confidenze di un gatto (1953)

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00:00 [Musique]
00:13 [Musique]
00:41 Je suis un citoyen romain et, si je peux dire, de noble lignage.
00:47 Mes parents habitaient dans ces quartiers exquisitement aristocratiques,
00:51 routes et places caractérisées par l'élégance, la sérénité et le silence.
00:56 Dans ce petit palais, mon père est né et c'était son balcon préféré.
01:02 Dans une maison de la petite place tranquille à l'avant, j'ai eu mes Natal.
01:07 De haut sur ces terrasses, je regardais un vieillard passer sous moi.
01:14 De temps en temps, je descendais dans la rue,
01:18 où un cher ami, le bon macellaire, me donnait de la bonne tripe.
01:22 Et oui, parce que, j'ai presque oublié de le dire, je suis un chat.
01:26 Ah, la sérénité du passé !
01:29 Mais un jour, un mauvais jour, il est arrivé. Regardez-le et comprenez-moi.
01:34 [Le chat aboie]
01:39 J'ai donc choisi la liberté.
01:42 Et maintenant, je vis dans ce site pittoresque que les hommes appellent "marché des aneilles"
01:46 avec de nombreux amis.
01:49 Le premier matin, le lieu est désert.
01:51 Mes collègues ont l'habitude de faire des nids-en-boules et sortent tard de leur chambre.
01:56 Presque toujours, le début de notre journée coïncide avec l'arrivée des premiers touristes,
02:01 des explorateurs ingénues et pérennes.
02:04 Et il y a toujours quelqu'un de nouveau, poussé par la vanité,
02:07 encore prêt à se faire découvrir.
02:09 Surtout les chats, toujours prêtes à se mettre en pose.
02:13 Attention !
02:16 C'est fait.
02:18 Le soleil est déjà haut,
02:20 et mes amis décident finalement de sortir de leur chambre,
02:24 à un, à deux, à trois,
02:26 comme les pécorelles de la poésie.
02:28 Si vous permettez, je vous présente quelqu'un.
02:30 Voici Philippe,
02:32 plutôt indigné,
02:34 mais en fait, il n'est qu'un snob.
02:36 Il habite à la Pyramide Cestia,
02:38 donc, à la periphérie.
02:41 Et voici Alfredo,
02:43 qui affirme avoir un temps poétique,
02:46 et habite au Théâtre de Marcello.
02:48 Un beau endroit, mais aussi à la portée de tous,
02:51 sans parler des chats qui nous bâillent,
02:53 qui nous parlent des poèmes, tout autre que les recommandables.
02:56 Le Rouge, un campagnolo de goûts un peu rouges,
02:59 a choisi Piazza Vittorio comme résidence.
03:02 Il y a le marché, d'accord.
03:04 On mange bien, mais trop, trop de foule.
03:08 Et voici Socrate, mon ami philosophe.
03:11 Il s'est retiré au Panthéon,
03:13 un endroit plein de sérénité,
03:15 habité par des chats tranquilles.
03:17 Je dois admettre, il avait du goût.
03:20 Ici, la méditation n'est pas interrompue par personne.
03:23 Même les jeux des petits sont remplis de composantes.
03:28 La signorina Grigetta, une bonne amie,
03:31 habite à Largo Argentina,
03:33 un endroit vraiment élégant,
03:35 et pour la vérité, bien visité,
03:37 au centre de la ville.
03:39 En se lève, il fait "toletta",
03:46 les "ablutions du matin",
03:48 comme le définit ma vieille patronne.
03:52 Quand on est enfin en ordre,
03:54 on se fait la recherche de la première déjeuner.
03:57 Il y a toujours un ami qui nous la fournit,
03:59 et nous, les généreux, le reconnaissons "au vol".
04:02 Même si ce n'est pas vraiment de la monnaie,
04:05 le nourriture tombe de haut,
04:07 comme tout ce que la providence dispose.
04:09 Entre un smoothie et l'autre,
04:11 il y a qui se met à la main,
04:13 se préparant à une bataille de la vie.
04:15 C'est un peu comme la vie de la vie.
04:17 C'est un peu comme la vie de la vie.
04:19 Il se met à la main,
04:21 se préparant à une bataille de la vie.
04:23 Il s'entraîne avec des petits insectes
04:25 cachés entre les feuilles,
04:27 ou il s'entraîne à un peu de l'ouverture.
04:29 Très rapide, malheureusement, dans la fuite.
04:32 Ces collègues ne sont pas en train
04:34 de faire des études d'un arbre
04:36 avec un oeil de botanique,
04:38 mais ils espionnent les mouvements
04:40 d'un petit oiseau bien caché entre les feuilles.
04:42 Comme toujours dans la vie,
04:44 il est difficile de atteindre le but.
04:46 Il faut une série de fiches et de contre-fiches
04:48 pour être précis.
04:50 Et puis là,
04:52 il a fugit.
04:54 Voici un fourbe qui a vu quelque chose
04:56 de plus important.
04:58 Oui, c'est une d'entre eux.
05:00 Une des dames gracieuses
05:02 qui, quotidiennement,
05:04 nous apportent le nourriture à domicile.
05:06 La tribu est appelée à la donnée.
05:08 C'est l'heure de la pappatoria,
05:10 si vous me permettez le terme.
05:12 L'heure où arrivent nos amies
05:14 qui sont toujours accueillies
05:16 par les manifestations enthousiastiques.
05:18 Certains comportements serviles et avides
05:20 ne rencontrent pas la mienne approbation,
05:22 en vérité,
05:24 surtout quand elles dégénèrent
05:26 en risses dégoutantes,
05:28 comme celle-ci.
05:30 Aucun enfant n'a pas de providence.
05:34 Un petit pétrin de lait
05:36 pour ceux qui n'ont pas l'opportunité
05:38 d'avoir une mère.
05:44 Certains peuvent même
05:46 se permettre une balia généreuse,
05:48 bien provise de patience
05:50 et de biberon.
05:52 La mère de ces pauvres
05:54 enfants de Seredati
05:56 dit qu'elle a échappé
05:58 avec un riche Soriano.
06:00 Mais quelqu'un pense aussi à eux.
06:02 Ce monsieur qui arrive tous les jours
06:04 à leur plage doit évidemment
06:06 habiter près d'un macellaire.
06:08 Mais je ne veux pas faire
06:10 des insinuations antipathiques.
06:12 Je dois admettre que parfois
06:14 les chiens aussi ont un cœur.
06:16 Une belle boisson
06:34 d'eau fraîche
06:36 conclut notre repas.
06:40 Après avoir très bien travaillé
06:42 et mangé, les yeux
06:44 commencent à se fermer.
06:46 Il n'y a pas de meilleur endroit
06:48 que le petit islet.
06:50 Habitude aimée à tous les animaux,
06:52 les chats ou les hommes.
06:54 ...
07:22 Malheureusement, la vie est faite
07:24 de façon à ce que la sérénité
07:26 soit toujours de courte durée.
07:28 On ne peut pas rester tranquille
07:30 un instant. Dans ce cas,
07:32 c'est la classique douche fraîche
07:34 qui interrompt les meilleurs rêves.
07:36 Ces jeunes sont insupportables.
07:38 Ils jouent et sautent
07:40 sans pensées inutiles,
07:42 mais la mère les surveille
07:44 avec attention.
07:46 Et qu'en dirait-on
07:48 de la manière moderne du sport ?
07:50 Non, je dois admettre que l'un des deux
07:52 sait vraiment faire.
07:54 Il met l'adversaire à terre.
07:56 Là, qu'est-ce qu'il dit ?
07:58 Ce petit-enfant est évidemment
08:02 perdu et maintenant il cherche
08:04 désespérément la mère qui
08:06 le ramène à la maison.
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