - C'est un peu blancho ? - Oui.
10:28 - J'ai pris la route et on n'a pas fait d'exploration.
10:31 - Somme Berthiaud, c'est écrit comment à la fin ?
10:37 - Berthiaud, B-E-R-T-H-I-A-U-T. - Merci.
10:42 - Qui existe à Dijon et qui fabriquait des objectifs à usage, caméra.
10:50 - Pour voir où on en est, apparemment, dans le relief, et pourquoi je crois aujourd'hui à un retour du relief,
10:58 rapide, ici en 2010 et ça en 2011, comme étant, si vous voulez, la même étape.
11:05 Il y a le cinéma en noir et blanc, il y a le cinéma en couleur, demain il y aura le cinéma en relief.
11:10 Ça me paraît vraiment l'événement qui va marquer profondément l'histoire du cinéma.
11:15 Je suis peut-être naïf, je suis peut-être angliche, je crois.
11:18 Et j'espère que vous suivrez mon résumé.
11:22 Bon, alors le relief. Le relief va commencer par la photo, bien sûr.
11:26 Bon, je vais faire un rapide rappel, ça vous rappellera des choses anciennes.
11:33 Bon, la photo, on est chauvin, on l'attribue à N.Y.E. 1824.
11:40 Bon, c'est vrai qu'il y a une mérite, c'est au fond de sa chambre noire.
11:46 Au lieu d'utiliser Polygon et d'une plaque sensible, on peut fixer l'image.
11:50 Bon, il y avait un petit inconvénient, même un sérieux inconvénient, un petit mal différent,
11:56 c'est que quand on pose 8 heures, application zéro, 8 heures de temps de pose,
12:02 on ne voit pas très bien l'application qu'on peut faire du 4C.
12:05 Mais je crois que le mérite de l'I.C. Ford-Niepce, c'est de montrer tout de même qu'on pouvait fixer l'image.
12:12 Cette astuce ici, d'avoir l'image droite, l'image gauche et le miroir semi-réfléchissant,
12:17 on réunit les deux images, voilà.
12:21 Et on va voir la télévision en relief sur un écran un peu spécial, puisqu'il y en a deux,
12:27 pour chacune des images en reflétrie.
12:30 [Musique]
12:40 [Bruits de la fête]
12:56 [Bruits de la fête]
13:00 En effet, quand on m'a posé le problème du zoom, un peu naïvement,
13:04 puis j'ai réfléchi, sans savoir que c'était un problème qui ne se posait plus,
13:09 j'ai étudié ça dans mon petit coin, j'ai trouvé une solution.
13:12 C'est ça qui est formidable.
13:14 Oui, parce que tout le monde pensait que ça n'allait jamais marcher en fait.
13:17 Mais la société qui m'avait embauché ne m'a jamais posé de problème.
13:21 On n'embarque pas un jeune comme ça sur un problème impossible.
13:25 Donc je ne savais pas tout ça, j'ai cogité tout ça et j'ai trouvé le porcini.
13:29 Beau, hein ?
13:31 Oh la la, pas pauvré de faire ça quand même.
13:34 Voilà, mais c'est une histoire vraie en plus.
13:36 On essaye de faire une fois par an la rencontre de gens qui se rencontrent pas forcément,
13:44 mais auxquels il est bon de rappeler que, voilà, s'il s'est passé des choses,
13:49 si aujourd'hui on appuie sur un bouton pour rapprocher l'image,
13:53 c'est des gens qui l'ont pensé, qui l'ont inventé.
13:55 Dès le début de la photo, ça intéressait à l'image en relief.
13:59 Et sur les mêmes plaques 9/12, on avait les deux images 5/5 carré à l'écart rendu.
14:04 Voilà, exactement, et on les regardait après.
14:06 Et la question que je voulais vous poser, parce que quand même vous vous disiez être plus compétent que les autres pour ça,
14:11 on entend souvent dire que les optiques fixes étaient meilleures que les zooms,
14:16 est-ce que c'était vrai et est-ce que ça ne l'est plus ?
14:19 Non, ce n'est pas vrai.
14:22 Le progrès tout récent, c'est que maintenant,
14:25 le montant des lentilles avec des lentilles à surface sphérique,
14:29 qui était obtenu, enfin, on pourrait obtenir une sphère.
14:33 Mais aujourd'hui, les lentilles sont asphériques.
14:36 Et ça permet effectivement de corriger des aberrations sans multiplier le nombre de lentilles.
14:42 Et ça, c'est un progrès technique récent, que je n'ai pas connu.
14:48 Et je voudrais vous présenter ce soir un invité de marque, un invité d'honneur,
14:55 oui, le mot ne sera pas trop fort, un invité d'honneur,
14:59 René Cuvillier ou René Roger Cuvillier.
15:02 Comme vous voulez.
15:04 Il est l'inventeur du zoom.
15:06 Alors, le zoom, tout le monde s'en sert, tous les jours,
15:11 tout au moins très fréquemment.
15:14 Et par l'intermédiaire de M. Deschamps, j'ai eu l'occasion, l'opportunité de rencontrer ce monsieur
15:22 qui a apporté sa contribution à l'évolution de la photo.
15:29 Donc, j'ai été amené à lancer la fabrication de cet objectif nouveau,
15:34 focal variable, qu'on n'a pas appelé zoom, d'ailleurs, on l'a appelé Pansinor.
15:39 Alors, pourquoi Pansinor ?
15:42 Parce que les objectifs de prise de vue sur les caméras portaient la marque commerciale SINOR,
15:48 celui de la focale 15-25-75.
15:51 Et Pans veut dire tout en grec.
15:53 Donc Pansinor, c'est tous les signes en un seul.
15:56 Ah oui, on a un joli prénom qui ne se porte plus.
16:01 Avec un I au bout.
16:04 I ou Y, I.
16:06 Alors, tout est regroupé dans un petit coin.
16:09 Il y a le descriptif de l'ami, bien sûr, et puis il y a tout le monde.
16:13 Je voudrais vraiment vous dire le plaisir que j'ai ici.
16:15 Je suis très heureux de la commune de Saint-Loup.
16:17 Et pensez à vous, M. Cubillier, parce que c'est d'abord un grand honneur de vous avoir ici aujourd'hui.
16:23 Le panneau, il est là.
16:25 On ne débattisse pas les rues.
16:27 Autant dire que vous êtes inscrit dans la terre de Niepce pour l'éternité, M. Cubillier.
16:38 Je suis Nialine, mais Bourguignon en adoption et depuis 60 ans.
16:43 Donc je suis tout à fait bourguignon.
16:46 Dieu créa le ciel et la terre.
16:50 Vous savez tout ça.
16:52 Et m'en dira.
16:54 L'université de Niepce y a ajouté la photographie des revues Cubillier le jour.
17:01 (Rires)
17:03 (Applaudissements)
17:09 (Bruits de la foule)
17:14 (Musique)
17:43 (Musique)
17:45 Approchons-nous.
17:49 (Rires)
17:51 Poids en arrière et mettez le sous.
17:53 (Rires)
17:55 Attention.
17:57 (Rires)
17:59 (Applaudissements)
18:08 M. Cubillier, je vous remercie du fond du cœur au nom de l'équipe du musée d'avoir accepté que nous vous rendions cet hommage aujourd'hui
18:16 et en présentant les différents appareils que vous avez fabriqués et dont vous pourrez peut-être nous dire un mot tout à l'heure.
18:22 Tu imagines alors un dispositif optique monté à l'avant de l'objectif de la caméra
18:27 et modifiant sa distance focale dans un rapport 4 de façon continue.
18:32 En 1958, tu deviens membre du Rotary Club de Dijon.
18:37 Tu collabores avec des services de l'enseignement technique en participant au jury d'examen,
18:41 en enseignant au Conservatoire National des Arts et Métiers
18:44 et aussi en participant aux diverses conférences que je t'ai demandées pour nos étudiants.
18:50 Tu es pour cela décoré des palmes académiques puis de la Légion d'honneur.
18:56 (Applaudissements)
19:01 Qui a inventé le zoom ? Oui, c'est un Dijonais, c'est Roger Guillier.
19:05 En 1948, le panse-synor aîné, le brevet déposé.
19:11 Mais comment l'idée était-elle venue d'un objectif à focale variable ?
19:16 C'est en rencontrant un ami, Richard Cornu, tout est parti.
19:23 Il demanda sans trop y croire, d'imaginer
19:28 sa caméra équipée de trois objectifs sommaires tôt.
19:32 Il souhaitait que je les remplace pas un seul.
19:36 (Applaudissements)
19:42 Et j'ai quelques projets, il faut le dire,
19:46 pour relancer l'image en l'air de qualité, c'est-à-dire sur une base scientifique
19:52 et non pas uniquement pour le truc qui vous arrive dans la gueule,
19:57 mais pour que ça soit grandit. Voilà un de mes projets.
20:00 (Applaudissements)
20:05 (Musique)
20:23 [SILENCE]

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