Fanny Lacroix, maire de Châtel-en-Trièves, vice présidente de la Communauté de communes du Trièves, vice présidente de l'AMRF.
Nous parle de la nécessité de refonder un grand contrat citoyen pour faire vivre la citoyenneté active.
"Chaque citoyen doit vivre de manière concrète, dans son territoire de vie, son implication au sein du grand collectif démocratique. Il ne suffit pas pour cela de payer des impôts, quand cela est possible, ou bien de se positionner en consommateur de services, mais vraiment de faire l'exercice régulier de sa citoyenneté active".
Fanny Lacroix nous parle ainsi de faire évoluer notre modèle de société pour faire émerger "de nouveaux espaces géographiques et de nouveaux espaces temporels au service du collectif".
Pour l'édile, penser cette citoyenneté active revient à interroger le fonctionnement de nos institutions républicaines, ainsi que leurs compétences. "Si la citoyenneté active devient un objectif national, qui mieux que les communes - au plus près des citoyens -, qui mieux que les maires et les élus locaux pour faire vivre dans les actes ce contrat de citoyenneté. Une telle considération vient repositionner la commune comme l'échelon de base fondamental de notre édifice républicain".
Une vision qu'elle met en œuvre dans son village avec "Le Droit au village", c'est à dire le droit à la contribution directe dans les espaces de citoyenneté active et dans la construction des politiques publiques de la commune.
Selon elle, une petite commune ne peut relever seule l'ensemble des défis auquel elle est confronté. Cependant, si chacun prend conscience de son importance et s'implique, cela peut changer le quotidien des habitants.
Avec la citoyenneté active, une commune n'est plus faite uniquement de politiques et de moyens mais aussi de ressources que sont les habitants qui ne sont alors plus considérés comme de simples administrés mais comme des citoyens actifs.
Nous parle de la nécessité de refonder un grand contrat citoyen pour faire vivre la citoyenneté active.
"Chaque citoyen doit vivre de manière concrète, dans son territoire de vie, son implication au sein du grand collectif démocratique. Il ne suffit pas pour cela de payer des impôts, quand cela est possible, ou bien de se positionner en consommateur de services, mais vraiment de faire l'exercice régulier de sa citoyenneté active".
Fanny Lacroix nous parle ainsi de faire évoluer notre modèle de société pour faire émerger "de nouveaux espaces géographiques et de nouveaux espaces temporels au service du collectif".
Pour l'édile, penser cette citoyenneté active revient à interroger le fonctionnement de nos institutions républicaines, ainsi que leurs compétences. "Si la citoyenneté active devient un objectif national, qui mieux que les communes - au plus près des citoyens -, qui mieux que les maires et les élus locaux pour faire vivre dans les actes ce contrat de citoyenneté. Une telle considération vient repositionner la commune comme l'échelon de base fondamental de notre édifice républicain".
Une vision qu'elle met en œuvre dans son village avec "Le Droit au village", c'est à dire le droit à la contribution directe dans les espaces de citoyenneté active et dans la construction des politiques publiques de la commune.
Selon elle, une petite commune ne peut relever seule l'ensemble des défis auquel elle est confronté. Cependant, si chacun prend conscience de son importance et s'implique, cela peut changer le quotidien des habitants.
Avec la citoyenneté active, une commune n'est plus faite uniquement de politiques et de moyens mais aussi de ressources que sont les habitants qui ne sont alors plus considérés comme de simples administrés mais comme des citoyens actifs.
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