Road House
Transcript
00:00 C'est vrai que ça remplit un cahier d'écharpes qui moi me convient parfaitement, c'est-à-dire Patrick Swayze, de la bagarre et des nichons.
00:05 Que dire de plus ? Déjà je suis fasciné par le sérieux avec lequel justement le videur de boîte de nuit game est traité quoi.
00:11 C'est toujours un truc qui m'a fasciné quoi. C'est la solution à absolument tous les problèmes d'un propriétaire d'établissement de nuit,
00:17 c'est d'avoir le bon videur au bon moment. Il y a la dissonance cognitive en fait du film.
00:21 C'est d'avoir ce propos complètement crétin et je trouve tout de même que c'est quand même assez soigné, tu vois, esthétiquement, visuellement,
00:27 il y a un vrai boulot quoi. Tu vois, c'est pas ridicule du tout. Tout fait vrai et c'est ça qui est cool aussi, c'est de voir un film où vraiment tout explose pour de vrai.
00:33 Mais moi ce qui m'avait surpris dans le film c'est vraiment la violence, l'extrême violence graphique du film.
00:38 En fait tu vois que les autres ils ont des armes et Patrick Swayze son corps c'est une arme.
00:41 Mais en fait il est vraiment devenu culte au fur et à mesure de son exploitation VHS.
00:45 Un truc qui peut exister qu'à cette époque-là, qui la représente parfaitement.
00:49 D'où le fait que je ne comprends toujours pas l'intérêt de faire un remake tellement c'est un produit de son époque.