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00:00 -Alors, les Ducobus, ils ont grandi parce qu'à travers la saga, le premier Ducobus, il a 50 ans.
00:06 -Tu sais, en ce moment, je fais des avant-premières dans toute la France. Les salles sont pleines. Dans les cinémas, il y a plein de familles, plein d'enfants.
00:14 Et la question qu'on me pose tout le temps, c'est souvent les enfants qui posent cette question. Donc j'espère que tu me la poseras pas.
00:20 -Pourquoi on a changé de Ducobus ? Donc je leur explique que c'est le même depuis 14 ans et qu'il a 32 ans. Mais on est obligés de renouveler le stock d'enfants, tu comprends ?
00:31 -Bien sûr. -Il est étonnant, lui, ça ? -Donc comme on tourne tous les 2 ans et les enfants grandissent... -Il est belge, lui ?
00:36 -Alors Damien est belge et il est génial. Franchement, les autres l'étaient. Mais lui, il est formidable. Il a un charme fou.
00:45 -Tu tournes en Belgique souvent, ça ? -Oui. Le décor, le collège, en fait, est en Belgique. Et on a aussi Simon Toretton qui est le fils de Philippe Toretton, que tu connais bien.
00:55 -Il est magnifique, son petit garçon. -Il est génial. On a Caroline Anglade, on a Nicolas Marier, on a Gérard Juniau, on a François Lepage...
01:03 -Il y a Émilie Caen, il y a Frédéric Bell. Le Vental, il est formidable. Mais il y a des moyens énormes. C'est une grosse production. -Enorme.
01:10 -Non, non, c'est vrai que c'est... -La fin, c'est apocalyptique. -Pour avoir un réalisateur comme moi, il faut des moyens énormes. C'est normal.