Les gendarmes s'entrainent pour avoir des brigades "anti-drones" qui permettront de brouiller et neutraliser des drones hostiles lors des divers évènements des JO.
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00:00 Pendant les Jeux Olympiques, ils n'auront qu'un seul objectif,
00:03 empêcher les drones de pénétrer dans certaines zones.
00:06 Direction Nord, il se rapproche de nous, il est à 78 mètres de hauteur.
00:11 Ces gendarmes font partie de la SPAD, la section de protection et d'appui drone.
00:15 Ils seront intégrés au dispositif de l'armée de l'air pendant les Jeux Olympiques.
00:20 Papa Charlie de SPAD, brouillage en cours.
00:24 Le drone retourne sur sa position de décollage.
00:30 À partir du moment où on va détecter un drone suspect dans sa zone,
00:33 le but va être de lui empêcher toute action qui va pouvoir être préjudiciable
00:38 pour les forces de l'ordre qui sont au sol ou sur la zone qu'on a à défendre.
00:41 Une fois le drone brouillé, les gendarmes ont pour objectif
00:44 de trouver la position du pilote suspect.
00:47 Leur mission ne s'achève qu'à la fin de l'interpellation.
00:50 Les membres de la SPAD commenceront leur mission le 16 avril,
00:53 dès le départ du relais de la flamme olympique.
00:55 La section de protection et d'appui drone, c'est 21 personnels.
00:59 La section va être entièrement mobilisée pendant la période des Jeux Olympiques.
01:03 On s'inscrit encore une fois dans un dispositif global en interopérabilité
01:07 avec les forces armées et les autres forces de sécurité intérieure.
01:11 En cas d'échec du brouillage, la brigade dispose d'un lance-filet,
01:15 un moyen de dernier recours pour neutraliser le drone.
01:18 Ici, on va trouver une aide à la visée.
01:20 Jusqu'à 100 mètres, on va pouvoir neutraliser ce drone.
01:22 C'est tout l'intérêt pour nous.
01:23 Dans ces dernières dizaines de mètres,
01:26 pouvoir rapidement enlever une menace.
01:29 La section de protection et d'appui drone de la gendarmerie compte 21 membres.