Rétro MotoGP 2023 - Bagnaia, l'incassable - Vidéo Dailymotion

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Transcript

00:00:00 [Musique]

00:00:04 - Bagnayas c'est la sagesse, l'intelligence et la vitesse.

00:00:08 [Musique]

00:00:15 - Rory Martin c'est la fougue, l'improvisation et la prise de risque.

00:00:20 [Musique]

00:00:21 - Le contact entre les deux pilotes !

00:00:23 [Musique]

00:00:29 - Il a été percuté !

00:00:30 [Musique]

00:00:32 - Parfois il faut être très chanceux.

00:00:34 [Musique]

00:00:38 - Rory Martin ! Rory Martin est tombé ! Rory Martin est tombé !

00:00:42 - C'est juste le moment où nous devons nous améliorer, nous devons apprendre.

00:00:45 [Musique]

00:00:53 - J'ai donné mon 150%.

00:00:55 [Musique]

00:01:06 - Il est double champion du monde ! MotoGP !

00:01:10 [Musique]

00:01:12 - Nous méritons ce titre plus que tout le monde.

00:01:14 [Musique]

00:01:20 [Musique]

00:01:28 [Musique]

00:01:34 - La saison 2023 prend racine ici à Portimao dans le sud du Portugal.

00:01:39 Quatre mois se sont écoulés depuis le dernier Grand Prix à Valence.

00:01:43 Sur la ligne de départ, on retrouve 22 pilotes et la même question pour tout le monde.

00:01:48 - Est-ce que vous avez la solution pour battre Ducati ?

00:01:50 - Ah, c'est difficile !

00:01:52 - C'est la question principale de tous les fabricants.

00:01:55 J'aimerais, mais ce n'est pas facile. Ils sont forts, ils sont nombreux, donc ce sera très difficile.

00:02:01 L'an passé, Ducati a remporté 11 des 20 courses disputées.

00:02:05 - Je pense que tout le monde est un peu effrayé par eux.

00:02:09 - Ils sont pour ce moment les plus forts de la ligne.

00:02:13 - Les 8 motos ont 8 pilotes compétitifs et tous sont rapides.

00:02:17 8 pilotes, 8 machines, 8 possibilités, mais une évidence.

00:02:23 - C'est Francesco Bagnaglia, le champion du monde en titre.

00:02:25 Une fin de saison extrêmement solide, la meilleure moto.

00:02:28 Il n'y a pas de raison que ce soit quelqu'un d'autre que lui le favori.

00:02:31 Comme pour marquer son territoire, Bagnaglia a choisi le numéro 1.

00:02:34 - C'est bien, ça a l'air bien. Je vois des photos et des vidéos du test et j'aime ça.

00:02:41 Une première depuis Casey Stoner en 2012.

00:02:44 - Les tests sont parfaits, on est prêts pour commencer la saison.

00:02:49 Je suis juste excité d'être ici.

00:02:52 En se rendant sur la grille jeudi pour la photo de famille, Fabio Quartararo apparaît détendu.

00:03:01 Certes, le français vit champion du monde, mais l'hiver a été rude.

00:03:07 - Je ne me plains pas parce que franchement Yamaha a travaillé très dur.

00:03:10 Ça n'a pas marché malheureusement. Quand on regarde le résultat des tests de Portimao,

00:03:14 et que dans les 8 premiers il y a 7 Ducati, on ne va pas dire inquiet, mais pas confiant à 100%.

00:03:19 - En fait quand on l'écoute on sent bien qu'il y a de la difficulté.

00:03:23 Et le problème c'est qu'il y a une dynamique qui est engagée du côté de chez Yamaha,

00:03:28 qui est plutôt une dynamique un peu négative.

00:03:31 C'est-à-dire que la fin de saison dernière a été compliquée.

00:03:34 Dans les essais hivernaux il y a des choses positives,

00:03:37 mais on sent qu'il y a quand même beaucoup de problèmes,

00:03:39 et surtout des problèmes de l'an passé qui n'ont pas été réglés.

00:03:42 Vendredi, première frayeur.

00:03:45 Alors que la saison débute à peine, Paul Espargaro perd le contrôle de sa KTM à haute vitesse,

00:03:52 et vient heurter violemment le mur de pneumatique.

00:03:55 - Et là on n'a pas de nouvelles.

00:03:57 On imagine bien que le fait de taper le mur à cet endroit en haut de la montée avec beaucoup de vitesse,

00:04:02 ça peut être très grave.

00:04:04 Pendant que Paul Espargaro est transporté à l'hôpital,

00:04:07 il souffre de multiples fractures et sera absent pendant plus de 4 mois.

00:04:11 Au Portugal, le paddock découvre un nouveau format,

00:04:20 avec notamment l'arrivée d'une course sprint le samedi.

00:04:23 - Si on gère bien sa moto, il y a moyen vraiment d'avoir ce plaisir du départ, de la bagarre,

00:04:31 et double chance de faire des podiums.

00:04:35 Ça peut être éprouvant, mais on s'est tous préparés pour ça.

00:04:40 Samedi justement, Francesco Bagnaia entame idéalement la défense de son titre.

00:04:46 - Victoire d'une course sprint, et c'est pour le champion du monde en titre, Francesco Bagnaia !

00:04:54 L'Italien remporte la première course sprint de l'histoire.

00:04:58 Derrière, dans les échappements du champion,

00:05:01 Roré Martin termine deuxième, les prémices d'un duel haletant.

00:05:05 24 heures plus tard, Francesco Bagnaia partage la première ligne avec Marc Marquez.

00:05:11 L'Espagnol est en pole position pour la 64e fois de sa carrière en MotoGP,

00:05:16 Zarco et Quartararo son 9e et 10e.

00:05:19 - Et boum !

00:05:28 Le premier départ de la saison est animé.

00:05:31 Marquez voit Olivera et Martin lui passer devant.

00:05:34 L'Espagnol tente alors de réagir au freinage.

00:05:38 Mais Bagnaia en profite à son tour.

00:05:42 Rapidement, le champion italien cadenasse la première position.

00:05:52 24 tours et 40 minutes plus tard, il franchit la ligne en vainqueur.

00:05:56 Deux courses, deux victoires, 37 points inscrits, Bagnaia marque d'entrée son territoire.

00:06:02 De ce premier Grand Prix de l'année, on retient de la confiance de Bagnaia.

00:06:12 Il est très content de se retrouver avec ses amis.

00:06:15 Il est très content de se retrouver avec ses amis.

00:06:18 De ce premier Grand Prix de l'année, on retiendra le dernier tour fou de Johan Zarco.

00:06:24 Le Français passe de la 7e à la 4e place en quelques virages.

00:06:28 Première ivresse de l'année.

00:06:31 - C'était extra !

00:06:45 - C'était extra ! Vraiment un vrai bonheur de gagner trois places comme ça.

00:06:49 - Vraiment un vrai bonheur de gagner trois places comme ça.

00:06:51 - Presque d'un seul coup, c'est encore meilleur.

00:06:53 Mais en quittant Portimao, tout le monde n'a qu'une action en tête.

00:06:58 Le contact et la double chute !

00:07:03 Marc Marquez qui emmène avec lui Miguel Olivera.

00:07:09 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:13 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:15 - Parce que j'ai fait un gros erreur aujourd'hui.

00:07:17 - Je pense qu'avec ce qui s'était passé la veille où il avait fini sur le podium,

00:07:21 - Je pense qu'avec ce qui s'était passé la veille où il avait fini sur le podium,

00:07:23 - il se voyait bien de nouveau aller en chercher un podium et pourquoi pas la victoire.

00:07:25 - il se voyait bien de nouveau aller en chercher un podium et pourquoi pas la victoire.

00:07:27 - Mais là, il a un petit peu mélangé vitesse et précipitation.

00:07:29 Marc Marquez quitte le Portugal le bras droit plâtré, la tête basse, sous les huées.

00:07:35 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:37 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:39 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:41 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:43 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:45 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:47 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:49 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:07:51 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

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00:07:55 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

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00:07:59 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:08:01 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

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00:08:07 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:08:09 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:08:11 - Je suis désolé pour Miguel, pour son équipe, pour tous les fans portugais.

00:08:33 Sous la pluie, le champion du monde Francesco Bagnaia part de la première ligne.

00:08:37 Devant lui, Alex Marquez en pôle pour la première fois de sa carrière en MotoGP et Marco Bezzecchi.

00:08:43 Johan Zarco est sixième sur la grille.

00:08:45 Le pilote de la VR46, Marco Bezzecchi, prend le meilleur départ.

00:08:57 Il se retrouve rapidement en tête devant Alex Marquez et Bagnaia.

00:09:01 Un trieu de leaders qui ne change pas jusqu'au 15e tour de course.

00:09:07 La Ducati officielle dépasse la Grésini de Marquez pour prendre la deuxième position du Grand Prix.

00:09:21 Mais deux tours plus tard, Bagnaia commet déjà sa première erreur de la saison.

00:09:29 - Peut-être qu'on était un peu sur la limite.

00:09:31 - On se battait pour le podium et j'étais sûr qu'on finirait deuxième.

00:09:35 - Mais rien du tout. Je me suis fait tomber encore.

00:09:39 - On pensait que tout était réglé dans sa tête, que ses petites erreurs de déconcentration avec son doublé au Portugal n'arriveraient plus.

00:09:47 - Et non, il est retombé sans ses travers malheureusement.

00:09:49 L'Italien repart, mais n'inscrit aucun point ce jour-là.

00:09:55 Redescendu jusqu'à la 8e place dans cette course, Joan Zarco profite lui de son habileté dans ces conditions humides pour revenir sur la tête à trois tours de l'arrivée.

00:10:05 - Joan Zarco qui est maintenant 3e, il est virtuellement sur le podium.

00:10:09 - Heureusement qu'il n'y avait pas moins de tours parce que c'était tout juste vraiment le temps d'avoir Morbidelli et ensuite Alex Marquez.

00:10:15 - Mais sur la fin, on voit qu'ils ont du mal à accélérer et moi justement je peux faire vachement plus de mètres.

00:10:20 - Ça fait du bien.

00:10:22 - 2e c'est vraiment extra.

00:10:25 Joan Zarco monte sur le podium pour la première fois de la saison.

00:10:28 Devant lui, Marco Bezzechi réalise une course parfaite.

00:10:31 Il gagne avec 4 secondes d'avance sur le français.

00:10:34 - Dernier virage, passage de la ligne. Grande Marco Bezzechi !

00:10:43 Une première victoire en MotoGP pour l'italien et pour l'équipe de Valentino Rossi.

00:10:49 - C'est un grand succès parce que pas tout le monde peut dire ça mais je fais tout pour être moi-même et bien sûr je reçois de l'aide par lui donc c'est incroyable.

00:10:59 - C'est un grand succès parce que pas tout le monde peut dire ça mais je fais tout pour être moi-même et bien sûr je reçois de l'aide par lui donc c'est incroyable.

00:11:07 - C'est un grand succès parce que pas tout le monde peut dire ça mais je fais tout pour être moi-même et bien sûr je reçois de l'aide par lui donc c'est incroyable.

00:11:12 - C'est un grand succès parce que pas tout le monde peut dire ça mais je fais tout pour être moi-même et bien sûr je reçois de l'aide par lui donc c'est incroyable.

00:11:18 - C'est un grand succès parce que pas tout le monde peut dire ça mais je reçois de l'aide par lui donc c'est incroyable.

00:11:22 Mais ce dimanche soir en Argentine, c'est une autre légende qui le rend le plus heureux.

00:11:29 - Alors, tiens-la bien parce que j'ai peur que tu la détruises. Elle m'a vraiment signé.

00:11:32 - Je t'ai aidé ?

00:11:33 - Oui.

00:11:34 - Elle m'a régalé de signer.

00:11:38 - Qui ?

00:11:39 - Signé par Messi.

00:11:40 - Oui ?

00:11:41 - Oui.

00:11:42 - Tu as aidé Marco aussi.

00:11:43 - Merci.

00:11:44 - C'est incroyable, vraiment. Je ne sais pas ce que c'est. Merci.

00:11:47 - C'est beau.

00:11:49 - Pour la première fois depuis son arrivée en MotoGP la saison passée, Marco Bezzi qui mène le championnat du monde.

00:11:55 - Donc tu as 24 ans.

00:11:58 - Oui.

00:11:59 - Tu es italien bien sûr.

00:12:00 - Oui.

00:12:01 - Et tu es rapide.

00:12:03 - Parfois.

00:12:05 - Quand et où as-tu commencé à conduire une moto de poche ?

00:12:09 - J'ai commencé à conduire à 6 ans, parce que mon père m'a fait un cadeau pour mon 6ème anniversaire.

00:12:17 Il m'a donné une moto de poche.

00:12:19 - C'est incroyable.

00:12:20 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:22 - Oui.

00:12:23 - Tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:24 - Oui.

00:12:25 - Tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:26 - Oui.

00:12:27 - Tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:28 - Oui.

00:12:29 - Tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:30 - Oui.

00:12:31 - Tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:32 - Oui.

00:12:33 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:34 - Oui.

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00:12:37 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:38 - Oui.

00:12:39 - Tu as commencé à faire des choses avec ça ?

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00:12:41 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:42 - Oui.

00:12:43 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:44 - Oui.

00:12:45 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:46 - Oui.

00:12:47 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:48 - Oui.

00:12:49 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:50 - Oui.

00:12:51 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:52 - Oui.

00:12:53 - Et tu as commencé à faire des choses avec ça ?

00:12:54 - Oui.

00:12:56 Dimanche, sur la grille, Marco Bezzecchi est cinquième.

00:12:59 Deux lignes plus hauts, Francesco Bagnaglia s'élance lui de la pôle position.

00:13:03 La veille, l'Italien a remporté sa deuxième course sprint de la saison.

00:13:08 Il partage la première ligne avec le surprenant Alex Rins.

00:13:11 La course d'Aurore Martin dure 23 secondes.

00:13:23 L'Espagnol perd le contrôle de sa Ducati et percute violemment son compatriote Alex Marquez.

00:13:30 C'est le premier temps fort du Grand Prix.

00:13:33 Un autre intervient seulement sept tours plus tard.

00:13:36 Il concerne le leader de la course.

00:13:38 - Francesco Bagnaglia, encore une fois, a cédé à la pression, mais c'est pas possible !

00:13:51 - Je suis un peu déçu, un peu en colère, pas avec moi-même, car je sais certainement que ce n'est pas de ma faute.

00:13:58 - On a l'impression qu'il se déconcentre.

00:14:00 Ça a l'air tellement facile qu'à un moment donné, le cerveau, il n'est plus là.

00:14:05 Et on se retrouve par terre, et ça lui coûte cher.

00:14:08 - Finalement, la question que tout le monde se pose, c'est est-ce qu'il assume son statut de favori ?

00:14:14 Le Grand Prix des États-Unis voit émerger un leader inattendu.

00:14:18 Alex Rins mène l'épreuve texane.

00:14:21 Derrière l'Espagnol, à quelques secondes, Fabio Cuartararo récupère la troisième place.

00:14:28 Le Français, parti septième, profite des circonstances de course

00:14:32 pour monter sur son premier podium de la saison derrière Luca Marine.

00:14:36 - On a commencé mal à Portimao, très belle course en Argentine sous la pluie, là on termine sur le podium.

00:14:43 Ce n'est pas ce que je veux comme début de saison, mais on est en train de monter les escaliers petit à petit.

00:14:49 Cuartararo, désormais septième d'un championnat toujours dominé par Marco Bezzecchi, sixième ce jour-là,

00:14:55 bien loin d'Alex Rins qui offre à Honda un premier succès depuis près de deux ans.

00:15:00 - Je suis tellement content de cette course, de ce résultat.

00:15:04 C'est impressionnant parce que c'est une autre victoire ici à Austin, avec Honda, avant avec le Suzuki.

00:15:10 Je suis tellement fier.

00:15:13 Après deux grands prix cauchemardesques, Bagnaia veut réagir en Espagne,

00:15:33 là où il avait décroché la pole et la victoire un an plus tôt.

00:15:39 - Je suis très content d'être ici, très prêt à faire tout.

00:15:43 Mais le week-end commence mal, seulement treizième après les essais libres,

00:15:47 il doit passer par la première partie des qualifications.

00:15:50 - Les 15 premières minutes de cette séance de qualification, Laurent Herrendi, très importante

00:15:56 parce qu'il n'y a que des top guns, il y a trois top guns dans cette Q1.

00:16:01 - On n'a pas encore trouvé les clés de cette machine et le temps qu'on a perdu à chercher,

00:16:06 c'est du temps qu'on prend un petit peu dans les dents pour faire un tour chrono,

00:16:10 pour aller chercher sa place en Q2 directement.

00:16:13 Face à lui, le leader du championnat, Marco Bezzechi, est Fabio Quartararo.

00:16:18 L'Italien parvient à accéder à la Q2, il termine cinquième,

00:16:27 mais rate le top 3 pour la première fois de la saison.

00:16:30 - Bagnaia a fait le boulot, mais on ne le sent pas aussi favori que l'année dernière.

00:16:36 Le dimanche, la course se déroule devant 80 000 fans,

00:16:40 l'une des plus belles affluences de l'année.

00:16:43 Aleix Espargaro s'élance de la pole position, une première depuis près d'un an.

00:16:56 Francesco Bagnaia est lui en deuxième ligne.

00:17:02 Son ancien rival Fabio Quartararo s'élance seulement 16e et chute dès le début de course.

00:17:08 - C'est Fabio Quartararo !

00:17:15 L'accident du Français provoque un drapeau rouge et un nouveau départ.

00:17:19 - Fabio Quartararo n'aura pas passé le premier virage.

00:17:22 - C'est sûr qu'on n'est pas en pleine confiance quand on sait que c'est un circuit qui est très difficile.

00:17:27 - On avait énormément d'espoir sur un grand prix comme celui-là, sur ton podium d'Austin.

00:17:33 Blessé, le pilote Yamaha peut tout de même reprendre sa place sur la grille.

00:17:38 Après son accident avec Oliveira, le Français est pénalisé d'un long lap

00:17:45 et finit ce grand prix à la 10e place.

00:17:48 Sur cette quatrième manche de course, le Grand Prix de France est terminé.

00:17:55 Sur cette quatrième manche de la saison, l'acteur principal s'appelle Francesco Bagnaglia.

00:18:00 L'Italien est très vite 3e derrière les deux KTM.

00:18:04 Et c'est en force qu'il décide de passer Jack Miller.

00:18:08 - Francesco Bagnaglia s'infiltre à l'intérieur et il va prendre la deuxième position.

00:18:12 La manœuvre est jugée dangereuse, Bagnaglia doit rendre sa place à l'Australie.

00:18:18 - Pour moi, ce n'était pas juste. Mais je l'accepte.

00:18:22 Mais je veux que d'ici là, tout soit pareil.

00:18:25 Tout est à refaire et quelques instants plus tard,

00:18:30 le champion du monde porte à nouveau une attaque sur son ancien coéquipier.

00:18:33 - Cette fois-ci, c'est passé pour Francesco Bagnaglia.

00:18:38 À trois tours de l'arrivée, Francesco Bagnaglia cible désormais Brad Binder.

00:18:46 - Bagnaglia !

00:18:48 L'Italien s'impose pour la deuxième année consécutive à Jerez.

00:18:56 - La victoire de Francesco Bagnaglia va faire du bien à Ducati,

00:19:03 va faire du bien aux Rouges, parce que sur les Grands Prix précédents,

00:19:07 il y a eu quand même deux erreurs importantes.

00:19:09 Ils vont espérer, maintenant chez Ducati, pour le reste de la saison,

00:19:12 que Bagnaglia ne commette pas d'erreurs.

00:19:14 Après un début de week-end difficile,

00:19:16 Francesco Bagnaglia repart d'Espagne en leader du championnat,

00:19:19 sous le regard amusé de son mentor.

00:19:22 - Parfait, parfait.

00:19:23 - Fais attention.

00:19:24 - Parfait.

00:19:25 - Fais attention.

00:19:26 - Je t'ai dit que tu fais des erreurs,

00:19:29 tu fais chier, tu fais du mal, tu fais du mal.

00:19:32 - Pour nous, il faut que tu partes bien tout de suite.

00:19:35 - C'est ça le problème.

00:19:37 Si tu partes bien tout de suite,

00:19:39 tu dois faire un peu de doping,

00:19:41 et puis tu arrêtes,

00:19:43 et tu vas contrôler le bord.

00:19:45 Tu vas trop bordé.

00:19:47 - Mais le drop-one position, il a fait le drop-one position bien.

00:19:51 - Oui, mais il faut partir un peu plus loin.

00:19:53 - Beaucoup de monde, c'était beau.

00:20:05 On aurait presque dit un roi sur son balcon

00:20:10 qui salue la foule et tout le monde crie.

00:20:13 C'est le Grand Prix de France, on en a qu'un.

00:20:16 C'est un week-end très intense

00:20:18 parce qu'on a énormément d'événements.

00:20:20 - Les 2 Français, quand ils arrivent au Mans,

00:20:22 c'est inimaginable, ce sont des rois.

00:20:24 - L'ambiance était incroyable cette année.

00:20:30 C'est fantastique de voir ça pour le sport moto en France.

00:20:34 - C'est donc au Mans, sur le circuit Bugatti,

00:20:41 que va se tenir le 1000e Grand Prix de l'histoire du Championnat du Monde.

00:20:45 Un rendez-vous historique qui débute par une rencontre

00:20:49 entre Randy Depuny, notre consultant, et Fabio Quartararo.

00:20:52 - Les choses évoluent vite en MotoGP.

00:20:55 Tu as signé 2 ans le contrat.

00:20:57 Aujourd'hui, quand on regarde les résultats,

00:21:00 les performances de la moto,

00:21:02 on s'aperçoit que la Yamaha, c'est la moto la moins performante du plateau.

00:21:05 Si ça continue comme ça,

00:21:07 est-ce que tu penses rester chez Yamaha pour le futur,

00:21:10 après ton contrat, ou tu vas regarder ailleurs ?

00:21:14 - C'est sûr que ma priorité, c'est les performances.

00:21:17 Même si Yamaha, sincèrement, je ne les ai jamais eues,

00:21:19 faire autant d'efforts,

00:21:21 il n'y a toujours pas la moto que j'attends.

00:21:24 Et je pense que le développement de la moto 2024

00:21:27 sera très intéressant pour mes choix, pour mon futur.

00:21:31 - Le Grand Prix de France, 5e rendez-vous de l'année,

00:21:35 moment choisi par Aure Martin,

00:21:37 pour définitivement lancer sa saison.

00:21:39 L'Espagnol décroche la première de ses 9 victoires en course sprint,

00:21:46 cette saison.

00:21:47 - Je me sens comme l'un des plus forts de la grille,

00:21:52 et enfin, avec une bonne course, j'ai pu faire un bon travail.

00:21:55 Je suis content et je pense que je vais finir ce week-end avec un bon travail.

00:21:58 - Réussir à faire des performances en course sprint,

00:22:01 ça veut dire qu'on a beaucoup de confiance en soi,

00:22:03 parce que ce sont des courses qui sont toujours très disputées,

00:22:05 parce qu'elles sont très courtes,

00:22:07 et il y a beaucoup de tentatives de dépassement

00:22:09 qui ne sont pas toujours réussies.

00:22:11 Donc il faut savoir s'imposer, et ça, Martin y arrive bien.

00:22:14 Sur la grille dimanche, la ferveur populaire est exceptionnelle.

00:22:17 Le 1000e Grand Prix rassemble plus de 110 000 spectateurs.

00:22:21 C'est un nouveau record dans l'histoire du MotoGP.

00:22:24 - Quand les deux Français arrivent sur la grille de départ,

00:22:29 il y a les deux tribunes, de part et d'autre, de cette ligne droite,

00:22:33 qui commencent à entonner la Marseillaise.

00:22:43 - Quand j'y repense, j'en ai encore des frissons.

00:22:45 C'est des moments qu'on ne voit nulle part ailleurs qu'ici.

00:22:48 - C'est une ambiance de folie, et on sent qu'il va se passer des choses.

00:23:05 - Francesco Bagnaia s'élance de la pole position pour la deuxième fois de l'année,

00:23:10 Roré Martinez 5e, Joan Zarco 9e, Fabio Quartararo 15e.

00:23:15 Le Grand Prix débute sur des bases très élevées.

00:23:33 Au 5e tour, Francesco Bagnaia et Maverick Vinales sont à la lutte pour la 3e place.

00:23:39 - Oh, le contact ! Oh non, c'est la chute !

00:23:41 La chute pour Francesco Bagnaia !

00:23:43 - C'était un petit peu l'ego, personne n'a voulu lâcher dans ce fameux S bleu,

00:23:50 et sur le changement de direction, les deux pilotes se sont rejoints,

00:23:54 et forcément beaucoup d'émotion dans le bac à gravier.

00:23:56 C'est le 3e abandon en 5 Grands Prix pour Francesco Bagnaia.

00:24:02 Une première secousse, puis une autre quelques secondes plus tard

00:24:06 lorsque Alex Marquez se retrouve sur la piste, au milieu des motos.

00:24:10 Ce millième Grand Prix de l'histoire est à le temps et indécis jusqu'au bout.

00:24:20 Il reste 2 tours, Marc Marquez alors 3e perd le contrôle de sa Honda.

00:24:31 Le public a compris, Johan Zarco va monter sur son 2e podium de la saison.

00:24:36 - Très content, parce que ça a été très intense, le rythme était bon,

00:24:50 et là, le fait d'avoir le podium, c'est exceptionnel.

00:24:53 Donc voilà, le podium c'est toujours bon, mais c'est vrai qu'en France c'est meilleur.

00:24:58 - Quartararo 7e, Zarco et Martine, les deux pilotes Pramac sur le podium,

00:25:02 et tout en haut, sur la plus haute marche, Marco Bezzechi,

00:25:06 l'italien vainqueur un mois plus tard en Argentine, confirme son immense potentiel.

00:25:10 Ce 2e succès de la saison l'installe clairement comme un prétendant au titre.

00:25:14 - C'était un très bon jour pour moi et pour mon équipe.

00:25:17 Le public est très content, et on est très content de ce qu'il s'est passé.

00:25:21 - C'est un grand moment pour moi, et pour mon équipe.

00:25:24 Le public était fantastique, et j'aime vraiment ce GP pour les gens,

00:25:28 donc je veux beaucoup les remercier.

00:25:32 L'un des plus beaux circuits au monde accueille la 6e manche de la saison,

00:25:35 le Mugello, ses fans exaltés, où se mêlent le rouge de Ducati et le jaune de Rossi.

00:25:41 Mais cette saison, le groupe est encore loin.

00:25:45 - C'est un peu comme un tournoi, mais c'est un peu plus rapide.

00:25:48 - C'est un peu plus rapide, mais c'est un peu plus rapide.

00:25:51 - C'est un peu plus rapide, mais c'est un peu plus rapide.

00:25:54 - C'est un peu plus rapide, mais c'est un peu plus rapide.

00:25:57 - C'est un peu plus rapide, mais c'est un peu plus rapide.

00:26:00 Mais cette saison, la star locale Francesco Bagnaglia est blessée.

00:26:04 Le Grand Prix de France a laissé des traces.

00:26:07 - Il faut qu'il se concentre sur la mise au point de sa moto,

00:26:10 essayer de trouver les bonnes solutions pour essayer d'adapter la moto à son état physique.

00:26:14 Le week-end s'annonce compliqué, mais Bagnaglia s'accroche,

00:26:19 et dès le samedi matin, il réalise le tour parfait en qualification.

00:26:23 - 44,855 ! Le record absolu est pulvérisé !

00:26:29 - C'était la meilleure course que j'ai pu faire.

00:26:32 C'était génial, vraiment génial. 44, incroyable.

00:26:36 Pour la troisième fois de la saison, l'Italien est en pole position,

00:26:43 et après avoir remporté la course sprint la veille,

00:26:46 il peut réaliser un premier week-end parfait cette année.

00:26:49 - Et boum ! Le Grand Prix du Mugello, un des plus beaux de l'année,

00:26:56 c'est parti avec un excellent départ de la 4e de Jack Miller !

00:27:00 Partie 4e, Miller prend la tête au premier freinage,

00:27:04 mais l'Australien ne peut résister que quelques virages face à Bagnaglia.

00:27:08 Une fois leader, le pilote Ducati reste en tête durant les 23 tours de course.

00:27:18 Derrière lui, une autre Ducati fait le spectacle, celle du Français Johan Zarko.

00:27:24 Le pilote Pramac gagne cette position sur les 6 premiers tours,

00:27:28 puis dépasse Luca Marini pour une nouvelle place sur le podium.

00:27:33 - Passer Marini, c'était important.

00:27:37 J'espérais avoir un peu plus de vitesse en le passant,

00:27:41 mais ça glissait quand même beaucoup, même avec le médium,

00:27:43 et j'étais à la limite. Du coup, content d'avoir pris cette 3e place,

00:27:46 en partant 9e, c'est super !

00:27:51 Avec son coéquipier René Martinet 2e,

00:27:54 comme au Grand Prix de France, les deux pilotes Pramac terminent donc sur le podium.

00:27:58 - Racontez-nous comment vous l'avez vécu cette course, la fin de course ?

00:28:07 - On a fait un cours spectaculaire, c'est la Coupe d'Italie,

00:28:10 les trois Ducatis sur le podium, c'est incroyable !

00:28:13 Les Ducatis dominent à domicile, et Francesco Bagnaglia s'impose

00:28:17 pour une 2e année de suite au Mugello.

00:28:20 - On essaie de gagner cette victoire, pour les fans.

00:28:23 Aujourd'hui, c'était impressionnant,

00:28:26 il y avait tellement de gens sur le podium et autour de la course.

00:28:29 Je suis très content pour ça, très content pour la course,

00:28:32 ça a été un très bon week-end.

00:28:34 - Cette nuit, t'as dormi ici ?

00:28:40 - Oui.

00:28:41 - Je n'ai pas dormi cette nuit.

00:28:43 - Hier, je n'ai dormi que un peu, mais aujourd'hui, rien.

00:28:46 - Cette nuit, tu as entendu la dernière chanson, finie à 7h du matin ?

00:28:50 - Non, je l'ai entendue à 3h30,

00:28:53 et les gens s'entendaient,

00:28:56 tout le circuit s'entendait.

00:28:59 Il semblait qu'il avait gagné, à 3h.

00:29:03 L'image de ce week-end, c'est aussi la terrible blessure d'Alex Rins en course sprint.

00:29:07 Le pilote LCR Honda se fracture le tibia et le perronné.

00:29:11 L'Espagnol manquera 12 manches au total cette saison.

00:29:14 Le Grand Prix d'Allemagne débute par un moment d'effroi.

00:29:26 Le Grand Prix d'Allemagne est un grand moment pour les Français.

00:29:29 Le Grand Prix d'Allemagne est un grand moment pour les Français.

00:29:32 Le Grand Prix d'Allemagne est un grand moment pour les Français.

00:29:35 - Je suis encore un peu sous le choc, parce que quand j'y pense, c'était vraiment chaud.

00:29:39 - C'est quand même un crash qui est d'une violence extrême.

00:29:43 Ça aurait pu très, très mal se finir.

00:29:46 - Marquez était lancé, il chute, il perd l'avant, la moto glisse,

00:29:49 et vient faucher le Français qui était à l'arrêt,

00:29:53 pour voir si personne n'arrivait, pour pouvoir sortir tranquillement.

00:29:56 - Ça crée une petite tension, surtout parce que la réaction de Marc Marquez est assez surprenante.

00:30:03 Il ne vient pas du tout prendre des nouvelles de Johan Zarco.

00:30:06 - Marc Marquez va essayer de transformer cette scène,

00:30:11 en mettant presque la faute sur Johan Zarco.

00:30:13 - C'était un moment effrayant. J'ai fait un erreur, j'ai pleuré.

00:30:17 Mais le gars qui doit éviter cette situation, c'est celui qui sort de la piste.

00:30:21 - Oui, mais ça c'est la grande capacité des champions,

00:30:24 de retourner tous les problèmes vers les autres.

00:30:27 Quelques heures plus tard, une réconciliation est organisée dans le paddock.

00:30:32 - C'est la preuve que Marquez est sous tension à ce moment-là.

00:31:00 Le Saxon Ring devait relancer la saison de l'Octuple Champion du Monde victorieux à 11 repris sur ce tracé.

00:31:11 C'est l'inverse qui se produit.

00:31:13 Marquez s'agace, multiplie les chutes, 5 au total.

00:31:17 Puis déclare finalement forfait à quelques minutes du départ du Grand Prix.

00:31:29 - C'était son Grand Prix le Saxon Ring, et là il n'y arrive plus.

00:31:32 On se dit que là Marquez a quand même pris un gros coup au moral et que la saison va être difficile.

00:31:38 Dynamique opposée pour Aure Martin.

00:31:47 Samedi, l'Espagnol remporte sa deuxième course sprint de l'année.

00:31:51 24 heures plus tard, il se présente sur la grille avec 21 points de retard sur le leader et poleman, Francesco Bagnaia.

00:31:59 - Et boum ! Un nouveau départ, le 7ème départ de Grand Prix, excellent départ du poleman.

00:32:04 Très vite, la course se résume à un duel, à une lutte acharnée entre Martin et Bagnaia.

00:32:11 Pendant 30 tours, les deux hommes ne vont pas se lâcher et changent plusieurs fois leur position.

00:32:17 Sur la ligne, 64 millième de seconde les sépare, à l'avantage de Aure Martin.

00:32:24 C'est le plus faible écart de la saison.

00:32:28 - Je pense que avec Peko je suis maintenant le plus fort de la ligne.

00:32:32 J'ai une bonne moto maintenant, je comprends la catégorie,

00:32:35 je commence à sentir ce que c'est d'être un motogp pilote et peut-être que l'expérience m'aide à gagner.

00:32:40 Martin retrouve l'ivresse du succès, une première depuis près de deux ans.

00:32:55 Après Le Mans et le Mugello, Johan Zarco enchaîne un 3ème podium d'affilée.

00:33:00 Du jamais vu pour le français solidement installé dans le top 5 du championnat du monde.

00:33:05 Au Pays-Bas, le français Fabio Quartararo arrive blessé.

00:33:21 Il s'est cassé un doigt de pied quelques jours plus tôt à l'entraînement.

00:33:25 Ça ne l'empêche pas de réaliser son meilleur début de week-end de la saison.

00:33:30 Pour la première fois de l'année, il se qualifie en deuxième ligne.

00:33:34 Il est 4ème au départ le samedi.

00:33:50 Le pilote Yamaha négocie parfaitement les 13 tours de course.

00:33:53 Il termine 3ème, moins de deux secondes derrière le vainqueur Francesco Pagnaia.

00:33:59 Fabio Quartararo décroche sa première médaille de l'année, la récompense en course sprint.

00:34:04 Ça fait du bien de voir l'arrivée du premier, même si on n'a pas fini vraiment à côté de lui.

00:34:08 Ça faisait longtemps que je ne terminais pas aussi proche.

00:34:11 Donc ça fait vraiment du bien et on va espérer de faire un petit peu plus demain.

00:34:15 - Envoie gauche à gauche. - Merci.

00:34:17 - Tu es bien ou tu es faible ? - C'est la moitié.

00:34:20 - Tu es à 100 d'effet. - Ah ouais ?

00:34:22 - Sur la grille j'ai dit "Médium" et tu m'as dit "Dérivation".

00:34:26 - Quand on a eu le "Zero Feeling", on s'est dit "Ça peut faire une étape mais ça n'a pas été une étape".

00:34:30 - Parce que sur la calif', moi j'ai vu vraiment la différence.

00:34:33 "Médium", "Médium", "Hard", "Radio", "Radio Medium".

00:34:36 - Ah ouais ? - Ouais mais bon, c'est pas le même stress, le même style.

00:34:39 Les deux pilotes ne se quittent plus et se disputent même la 12ème place sur la piste.

00:34:44 Le dimanche.

00:34:46 - C'est Fabio Cortaro et Joan Zarco !

00:34:53 Les deux Français qui se battent et qui sont partis à la faute.

00:34:56 Fabio est encore allongé dans les graviers.

00:34:58 Joan Zarco qui vient aux nouvelles de son compatriote.

00:35:01 - C'est un copain Fabio. On fait le max pour se battre en course si on peut se battre.

00:35:06 Mais avoir peut-être une petite parole en français, ça fait du bien aussi sur le moment.

00:35:11 Il n'y a aucun pilote français à l'arrivée. Une première depuis 2020.

00:35:16 Après cette chute, Francesco Bagnaia partie deuxième, prend la tête de la course à Bradbinder.

00:35:23 Et l'Italien s'impose en Grand Prix pour la quatrième fois de la saison.

00:35:27 - On voit vraiment que le pilote officiel du Cati a envie de partir en vacances avec le plus de points possible.

00:35:33 Et de mettre la pression sur son adversaire direct qui lui n'a pas réussi à monter sur le podium.

00:35:38 Donc très bonne opération pour le pilote italien.

00:35:41 Francesco Bagnaia compte à ce moment-là 35 points d'avance sur Rore Martin, cinquième sur cette course.

00:35:47 Silverstone début août. Le paddock retrouve ses marques après cinq semaines de pause.

00:36:03 - Je peux avoir le pilote de la team ?

00:36:05 - Merci beaucoup.

00:36:09 L'occasion pour le pilote de Formule 1, Oscar Piastri, de découvrir un nouvel environnement.

00:36:13 - Quel est le meilleur moyen de me débarquer ?

00:36:16 - Tu peux te mettre sur le pilote.

00:36:18 - Sur le pilote ?

00:36:19 - Oui.

00:36:20 - Ok.

00:36:21 Pour Fabio Quartararo, cette seconde partie de saison débute mal.

00:36:37 Le Français termine 22ème et dernier des qualifications.

00:36:41 Le pire résultat de sa carrière en MotoGP.

00:36:44 - On n'a jamais vu ça sur un tracé où il a été à l'aise les saisons précédentes.

00:36:48 - On ne sait pas ce qui se passe.

00:36:50 - Donc là, clairement, il y a quelque chose qui ne va pas avec son matériel.

00:36:53 - Et quelque chose aussi dans la tête qui ne va pas.

00:36:56 - Et tout ça mélangé, ça fait des contre-performances.

00:36:59 Dimanche, le champion du monde 2021 s'élance débarrassé de toute pression.

00:37:09 Quartararo est offensif.

00:37:11 Sans doute libéré, le Français remonte jusqu'en 8ème position.

00:37:14 Le top 5 n'est plus très loin.

00:37:17 Malheureusement, un contact avec Luca Marini met fin à sa belle remontée.

00:37:21 Ce dimanche-là, Francesco Bagnaglia impressionne par sa force mentale.

00:37:33 Malgré des rivaux coriaces, malgré une météo capricieuse, l'Italien ne fléchit pas.

00:37:38 Il termine 2ème, monte sur son 6ème podium de la saison et accentue encore son avance au championnat.

00:37:44 - La force de Francesco Bagnaglia, c'est de pouvoir rebondir.

00:37:49 - Il avait une moto qui ne lui convenait pas le samedi, il n'est pas dans les points dans la course sprint.

00:37:53 - Et le dimanche, ça va beaucoup mieux, on a trouvé des solutions.

00:37:56 - Et là, on retrouve le Francesco Bagnaglia des grands jours qui va encore marquer de gros points pour le championnat.

00:38:05 De ce grand prix, on retiendra surtout la hargne d'Aleix Espargaro.

00:38:09 A 34 ans, l'Espagnol connaît une saison compliquée.

00:38:12 Mais à Silverstone, le pilote Aprilia signe sa deuxième victoire en MotoGP.

00:38:17 - C'est un des jours où tu te sens invincible.

00:38:23 - Il a mis du temps à se mettre en route cette saison.

00:38:27 - Et là, il vient de chercher une victoire inattendue.

00:38:31 - Depuis le début de la saison, ce qu'on voit, c'est que toutes les marques européennes sont capables d'être devant.

00:38:36 - Alors, elles ne sont peut-être pas capables de gagner tous les grands prix loin de là.

00:38:38 - Mais par contre, elles sont capables de faire des podiums et ça, ça nous fait un très beau championnat.

00:38:42 - Viva l'Aprilia !

00:38:55 Depuis quelques jours, une rumeur brise dans le paddock.

00:38:58 Joan Zarco pourrait quitter la famille Ducati en 2024.

00:39:01 - On annonce une signature quand même. C'est pas mal.

00:39:04 Le samedi, l'information tombe en fin.

00:39:27 - On peut vous l'annoncer officiellement, Joan Zarco va rejoindre la saison prochaine LCR Honda.

00:39:34 - Quitter une moto qui gagne pour rentrer dans un projet d'un développement d'une moto qui a gagné et qui ne gagne plus, c'est intéressant.

00:39:43 - Et vu le moment de ma carrière, je trouve que c'est pas mal finalement de se dire, j'assure sur ma place en MotoGP pour les deux prochaines années.

00:39:53 En Autriche, Pramac perd l'un de ses pilotes au cœur d'un week-end particulièrement agité pour l'équipe italienne.

00:39:59 Sur la grille, Francesco Bagnaglia est en pôle. Roré Martin n'est lui que 12ème.

00:40:07 L'Espagnol est sous pression dès la course sprint.

00:40:11 Bagnaglia part en tête et derrière lui, dans le peloton, Martin se rate dans le premier virage.

00:40:18 Il fait chuter trois pilotes.

00:40:20 - C'est Martin qui a causé le carambolage du départ. Il a poussé Fabio Quartararo et Benzeki.

00:40:25 - Benzeki qui est à terre aussi. Fabio est resté sur ses roues mais s'est trouvé complètement englué.

00:40:30 On voit très bien, il va pousser d'abord Fabio, ensuite venir tasser Maverick Vinales qui reste sur ses roues lui.

00:40:40 Benzeki tombe assez lourdement.

00:40:42 - Il y a Bastiani aussi dans l'histoire.

00:40:44 - Joan Zarco tombe aussi.

00:40:46 Il a fait du dégât à la Rolleray.

00:40:48 - Il a joué au bowling tout simplement.

00:40:50 La pénalité viendra, mais bien plus tard dans la journée,

00:41:06 Roré Martin devra effectuer un long lap le lendemain en Grand Prix.

00:41:10 L'Espagnol termine 3ème de cette sprint, derrière Bagnaglia et Binder.

00:41:16 Le dimanche, comme la veille, Francesco Bagnaglia prend un départ parfait.

00:41:21 Il mène la course dès le premier freinage.

00:41:25 Roré Martin gagne lui 5 positions en 4 tours.

00:41:29 Il est 7ème quand il décide d'observer son long lap.

00:41:32 Il en ressort 13ème, puis retrouve très vite son rythme.

00:41:38 - Il va déjà attaquer, il vient de loin en plus à ce freinage.

00:41:41 - Il est pas loin.

00:41:42 - C'est vraiment facile. - Freinage !

00:41:44 - Alors que Fabio Cuartaro est un gros freineur.

00:41:46 - Quand tu dois attraper beaucoup de pilotes, tu utilises beaucoup le freinage arrière.

00:41:53 Et en commençant bien, avec un bon contrôle du freinage,

00:41:58 je pourrai aussi atteindre le podium.

00:42:00 Mais c'est comme ça, donc j'espère que la prochaine fois, ça sera mieux.

00:42:03 Le pilote Pramac remonte jusqu'à la 7ème position.

00:42:06 Il n'inscrit que 9 points sur cette course.

00:42:09 Devant, Francesco Bagnaglia met quelques tours à se débarrasser de Brad Binder.

00:42:13 Mais ce dimanche, personne ne peut contester sa suprématie au Red Bull Rally.

00:42:17 Bagnaglia gagne en Autriche avec 5 secondes d'avance sur Binder,

00:42:31 sa victoire la plus large de la saison.

00:42:33 - C'est aussi un moment où je pense que Bagnaglia a commencé à se débrouiller.

00:42:38 Bagnaglia a commencé à se relaxer un petit peu en se disant

00:42:41 "Bon, je vais pouvoir dérouler un peu plus sur cette fin de saison",

00:42:45 sachant que Martin n'est pas toujours sur le podium et que l'écart se creuse au championnat.

00:42:50 - Le casque spécial de Fabio Cuartararo ici.

00:43:04 Vous reconnaissez ce personnage avec son sourire maléfique, le Joker évidemment.

00:43:08 Je ne sais pas si c'est à vous que je dois poser une question, style, design, mais qu'est-ce que vous en pensez ?

00:43:13 - Écoutez, je pense que c'est peut-être aujourd'hui qu'il faut jouer le Joker,

00:43:18 essayer de faire quelque chose sur un tracé comme Barcelone où il a toujours été rapide dans le passé.

00:43:22 Malheureusement, la révolution attendra pour Cuartararo, seulement 18ème de la course sprint.

00:43:30 Épreuve remportée par Aleix et Spargaro, l'équipe a pris lieu à place.

00:43:34 Ces deux pilotes sur le podium, les prémices d'un grand week-end pour la marque italienne.

00:43:39 Sur la grille dimanche, Francesco Bagnaglia a le visage fermé.

00:43:47 Le champion du monde possède pourtant 66 points d'avance sur Aure Martin avant de s'élancer de la pole position.

00:43:53 C'est le plus grand écart de la saison.

00:43:55 [Musique]

00:44:25 - Pouf ! C'est vraiment effrayant, ce premier départ.

00:44:28 - Francesco Bagnaglia commet une erreur. Il réaccélère un petit peu trop tôt, il part en high side, il chute.

00:44:35 Là, tous les pilotes essayent de l'éviter. Malheureusement, Brad Binder ne peut pas l'éviter et il lui passe sur la jambe.

00:44:41 - Quand je me suis posé pour conduire à la fin de la deuxième tour, j'ai vu un motobike et Peko.

00:44:45 J'ai fait de mon mieux pour les manquer, mais malheureusement, j'ai cassé les jambes de Peko.

00:44:51 [Musique]

00:44:59 - Drapeau rouge, la course est interrompue. Les médecins s'affairent autour de Francesco Bagnaglia.

00:45:06 - Et là, le miracle se produit. Finalement, les nouvelles sont rassurantes assez vite et on se dit "Mais là, on a échappé au drame".

00:45:17 - Je ne sais pas, mais parfois, il faut être très chanceux.

00:45:22 Ce départ a fait plusieurs victimes. 6 pilotes au total restent à terre, dont Johan Zarco.

00:45:29 - J'essaie de bien serrer l'intérieur pour ne pas prendre Binder et Oliviera pour hop. Et là, il y a Bastia Nini qui a fait de la merde.

00:45:44 - Je regarde autour de moi, je vois Bezzecchi qui a l'air de souffrir. Bastia Nini qui me regarde comme si c'était ma faute.

00:45:51 - Ça m'a rendu fou.

00:45:53 Le pilote Pramac entame une course contre la montre. Il doit rentrer le plus vite possible pour récupérer sa deuxième moto.

00:46:01 Deuxième départ, seul le poleman Francesco Bagnaglia manque à l'appel.

00:46:13 Il est à la fin du parcours.

00:46:15 - Il est à la fin du parcours.

00:46:17 - Il est à la fin du parcours.

00:46:19 - Il est à la fin du parcours.

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00:49:53 - Il est à la fin du parcours.

00:49:55 - Il est à la fin du parcours.

00:49:57 - Il faut y aller, il faut marquer le territoire, il faut le battre à tout prix.

00:50:01 L'Espagnol démarre fort, il décroche la pôle et la victoire lors de la course sprint.

00:50:05 - Une 30'390 !

00:50:07 - Incroyable !

00:50:09 - Incroyable chrono réalisé par Martine, personne n'ira chercher ce chrono !

00:50:13 - Le Martinator a encore frappé et s'offre sa 3ème victoire en course sprint.

00:50:23 Sur la grille du Grand Prix, Francesco Bagnaglia et sa Ducati jaune ce week-end

00:50:27 est derrière Marco Bezzechi et Roré Martin.

00:50:31 Les deux Italiens sont à la lutte derrière l'Espagnol.

00:50:41 Bagnaglia ne lâche pas, deuxième, il tente de mettre d'entrée la pression sur Martin.

00:50:50 Mais au 19ème tour, c'est finalement Bezzechi qui dépasse le champion du monde.

00:50:54 L'attaque de Marco Bezzechi sur Francesco Bagnaglia, on a l'impression que ça devient très compliqué pour Pecco.

00:51:00 Est-ce qu'il a mal ?

00:51:03 Bagnaglia s'accroche et conserve sa place sur le podium.

00:51:06 A Misano, l'Italien concède 4'000 euros pour le champion.

00:51:10 - Il est en train de se mettre à l'aise.

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00:51:30 A Misano, l'Italien concède 14 points au vainqueur du jour,

00:51:33 Rore Martini.

00:51:35 L'Espagnol se relance dans la course au titre.

00:51:41 - Je ne ressens pas la pression de gagner le championnat,

00:51:44 mais je ne suis pas même pas un pilote de factoire.

00:51:46 Si nous avons la possibilité et la chance,

00:51:48 nous le prendrons à la fin de l'année.

00:51:50 Pour le moment, c'est juste de tenter de gagner les courses

00:51:52 et d'être compétitif.

00:51:54 - Marti, vector!

00:52:03 - Monta, merda!

00:52:07 - Un peu de folklore local pour lancer le premier Grand Prix d'Inde de l'histoire.

00:52:33 - C'est vraiment bon, vraiment délicieux.

00:52:35 - Il y a 10 ans que le circuit indien n'a pas accueilli de compétition internationale

00:52:38 et il reste encore quelques détails à régler.

00:52:41 - Et oui, c'est à cause de ce camion et de ces bouteilles d'eau.

00:52:44 Figurez-vous que les commissaires n'avaient pas de bouteilles d'eau

00:52:47 pour débuter cette deuxième séance

00:52:49 et donc il a fallu acheminer toutes ces bouteilles

00:52:52 pour que, eh bien, ça puisse prendre dans de bonnes conditions.

00:52:55 Il ne fallait pas qu'il soit déshydraté pour cette deuxième session.

00:53:02 Le lendemain, la qualification offre une première ligne royale.

00:53:05 On retrouve dans le désordre les trois premiers au championnat.

00:53:08 Marco Bezzecchi en pôle position devant Martine Ebaniaia.

00:53:12 L'Italien ne savoure pas longtemps sa troisième pôle de l'année.

00:53:20 Quelques heures plus tard, au départ de la course sprint,

00:53:24 il se fait percuter par son coéquipier Luca Marini.

00:53:28 - C'est un peu la première fois que je vois quelqu'un qui fait ça.

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00:55:51 C'est quelque chose qu'on n'a jamais vu.

00:55:53 Il y a même les docteurs qui étaient autour de lui,

00:56:04 malgré l'hydratation, malgré le fait que la course ait été terminée depuis plusieurs minutes.

00:56:08 On a vu un Martin physiquement détruit.

00:56:12 Ça prouve la dureté de ce sport.

00:56:16 La limite a été franchie et il ne faudra pas plus.

00:56:23 La frayeur est passée, Roray Martin se relève

00:56:26 et va monter sur son sixième podium de l'année

00:56:29 aux côtés de Fabio Quartararo et Marco Bezzechi.

00:56:32 L'Italien vainqueur de cette première édition mouvementée du Grand Prix d'Inde.

00:56:37 Le circuit de Motegi, célèbre pour ses fans.

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01:00:10 Le circuit de Motegi, célèbre pour ses fans.

01:00:13 La pluie continue de tomber à Motegi.

01:00:16 La course s'apprête à reprendre sans Joan Zarco

01:00:22 et avec une première ligne Martine, Bagnaia, Marquez.

01:00:25 et avec une première ligne Martine, Bagnaia, Marquez.

01:00:26 Allez, tour de chauffe, il faut regarder la concentration

01:00:29 dans les yeux de Francesco Bagnaia.

01:00:32 Après seulement quelques virages dans le tour de chauffe,

01:00:36 les pilotes semblent indiquer que les conditions ne sont toujours pas praticables.

01:00:41 Le drapeau rouge est à nouveau sorti.

01:00:43 On ne va pas relancer la course, tous les points vont être attribués.

01:00:47 Jorge et Martine s'imposent et terminent une nouvelle fois devant Bagnaia.

01:00:51 On voit qu'il est très fort, il ne se pose pas de questions,

01:00:54 alors qu'on a un Bagnaia peut-être un petit peu plus tendu.

01:00:58 Jorge a récupéré 5 points, mais ça pourrait être intéressant

01:01:02 de se battre entre moi et Jorge.

01:01:04 Marc Marquez décroche lui son premier podium en Grand Prix depuis un an.

01:01:08 Une petite surprise pour le paddock.

01:01:12 - Antidoping de tout, tu sais.

01:01:14 - On ne le croit pas.

01:01:16 - On ne le croit pas, on ne le croit pas.

01:01:18 - Carlos, on ne le croit pas.

01:01:19 - Quoi ?

01:01:20 - Il y a un podium antidoping.

01:01:21 - Un podium ?

01:01:22 - Oui, c'est pour ça que tu as roulé tant.

01:01:24 - C'était la tige.

01:01:39 Deux semaines plus tard, Marc Marquez débarque tout sourire en Indonésie.

01:01:43 L'Espagnol va mettre fin à des semaines de spéculation.

01:01:49 - Il est fou, ce capitaine.

01:01:50 - Ça va être la plus grande change de ma carrière,

01:01:58 surtout parce que garder la motivation est le plus important.

01:02:02 L'année prochaine, je vais se battre pour le groupe de Grecini.

01:02:05 Un groupe complètement différent, une approche complètement différente,

01:02:08 mais avec le but d'en profiter à nouveau sur la course.

01:02:11 - C'est le coup de tonnerre.

01:02:13 On s'y attendait un peu, mais là, c'est officiel.

01:02:15 - Il veut gagner.

01:02:17 - Il sent plus le projet Honda.

01:02:19 Il n'y croit plus et c'est pour ça qu'il s'en va, je pense.

01:02:22 - Et quel coup dur de Honda de perdre l'emblème, tout simplement, de son équipe.

01:02:29 Une marque avec laquelle Marc Marquez a remporté 59 victoires

01:02:34 et décroché 6 titres mondiaux en 11 ans.

01:02:37 (cris et applaudissements)

01:02:40 - Pouah!

01:02:47 - Ha, ha, ha!

01:03:05 (cris et applaudissements)

01:03:08 - À 6 courses de la fin du championnat,

01:03:17 jamais l'écart entre Francesco Bagnaia et Roray Martin n'a été aussi serré.

01:03:21 3 points séparés 2 hommes, à l'avantage du champion du monde en titre,

01:03:25 mais la dynamique, elle, est clairement du côté du pilote Pramac,

01:03:28 qui a repris 59 points sur les 4 derniers week-ends.

01:03:33 (cris et applaudissements)

01:03:36 La course sprint, samedi, confirme cette tendance.

01:03:39 Roray Martin est le plus fort.

01:03:43 - Et le Martin a tort! Et elle est une de plus pour Roray Martin,

01:03:48 qui gagne pratiquement tout depuis 4 Grands Prix.

01:03:51 - Ce jour-là, Francesco Bagnaia se classe seulement 8e,

01:03:56 et pour la première fois de sa carrière en MotoGP,

01:03:59 Roray Martin prend les commandes du championnat.

01:04:02 - Roray Martin déborde d'assurance.

01:04:21 Dimanche, au moment du départ, c'est lui le grandissime favori.

01:04:27 De la 13e place sur la grille, Francesco Bagnaia entame une belle remontée.

01:04:32 En 3 tours, le pilote Ducati gagne 10 positions

01:04:37 et se retrouve 3e derrière Martin et Vignales.

01:04:40 Les tours défilent. Martin est un solide leader.

01:04:47 Il possède plus de 3 secondes d'avance lorsque le championnat bascule.

01:04:52 Une nouvelle fois.

01:04:55 - Roray Martin! Roray Martin est tombé!

01:04:58 Alors ça, c'est une catastrophe pour le Martin a tort!

01:05:03 Fragilisé la veille, Francesco Bagnaia est le nouveau leader du Grand Prix d'Indonésie.

01:05:19 Impensable quelques minutes plus tôt.

01:05:23 L'italien plus calme, plus expérimenté que son rival

01:05:26 s'impose pour la 6e fois de la saison.

01:05:29 Un succès capital à l'heure du sprint final.

01:05:50 Cette victoire, Fabio Quartararo aurait pu la décrocher.

01:05:53 Après une fin de course exceptionnelle, le Français échoue à la 3e place

01:05:56 à moins d'une seconde du vainqueur.

01:05:59 Son 2e podium en 3 Grands Prix.

01:06:18 En Australie, la météo bouleverse l'organisation du Grand Prix.

01:06:22 Les prémices d'un week-end pas comme les autres.

01:06:25 - Le ciel australien a bien changé, il s'est assombri.

01:06:29 L'information tombe le vendredi, le Grand Prix aura lieu dès le lendemain.

01:06:34 Sur Philippe Island, le temps est donc sec le samedi.

01:06:46 Et René Martin, en pôle, fait un choix de pneus audacieux.

01:06:50 - C'est le seul parmi les 12 pilotes à avoir mis l'option la plus tendre

01:06:54 sur un tracé de Philippe Island qui est très abrasif.

01:06:57 C'était quand même un sacré pari.

01:07:00 - Johan Zarco, 5e au départ, ne prend lui aucun risque.

01:07:04 - Quel choix avez-vous privilégié aujourd'hui et pour quelle ambition ?

01:07:08 - Bien le médium arrière parce que les 27 tours c'est vraiment long.

01:07:12 Le soft c'est clair qu'il est performant mais à un moment il va trop s'écrouler.

01:07:17 Dans un premier temps, le Français n'est pas pleinement satisfait de son départ.

01:07:31 - 0 à 100 c'était pas trop mal mais de 100 à 200 j'ai perdu du temps

01:07:34 parce que la moto a beaucoup cabré.

01:07:36 Et pour contrer ça, tout de suite j'ai réussi à attaquer

01:07:39 très fort dans le premier virage, on s'est bousculé avec Aleix.

01:07:42 Devant, sur les premiers tours de course, René Martin est le plus rapide.

01:07:51 - René Martin déroule son plan avec son pneu tendre,

01:07:54 c'est s'échapper le plus vite possible.

01:07:57 6e, Johan Zarco gagne un premier duel face à Marc Marquez.

01:08:01 Il s'attaque ensuite à un autre champion du monde, Francesco Bagnaia,

01:08:07 après l'avoir suivi pendant 16 tours.

01:08:10 - Le fait de partir avec Péco et de lâcher le groupe de derrière,

01:08:15 tout de suite on sent qu'il y a une gestion et du coup c'est bien

01:08:18 parce que j'ai pu faire un peu le yo-yo avec Péco.

01:08:21 - Les pneus ne pouvaient pas permettre au pilote d'attaquer

01:08:24 extrêmement fort sur tous les tours et Johan Zarco,

01:08:27 en restant derrière Bagnaia, a su économiser un petit peu son capital pneumatique.

01:08:31 - 5 tours de la fin, je me dis bon, faudrait se pointer vers la 2e place

01:08:35 parce qu'en fait peut-être que la victoire est jouable.

01:08:38 - Johan Zarco vient de dépasser Francesco Bagnaia,

01:08:49 il va se lancer maintenant dans la bagarre pour le podium

01:08:52 et pourquoi pas même pour la victoire. - La victoire, bien sûr.

01:08:55 Devant, l'écart entre Rore et Martin et ses poursuivants diminue.

01:08:58 - Ça doit pas être facile parce que son pneu là doit commencer sérieusement à souffrir.

01:09:03 L'Espagnol perd une demi-seconde au tour,

01:09:06 il voit revenir 4 pilotes derrière lui, dont Johan Zarco.

01:09:10 - Et l'attaque de Johan Zarco qui va chercher une position supplémentaire.

01:09:19 Johan Zarco est sur le podium.

01:09:21 Johan Zarco qui est maintenant à la 2e position.

01:09:30 - 4/10 c'est possible, 4/10 c'est tout à fait faisable.

01:09:34 - Vu là le temps qu'il a en train de perdre et la difficulté qu'il a avec le pneu arrière,

01:09:39 je sais que ça va pas être dur de le doubler en fait.

01:09:42 Du coup je me dis voilà c'est idéal, concentre-toi et ça va le faire.

01:09:46 - Il le sait qu'il a cette opportunité. - 4B voulant, il va passer dans le virage 4.

01:09:50 - Il est là, il est dans la route, Roller et Martin pour la 1re position,

01:09:54 pour la victoire, attention derrière à Bagnaia, attention à Francesco Bagnaia

01:09:58 qui voit ça aussi, et ça y est, Johan Zarco passe en tête,

01:10:02 attention à Francesco Bagnaia qui passe à la 2e position,

01:10:05 mais pour l'instant c'est bien Johan Zarco dans le dernier tour

01:10:08 qui est en tête de ce Grand Prix.

01:10:10 Allez Johan, encore quelques virages s'il te plaît, ne lâche pas Johan, vas-y !

01:10:16 Ça y est il a pris de l'avance, il a pris de l'avance. - C'est bon, il reste 2 virages.

01:10:20 - Johan Zarco, allez respire, respire, respire. - Là, il n'y a pas de raison que ça ne passe pas.

01:10:24 - Dernier secteur, les 2 derniers virages, depuis 2017,

01:10:30 on attendait la victoire de Johan Zarco dans la catégorie MotoGP, il le fait !

01:10:36 Oui, Johan Zarco est vainqueur de Grand Prix, ça y est !

01:10:41 J'y croyais plus Randy, j'y croyais plus, il l'a fait !

01:10:46 Ça a été un soulagement quand je passe la ligne, comme un grand silence.

01:10:50 Et c'est ça qui était bon aussi, il n'a pas pu exploser de joie,

01:10:55 et vraiment déjà le temps de réaliser, ça y est, ça s'est fait, et c'est ça, c'est ça en fait.

01:11:01 Je suis allé le féliciter directement, s'il y a un pilote qui vraiment mérite en MotoGP une victoire,

01:11:06 c'est bien lui, donc j'espère qu'il va bien fêter ça.

01:11:09 Johan Zarco est le 5e pilote français à gagner une course en catégorie reine.

01:11:13 Un succès à l'image du pilote, atypique, jusqu'au podium où la Marseillaise est en panne.

01:11:19 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:11:23 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:11:27 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:11:35 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:11:43 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:11:47 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:11:51 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:11:59 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:07 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:11 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:15 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:19 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:23 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:27 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:31 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:12:35 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:12:59 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:13:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:16:15 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:16:19 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:16:23 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:17:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:17:11 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:17:15 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:17:39 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:17:43 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:17:47 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:17:51 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:17:55 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:18:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:18:07 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:18:11 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:18:15 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:18:19 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:18:23 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:18:27 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:18:43 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:18:51 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:19:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:19:07 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:20:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:20:07 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:20:11 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:20:23 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:20:31 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:20:35 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:20:39 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:20:43 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:21:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

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01:24:43 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:24:47 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:24:51 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:24:55 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:24:59 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:07 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:11 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:15 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:19 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:23 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:27 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:31 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:35 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:39 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:43 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:47 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:51 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:55 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:25:59 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:07 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:11 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:15 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:19 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:23 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:27 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:31 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:35 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:39 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:43 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:47 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:51 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:55 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:26:59 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:27:03 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:27:07 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:27:11 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:27:15 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:27:19 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:27:23 - C'est un bon pilote, c'est un bon pilote !

01:27:27 - Attention le contact ! Il a eu le contact, il a failli venir le percuter !

01:27:31 - Mais il est resté sur ses roues Francesco Bagnallià et Roré Martin a dû tirer tout droit !

01:27:36 - Il s'est aperçu que ça n'allait pas être si facile que ça.

01:27:39 Martin perd des places, puis prend tous les risques pour revenir sur le leader.

01:27:44 - Il y a une énorme chute de Marc Marquez et le tout droit de Roré Martin !

01:27:56 Marc Marquez chute pour sa toute dernière course avec Honda.

01:28:00 Et Roré Martin abandonne ses espoirs de titre.

01:28:07 - Pico Bagnallià est champion du monde MotoGP 2023 après ce crash énorme !

01:28:14 - Je pense que nous ne l'avons pas perdu aujourd'hui, mais nous l'avons peut-être perdu en Indonésie,

01:28:22 peut-être au début de la saison. Il y a eu beaucoup de situations où nous avons fait des erreurs

01:28:26 et nous devons en améliorer pour la prochaine saison, mais je pense que nous allons amener ce titre à Pramac.

01:28:31 Les larmes de Martin vaincu au moment où son coéquipier Joan Zarco offre lui un dernier podium à Pramac,

01:28:43 avant son départ pour LCR Honda.

01:28:48 Le Français termine deuxième, mais voulait encore plus pour ses adieux.

01:28:52 - De toute façon, je crois que la Marseillaise, il n'avait pas non plus un l'air léger.

01:29:05 Devant, le champion brille et remporte sa septième victoire de la saison.

01:29:16 Francesco Magnaia, cette couronne de champion du monde, il va la porter fièrement !

01:29:20 Il capo ! Il maestro !

01:29:23 Doppio come pione ! Il est double champion du monde !

01:29:27 MotoGP avec le panache en s'offrant la victoire !

01:29:32 C'est incroyable ce qu'il nous a offert cette année.

01:29:36 La Francesco Magnaia, c'est du très très lourd !

01:29:44 C'est super lourd ! Plus que ça, c'est impossible, même parce que nous avons gagné la course.

01:29:49 C'est fantastique, c'est incroyable.

01:29:55 De Barcelone, c'était assez dur pour nous.

01:29:57 Le coup que nous avons pris était lourd, mais nous devons croire que nous méritons ce titre plus que tout le monde.

01:30:05 - Ça a été le pilote le plus constant.

01:30:09 Il a confirmé son titre de l'an dernier.

01:30:12 C'est plus difficile de confirmer que d'aller chercher un premier titre.

01:30:15 C'est fait, c'est un très beau champion.

01:30:17 Francesco Magnaia devient le premier pilote à remporter deux titres consécutifs avec Ducati.

01:30:23 En 2024, il tentera de rejoindre les légendes Kenny Roberts, Wayne Rainey et Roray Lorenzo au rang des triples champions du monde en catégorie Rennes.

01:30:40 Nos deux Français vont tout donner.

01:30:43 Et s'ils font résonner la marseillaise, je vous raconte pas.

01:30:46 - Hey boy, qu'est-ce que tu veux me dire ?

01:30:48 Tu débloques le masque de Charlie ?

01:30:50 Tu me racontes des histoires de Charlie ?

01:30:52 Tu es normal ? Dis-moi, tu es normal ?

01:30:54 Hey boy, tu es vraiment pas bien.

01:30:56 Tu parles de toi-même en troisième position.

01:30:58 - Lecho, peux-tu nous parler du nouveau carénage que tu as testé avec Kagami ?

01:31:03 - L'île de Lombok, elle se trouve à l'est de Paris.

01:31:12 - On a hâte d'y être.

01:31:15 - Je pense que John Zarco est prêt.

01:31:18 - J'ai un appel.

01:31:28 - J'ai un appel, je vous laisse.

01:31:30 - Bienvenue dans...

01:31:37 - Faut pas que je rigole, je vais te faire un petit coup de cul.

01:31:40 - Je vais te faire un petit coup de cul.

01:31:42 - Non.

01:31:44 - Faut pas que je rigole, je vais transpirer.

01:31:46 - Il peut, il peut, il croit.

01:31:58 - Parlez de ma victoire la semaine dernière, parce que j'ai l'impression que vous n'avez pas assez montré les images.

01:32:01 - On fait que ça, on n'arrête pas.

01:32:03 - Et finalement...

01:32:11 Ça c'est mon Jojo, voilà.

01:32:13 ♪ ♪ ♪

Rétro MotoGP 2023 - Bagnaia, l'incassable

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