• il y a 8 mois
Invitée de l'émission "Chez Jordan De Luxe" (C8), le fils de Claude François a tenu à régler ses comptes avec Faustine Bollaert, qui avait reçu dans "Ça commence aujourd'hui" une femme affirmant avoir été enfermée dans la loge de l'artiste.

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Transcription
00:00 On se revendique d'être civilisé, puisqu'on est dans une civilisation depuis quelques milliers d'années maintenant,
00:06 et qu'on soit dans le respect des personnes disparues, et qu'on ait cette décence de comprendre qu'on ne peut pas incriminer une personne qui n'est plus là pour se défendre,
00:16 alors qu'il n'y a jamais eu de plainte. C'est tout. C'est tellement facile. Et puis entretenir ça...
00:24 Le problème aussi, c'est qu'aujourd'hui on est dans un phénomène de buzz, parce que tout est relayé après sur les réseaux,
00:30 et puis c'est tellement facile de défoncer un mec qui a une si forte notoriété quand il n'est plus là.
00:35 D'abord quand il n'est plus là pour se défendre, et quand en plus les ayants droit n'ont aucun recours juridique.
00:39 Ça, ça vous embête ?
00:40 Évidemment que ça m'embête. J'ai réussi à avoir quelques droits de réponse, notamment sur France 2 dernièrement avec Faustine Bollert,
00:48 mais c'est trois semaines après !
00:49 Ah oui, Faustine Bollert, qu'est-ce qui s'était passé ?
00:51 Elle reçoit une nana qui explique, elle s'est retrouvée dans la loge, et qu'il a fermé la porte,
00:57 mais deux minutes après elle explique qu'elle est quand même sortie, mais qu'elle est retournée,
01:01 et que ça a duré six ans, et quand on regarde sur ses réseaux, il y a une photo de Claude François,
01:05 où elle dit "l'homme que j'ai le plus aimé, qui m'a le plus respecté dans ma vie".
01:09 Et Faustine Bollert, pendant l'émission, de dire "enfin, c'est un viol, c'est un viol !"
01:15 Non, je ne dirais pas ça.
01:16 "Enfin si, c'est un viol !"
01:17 Dix fois !
01:19 Non, elle vient de me dire que non.
01:21 Et elle est restée, elle y est retournée.
01:23 Donc voilà.
01:25 Mais on a eu le droit de réponse, France 2, le service juridique a considéré qu'on était dans le bon endroit.

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