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Feuilleton Algérien, Ramadhan 2024
Feuilleton Algérien, Ramadhan 2024
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TVTranscription
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00:45 -A la chaise, saison 2.
00:47 -T'es un linge à dire.
00:49 -Je suis un bon biseau.
00:52 A la chaise, saison 2, plusieurs raisons.
00:56 -On a écrit la première saison sur un seul personnage.
00:59 On ne savait pas ce qu'il allait se passer.
01:02 On a vu que le public était très enthousiaste.
01:06 On a dit qu'il fallait le faire, car on a créé des personnages magnifiques.
01:10 Il ne serait pas bien de les voir en une seule saison.
01:15 On a dû les montrer, leur donner une autre vie,
01:19 une autre dimension, une autre histoire.
01:22 Ils en ont besoin.
01:23 Au final, je pense que...
01:26 Nassim, avant que les gens s'attachent aux histoires,
01:31 ils s'attachent aux personnages.
01:33 Je pense que les gens ont aimé ces personnages.
01:36 -C'était un défi,
01:38 de faire réussir la saison de la quinte.
01:43 La quinte était réussie, elle a été réussie.
01:46 C'est un défi, personnellement.
01:48 Parce que dans une saison 2,
01:51 on a eu un défi, on a voulu faire la quinte.
01:54 Parce que les préquels n'étaient pas nombreux.
01:58 On a dû oser faire la quinte.
02:03 -C'était un risque. -Oui.
02:05 Mais ce n'était pas facile.
02:07 Au niveau du scénario, on a fait une analyse.
02:11 On a vu ce qui allait se passer.
02:13 On a pris du temps pour la quinte.
02:17 On a fait une quinte en un mois.
02:21 C'est pas bien de prendre des décisions à chaud.
02:24 Pour la quinte, on a fait la première saison,
02:28 on a fait les points forts et les points faibles.
02:31 Tout le travail a eu des points faibles et des points forts.
02:35 On a accentué les points forts,
02:38 les points faibles, on les a éliminés.
02:42 Il faut savoir que...
02:45 Quand le ramadan de la quinte a terminé,
02:48 on a décidé de ne pas faire la deuxième saison.
02:52 On a eu peur.
02:54 On a eu assez de recul.
02:56 On a décidé de faire 15 ou 20 jours.
02:59 On a fait le bâtiment.
03:01 On a fait un projet.
03:04 Mais à un moment donné, on a décidé...
03:07 Ce dont on a eu peur, c'est la justification.
03:12 Parce que si on a fait le noir, on a une justification.
03:16 On a eu peur. On a pris des risques.
03:20 Ce qui est bien dans cette saison,
03:23 c'est qu'on est allé dans le côté...
03:26 - Humour. - Humour.
03:29 "Pourquoi est-ce qu'on fait ça ?"
03:32 C'est ça qui est bien.
03:34 "Betra" est un projet proche de la société algérienne.
03:39 C'est pour ça que la première saison,
03:42 on a vécu des sensations réelles.
03:45 Et le projet a découvert de très beaux personnages.
03:49 C'était frustrant pour nous.
03:51 Parce qu'on a vécu une très belle expérience.
03:54 On a eu des moments forts ensemble.
03:57 À la fin de...
04:00 Après le ramadan de l'année dernière,
04:03 on a parlé avec les scénaristes.
04:05 Je n'étais pas trop chaud pour une deuxième saison.
04:09 Et quand on m'a dit que j'avais réussi
04:13 à raconter cette belle histoire,
04:16 je me suis dit que j'allais écrire d'autres histoires.
04:19 Parce que, sincèrement, Nabil et Nassim,
04:23 ce sont des scénaristes très talentueux.
04:26 C'est pour ça que je me suis dit
04:29 que j'allais aller sur d'autres challenges.
04:32 Et c'est à partir de là que la saison 2
04:35 a réellement passé par plusieurs étapes.
04:39 Pour nous, ce n'était pas compliqué.
04:42 On a pu trouver des personnages.
04:45 On a pu trouver Bernoune, Abdessa, Mametch,
04:48 Rabia, Habiba...
04:50 Mais on a trouvé que, comme Nassim l'a dit,
04:53 on ne voulait pas aller trop loin.
04:56 Et le charme de la Bataille,
04:59 c'est l'ambiance.
05:02 Quand on était dans le bâtiment,
05:05 on ne pouvait pas s'amuser.
05:08 On avait 50 % de décor.
05:11 On a voulu faire un peu de noir.
05:14 Et on a voulu faire un peu de noir,
05:17 mais sans avoir de justification.
05:20 On a voulu faire un peu de passé.
05:23 Et là, on a donné plus d'importance à la réplique.
05:27 - Passé, passé ? - Oui.
05:30 - C'est pas juste une réplique.
05:33 La plupart des protagonistes
05:36 y échouent avec leur passé.
05:39 C'est comme si on échoue avec son père,
05:42 soit avec sa fille.
05:45 Que ce soit...
05:48 Il y a des choses réelles qu'on n'échoue pas.
05:52 Par exemple, la relation entre Rabia et son père.
05:56 On sent l'absence de la maman.
05:59 C'est pour ça que je fais deux caractères.
06:03 Je fais un côté relationnel,
06:06 mais au fond de nous, on sent l'absence de la maman.
06:10 C'est pour ça que Rabia a pleuré le jour
06:14 que son papa est mort.
06:17 Je pense que Rabia a pleuré
06:20 par beaucoup de facteurs.
06:23 Déjà, elle n'a pas sa maman.
06:26 Le seul moment
06:29 où elle sent vraiment
06:32 qu'elle est naturelle, c'est avec son père.
06:36 De l'autre côté, on voit Fouad avec sa maman,
06:40 mais cette fois, c'est l'absence du papa.
06:44 C'est pour ça que le passé,
06:47 ce n'est pas...
06:49 Les scénaristes ont vraiment approfondi
06:53 cette réplique.
06:56 -Même quand tu fais une comédie,
06:59 tu dois avoir une profondeur.
07:02 Je pense que le public est fini avec la comédie.
07:06 C'est fini avec la comédie légère,
07:09 les sujets légers.
07:11 Même dans une comédie, il faut connaître la profondeur.
07:15 -C'est ça qui marque.
07:17 Parce que quand on dit "rire",
07:20 ça ne va pas marquer l'égoïsme des gens.
07:24 C'est quelque chose qui fait marquer.
07:28 -C'est comme dans la vie.
07:31 On a essayé de garder le côté complexe.
07:35 Ils se complotent, ils s'aiment,
07:38 ils se complotent contre ça,
07:41 ils se battent.
07:43 On a essayé de garder ça.
07:46 Finalement, comme dans les films,
07:49 l'un n'a pas le droit et l'autre n'a pas le malheur.
07:53 Quand on voit la dernière séquence de Nassim Bonnard
07:57 qui a été appelé à la police,
08:00 il ne s'est pas réveillé.
08:03 -Il a été arrêté.
08:05 -Il a été arrêté.
08:07 -Il a été arrêté.
08:09 -Il a été arrêté.
08:11 -Il a été arrêté.
08:13 -Il a été arrêté.
08:15 -Il a été arrêté.
08:17 -Il a été arrêté.
08:19 -Il a été arrêté.
08:21 -Il a été arrêté.
08:23 -Il a été arrêté.
08:25 -Il a été arrêté.
08:27 -Il a été arrêté.
08:29 -Il a été arrêté.
08:31 ...
08:58 ...
09:20 -Anali Bonnard, c'est un très beau personnage.
09:24 Pour moi, c'est un cadeau.
09:27 Professionnellement, c'est un cadeau pour moi.
09:30 C'est un personnage qui fait la loi.
09:33 C'est pas un personnage "ordinaire".
09:36 Il est capable de faire beaucoup de choses.
09:39 Et...
09:41 Et...
09:43 Je l'aime beaucoup, parce qu'il a des faiblesses,
09:46 comme tous les personnages.
09:48 Il a des points forts.
09:50 En plus, il est un personnage qui commence par un point A à un point Z.
09:54 Il ne faut pas qu'il tombe.
09:56 Parce que dans la première saison, il était fort.
09:59 Dans la deuxième, tu vois...
10:01 Il était fort, il avait une patte, il était fort.
10:05 Il est le maire de la patte, même.
10:07 -Pour moi, c'est...
10:09 C'est l'un des meilleurs personnages que j'ai vu dans ma vie.
10:13 C'est un personnage complexe, il a plein de couleurs, plein de...
10:17 C'est un personnage qui fait le drame, le comédie,
10:20 qui fait toutes les contradictions, mais en même temps,
10:24 c'est un personnage qui est un victime de son esprit.
10:27 Un victime de sa vie et de ses moments.
10:30 C'est un personnage qui...
10:32 C'est un personnage qui me fait pleurer,
10:35 parce qu'il y a du jeu, il y a un espace pour jouer.
10:38 Tu peux jouer, tu as un espace pour jouer,
10:41 un espace pour l'expression physique, ou pour l'esprit.
10:44 -Et pour s'amuser. -Oui, pour s'amuser.
10:47 Quand on a des partenaires magnifiques, comme celle-ci,
10:50 dans la patte, tu ne peux pas ne pas s'amuser.
10:53 C'est un personnage qui n'a jamais décédé, finalement.
10:56 Finalement, les rares fois, ou les seules fois...
11:00 Les rares fois où il décide, il prend des mauvaises décisions.
11:03 C'est un personnage impulsif, un personnage qui ne se défend pas,
11:06 qui ne se dépend pas, qui s'en fiche.
11:08 C'est un personnage qui a un espace de jeu pour un comédien.
11:11 C'est très important pour Mbetheliano.
11:14 Le rôle ne se déroule pas dans son espace de début,
11:17 mais dans son espace de drame.
11:19 Il a un rôle qui peut lui aider, qui peut le changer,
11:22 qui peut l'affecter.
11:24 C'est très important pour moi.
11:26 Le vrai défi que j'ai, c'est...
11:29 Je dis toujours qu'il faut que je porte ces personnages-là
11:33 dans un monde très réel.
11:36 Tout en respectant les dimensions de Sawaran,
11:40 tout en respectant la montée de ces personnages-là,
11:45 tout en respectant l'intrigue,
11:48 soit l'intrigue principale ou les intrigues canaux dans le scénario,
11:53 et d'être fort.
11:56 Vraiment de montrer...
12:00 Parce que la deuxième saison, elle nous montre déjà...
12:03 C'est un préquel, elle nous montre l'avant-l'événement de tous les personnages.
12:08 ...
12:17 ...
12:29 ...
12:38 ...
12:46 ...
12:58 ...
13:08 ...
13:16 -Je veux pas, je veux pas.
13:23 Je veux pas.
13:25 -Pour la saison qui était avant,
13:29 on s'est dit "C'est fini, on n'en a plus."
13:32 Mais il y a eu...
13:35 Bon, c'était un peu ouvert,
13:37 on a pu le faire, mais on a pas pu le faire, on a été en prison.
13:40 Mais il y a eu des choses qui ont été...
13:43 -On a tout dit.
13:45 Enfin, tout dit, non, mais je crois qu'on a dit beaucoup de choses.
13:49 -Il y a eu du temps pour nous réveiller.
13:52 -Pour nous réveiller. -Pour nous réveiller.
13:55 -On va la laisser là-dessus. -Je pense que c'est fini.
13:59 C'est un moment de vie, on a parlé de moments de vie dans le Baddha.
14:03 Et puis voilà, je pense que c'est ça, il faut passer à autre chose.
14:06 C'est une expérience magnifique, le Baddha.
14:09 On a dit "Passez, passez, le Baddha que nous avons aimé, c'est grâce à lui."
14:13 -C'est un rêve. -Le Baddha, c'est un rêve.
14:15 C'est un beau rêve. -Oui, l'aimer.
14:17 -Qu'on a pu réaliser.
14:19 Après, on n'est pas seuls, nous, on est créés, on joue, mais...
14:23 -Il y a les techniciens. -Il y a les techniciens, la prod...
14:27 C'est un groupe dont les gens ne se voient pas.
14:30 Ils veulent que les gens ne se voient pas, mais ils ne se voient pas.
14:34 Et grâce à ces gens-là, le Baddha a pu voir le Nord.
14:40 -Je pense que c'est un projet de don, de la vie.
14:44 Parce que, si on regarde les derniers jours, les gens ont dormi 20 heures, 22 heures.
14:50 -Oui, oui. -Soit les techniciens,
14:53 soit HMC, soit réalisateurs, soit producteurs,
14:57 "Tarik Boudra", qui a créé "Khariba bil-lame", ou des interprètes.
15:02 Quand les gens... C'est un projet de don, ils ont fait le travail.
15:05 -Oui, c'est vrai. -Quand les gens ont travaillé, ils ont travaillé.
15:08 Même les comédiens. -Tout le monde.
15:11 -Ils ont créé... Ils ont cru.
15:13 Ce sont des gens qui ont fait le travail.
15:16 -C'est vrai. -Ils ont été fatigués, ils ont dit qu'ils se sentaient obligés de faire leur travail.
15:21 -C'est un projet de don.
15:23 Ils ont fait le travail, parce que...
15:25 Parce qu'ils ont eu l'honneur de faire ce qu'ils ont fait.
15:28 Que ce soit la production, ou les techniciens, ou les chauffeurs, ou les serviteurs.
15:33 Tout le monde a fait le travail. Tout le monde, vraiment tout le monde.
15:36 Et...
15:38 On en a parlé, la deuxième saison.
15:42 On a parlé avec le producteur, on lui a dit qu'on allait faire la deuxième saison.
15:47 Il a dit qu'il n'y avait pas de souci.
15:48 Vous savez qu'on a, pour cette saison, le début.
15:53 On a eu le 16e "Jugement", "Les Aristes Arabes", "Sidi Ali" comme personnage trop nouveau.
15:58 Et la fin.
15:59 On n'avait pas tout le monde.
16:01 On avait 2-3% de la histoire.
16:03 Il fallait amourer la histoire, il fallait raconter cette histoire.
16:07 Donc, c'est là où on a commencé...
16:09 Avec Nassim, on a compris ce qu'on pouvait faire.
16:12 Comme on a fait "Daqius", "Bethan", "Toufekta Allah", on a pu le faire.
16:18 Le sens de la responsabilité, ne vous en faites pas, c'est que c'était le public et le cinéphile.
16:22 Il était le prod, la scène cinéphile, il était le directeur.
16:26 Il était le réalisateur, il était le réalisateur.
16:28 Tous ces gens devaient être au niveau.
16:30 Quand on a écrit, on a travaillé avec tout le public.
16:34 On a dit qu'ils devaient être à la hauteur.
16:37 Le défi était de faire la 2ème saison mieux que la 1ère.
16:41 C'était ça le défi.
16:43 Parce qu'on n'avait pas le droit de rater.
16:45 La 1ère saison, on pouvait faire la nouvelle.
16:49 Mais la 2ème saison, non.
16:51 On n'avait pas le droit de rater.
16:54 Le public ne pouvait pas être au niveau.
16:57 On a fait un film sur le public.
16:59 On a fait un film sur le public.
17:01 On a fait un film sur le public.
17:03 On a fait un film sur le public.
17:05 On a fait un film sur le public.
17:07 On a fait un film sur le public.
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17:17 On a fait un film sur le public.
17:19 On a fait un film sur le public.
17:21 On a fait un film sur le public.
17:23 On a fait un film sur le public.
17:25 On a fait un film sur le public.
17:27 On a fait un film sur le public.
17:29 On a fait un film sur le public.
17:31 On a fait un film sur le public.
17:33 On a fait un film sur le public.
17:35 On a fait un film sur le public.
17:37 On a fait un film sur le public.
17:39 On a fait un film sur le public.
17:41 On a fait un film sur le public.
17:43 On a fait un film sur le public.
17:45 On a fait un film sur le public.
17:47 On a fait un film sur le public.
17:49 On a fait un film sur le public.
17:52 C'est un projet qui m'a permis personnellement
17:55 de découvrir le réel
17:58 et de découvrir cette Algérie profonde.
18:01 Et en plus, ça m'a permis de découvrir des gens extraordinaires
18:08 que ce soit en termes d'acteurs,
18:10 que ce soit en termes de techniciens
18:12 parce qu'ils sont rares les projets
18:15 où tu sens qu'il y a une détermination.
18:17 Déjà dans la production,
18:19 tu vois des réalisateurs pour y sur un projet.
18:22 Tu vois des scénaristes qui mettent l'âme et le cœur
18:25 pour y sur un projet.
18:27 Les acteurs qui sont là
18:29 avec leur force et leur détermination
18:31 pour y sur un projet.
18:33 C'est pour ça, ce patchwork de beaucoup d'éléments
18:37 qui a permis que le BOTHA déjà existe
18:40 et que le BOTHA arrive aux gens.
18:44 18.
18:46 14 sur 1 première.
18:48 C'est bon ?
18:50 C'est parti ?
19:13 Le BOTHA, comme le mot,
19:15 il y a une chose qui est la choix.
19:18 Quand on fait un bon choix ou un mauvais choix.
19:21 Mais malgré ça, comme dans la vie,
19:24 les gens ne peuvent pas tout contrôler.
19:27 Il y a des changements.
19:29 Oui, des changements qu'on ne peut pas contrôler.
19:31 Comme pour Lass, qui aime Arfside, Tahar,
19:34 il va se marier avec une fille,
19:36 il va vivre une vie, mais il ne peut pas parce que...
19:39 Le passé.
19:40 Le passé.
19:41 Comme dans la vie, tout est lié au passé,
19:44 au futur.
19:46 Je veux parler des petits détails.
19:49 Les petits détails font la vie.
19:52 Chaque jour.
19:53 Notre personnage, il y en a un qui change la vie.
19:56 Notre personnage, il veut changer sa vie.
19:59 Il a des rêves, il les suit,
20:01 mais il ne peut pas les suivre.
20:03 Chacun, comme dans la vie.
20:05 Par exemple, je vois le BOTHA comme un fenêtre.
20:08 Une tueur.
20:09 Chacun voit un peu de terre.
20:11 Par exemple, quelqu'un, d'un certain niveau,
20:14 intellectuel ou non, il a profondé.
20:16 Il lit les livres.
20:17 Et quelqu'un, il voit normalement, superficiellement,
20:20 sur la surface, de l'extérieur.
20:21 Il voit les relations entre les deux.
20:24 Quelqu'un, il voit les relations,
20:27 par exemple, Bruno avec Benteo.
20:30 Chacun voit.
20:31 Donc, c'est des fenêtres.
20:32 Chacun comprend et fait le choix.
20:36 Épisode 8.
20:37 5 sur 2.
20:38 Première.
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