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00:00 On va aller doucement vers ce qui sera le momentum, comme on dit, de cette émission,
00:12 à savoir un coach, c'est nous, il va vraiment falloir être inventif pour trouver le 11.
00:18 Mais avant, on va présenter un peu les encheux de ce OMPSG.
00:22 Je vais être un peu provoc, Bernard.
00:26 Est-ce que c'est le OMPSG, finalement, là, vu le contexte, le moins important de l'histoire
00:32 récente de l'OM ? Est-ce que c'est celui dont au final, bon, c'est bonus de fou parce
00:37 que de toute façon, on n'a même pas une équipe, on n'a même pas 11 mecs alignés ?
00:40 Ce qui apparaît, c'est que c'est le plus déséquilibré au départ.
00:44 Par rapport au constat qu'on fait, sur le papier, c'est le plus déséquilibré.
00:48 Malheureusement, si tous les absents sont vraiment absents, ça va créer beaucoup de
00:52 problèmes.
00:53 Après, l'histoire du foot, il faut l'écrire.
00:56 L'histoire du foot, il faut l'écrire.
00:58 Peut-être que lundi, vous ferez une émission où vous direz « l'OM a fait un exploit
01:02 ».
01:03 Ça rapproche un peu du micro, des super micros.
01:06 Mais c'est vrai que sur le papier, vulgairement, comme on dit, ça apparaît très déséquilibré.
01:11 Je crois que la dernière fois que j'ai vu un OMPSG aussi déséquilibré, c'était
01:16 l'époque où on avait Nasser Larguet, je ne sais plus si vous vous souvenez, entraîneur
01:20 de l'OM.
01:21 Du coup, il y avait un effectif, c'était assez compliqué.
01:25 Paris, derrière, était… et j'ai vu Nagatomo.
01:28 Je ne sais pas si tu te souviens, Michel.
01:30 Le stade Vélodrome était vide puisqu'il y avait le Covid.
01:32 En plus, OMPSG, sans l'appui du public, ça devient de suite compliqué.
01:36 Nagatomo, titulaire, je me suis dit « ça peut, dès les premières minutes, faire la
01:40 différence ». Je lui ai dit de Kylian Mbappé au bout de deux minutes.
01:42 Je vois ton intitulé, match décisif ou bonus.
01:45 Moi, j'ai envie de dire, je ne peux pas répondre à cette question parce que les
01:49 deux, ça dépend de ce qui se passe.
01:51 Tu perds 5 à 0.
01:53 Ta saison qui déjà est hallucinante, on peut le dire dans tous les sens, avec des
01:59 montagnes russes, il s'est passé tout et n'importe quoi cette année.
02:03 Tu n'es pas à l'abri de faire une demi-finale de Coupe d'Europe comme tu n'es pas à
02:05 l'abri de prendre trois fois 3 à 0 dans les trois matchs qui viennent.
02:08 Donc, si jamais tu perds 5 à 0, le stade peut exploser parce que malgré tout, c'est
02:13 le PSG, comme a dit Bernard, ce n'est pas un match comme les autres.
02:16 Et de l'autre côté, imagine, tu arraches une nulle avec un exploit incroyable.
02:23 Le stade peut rendre aux joueurs ce qu'ils ont donné.
02:30 Donc, tout dépend de la physionomie de ce qui se passe.
02:34 Moi, je suis évidemment pessimiste, mais ça dépend de ce qu'on va donner aux joueurs
02:39 et de ce qui va se passer.
02:40 Est-ce que tu joues bloc bas ? Tu joues avec deux attaquants ?
02:43 Boumbania qui peut récupérer les ballons si tu joues haut et surtout, tu ne donnes
02:48 pas d'espace à Mbappé et Denbélé ? Ou alors au contraire, tu vas essayer de les
02:53 chercher, mais tu peux être totalement asphyxié parce que tu n'as pas les jambes ?
02:56 Je ne sais pas ce que ça va donner.
02:58 Donc, la réponse, en quelque sorte, pour moi, elle n'est pas du tout banale.
03:02 Je ne suis pas du tout d'accord.
03:04 Mais moi, c'est plutôt ce que vont donner les joueurs.
03:07 Olivier Roland Je profite des fois dans des émissions, on
03:11 est obligé de faire des coupures pub ou quoi que ce soit pour financer l'émission.
03:15 Là, je ne vous cache pas, pour me financer moi-même, je ne vais pas vous lire une publicité
03:19 ou faire une publicité, mais juste prendre la question d'un auditeur qui s'appelle
03:23 Sébastien Volpe qui est juste mon employeur, donc je ne vais pas la zapper.
03:26 Je le salue bien évidemment.
03:29 Sébastien dit que je profite du plateau de grande qualité pour poser une question théorique.
03:33 Au Mercato d'hiver, je change 15 joueurs.
03:36 Comment je peux continuer en Europa League puisque je n'ai droit qu'à trois changements
03:40 par rapport à la liste initiale ?
03:41 Je suis obligé de faire forfait.
03:42 Pourquoi cette règle en bois ?
03:44 Bise à tous, il rajoute, ce n'est pas contre vous.
03:47 Juste pour expliquer à Séb, le président de l'UEFA pendant de longues années était
03:52 Michel Platini et il expliquait qu'il trouvait que ce n'était pas logique qu'un effectif
04:00 commence la saison et qu'on envoie une autre équipe qui a le moyen de corriger.
04:05 Olivier Roland C'est pour éliminer ça.
04:06 C'est pour éliminer ça.
04:07 Tu as tout à fait raison Romain.
04:08 C'est justement pour ne pas qu'il y ait trop de mercato d'hiver et que l'effectif,
04:13 en quelque sorte, il y ait des ajustements ponctuels et qu'il n'y ait pas une transformation.
04:19 Après, tu es quand même…
04:20 Romain Collet Il y avait droit à un joueur jusqu'en 2019
04:23 puisque la saison 2018-2019, il n'y avait droit qu'à un joueur joker qui pouvait
04:27 changer d'une équipe à l'autre et être qualifié pour la suite de la compétition
04:32 en Coupe d'Europe.
04:33 Et ça a été à cause de Pierre-Emerick Aubameyang.
04:36 À l'époque, il avait été transféré au mercato d'hiver de Dortmund à Arsenal
04:40 en 2018 et Wenger, qui n'avait pas pu le mettre sur la liste européenne d'Arsenal,
04:45 avait fait un forcing pour que ça passe à trois.
04:50 Donc, c'est quelque part grâce à un joueur actuel de l'OM qu'on est à trois au lieu
04:53 d'un.
04:54 Bonne chose ou pas ça Bernard, les changements en Coupe d'Europe ? Là, ça pénalise l'OM.
05:00 Bernard Lambert On revient à ce qu'a dit Michel.
05:02 On revient au débat, le mercato d'hiver, quelle est l'utilité d'un mercato d'hiver.
05:08 Quand tu sais qu'aujourd'hui, un joueur, dans une année civile, peut changer trois
05:12 fois de club, ça te ramène à beaucoup de choses.
05:15 En juin, je signe.
05:17 En décembre, je pars.
05:18 Et en juin, je re-signe.
05:19 Après, ça peut partir sur un grand débat.
05:23 Thierry Samitier Beaucoup de messages aussi pour ma coiffure.
05:27 Sachez-le.
05:28 C'est très belle.
05:29 Thierry Samitier C'est comme ça, c'est cadeau.
05:33 On me dit « est-ce que tu as trouvé un agriculteur dans la région ? »
05:35 Oui, c'est toujours aussi sympa.
05:38 On est toujours dans des vannes, c'est normal.
05:39 Ça fait plaisir.
05:41 Donc, toi Michel, tu me disais quand même que tu attends un peu la réaction des joueurs.
05:46 Est-ce que tu penses que sur ce match-là, vu le contexte Wagenknecht…
05:49 Michel Witte Je t'apprends rien.
05:50 Thierry Samitier Bien sûr.
05:51 Michel Witte Tu peux perdre un match, tu as le droit, mais
05:54 il y a ce que tu as donné.
05:55 Thierry Samitier Est-ce que ça peut être… est-ce que là,
05:57 on peut sortir le concept de défaite encourageante ?
06:00 Je m'explique, l'OM perd 2-0, mais dans les 20 dernières minutes, revient à 2-1,
06:05 on se dit « on va presque égaliser », on se dit « tiens, il y a un peu une âme,
06:07 on va pouvoir capitaliser dessus ou pas ? »
06:09 Michel Witte Depuis tout à l'heure, on est en train de
06:12 parler de ce match, des blessés.
06:14 La vérité, on ne va pas se la cacher, c'est que même sans ces blessés-là, même avec
06:19 notre équipe actuelle et avec ce qu'on produit en Ligue 1 depuis le début de la saison,
06:24 j'entends bien depuis le début de la saison, ce match-là, tu es censé le perdre.
06:31 Donc là, on est en train de se trouver… c'est sûr que ça nous pénalise, bien évidemment,
06:38 mais on n'a pas ces blessés, je pense qu'on fait le même talk, on n'est quand même
06:42 pas confiant pour jouer Paris dimanche.
06:44 Donc j'ai envie de te dire, ce n'est pas un match bonus, parce qu'il ne reste que
06:49 24 points à distribuer, il reste 8 journées de championnat, donc quoi qu'il arrive,
06:53 tous les points sont hyper importants, ça dépend de ce qu'on ambitionne, bien sûr.
06:59 Mais moi, comme je le disais tout à l'heure, les blessés m'inquiètent beaucoup plus
07:02 pour la suite, pour les matchs qui vont suivre, la Coupe d'Europe, on est quand même en
07:07 quart de finale d'Europe à Ligue, pour Lille, pour les échéances à venir.
07:11 Mais là, pour Paris, avec ou sans ces blessés-là, j'ai envie de te dire…
07:16 On a un peu le sprint final de l'OM, puisqu'on parle beaucoup de calendrier, vous allez voir
07:23 un peu, et ça va se superposer, puisque après cette rencontre de dimanche, il y aura des
07:29 placements, ça sera vendredi à Lille, pour mieux préparer le quart de finale Allee,
07:35 qui sera à Lisbonne-Bernal, et par contre, c'est ça la bonne nouvelle, c'est que
07:39 la rencontre qui était entre les deux matchs de Benfica, Nice, a été reportée aux 24.
07:44 Ça peut te permettre peut-être de récupérer un joueur entre les deux Benfica, par exemple,
07:50 parce que bon, on va perdre à Benfica, c'est obligé, je vois pas autrement.
07:56 Mais espérer une qualification, tu récupères un joueur entre les deux, pourquoi pas, si
08:03 jamais tu avais dû jouer contre Nice trois jours après, ça aurait été infernal.
08:08 Après Benfica, quoi qu'il en soit, comme dirait l'autre, tu sauras si tu es en demi
08:12 ou si tu es éliminé, tu pourras donner toutes tes forces dans la bataille.
08:16 Et puis si tu fais une demi-finale de Coupe d'Europe, là tu oublies tout, tu fonces
08:21 malgré les absences, ça sera dans un mois, donc tu auras à récupérer des joueurs.
08:26 C'est la seule, j'ai envie de dire, selon moi, petite bonne nouvelle dans cet océan
08:34 de mauvaise.
08:35 Très bien.
08:37 On n'est pas sur un talk show.
08:40 Je pense à vous qui nous regardez et qui se dit, passer trois jours un peu compliqués,
08:47 le dimanche cauchemardesque, comme le dit Michel, où tu prends ton téléphone, à
08:50 chaque fois que tu regardes ton téléphone, il y a un blessé de plus, donc tu te dis
08:53 bon, à un moment donné, on ne va plus pouvoir.
08:55 Et là, tu te dis, tu sais quoi, jeudi, je vais me faire le talk du fossé, ils vont
08:58 me trouver des idées pour me donner un peu la banane, pour essayer de rater.
09:02 On est comme vous, on est un peu au fond.
09:05 Non, mais il faut être pragmatique, là tu arrives sur un mois et sur des échéances
09:08 où tu peux déchanter.
09:10 Tu perds Lille, tu perds Paris, tu perds Lille, donc tu décroches complètement Ligue 1.
09:17 Malheureusement, les doubles confrontations avec tous ces blessés-là contre Benfica,
09:21 si tu te disqualifié, ta saison, elle est terminée le 20 avril quasiment.
09:26 Alors tu dis ça, on va regarder le classement de Ligue 1.
09:30 Bernard, toi, tu as suvi ça parce que la chance finalement de l'OM, c'est que les
09:35 autres équipes n'avancent pas non plus très vite.
09:37 Donc est-ce qu'il y a une possibilité de voir un Olympique de Marseille, même malgré
09:42 le scénario que décrit Wagen, défaite contre Paris, défaite à Lille, est-ce que c'est
09:47 totalement décroché ou pas ?
09:49 Toi, tu vises quoi en fonction de ce…
09:52 Le calendrier est très compliqué pour moi.
09:55 Parce que derrière tu as Lens aussi, Kadis, Lens.
09:58 Toulouse à Toulouse qui est en train de refaire son passe.
10:00 Tu as même Reims.
10:01 Reims, c'est-à-dire qu'il y a un calendrier très compliqué.
10:03 Et puis il restera 6 matchs derrière.
10:05 Comme a dit Michel tout à l'heure, en 3 semaines, tu peux tout perdre.
10:09 En tout cas, aujourd'hui, vu l'état de l'effectif, ça me paraît compliqué d'aller
10:15 chercher une place européenne.
10:16 Alors, je réponds une nouvelle fois, excusez-moi, vous allez dire que c'est une émission
10:20 à thème, il insiste, il est un peu têtu le garçon.
10:24 Joni Hen qui nous dit « On joue au MPSG, ça reste une fête, quel que soit le contexte,
10:27 c'est un match à part.
10:28 On a fait match nul au Parc des Princes avec les Minots, on peut tout voir dans ce match.
10:31 Alors, je te renvoie, mon cher Joni Hen, à la composition du PSG lors de ce match-là.
10:36 Il y avait des Jérôme Rauten, c'était pas le plus mauvais en plus à l'époque.
10:43 C'est ce qui va se passer Romain.
10:45 Il y a un autre joueur qui n'a pas joué mardi, il s'est mis sur le côté, il n'a
10:51 pas joué, il a fait son dernier classico d'image.
10:53 Est-ce que vous avez cru à sa blessure ? À la 40ème, il était à terre, je me suis
10:56 dit « Tant il va être blessé.
10:57 » Malheureusement, le truc c'est le doublé
11:00 de Kiki, il est à combien ? Voir le triplé, ça me rend malade, mais c'est comme ça.
11:05 Je ne donne pas son nom, mais j'ai un ami qui m'a dit « La cote du PSG est à 2.10
11:11 ». Elle était à 2.10 il y a trois jours.
11:14 Et là, elle a 2 aujourd'hui.
11:16 C'est absolument fou d'être le talk show du FAUSSE-A.
11:21 Je me dis, là les Bertrand Chameroy et compagnie qui aiment bien clipper nos émissions, ils
11:26 vont se régaler.
11:27 Ils vont se regarder, ils donnent la cote du PSG.
11:29 Mais on en est là Bernard, là clairement 2.10, tu mets combien ? C'est là la question.
11:33 Désolé, il faut le dire.
11:36 On parlera du code chez nous Bernard, mais tout à l'heure, parce que c'est très
11:39 compliqué de faire une équipe quand tu ne sais pas les joueurs en présence.
11:42 Est-ce que tu penses quand même, malgré tout, que tu dois aborder le match en disant
11:48 « on laisse le ballon, on joue en contre » ou alors « on ne pourra pas tenir tout
11:53 le match » ? Ou au contraire, on essaye de…
11:55 Parce que Jean-Louis Gassé, il a montré depuis qu'il est là qu'il jouait à 4,
11:59 il jouait plutôt en 4-2-3-1, avec une équipe qui joue, qui joue, qui joue.
12:02 Encore une fois, tu l'as dit, le PSG c'est à part.
12:06 Tu penses, c'est quoi la meilleure option ?
12:08 Je vais te dire que contre ce genre d'équipe, il n'y en a pas vraiment.
12:12 Parce qu'en fait, c'est des gens qui savent tout faire.
12:14 Si tu leur laisses 50 mètres dans le dos, tu vas avoir les flèches qui vont te partir
12:18 et vont te massacrer.
12:19 Si tu leur laisses trop le ballon, c'est des gens qui sont capables, dans les 20 derniers
12:23 mètres, de faire des tours de magie, que ce soit Dembélé, que ce soit Mbappé, que
12:26 ce soit… D'accord ? Donc dans les deux cas, tu as un danger.
12:31 Si tu subis trop et que tu prends un but, tu fais quoi ? Tu restes machin, donc tu vas
12:34 sortir.
12:35 Si tu vas sortir, ça veut dire que tu vas avoir un problème.
12:36 Si tu vas aller chercher très haut, comme tu dis, il faut avoir les jambes.
12:38 Et puis très haut, très haut, tu es en permanence… Voilà, tu as le pistolet sur la table en
12:46 permanence.
12:47 Donc c'est très compliqué de jouer contre des équipes comme ça, parce qu'ils sont
12:49 capables malgré tout de tout faire.
12:51 Même s'ils sont moins forts quand même que ce qu'ils ont été, je parle à part
12:56 à Mbappé, ils ont des bons joueurs.
12:59 Mais tu vois, ils ont quand même perdu de la créativité pour un mec qui tenait un ballon
13:03 entre deux, comme Messi ou Neymar.
13:05 Quand tu perds Neymar et Messi… Je pense qu'il n'y a qu'une façon de
13:12 gagner contre cette équipe, c'est comme on l'a fait l'année dernière, c'est
13:15 où tu dors en Coupe de France, où tu leur as marché dessus, tu as mis une intensité,
13:19 tu as gagné tes duels, mais ça tu ne peux pas le répéter.
13:21 Déjà, tu n'aimes pas les joueurs surtout, Vaghan.
13:23 Tu n'aimes pas les joueurs.
13:24 Je ne suis pas d'accord avec ce que tu as dit.
13:26 Est-ce que tu te souviens de l'année dernière, et on en avait parlé sur le plateau avec
13:31 Seb Volp, malgré tout, ce match qui est héroïque, qui est notre moment de la saison, on gagne
13:37 2-1, à la dernière minute, je ne sais pas si vous vous en souvenez, il y a un but de
13:41 Sergio Ramos, machin, ça se joue à ça… Et il n'y a pas Mbappé.
13:45 Et en plus de ça, nous c'est le moment de notre vie, lui n'était pas là.
13:52 Je ne suis pas trop d'accord avec ce que tu as dit, moi je pense que l'OM au complet,
13:59 avec tout le monde au pic de sa forme, je pense que tu peux les inclure.
14:02 Cette année-là ?
14:03 Oui, bien sûr.
14:04 Moi je suis d'accord.
14:05 L'OM, 7ème du championnat ?
14:06 Oui, oui.
14:07 Moi je te dis, moi, c'est perso, l'OM au complet, avec ton 11, tu n'y es pas.
14:12 Au pic de leur forme.
14:13 A chacun au pic ?
14:14 Moi je te dis, tu les inquiètes.
14:15 Et pense que tu as vaincu au Vélodrome ?
14:17 Et pourquoi tu as cette place alors ?
14:19 Mais là, on fait la saison, on fait la saison.
14:24 Mais bien sûr, ça revient à dire que tu rematches.
14:27 Bien sûr, mais ça revient à dire que sur un match, bien sûr que tout est possible.
14:30 On parle avec de la dynamique qui a été créée.
14:32 Moi je pense que…
14:33 De la dynamique qui a été créée, donc Jean-Louis là ?
14:35 Mais non, quelle dynamique ?
14:36 Non, mais je ne suis pas d'accord avec ça, je te dis, sincèrement, je ne suis pas d'accord.
14:40 Pour moi, ça a été un feu de paille.
14:42 Tu as battu Clermont et Montpellier, on va dire, au la main.
14:47 Tu as fait un match référence contre Villarreal.
14:49 Derrière ça, des goé-golé.
14:51 Tu as eu un match, on va dire, assez médiocre contre Nantes, où tu gagnes 2-0.
14:55 Tu as eu un match catastrophique pour moi à Rennes.
14:58 Donc la série, elle est plutôt positive.
15:01 Oui, mais tu as plus d'énergie.
15:02 La dynamique…
15:03 Bernard, il t'a dit…
15:04 Non, mais il y a toujours quelque chose.
15:05 Mais moi, c'est…
15:06 Non, mais tu es obligé…
15:07 Tu es obligé de considérer quand même qu'une équipe, le groupe, en lui-même, pendant
15:11 20 jours, il joue tous les 3 jours, il y a des changements d'entraîneur, nerveusement,
15:15 psychologiquement…
15:16 Mais oui, mais d'accord.
15:17 Tu as changé 3 fois d'entraîneur, tu es au taquet, tu es épuisé, tu perds des joueurs,
15:21 tu arrives à Rennes, tu es comme ça.
15:23 Et encore, tu peux égaliser en étant mauvais.
15:26 Même avant Nantes, il a dit, les gars, j'ai besoin du public.
15:29 On n'avance plus, on n'y est plus, on est épuisé.
15:32 Bernard, il te dit, il ne te dit pas sur 10 matchs.
15:36 Il te dit, un match, tu es à 100%, tous tes joueurs, comme le match de Villareal, tu
15:41 peux exister.
15:42 Moi, c'est mon avis.
15:43 C'est tout.
15:44 Moi, je pense que tu les inquiètes.
15:45 Pas raison.
15:46 Moi, je pense que tu les inquiètes.
15:47 Mais bon, ce n'est pas le cas.
15:48 Ce n'est pas bon Paris, cette année.
15:49 Ils ont Mbappé.
15:50 Oui, ils ont Mbappé.
15:51 Tu as toujours le facteur Mbappé.
15:52 Quand ils se sont fait bouger, Paris, tu veux que je te dise les noms ?
15:53 Oui, bien sûr, on l'a vu, Brest, Rennes.
15:54 Mais tu le sais que contre nous, ils se mettent en mode Ligue des champions et ce n'est
15:55 jamais le même match.
15:56 Tu es même à la Real Sociedad, tu as essayé.
16:05 Aujourd'hui, tu as un gros problème, c'est que c'est en effectif, aujourd'hui.
16:11 Oui, voilà.
16:12 Mais c'est pour ça que je te dis, tu n'as pas les armes pour lutter contre Paris cette
16:15 saison.
16:16 Non, mais là, sur aucun nom.
16:17 Mais même cette saison.
16:18 Moi, je ne suis pas d'accord.
16:19 Moi, je pense qu'au complet, tu peux les inquiéter.
16:22 Mais bon, ce n'est pas le cas puisque ce n'est pas le débat.
16:23 Ils n'y sont pas.
16:24 Mais justement, on va se rapprocher doucement.
16:27 Rennes-sur-saut MPSG.
16:28 Mais regardez, ce culture, c'est nous d'anthologie.
16:31 On s'en rapproche doucement.
16:33 On passe à la troisième partie de cette émission.